Belle-maman, femme adorable 1

Lucile est mariée depuis quatre ans avec Martial, les deux frisent la cinquantaine. Lui a deux enfants d'un premier mariage, Cloé, 19 ans et Logan, 20 ans. Les deux enfants adorent leur belle-maman, ils ne savent que faire pour lui faire plaisir. Souvent devant la télé, ils se blottissent contre elle en ronronnant comme des chats. Lucile est heureuse, elle les considere comme ses propres enfants. À table, Lucile rougit lorsque les paroles des enfants dérapent sur le sexe. Son mari regarde, sa femme en souriant, il sait qu'elle est très prude et que parler de sexe la trouble et la tétanise fortement. Généralement, il change de conversation pour ne pas mettre sa femme dans l'embarras.

Martial est fréquemment absent pour son travail. Pendant son absence, les enfants bras dessus bras dessous avec La maman d'adoption font du shopping, de longues promenades pour faire oublier à Lucile l'absence du papa. Après le diner, comme chaque soir, Lucile et la dernière pour prendre une douche, elle en sort, enroulée, dans une serviette de bain nouée au-dessus de ses seins. Elle entre dans sa chambre et se place devant sa coiffeuse. Cela fait que quelques minutes qu'elle se trouve devant le grand miroir, que la porte de sa chambre s'ouvre, c'est Cloé. Elle se place derrière Lucile, elle pose ses mains sur ses épaules, lui donne plusieurs baisers sur le cou, et ses épaules dénudées. Elle commence à lui masser les épaules. La douceur du massage fait soupirer Lucile, elle jette sa tête en arrière et ferme les yeux. Les mains douces glissent sur sa peau laiteuse, s'avancent sur sa gorge et descendent doucement en s'approchant de la poitrine ceint de la serviette.

Avec douceur, les doigts passent sous la serviette et avancent lentement sur les lobes. Cloé donne quelques petites pressions délicates sur les demi-sphères charnues. Lucie soupire profondément, puis prend conscience de ce qui se passe :

Elle immobilise les intrus en les saisissant précipitamment. Elle regarde Cloé et lui dit :

-Mais ma chérie qu'est qui te prend !

Pour toute réponse, Cloé se place devant Lucile, s'assoit sur ses genoux et d'un coup sec lui découvre les seins. Elle donne plusieurs baisers sur les lobes généreux, et aspire rapidement un mamelon. Elle le tète voracement un bon moment avant que Lucile ne réagisse. Les yeux pleins de larmes, Lucile repousse Cloé, qui avec un sursaut habile lape quelques perles salées qui coulent sur la joue Lucile avant de se lever. Lucile est rouge écarlate, son cœur bat la chamade, son trouble fait, qu'elle tremble de tous ses membres. Elle se jette sur le lit, sa serviette s'ouvre en dénudant son bas-ventre et ses seins, les bougres sont gonflés, son sexe est humide. Machinalement, elle pose une main sur ses seins et les presse, ses doigts s'enfoncent profondément dans la chair tendre, elle grimace. Son autre main glisse sur son ventre, et s'approche de sa vulve. Elle passe plusieurs fois dessus, ses doigts s'accrochent à son clitoris et l'agitent doucement. Lucile, soupire. Elle se remémore ce qui vient de se passer, elle s'en veut, Cloé a réveillée ses sens, ils sont en feu. Ses doigts s'activent un peu plus vite sur son clito. Ses mamelons sont dressés, elle tire dessus fortement comme pour se punir de l'excitation qui lui brule les entrailles. Elle souffle comme un animal, puis commence à se masturber énergiquement. Elle serre les dents pour ne pas hurler de plaisir. Elle s'agite sur son lit, se cabre et jouit.


Elle halete gisant sur son lit, jambes écartées, sa main encore posée sur sa vulve dégoulinante, l'autre sur sa poitrine qui se soulève au rythme de sa respiration. Soudain la porte s'ouvre brusquement, c'est Cloé qui entre, elle regarde sa belle-maman un instant, avant de s'avancer vers elle en disant :


-belle-maman, je tiens à m'excuser pour tout à l'heure, te voir avec la serviette qui t'arrive à mi-cuisses et ta poitrine provocante, je n'ai pas pu y résister !

Elle s'assoit sur le bord du lit, Lucile réagit seulement maintenant, elle cherche la serviette pour se couvrir le corps. Cloé souriante lui dit :

-je crois que ce qui s'est passé t'a troublée, vu ta position, je suis certaine que tu t'es masturbée, allez avoue-le que je t'ai excitée !

Lucile devient rouge comme une pivoine, baisse les yeux et dit :

-Ne me torture pas Cloé, tu sais très bien ce que j'ai fait !

Cloé insiste :

-Dis-le, dis-le !

Lucile se pince les lèvres et dit :

-Oui, je me suis masturbée, ton acte m'a rendu folle !

Cloé l'enlace et dit en la regardant droit dans les yeux :

-Oh, tu ne peux pas savoir comment je te désire belle-maman, ton corps me hante !

Lucile est complétement déstabilisée, elle deguloitie bruyamment et réplique :

-Cloé, tu n'y penses pas sérieusement, je suis la femme de ton papa, de plus, je ne suis pas lesbienne, j'ai pour toi de l'amour platonique, je t'aime comme ma fille, ôte-toi ça de la tête ma chérie !

Pour toute réponse, Cloé passe ses bras autour de son cou et pose ses lèvres sur les siennes. Surprise par ce geste, Lucile veut dire quelque chose, elle entrouvre la bouche. Cloé profite de cet instant pour glisser sa langue dans la bouche de sa belle-maman et de nouer sa langue à la sienne. Les yeux de Lucile s'ouvrent tout grand, elle se met à trembler. Cloé lui déverse un flot de salive dans la bouche, puis cesse le baiser et recule sa tête. Les deux femmes se regardent sans dire un mot, Lucile avale la salive offerte. Cloé l'embrasse à nouveau, cette fois les langues se nouent comme deux reptiles qui cherchent à s'accoupler. Le cœur de Lucile bat à se rompre. Elle serre très fort dans ses bras Cloé, avant d'interrompre le baiser. Elle beguée en disant :

-Nous sommes folles Cloé, mais qu'est-ce qui nous arrive !