Un amour vrai 2

Roxanne ouvre avec douceur les jambes d'Élodie, elle tend son bras et du bout des doigts, effleure les grandes lèvres. Élodie sursaute, les doigts glissent sur ses lèvres vaginales qui rapidement se mettent à grossir. Avec adresse, Roxanne sort de son écrin la perle. Elle la saisit entre son pouce et son index et avec tact la branle avec douceur. Élodie souffle comme un bœuf, Roxanne à l'art de faire enfler sa boule de chair qui devient de plus en plus épaisse. Les gémissements rauques d'Élodie, font sourire Roxanne qui accélère, en augmentant et ralentissant le rythme du branlage. Pour Élodie, ce genre de masturbation et
Première pour elle. La coquine malgré son jeune âge sait la faire geindre de plaisir. Le clitoris devient aussi gros qu'une cerise, Roxanne avance sa tête entre les cuisses de son amour, et lui gobe la perle magique. Les succions terribles sur sa boule de chair provoquent chez Élodie de nombreux spasmes, suivit d'une violente jouissance.

Élodie est tendue comme un arc, sa vulve laisse échapper un torrent de cyprine, que son amante avale en faisant un bruit étrange de clapotis. Deux doigts pénètrent le vagin et le fouillent à la recherche d'une seconde jouissance. Élodie défaille, grimace, une moue affreuse déforme son visage. Les doigts agiles commencent un puissant ramonage, d'une main, Roxanne fouille le ventre de son amante, de l'autre, elle lui maltraite le clitoris. Un jet puissant gicle de la chatte martyrisée, le corps d'Élodie se met à trembler fortement, elle a plusieurs orgasmes à la suite. Avant de penser à sa propre jouissance, Roxanne commence à dévorer les mamelons de son amour qui deviennent larges et épais. Tout en lui dévorant les mamelons, Roxanne agite son bassin, sa chatte est noyée. Elle monte sur le canapé et offre à la bouche d'Élodie sa chatte brulante. Bien que le manque d'expérience se fasse sentir, Élodie fouille de sa langue la gaine inondée de cyprine de sa jeune amante, comme elle le peut. Roxanne geint, agite son bassin, elle appuie sur la tête de la suceuse pour lui gicler dans la bouche. Roxanne est haletante, Sous l'influence de Roxanne, Élodie s'allonge sur le canapé, la coquine se place sur elle tête bêche, et c'est mutuellement que les deux amantes se dévorent la chatte, en gémissant comme des bêtes, les deux femmes amoureuses arrivent à jouir plusieurs fois.

Ensuite, Élodie qui prend de l'assurance s'attaque aux seins volumineux de Roxanne, ses doigts s'enfoncent dans la chair tendre, étirent les mamelons, les pressent pour enfin les gober. Les succions terribles d'Élodie font rugir comme un fauve Roxanne qui dit entre deux souffles :

-Oh ma chérie comme c'est bon, tu es digne de devenir une bonne lesbienne !

La torture de seins et vite interrompue, la porte du salon vient de s'ouvrir. C'est Roman, le fils d'Élodie qui fait son apparition. Les deux femmes sursautent, et s'écartent l'une de l'autre, en tentant vainement de cacher leur intimité. Roman est aussi surpris que les deux amantes, il dit en fixant sa maman du regard :


-Maman, moi qui te prenais pour une sainte, je ne t'ai jamais vu avec un homme, là, je te trouve vautrée dans las bras d'une femme !

La maman tente de se justifier, mais elle bafouille, c'est Roxanne qui intervient :

-Eh bien sache que ta maman et moi avons toutes deux, besoins d'amour, je comprends que tu sois surpris, mais c'est la vie !

Roman s'approche du duo, regarde avec attention les corps nus, et s'assied sur le canapé, encore abasourdit par ce qu'il a vu. Sa maman honteuse n'ose pas le regarder, elle à les yeux qui s'humidifient. Roxanne, elle ne quitte pas des yeux l'homme qui doit avoir son âge, lui la dévisage et dit :

-Maman, je dois dire que tu as du gout, elle est très belle ton amante, elle s'appelle comment !

Entre deux déglutitions, Élodie répond :


-Elle s'appelle Roxanne mon chéri !

Roman caresse le dos de Roxanne, elle pas farouche se laisse caresser, lui demande :

-Tu es choqué de voir deux femmes faire l'amour !


Roman répond en béguant :

-C'est la première fois que je vois ça en réalité, c'est très surprenant, surtout lorsque c'est sa maman, l'une des deux !
Mais, je trouve cela très beau, deux corps lissent qui se frottent l'un contre l'autre, des bouches qui voyagent sur les parties sensibles, me font, je dois l'avouer, de l'effet !


Roxanne sourit, la maman, elle reste muette, son souffle est court. Il se lève, se place face à elle, la regarde longuement, et dit :

-C'est la première fois que je te vois nue maman, je dois dire que tu es très belle !

Roxanne réagit en riant :

-Oh, oh le petit cochon en drague sa maman !



Roman hausse les épaules et assoit à côté de sa maman. Il ne cesse de regarder son corps, il, compare les deux anatomies en opinant doucement de la tête. Puis, il demande :


-Elle baise bien maman ?

Élodie sursaute rouge de honte. Roxanne lui répond en souriant :


-C'est une novice, mais elle fait de très gros progrès, elle apprend vite, elle sait où sont les endroits érogènes d'une femme, je suis folle d'elle, elle sait me faire jouir  !

Roman réplique :

-Et avec un homme, elle serait aussi douée ?

Sa maman le regarde en écarquillant les yeux, mais ne peut répondre, elle à la gorge nouée. Roxanne dit :

C'est à elle de le dire, je ne le sais pas, mais si elle le souhaite, moi bien que je sois jalouse, j'aimerais la voir à l'œuvre, mais j'accepte le partage !


Il regarde sa maman, il lui avoue :

- Maman, souvent, je m'imagine que tu es mon amante, que je suis dans ton lit, et que je te fais l'amour comme une bête, tes cris de jouissances retentissent dans ma tête, après un tel délire, que je dois me masturber en m'en faire mal la bite !

Les yeux de sa maman s'emplissent de larmes, elles coulent sur ses joues, du bout des doigts Roman tente de les essuyer, c'est en reniflant fortement que la maman répond :

-Je dois être maudite, elle qui me seduit, puis toi qui me dis des choses incroyables, mais qu'est-ce-que j'ai fait pour mériter tout ça !

Roxanne prend la parole :

-C'est simple à comprendre, il t'aime lui aussi, et toi depuis qu'il est un homme, tu ne penses jamais à lui, aux prouesses qu'il peut être capable de faire à une femme qu'il aime, tu n'y a jamais pensée !

Élodie baise les yeux sans répondre, Roxanne réagit :

-Eh bien, tu ne dis rien, c'est que tu as deja penser à lui et à sa grosse queue, hein avoues !

Élodie très sensible éclate en sanglot, Roxanne la prend dans ses bras et l'embrasse amoureusement, Élodie répond au baiser de son amante en la serrant très fort contre elle. Une fois le baiser terminé, elle dit :

-Aller, avoue, dis-le que tu t'es masturbée en pensant à lui !


Élodie, entre deux sanglots, réplique :

-Mais tu me pousses dans ses bras, c'est immoral, de coucher avec son fils, c'est de l'inceste !

Roxanne dit :

- Inceste ou pas, ce qui compte, c'est l'amour, s'il est sincère pourquoi s'en priver, moi, je t'ai bien fait l'amour, je t'assure que je suis sûr de mes sentiments pour toi, alors franchis le pas, ose l'impensable, faites l'amour ensemble, oh comme j'aimerais voir baiser !


Élodie est abasourdie par les paroles de son amante, elle sait qu'elle à raison, elle souffre dans son coin, son fils dans le sien, sans jamais s'avouer leur amour. Roman passe plusieurs fois deux doigts sur les lèvres de sa maman. Sans comprendre pour quelle raison elle entrouve la bouche, lentement les doigts de son fils s'engagent dans sa bouche, et entreprennent un doux va-et-vient. Roxanne est radieuse, elle ne perd rien de ce qui se passe. Élodie, attrape doucement la main de son fils et commence à sucer les intrus qui voyagent dans sa bouche. Avec un culot monstre, Roxanne saisit la verge qui progressivement grossit dans le pantalon de Roman, et la brande au travers du tissu. Elle la sent se raidir, elle déboucle la ceinture et baisse lentement le pantalon, elle attrape, au passage, le slip et le descend aussi jusqu'aux chevilles. Avec l'adresse de footballeur, Roman repousse ses habits. Sa verge est tendue, sa maman cesse de sucer, retire les doigts de sa bouche et regarde l'engin, que son amante branle énergiquement. Elle regarde Élodie et dit en riant :


-Oh la vache, il en a une bonne le gredin, ouah il, va bien te défoncer ma chérie !