Des grands parents extraordinaire.1

Sara vient d'avoir son bac, ses grands-parents l'invitent à passer quelques jours de vacances. Comme chaque année d'ailleurs. À la gare d'arrivée, les embrassades sont interminables. Les trois sont en larmes tellement ils sont émus de se retrouver. Une fois installée, au mas, comme d'habitude, la petite princesse, comme ils l'appellent, prend rapidement ses aises. Les trois sont très fusionnels, papy Marcel et mamie Josette ne lui cache rien, ils lui parlent de tout, ils la considèrent comme leur proche fille. Souvent Sara ironise sur le sexe, cela fait sourire ses grands-parents. Elle qui n'a que dix-huit ans en parle comme d'une personne qui on connait toutes les finesses. Mamie, lui souffle à l'oreille en souriant :

-Oh ma chérie, on en apprend toujours sur le sexe crois-moi !

Sara hausse les épaules en faisant une petite moue, et réplique, sûr d'elle :

-Mamie, là-dessus, je crois que je n'ai rien à apprendre !

Cela fait déjà quelques jours qu'elle est là, elle occupe ses journées soit, dans la petite piscine du mas, en balade ou aux courses avec ses grands-parents. Très fréquemment, elle les entend gémir la nuit, les deux sont encore vert, et je crois que pour le sexe, il ne faut pas leur en promettre. Cette nuit a été plus agitée que les autres. Le lendemain matin, mamie se lève, elle a les traits tirés, et de gros cernes sous les yeux. papy la suit. Sara sourit et dit :

-Oh, oh mamie, je crois que tu t'es bien fait défoncer cette nuit, comme tu es expressive, je me demande ce que papy t'a fait !

La mamie éclate de rire et répond :

-Oh là, je crie tant que cela ma chérie !


-Oh que oui ! sur-enrichit Sara.

La mamie souriante ajoute :

-Le vilain papy m'a fait mal cette nuit, il m'a enculé à sec, j'ai le cul en compote, il sait qu'il doit être puni pour cela le coquin !

Marcel sourit, il prend ça pour un jeu, et répond :

-Si je ne peux y échapper, alors allons-y que cela soit vite terminé !


Josette a les yeux qui pétillent, elle dit d'un ton ferme :

-À poil, vilain bonhomme, et monte dans la chambre, ne discute pas !

Il regarde sa femme en fronçant les sourcils
et demande :

-À poil devant la petite princesse ?

Eh oui, vieux vilain qui fait mal à sa petite femme aimante, je veux qu'elle assiste à ta punition !

Lentement, Marcel fait tomber un à un ses vêtements. Sara regarde son papy nu, elle à les yeux rivés sur la verge, très bien rasée, qui lui arrive à mi-cuisses. Elle ne peut s'empêcher de dire en sifflant d'admiration :

-Oh putain l'engin, mon copain n'en a pas une comme ça !

Marcel nu se dirige vers la chambre, avant de s'étendre sur le lit, Josette lui demande de mettre un coussin sous ses reins. Josette s'absente un instant, elle revient entièrement nue avec sur le bas-ventre un gode ceinture de bon diamètre, et d'un gode extrêmement veiné dans la main. Sara la regarde longuement, elle est abasourdie, elle se demande quel genre de punition qu'elle va infliger à papy. Elle lui dit d'un ton féroce :

-Allez coquin, prend la pose !

Marcel replis les jambes sur son ventre, il semble à Sara que le papy connait ce genre de traitement. Josette monte sur le lit, s'agenouille en face de son mari, lui crache abondamment sur l'anus et le badigeonnant bien de salive. Deux doigts tournent un moment sur l'œillet brun, avant d'appuyer sur la rondelle souple. Marcel se cabre légèrement, les deux intrus s'enfoncent dans son rectum avec lenteur. La mamie sait comment dilater l'anus, ses doigts font de nombreuses demi-rotations, gauche, droit, dans le conduit qui ne doit pas être à sa première exploration. Plus la mamie fouille le cul de papy, plus papy bande. La vicieuse mamie retire ses doigts du cul et les offre à la bouche de Marcel, qui suce avec avidité, les doigts un peu noueux de Josette. Enfin, elle retire ses doigts, saisit d'une main la verge raide qui est tendue vers le plafond. Elle la décalotte et tient le gland avec trois doigts, de sa main libre, elle donne de fortes tapes sur les couilles de Marcel qui rugit comme un fauve. Sara regarde, bouche bée, la queue gigantesque de son papy que sa mamie maltraite.


Josette saisit fermement la bite, et commence un branlage monstrueux. Marcel gémit, il agite son bassin en serrant les dents. Mamie insiste, le branlage devient violent, papy se cabre en poussant un long râle, il envoie plusieurs giclées de sperme dans les airs, qui retombent sur la main de mamie et le ventre de papy. Sara mouille comme une fontaine, sa culotte est trempée. Josette la regarde et lui dit :

-Tu as vu ma chérie comme papy décharge fort, je vais lui nettoyer la bite à ce vieux cochon !

Elle ouvre la bouche et aspire le gland, elle suce, tète, l'engin comme une affamée, sa langue monte sur la hampe extra-large. Pour faire disparaitre le liquide visqueux qui la recouvre. Les yeux de Josette luisent, elle regarde sa petite fille et dit :

-Mon Dieu ce qu'elle est bonne sa queue, j'en raffole, ma chérie, viens la branler un peu pendant que je m'occupe de son cul !

Timidement, Sara tend la main vers le manche, qui est doté de grosses veines apparentes. Ses, n'en font pas le tour, tellement la verge et épaisse. Sara commence du mieux qu'elle peut le branlage. Josette place le gode contre l'anneau entrouvert et pousse fortement, Marcel pousse un râle terrible, l'engin disparait de moitié dans son fondement. Sans lâcher la bite de papy, Sara regarde l'engin que sa mamie fait voyager dans le cul de son papy. Le bougre semble aimer ça, car il geint en fermant les yeux. À chaque enfoncement du gode dans ses entrailles, la bite de papy sursaute, elle est dure comme du béton. Soudain le vieux Marcel se cabre et gicle. Josette dit :

-Ma chérie, nettoie lui la bite comme je l'ai fait tout à l'heure, vas-y, il adore ça ton cochon de papy !

Les doigts de Sara sont englués, elle penche la tête et ouvre la bouche. Elle se deboite presque la mâchoire pour pouvoir sucer le gland. Elle s'évertue à faire du mieux possible, pour satisfaire son papy adoré. Une fois que sa bouche a aspiré tout ce qui s'échappe du mandrin, sa langue entre en action comme l'a fait sa mamie. Marcel est aux anges, la langue agile de sa petite fille monte et descend sur sa hampe à cadence régulière. Josette retire le gode du cul de papy et le remplace par le gode ceinture. Elle s'agrippe à ses hanches et le pilonne comme une sauvage. Tout en tenant la verge de son papy, Sara regarde le gode que sa mamie fait entrer et ressortir du cul de papy avec un rythme effréné. Sa chatte est en feu, Josette se doute que sa petite fille mouille, elle lui dit en souriant :

-Retire ta jupette et ta culotte et empale-toi sur la bite de papy, je vois que tu bout d'envie, vas-y, fais-toi plaisir, ma chérie !

Sara hésite, mais de voir la bite tendue de grand-père, et l'état d'excitation qu'elle est, le choix est vite fait.

Elle retire sa jupe, et sa culotte humide, mamie cesse de pilonner papy, elle attend Sara. La jeunette enjambe son papy, elle saisit la verge tendue et la place contre sa chatte en feu. Elle descend lentement, les grandes lèvres s'écartent, le gland volumineux
s'engage très doucement dans son conduit qui semble bien étroit pour un tel engin. Sara grimace, elle dit en grognant :

-oh mamie, jamais ça n'entrera, elle est bien trop grosse, la bite à papy !

Il n'y a que peu de centimètre dans son conduit. Josette se retire du cul de son mari, elle se met debout et appuie de toutes ses forces sur les épaules de Sara. La bite monstrueuse s'enfonce jusqu'aux couilles sous la puissante pesée de mamie. Sara a la bouche grande ouverte, aucun son n'en sort, ses yeux sont révulsés. Elle s'accroche au torse de son papy, en grimaçant, lui, saisit la taille, il rugit :

-Oh putain ce que tu es étroite ma petite princesse, oh que c'est bon ma chérie !

Sara, distendue comme jamais, tente de faire l'ascenseur, petit à petit son corps monte et descend sur la boite de papy qui grogne de bonheur. Plus le temps passe, plus cela semble facile à Sara. Josette replante son gode dans le cul de son mari et commence à le défoncer comme une malade. À chaque coup de reins que donne mamie, papy sursaute, cela provoque une pénétration plus profonde dans le ventre de Sara. Qui commence à s'habituer au calibre de la bite de son grand-père. Le rythme augmente, les râles de Sara aussi. Maintenant, elle s'agite sur la queue comme une forcenée, sa chatte dilatée est en fusion. Elle grogne de plaisir, à chaque fois qu'elle remonte son corps, papy tire sur sa taille pour la re-empaler à fond. Sa prostate, très sollicitée par mamie, le fait geindre comme une bête malade, il se cabre en tirant fortement sur la taille de sa petite fille, il lui remplit le ventre d'une quantité exceptionnelle de sperme. Elle grogne puis explose à son tour. Elle est au bord de la syncope.