Elle retrouve son amour d'enfance 2

Malgré tous ses efforts, Georges ne peut dissimuler son érection. Sa femme le regarde en souriant et dit avec une pointe d'humour :

-Eh bien mon pauvre chéri, on peut dire qu'Isabelle sait manier la canne !


Isabelle sursaute et éclate de rire, quant, à Joël, il est plié en deux. Georges serre les dents et, instinctivement, pose sa main sur la grosseur qui déforme son pantalon. Myriam en lui adressant un large sourire dit :

-Eh oui, tu bandes comme un poney mon salaud, je crois que tu aurais bien retroussé Isabelle hein mon cochon avoue !


Georges, gêné, hausse les épaules et répond :

-Eh ben oui, je ne le nie pas !


Une fois à table, Georges serre encore un verre d'apéro, et trinque avec Isabelle qui, encore sous l'influence de L'alcool, dit avec un sourire en regardant le bas-ventre de Georges :

-À la tienne, mon bel étalon fougueux !

Joël et Myriam, se regardent en hochant la tête et en se pinçant les lèvres pour ne pas éclater de rire. Pendant le repas, Georges Le bougre est remonté à bloc. Il drague ouvertement Isabelle, qui trouve cela agréable, car elle lui fait les yeux doux. À chaque occasion, il lui embrasse les mains, et va jusqu'à lui sucer les doigts un à un.
Myriam, elle, ne voit que son amour d'enfance, le coquin lui fait des clins d'œil provocateurs, lui envoie des petits baisers discrets. Isabelle et Georges ne cessent de boire, ils se font des déclarations d'amour sans se soucier de leur moitié. Cela semble arranger Joël et Myriam, qui sortent de la maison et vont s'étendre dans la pelouse.


La chaleur est pesante, les corps sont moites, même en maillot de bain, Myriam a très chaud. Joël, ne se complique pas la vie, il se met en slip et torse nu pour souffrir moins de la chaleur. Le ciel est sans nuages, la lune projette une lumière tamisée sur les corps étendus sur l'herbe.
Joël murmure des mots tendre à Myriam, qui charmée, fond bonheur. Les deux se remémorent leur premier baiser, ils se plaquent l'un contre l'autre, Joël passe sa main sur le corps moite de son ancien amour. Ses sentiments renaissent peu à peu.


Myriam est sur le dos, elle écoute les paroles charmeuses de Joël, en soupirant profondément. La main de Joël glisse avec douceur sur sa peau laiteuse, en faisant de petits cercles. Ses doigts font le tour de ses seins en les frôlant, sans les toucher. La main descend sur le torse en le caressant délicatement. Myriam frémit, elle saisit la main de Joël, la presse plusieurs fois en murmurant :

- Tu vois, je ne sais pas pourquoi, mais Georges peut coucher avec Isabelle, cela m'est égal, je suis si bien près de toi, je suis si heureuse, que le monde peut s'écrouler !



Joël se redresse et se penche sur elle, et lie ses lèvres aux siennes. Myriam ne refuse pas le baiser, au contraire, elle passe ses bras autour du cou de Joël. Les langues se nouent pour un long baiser d'amour. Avec patience et habileté, Joël arrive à mettre nu Myriam. Sa bouche caresse et embrasse chaque parcelle de peau. La femme convoitée frémit de plaisir sous la bouche qui explore son corps. Les lèvres se font plus audacieuses, elles remontent sur les lobs mammaires et s'emparent d'un mamelon. La succion fait cabrer Myriam, qui geint à chacune des aspirations. Les bouts, très sollicités par la bouche vorace, deviennent larges et épais, Myriam souffle comme un dragon en prononçant plusieurs fois le nom de Joël.

Une main descend vers l'entrejambe, et passe plusieurs fois sur le fruit trop mûr qui relâche son jus. Lorsque les doigts s'agrippent à son clito, Myriam pousse un gémissement en se cambrant fortement. Les doigts experts et agiles, agitent la boule de chair, en la pressant de temps en temps. Ce traitement spécial fait rugir Myriam, elle agite son bassin en s'accrochant à Joël. Enfin la bouche affamée, arrive sur le ventre plat de la femme soumise. La langue taquine un court instant le nombril, avant de se poser sur le fruit juteux. Quelques lèches bien contrôlées entre les grandes lèvres humides, font grincer les dents de Myriam.


Joël, en bon amant, s'évertue à faire délirer l'amour de son enfance. La vulve n'est qu'un Ru de campagne intarissable, la bouche avide avale le nectar, sans rechigner. Myriam défaille, elle respire rapidement, son souffle est court. Une première jouissance la fait cabrer comme un cheval qui rue. Joël dévore la boule de chair qui ne cesse de grossir. Une seconde jouissance fait hurler Myriam. Son amant se redresse, regarde les lèvres et le clito gonflés au maximum, il sourit, et rapidement retire son slip. Sa verge se détend comme un ressort, en s'échappant du carcan de tissu qui l'emprisonné. Il l'exhibe fièrement devant Myriam.



Myriam regarde le manche que les rayons lunaires éclaires, elle se redresse, attrape la verge bien raide, qu'elle sent battre dans sa main. Elle commence un branlage habile qui fait geindre le mâle en rut. Joël pose sa main sur ma sienne. Myriam comprend le signal, elle cesse d'agiter le membre vivant, le décalotte et gobe le gland. Les succions avides font geindre Joël, comme une bête malade. Il ne faut pas attendre longtemps pour que Myriam soit récompensée, une puissante giclée de sperme lui remplit la bouche. Elle recrache le gland, et se pince les lèvres, elle ne sait si elle doit avaler ou recracher la semence visqueuse.

Rapidement, sa décision est prise. Elle avale, en déglutissant bruyamment, sans quitter des yeux son amant, qui semble ravi de voir son amour avaler ce qu'il lui a offert.