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En famille

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Lue : 0 fois - Commentaire(s) : 0 - Histoire postée le 19/12/2025

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Le visage déformé par un rictus affreux, Julia vient de jouir sous les assauts de son père. Cette femme d'une trentaine d'années, très portée sur le sexe, adore l'acte avec Bruno son père. Comme un rituel, après chaque acte, elle lui décalotte le gland et lui suce jusqu'à ce qu'il lui déverse dans la bouche son sperme. Il faut dire que la coquine est friande de ce nectar.

Son mari Lucien est au courant des écarts incestueux de sa femme, mais cela ne le tracasse pas plus que cela. Du moment que, lorsqu'il en a envie d'elle, elle ne se refuse pas à lui, il accepte cette situation immorale.

Lucien très souvent, lorsqu'il couche avec sa femme, pose des questions. Il lui demande des détails sur les ébats qu'elle a avec son père. Elle est fière de son infidélité, lui dit tout. La narration de Julia produit son effet, Lucien, il bande comme un cerf. Puis comme à chaque fois, il lui fait l'amour comme une bête. Mais un soir pendant l'ébat, il demande :

— Et Lucette, elle se joint jamais à vous ?

Julia sursaute et répond en écarquillant les yeux :

— Mais tu es fou, maman, elle est si prude, qu'il ne faut surtout pas qu'elle le sache, je me demande comment elle le prendrait, tu en as de drôles d'idées toi !

En soupirant fortement Lucien réplique :

-Putain elle a un sacré cul ta mère, elle doit être vachement bonne !

Julia se redresse et en fronçant les sourcils répond :

-Mais il dévergonderait maman le salaud, tu n'as pas honte !

En se raclant la gorge, il dit en haussant les épaules :

-J'ai le droit de rêver tout de même, ce n'est pas interdit. D'ailleurs toi tu baises bien avec ton père !

En faisant un large sourire, Julia répond :

-Oui mais moi je baisais avec lui, avant de te connaitre, depuis je ne peux plus me passer de sa bonne queue , saute-moi au lieu de dire des conneries !


Lucien se rue entre les cuisses de sa femme, et lui plante sa bite jusqu'aux couilles dans le ventre. Il la défonce sauvagement comme pour la punir de ses paroles.
Les gémissements que pousse Julia prouvent qu'elle prend son pied. Le bougre s'acharne sur elle en marmonnant :

— Tu aimes la queue, je vais t'en donner moi de la queue et de la grosse, si tu acceptes, je te présente de beaux mâles bien montés !

En gémissant sous les coups de boutoir féroces, Julia répond :
— Oui, oui mon chéri, donne-moi de la queue !

Lucien cesse de pilonner sa femme et dit :
— Oui mais avant de t'offrir d'autres bites, il y a une condition !

En agitant son bassin et en grognant faiblement, elle répond :
— Quelle est la condition, mon chéri !

En prenant une grande inspiration, Lucien répond :
— Ta mère me fait bander, je veux la sauter, mais avant je veux que tu la baises !

Julia sursaute
— Mais comment veux-tu que je fasse pour qu'elle accepte de baiser avec moi !

En haussant les épaules, son mari lui indique la marche à suivre :
— Tu te mets d'accord avec ton père, et une fois qu'il l'a bien chauffée, et qu'elle est chaude comme de la braise, tu te glisses dans leur lit !

En se pinçant les lèvres, Julia répond :
— Je vais faire mon possible mon chéri !

La défonce reprend de plus belle, les deux amants excités se lâchent totalement, les jouissances sont fabuleuses et nombreuses. Comme convenu, Julia en parle à son papa. L'idée l'excite, il lui répond en souriant :

— Ce soir ma chérie, je vais laisser la porte entrouverte de ma chambre, pendant que je chaufferai ta maman, tu viendras te faufiler nue dans notre lit, et là arrivera ce qui arrivera !

Le soir elle entend des gémissements qui proviennent de la chambre de ses parents, elle se dit que c'est le moment. Elle s'avance doucement, pousse doucement la porte. La lampe de chevet est allumée. Bruno, accroché à sa femme lui laboure la chatte à grands coups de reins. Lucette pousse des gémissements terribles, en agitant son bassin.

Julia tente le tout pour le tout, elle ouvre les draps et entre dans le lit rapidement. Elle plaque son corps nu contre celui de sa maman. Lucette brûlante de fièvre ne cesse de gémir de plaisir sous les coups de bélier de son mari. Elle ne réagit pas, elle subit les assauts de son mari en grognant comme une bête. Julia commence à lui caresser les seins, à étirer les mamelons. Lucette prend conscience qu'une troisième personne est dans le lit, elle sursaute en voyant sa fille. Son mari, lui, tire sur ses hanches pour bien l'empaler. Le coup de reins violent la fait gémir encore plus fort. Elle marmonne :

— Bruno, Bruno, arrête, nous ne sommes pas seuls, arrête je t'en prie !

Julia repousse les draps, et se redresse. Elle admire le corps nu de sa maman qui commence à trembler. Toujours embrochée sur la queue de son mari, elle bègue :

— Bruno, cesse, Julia est dans notre lit, j'ai honte, retire-toi, mon Dieu, Bruno, non, non, arrête !

Elle tente de le repousser, mais le bougre la maintient fermement en lui assénant des coups de boutoir terribles. Il dit entre deux coups de reins :

Laisse-toi faire ma chérie, jouis, jouis. Julia va prendre cher elle aussi, tu vas voir comme elle aime la queue de son papa !

Lucette, avec des trémolos dans la voix, dit :
— Tu couches avec notre fille Bruno ?

Tout en la défonçant avec force, il répond :
— Oui, elle est comme toi, elle aime la queue !

Tu es un salaud, mon Dieu, je vais jouir, Bruno, Bruno !

En se cabrant comme un cheval fougueux, Lucette explose, sa jouissance est intense. Son amant ralentit la cadence, elle déclare entre deux souffles :

— J'ai honte de le donner en spectacle devant ma fille, retire-toi Bruno !

Le bougre ne l'écoute pas, au contraire, il reprend le pilonnage avec plus de vigueur. Lucette en position latérale n'a pas d'autre choix que de subir les assauts de son mari. Julia se plaque contre les fesses de sa maman et lui saisit les seins, elle les malaxe, joue avec les mamelons qui deviennent énormes. Elle descend sa main sur le corps fébrile et caresse le ventre qui reçoit avec force la queue du papa. Lucette gémit, elle ne sait que faire, embrochée sur le pal de son mari, elle oppose de moins en moins de résistance. La main agile de sa fille lui saisit le clito et l'agite en le pressant de plus en plus fort. Même en grimaçant, Lucette gémit de plaisir. Une seconde jouissance la fait cabrer, elle dit faiblement :

— Oh mon Bruno, tu fais de moi une dépravée, et toi Julia tu es un monstre, cesse de me branler, je vais jouir encore une fois, oh ça vient, ça vient ouiiiiiiiiiiii !

Lucette se cambre comme un pont, avant de retomber lourdement sur le lit. Bruno retire sa verge du ventre de sa femme et l'offre à la bouche vorace de sa fille, qui se jette dessus comme une affamée. Elle suce et tète comme une dératée la bite paternelle, sous les yeux de la maman abasourdit. Lucette n'en croit pas ses yeux, son cœur bat à se rompre dans sa poitrine, ses mains tremblent. Son mari se raidit et envoie en grognant comme un animal son sperme dans la bouche de sa fille, qui se redresse rapidement. Elle prend sa maman par le cou et pose ses lèvres sur les siennes. Lucette a un geste de recule, c'est en voulant dire quelque chose que sa fille lui déverse dans la bouche une partie du sperme que lui à si généreusement offert son père. Surprise, elle repousse sa fille, et en se pinçant les lèvres la regarde intensément. Julia avale la semence visqueuse sans quitter des yeux sa maman.

Lucette ne sait que faire, doit-elle cracher le sperme ou l'avaler. Elle choisit la deuxième option. Honteusement elle avale le jus épais que sa fille a partagé avec elle. Julia dépose un petit baiser bruyant sur ses lèvres comme pour la complimenter. Elle commence à lui lécher les seins, gobe à tour de rôle les mamelons épais et les suce comme quand elle était enfant. Lucette souffle comme un dragon, sa respiration s'accélère. Sans force, elle ne repousse pas sa fille, mais gémit faiblement. Les bouts plantés au centre des aréoles brunes deviennent monstrueux. Julia les maltraite, les fait encore grossir. Sa bouche descend sur le torse, atteint le ventre, elle donne quelques coups de langue sur le nombril et arrive lentement à l'entrejambe. Lucette se tend comme un arc, lorsque la bouche vorace de sa fille se pose sur sa vulve dégoulinante.



La langue agile lèche la vulve en feu puis s'insère entre les grandes lèvres. Elle monte jusqu'à ce qu'elle trouve la perle magique. Elle la taquine en arrachant à Lucette des gémissements qu'elle tente d'étouffer en se mordant la main. Bruno regarde émerveillé le couple. Bien qu'il y soit pour quelque chose, jamais il n'aurait imaginé que sa femme serait capable de faire l'amour avec sa fille. Sa verge redevient opérationnelle, en serrant les dents, il la presse plusieurs fois pour atténuer l'afflux de sang qui gonfle la hampe.

Sa femme grogne comme une bête tombée dans un piège, la langue de sa fille vient de s'enfoncer profondément dans son vagin et le fouille férocement. Lucette croit que sa fin de vie est proche, elle gémit comme un animal agonisant. Une violente décharge électrique lui traverse le ventre, une jouissance monstrueuse la fait cabrer. Elle reste cambrée en gémissant terriblement. Julia lui gobe le clito et lui tète si fort que sa maman grimace. Une nouvelle jouissance la fait hurler, Bruno sursaute, il est surpris par le cri que pousse sa femme. Elle retombe sur le lit en haletant.

Son mari lui dit :

— Oh la vache, Lucette, comme tu jouis, c'est extraordinaire tu n'as jamais joui avec moi comme ça !

Honteusement, elle baisse la tête sans répondre. Julia l'enlace et l'embrasse fougueusement, sa langue tourne de gauche à droite dans la bouche de sa maman, et déverse un flot de salive. Les langues s'agitent, se nouent, le baiser est interminable. Lucette n'a jamais été embrassée de la sorte. Elle vient de découvrir une nouvelle façon d'embrasser, et cela ne semble pas lui déplaire. Sans s'en rendre compte, elle serre sa fille très fort dans ses bras, qui lui déverse une seconde fois un flot de salive dans la bouche. Enfin le baiser cesse, Lucette honteuse dit :

— Mon Dieu, ce que vous me faites faire est monstrueux, j'ai honte de moi, vous m'avez tendu un piège, vous êtes des monstres !

Son mari lui répond en faisant un petit sourire :

— Oui tu as raison ma chérie, nous sommes des monstres, je vais tout te dire. Figure-toi que notre gendre veut te sauter, mais avant il a demandé à Julia qu'elle te fasse l'amour, car en échange, il lui a promis de nombreuses queues !

Lucette se redresse et, en écarquillant les yeux, répond : :
— Quoi, c'est Lucien qui a monté ce complot, il veut coucher avec moi, et toi comme de bien entendu tu es d'accord ?

Avec un petit sourire vicieux, Bruno répond :
— L'idée est excitante, j'aimerais te voir te faire déglinguer par un autre !

En se pinçant fortement les lèvres, elle dit avec un ton rageur :
— Il est où ce salaud !

Julia, en haussant les épaules, lui répond :
— Il est dans la chambre à côté, tu le sais bien maman !

Soudain sur le pas de la porte apparait Lucien, entièrement nu, sa bite en érection plantée sur son bas-ventre semble menaçante. Lucette écarquille les yeux au maximum, elle n'arrive pas à dire un mot, mais ne quitte pas des yeux le manche de chair provocant. Elle ravale sa salive, elle veut cacher son corps avec les draps, mais son mari l'en empêche. Il dit tendrement : — Regarde la belle queue de ton gendre, elle ne demande que de pénétrer ton corps !

Lorsque Lucien s'approche de la couche, Lucette semble être prise de panique, son corps se met trembler. Lucien est si près du lit que sa verge frôle le visage de sa belle-mère, qui ne la quitte pas des yeux. Apeurée, elle tourne ma tête vers son mari, qui lui dit :

— Là dans ta main ma chérie, ferme les yeux et suce-la, je sais que tu en as envie, ne te prive pas de ce bel instrument, vas-y, vas-y !

Dans la chambre c'est le silence complet.
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Histoire de valeriane

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