Nicolas

Isabelle et Cloé vivent ensemble depuis de nombreuses années. Cloé, avant de se mettre en couple avec Isabelle, avait connu un homme. De cette union est née Valériane. L'homme qui n'a pas assumé sa paternité s'est enfui, abandonnant Cloé et son enfant. Nicolas, le père de Cloé, s'est beaucoup occupé de sa fille et de son enfant. Ils étaient si fusionnels qu'un jour, ils dérapent, Nicolas a couché avec Cloé et cela a duré jusqu'à ce qu'elle rencontre Isabelle.

Isabelle est au courant de cette relation incestueuse, mais ne fait aucun reproche à son amour. Très souvent, les trois vont rendre visite à Nicolas qui est heureux de les recevoir. Valériane est maintenant majeure, le temps où son grand-père la faisait sauter sur ses genoux est révolu. Il ne l'a pas vu grandir. Ses formes prouvent que désormais, c'est une femme.
Pour les 20 ans de Valériane, il les invite.

Bon cuisinier, Nicolas a préparé un bon repas, l'apéro est abondant, les esprits rapidement s'échauffent, tous sont euphoriques. Nicolas a les mains baladeuses, quelques fois le coquin caresse la croupe de sa fille devant Isabelle, Nicolas dit :

— Où est le temps où nous nous éclations, ma chérie, tes gémissements me manquent, fréquemment, je pense à toi et je me masturbe à mort en t'imaginant dans les bras d'Isabelle en train de vous brouter. Valériane sursaute et dit en fronçant les sourcils :

— Oh papy, tu te branles en pensant à ta fille et à Isabelle ?


En se pinçant les lèvres, Nicolas répond :


— Eh oui ma chérie, et rien que d'y penser, je bande, regarde !

En effet une bosse énorme déforme le pantalon du grand-père. En salivant, Valériane dit :

— Elle doit être vachement grosse vu la taille de la bosse !

Sans se formaliser, Nicolas, l'alcool aidant, ouvre sa braguette et extirpe sa verge. Les yeux des trois femmes restent figés sur l'engin qui fait réagir encore Valériane :

— Ouah, elle est beaucoup plus grosse que celle de mon copain, et c'est avec cet engin que tu sautais ta fille ?

Il répond sans complexe :

— Eh bien oui, c'est avec ça que je la sautais ta maman chérie, et je dois dire qu'elle aimait ça la coquine, tu peux lui demander !

Valériane regarde sa maman et demande :

— C'est vrai ce que raconte papy, tu aimais sa grosse queue ?

Cloé honte, et en baissant la tête répond :

— Je ne peux le nier, oui j'ai terriblement joui avec la queue de mon père, mais depuis que je connais Isabelle c'est elle qui me fait grimper aux rideaux !

Valériane n'en croit pas ses oreilles et, en bégayant, dit :

— Consciente de cet acte incestueux, tu jouissais quand même ?

Toujours en baissant les yeux, Cloé répond :

— Oui, je jouissais fortement, et je dois dire que cette situation immorale m'excitait !

Valériane regarde la verge de son grand-père et, en poussant un grand soupir, demande :

— Papy est un bon amant ?

Dans la foulée, Cloé répond :

— Parmi le peu d'hommes avec lesquels j'ai fait l'amour, je dois avouer que c'était le meilleur !


Isabelle n'a toujours rien dit, elle regarde la verge que Nicolas ne cesse de caresser. Elle saisit son verre et l'avale d'un trait, Cloé fait de même. Valériane s'approche de son papy et pose sa main sur la sienne, elle l'accompagne dans ses mouvements. Nicolas, retire lentement sa main et laisse sa petite fille agir à sa place. Valériane regarde le gland qu'elle décalotte à chaque descente de son poignet, elle semble fascinée par l'épaisseur du chapeau. Elle accélère le branlage, serre les dents en augmentant encore la cadence. Quelques perles visqueuses s'échappent du méat ouvert. Cloé connait bien la verge que sa fille agite, elle l'encourage :

— Frotte avec la paume de ta main le gland, papy aime ça !

Valériane décalotte à fond le gland et, comme le lui a conseillé sa maman, elle frotte le gland, en appuyant dessus. Nicolas pousse des glissements en agitant son bassin. Soudain il grimace, grogne comme un animal, et envoie par une puissante giclée son sperme, qui retombe sur son pantalon et sur les doigts de sa petite fille. Valériane cesse de branler, regarde ses doigts englués et dit :

— Oh ma vache, quelle giclée !

Sans se poser de question, la coquine se lèche un à un les doigts pour les nettoyer de la souillure visqueuse. Sa maman la regarde en salivant, Isabelle est toujours muette. Cloé a les yeux qui lancent des flammes, elle saisit la verge de son père, et contre toute attente, dit :

-Isabelle ma chérie, je te demande pardon, mais c'est plus fort que moi !

Elle gobe le gland paternel et le suce comme une affamée, sous les yeux envieux de sa fille qui se lèche les babines comme un chien. En suçant, Cloé pousse des gémissements étouffés, le bruit des succions prouve que la coquine se régale. Nicolas vient de retrouver sa fille amante. Il gémit à chaque aspiration, sur son gland. Il agite son bassin en marmonnant :

— Je vais jouir, je vais jouir, continue ma chérie, c'est trop bon !

Cloé se redresse en délaissant le gland, elle regarde Isabelle et l'invite à prendre le relai. Après un instant d'hésitation, Isabelle elle s'avance et enfourne le gland violacé dans sa bouche. Elle le tète avec force. Nicolas croit rêver, il souffle comme un dragon. Maintenant Isabelle doit laisser la place à Valériane qui s'acharne sur le gland comme un rapace sur sa proie. Sa maman l'interrompt et reprend en bouche la verge qui est agitée par de nombreux soubresauts. Elle avale les gouttelettes suaves que le gland libère. Nicolas se cabre, Valériane se rue et repousse sa maman, elle gobe rapidement le monstre qui gicle instantanément dans sa bouche. Elle le suce quelques secondes, le manche de chair, puis se redresse fière d'elle, regarde sa maman, et comme une provocation, avale le sperme.
En s'essuyant les lèvres d'un revers de la main, elle dit :

— Papy, ton sperme est trop bon, hum, je me suis régalée !

Cloé dit à sa compagne:

— Fais toi plaisir ma chérie, fais-le encore, le cracher !

Isabelle attrape le membre, elle sent battre le sang dans les veines apparentes, elle agite un instant le manche gluant. Elle le décalotte et donne de nombreux coups de langue dessus, elle le gobe et le suce à s'en faire péter les mâchoires. Valériane, se penche et aspire une à une les couilles, elle la suce en faisant gémir son grand-père. Cloé dit en souriant

— Suce la bien, ma chérie, tu vas la prendre aussi dans le ventre, sa bonne queue de mon père!

Valériane réagit :

— Moi aussi je veux la bite de papy dans mon ventre, dépêche-toi Isabelle, je n'en peux plus, ma chatte est un ruisseau, en s'agitant Valériane se met nue. Depuis le temps qu'Isabelle n'a pas sucé de queue, elle s'acharne sur celle de Nicolas qui gémit terriblement. Isabelle reçoit sa récompense, un flot de liquide blanchâtre lui remplit la bouche, la gourmande s'empresse de l'avaler.
Isabelle, satisfaite de son exploit, se redresse. La verge épaisse est secouée de spasmes violents. Valériane enjambe son grand-père et s'empale sur le manche gluant. Elle s'accroche au cou de Nicolas et s'agite comme une forcenée en marmonnant :

— Ouah comme elle me remplit bien ta queue papy, je comprends pourquoi maman l'aime tant !

Nicolas, en grognant répond :

— Ma chérie, tu es encore plus étroite que ta maman lorsque j'ai défoncé pour la première fois. Oh que c'est bon une chatte bien serrée, oui agite-toi bien !

Le bassin de Valériane ondule sur la queue puissante de son grand-père qui grince des dents en s'accrochant à sa petite-fille. Excitées par le spectacle, Cloé et Isabelle se livrent à des attouchements, et finissent par se retrouver nues. Elles se dévorent la chatte en gémissant comme des bêtes blessées. Pendant que Valériane sur sa monture cherche désespérément sa jouissance, elle grimace, pousse des gémissements terribles à chaque fois que son corps retombe sur les couilles du grand-père hyper excité. À chaque descente du corps de Valériane, Nicolas donne un grand coup de reins pour bien empaler sa petite fille, qui grogne à chaque coup de boutoir. Dans la pièce, ce ne sont que gémissements et râles. Les deux femmes sur le sol jouissent plusieurs fois avant de se relever.

Elles regardent le couple emboité, elles sont étonnées par la souplesse de Valériane qui s'agite sur la queue de son grand-père. La coquine pousse un hurlement, une jouissance terrible lui secoue les entrailles. Nicolas se raidit et remplit le ventre de Valériane en poussant un rugissement de fauve. Après un moment de repos pour recharger les batteries, les couples se reforment. C'est Isabelle qui reçoit les assauts de Nicolas. Elle grimace pour des gémissements incontrôlables. Depuis le temps qu'elle n'a pas reçu de queue dans le ventre, là, la coquine se rattrape. Nicolas ne la ménage pas. Il ne contrôle plus son langage, comme pris de jalousie, il délire :

— Tu aimes ça, grosse salope, avoue que ma queue te fait plus de bien que la bouche ou les doigts de ma fille, dis-le, sale pute, après t'avoir bien bourré la chatte, je vais te prendre par le cul et là je te garantis que tu vas en redemander, grosse pouffiasse, putain ce que tu es bonne, grosse salope, je comprends ma fille qui ne pense qu'à te bouffer la chatte !

Il se raidit et envoie dans le ventre d'Isabelle sa semence, il se retire immédiatement et lui enfonce brutalement sa bite dans le cul. Il marmonne :

— Putain ce que tu es étroite du cul ma salope, oh comme c'est bon !

Isabelle gémit terriblement, une jouissance anale la fait hurler. Nicolas la défonce comme pour la punir de lui avoir pris sa fille. Ses coups de reins sont violents et profonds, à chaque pénétration Isabelle pousse un râle d'agonisante, une seconde jouissance la fait hurler. Enfin son amant lui envoie dans les intestins son sperme brûlant. Cloé subit aussi les assaut de son père.