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En famolle suite

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Lue : 0 fois - Commentaire(s) : 0 - Histoire postée le 19/12/2025

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Lucette, en déglutissant bruyamment, approche sa main tremblante du membre tendu. Ses doigts l'enserrent, c'est en poussant un gros soupir qu'elle commence à agiter la verge dure comme du bois. Elle ne quitte pas des yeux le gland qu'elle décalotte à chaque mouvement de son poignet.

Bruno et sa fille ne manquent pas une image. Brutalement les doigts du papa incestueux s'enfoncent profondément dans la chatte de sa fille, qui se cabre en poussant un gémissement. Il fouille le conduit qui ne peut contenir sa cyprine. Il dit tendrement :

— Tu mouilles bien ma chérie, papa va te prendre comme tu le mérites. Oh regarde ta maman suce la queue de ton mari, enfin elle se lâche, j'espère qu'elle deviendra une bonne salope comme toi ma chérie. Viens sur la queue, j'ai envie de te défoncer !

Julia répond :

— Attends un peu papa, je veux voir ma suite !

Lucette semble avoir oublié son mari et sa fille. Elle tète la verge de son gendre en prenant de plus en plus d'assurance, les succions sur le gland sont bruyantes. Elle semble être dans un autre monde, elle dit faiblement entre deux succions:

— Donne-moi tout, Lucien, ne garde rien en toi, donne, donne-moi ta semence, je la veux !


Bruno, donne un coup de coude à sa fille et lui dit :

— Oh la vache, regarde Julia, la gourmande réclame le sperme de ton mari, alors là je crois rêver, elle qui a des hauts le cœur lorsqu'elle me suce la bite, là elle en redemande la salope !


Lucette reprend la fellation avec plus de hargne, la tension monte d'un cran. D'une main elle triture les bourses bien pleines, Lucien est aux anges. Il exerce une pression sur la tête de Lucette, afin qu'elle absorbe l'intégralité de sa queue.


Il commence à lui baiser la bouche avec force. Un filet de bave s'échappe à la commissure de ses lèvres, ses yeux exorbités sont pleins de larmes, elle manque même de vomir, mais supporte avec courage la gorge profonde. Son mari n'en revient pas, excité comme jamais, il dit à sa fille qui est en admiration devant sa maman et son amant :

— Ma chérie, viens sur moi, je n'en peux plus, je vais exploser !

Julia enjambe son amant et s'empale sur sa queue dressée, elle s'agite comme une forcenée en gémissant de plaisir. Son papa la tient par les hanches et à chaque descente de son corps donne un violent coup de reins. La défonce est totale, Julia pâme de bonheur, elle est au bord de l'explosion. Lucien impose à sa belle-mère sa première gorge profonde, elle va s'en souvenir longtemps. À chaque fois qu'il tire sur les cheveux de Lucette, sa queue s'enfonce jusqu'aux couilles dans la bouche baveuse.


Lucien grimace, se bloque et envoie dans la bouche de sa belle-mère son sperme brûlant. Elle le repousse brusquement, du sperme s'échappe de sa bouche, elle fait une moue puis
avale par petite gorgées la liqueur épaisse, sans cesser de regarder la verge qui est secouée de nombreux spasmes. Bruno cesse de pilonner sa fille et dit :

— Oh la vache, elle a tout avalé, je n'en reviens pas !

Julia le reprend :

— Baise-Moi, baise-moi, ne parle pas tant, papa !

Bruno reprend le pilonnage avec plus de rage sans quitter des yeux sa femme, qu'il ne reconnait plus. Julia gémit de plus en plus fort en agitant son bassin comme une danseuse orientale, puis, dents serrées, se cambre en poussant un grognement bestial. Sa jouissance est forte, elle s'accroche au cou de son père et reprend les ondulations de son corps, elle s'agite sur la queue de son père en gémissant comme une bête blessée. Bruno lui assène des coups de reins terribles, en poussant des cris de bûcheron.

Lucette, qui est très prude à l'origine, se débloque totalement. Elle reprend en bouche la verge de son gendre, et aspire les dernières gouttes de sperme qui se cache dans la verge en pressant fortement la hampe. Lucien ne se retient plus, son langage change :

— Tu aimes ma queue, salope, tu veux que je te dépingle comme une grosse pute, que je t'éclate le cul !

En relâchant la verge de son gendre, elle répond faiblement :

— Oui, oui, fais-moi mal, défonce-moi comme une grosse pute, Lucien, fais de moi ta chose, ouvre-moi le cul !

Bruno repousse sa fille, il saisit sa verge d'une main et commence à l'agiter férocement, sa fille reste coite, elle ne comprend plus rien. En rageant, Bruno dit :

— Oh putain la salope, vas-y, Lucien éclate-lui le cul, elle me l'a toujours refusée, vas-y explose-la, oh putain que c'est bon !

Bruno se cabre, et envoie plusieurs giclées de sperme sur le corps de sa fille, qui étale doucement le liquide visqueux sur son ventre plat et ses seins. Lucien bascule sa belle-mère sur le lit et lui ouvre les cuisses brutalement. Il regarde un instant la chatte aux lèvres épaisses, qui suinte continuellement. Enfin, approche son mandrin du temple des plaisirs et d'un coup violent l'enfonce dans le ventre de Lucette, qui pousse un long gémissement. Il s'accroche à ses hanches, et commence un long travail de sape. Ses coups de reins sont puissants et profonds, Lucette s'agrippe à lui en gémissant :

— Oui, oui, Lucien, défonce-moi, oh comme c'est bon, vas-y, vas-y, mon chéri !

Bruno, hébété, regarde sa femme agiter son bassin sous les coups de boutoir puissants de son gendre. Il ne l'a jamais vue aussi coopérative, sa verge se dresse à nouveau, il s'approche en marmonnant, et offre aux lèvres pulpeuses de sa femme son gland violacé :

— Je vois qu'en peu de temps tu as fait d'énormes progrès, tiens, suce ma queue, et avale tout !


Lucette, en gémissant de plaisir, saisit le membre de son mari, le décalotte et le prend en bouche. Elle se met à le sucer comme une pro, Bruno ne peut s'empêcher de dire :

— Oh la vache, mais c'est qu'elle suce terriblement bien, elle m'avait caché son don, la salope. Allez, suce, suce, Lucette, régale toi !

La bite de Lucien voyage dans la gaine fortement lubrifiée par l'abondante cyprine quelle sécrète. Pendant le pilonnage, un bruit étrange se fait entendre. Cela excite encore plus Lucien, qui augmente la puissance de ses coups de reins. Lucette pousse un grognement à chaque pénétration, mais ne lâche pas le gland qu'elle suce voracement. Lucien dit en accélérant le rythme :

— Putain que tu es bonne Lucette, ta chatte est un vrai volcan, je le sens prêt à exploser !

Sa belle-mère agite son bassin en grognant de plaisir, elle donne elle aussi des coups de reins pour être totalement empalée sur le gourdin de son gendre. Plus la jouissance approche, plus elle suce la verge de son mari. Soudainement Bruno se raidit, et lui remplit la bouche de sperme, en ronchonnant il dit :

— Tiens, avale, j'espère que mon jus est aussi bon que celui de Lucien !


Elle recrache le gland et avale jusqu'à la dernière goutte la semence. Lucien donne des coups de boutoir terribles, c'est comme s'il voulait traverser sa belle-mère avec sa queue. À chaque coup de pilon, Lucette marmonne :

— Oui, oui, mon chéri, oh ça vient, continue, n'arrête pas, oui, oui !

Elle ressent comme une brûlure lui traverser le ventre, elle se cambre fortement et, en poussant un cri horrible, explose. Sa jouissance est extraordinaire, elle retombe sur le lit haletante comme une sprinteuse en fin de course. Julia s'approche et avec douceur lui caresse le ventre qui est secoué de tremblements constants. Sa main moite fait de petits cercles sur le ventre en ébullition. Ses doigts caressent la boule de chair qui est énorme, elle la saisit entre deux doigts et la branle avec beaucoup d'énergie. En agitant la perle des plaisirs, elle lui dit tendrement :

— Jouis maman, tu es si belle lorsque tu jouis !

Lucette reprend ses gémissements, elle souffle comme un taureau, en marmonnant :

— Oh ma chérie, je dois être folle, tu m'as fait jouir et voilà que je couche avec mon gendre, je suis damnée, oh ça va venir, oui, oui, ça vient, mon Dieu je veux mourir tellement j'ai honte !


Julia accélère, le branlage et ne cesse de dire :

— Joui, joui, maman chérie !

Lucien lui saisit les mamelons et les roule entre ses doigts, il les étire, et les écrase fortement. Lucette se cabre en grimaçant :

— Vous faites de moi une machine à jouir, mon Dieu ça repart, oui, oui, encore :

Une nouvelle jouissance aussi intense que la précédente la fait hurle Lucien s'avance et dit :

— Chose promise, chose du :

Il fait mettre à quatre pattes sa belle-mère, lui lubrifie l'anus et sa verge avec sa salive. Il enfonce doucement un doigt dans la gaine étroite et tente de l'assouplir, il dit en souriant :

— Oh putain ce qu'elle est étroite, Bruno, tu dois te régaler !

En haussant les épaules, il répond :

— Tu parles, je ne l'ai jamais sodomisé, pour madame c'est dévalorisant et bestial, et là c'est elle qui réclame la sodomie, je crois rêver !

Le doigt coulisse sans difficulté dans la gaine, le petit ramonage fait gémir Lucette. Un deuxième doigt est nécessaire pour dilater le conduit qu'aucune bite n'a encore visitée. Les doigts tournent dans l'antre de Sodome en arrachant à Lucette de petites plaintes. Lucien retire les visiteurs et place son gland contre la rosette ridée. Il s'accroche aux hanches larges de belle-maman et pousse. Une grimace affreuse déforme le visage de Lucette qui serre fortement les dents. L'anneau ne peut résister à la poussée, il cède et avale petit à petit le membre puissant qui l'ouvre affreusement. Lucette dit en se cramponnant au lit :


— Doucement, Lucien, tu vas me déchirer, doucement ça fait trop mal mon chéri !


Mais le gendre ne l'écoute pas, il cesse de pousser seulement lorsque sa verge est totalement enfoncée dans le conduit, qui semble emprisonner sa queue. Lucette souffle comme un dragon, elle ne cesse de répéter :

— Oh mon Dieu, oh mon Dieu, je vais éclater, Lucien, Lucien prends pitié de moi !

Lucien avec arrogance dit :

— Tu voulais de la queue, vieille salope, eh bien tu en voila !

Il commence un défonçage de cul terrible, Lucette gémit comme une bête malade. Bruno, reste scotché sur la bite qui voyage dans le cul de sa femme. Julia dit :

— Ouah comme maman prend cher, regarde papa comme Lucien lui bourre bien le cul !

Bruno réplique :

— Eh Julia, ta maman prend grave, mais regarde bien, elle commence à y prendre du plaisir, elle agite sa croupe, oh putain elle m'a toujours refusé son petit trou et là elle l'offre à son gendre. Maintenant je ne vais plus m'en priver, elle va y avoir droit à chaque défonce la salope !

Lucette commence à gémir de plaisir, elle agite sa croupe, en bougonnant :

— Oui, oui, Lucien va à fond, oh comme c'est bon, va plus vite, oui, oui, encore tape fort mon chéri !


Lucien ne la ménage pas, il lui ramone le cul comme un sauvage. Lucette grince des dents puis se cambre, elle pousse un hurlement, c'est sa première jouissance anale. Lucien la bascule sur le lit, il se retrouve sous elle, et dit :

— Bruno, viens, il y a de la place pour deux !

Le beau-père ne se fait pas prier, il prend place entre les cuisses ouvertes de sa femme et lui plonge sa queue profondément dans le ventre. Prise en double, Lucette s'agrippe à son mari, rapidement les deux hommes entrent en action. Avec une synchronisation parfaite, ils démontent la soumise qui gémit comme un animal blessé. Julia, veut elle aussi participer, elle saisit le clito de sa maman et le branle avec sauvagerie. Lucette au bord de la syncope, agite son bassin en grommelant :

— Je suis une chienne, oui, je suis votre chienne, faites de moi votre vide-couilles mes chéris, oui, je vais jouir, oui, oui, ça vient !

Une jouissance extraordinaire la fait hurler, la coquine en redemande :

— Encore, encore, je veux encore jouir, oui, encore, encore !

Lucien ne reconnait plus sa femme qui d'un coup est devenue une demandeuse. Il donne des coups de reins féroces pour qu'elle sente bien dans son corps la puissance de sa bite. Lucette se demande si les deux bites ne sont pas dans le même orifice, tellement la paroi qui les sépare est fine. Les deux verges frottent presque l'une contre l'autre en arrachant à Lucette des mots horribles, horribles :

— Je suis une grosse pute, qui aime ma bite, bourrez bien votre salope mes chéris, faites-la gueuler avec vos grosses queues, remplissez-la de sperme. Je veux que mes orifices débordent de semence !

Plusieurs fois les trois complices la font exploser. La nuit s'annonce longue, les partenaires échangent souvent de place. Lucette ne s'est jamais fait autant défoncer. Julia aussi à sa part. C'est à bout de force que les quatre amants s'endorment dans le même lit.















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Histoire de valeriane

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