Grand-pére 1

-Je sais que je vais prendre une volée de bois vert avec ce récit, mais tant pis, je m'y risque, certains vont l'adorer, d'autre me détester !






Sara, depuis sa plus tendre enfance, porte pour ses grands-parents un amour inconditionnel, elle passe le plus de temps qu'elle le peut avec eux. Maintenant, elle a dix-huit ans, elle est devenue une belle jeune fille, mais elle est toujours aussi prévenante avec Papy, Charles et mamie, Françoise. Malheureusement, sa grand-mère décède. Pendant de longs mois, son grand-père, déprime, il est malheureux. Sa petite fille lui rend visite chaque jour, elle tente de lui remonter le moral comme elle le peut. Elle se blottit contre lui, lui fait des câlins. Elle lui conseille de reprendre ses activées qu'il avait au sein d'une association de personnes âgées avec sa femme. Le grand-père accepte, et au fil des semaines, voir des mois, il reprend gout à la vie, il change du tout au tout. Cet homme, malgré ses cheveux argentés et son âge, a encore un charme fou, il accumule des conquêtes féminines, qu'il invite chez lui à diner voir plus.



Au début, cela faisait sourire, sa petite fille, mais aujourd'hui, elle voit ça d'un sale œil. Comme si sans grand-père était sa propriété, un jour en pleine discutions, Sara lui dit sèchement :

-Grand-père, je ne veux plus voir de vielles salope chez toi !

Un peu surprit, il lui sourit, en lui relevant le menton avec deux doigts, lui dit en souriant :

-Oh, mais tu es jalouse ma petite princesse !

Il lui donne un baiser très appuyé sur les lèvres et ajoute :


-Sache ma chérie que ce ne sont pas des salopes, comme tu dis, ce sont mes amies, et j'ajoute que malgré nos âges, nous avons des besoins sexuels comme toi, peut-être moins fréquents, mais nous en avons !

Sara ne sait que répondre, mais il faut qu'elle trouve une porte de sortie, elle replique :

-Cela me gêne de les savoir chez toi, tu ne vas tout de même pas te remarier !

Le grand-père éclate de rire et répond :

-Tu sais ma chérie, finir sa vie seul, c'est triste, une compagnie serai la bien venue !

Sara riposte :

-Tu n'en trouveras jamais une comme grand-mère, elle etait unique !

Elle se jette dans les bras de son grand-père en sanglotant. Charles se demande pourquoi sa petite princesse se met dans cet état, il lui caresse ses longs cheveux, glisse une main sous son t-shirt et lui caresse le dos. Sa main monte jusqu'aux épaules, il ne sent pas l'attache du soutien-gorge, il en déduit qu'elle n'en porte pas. Il est vrai qu'à dix-huit ans les seins sont bien fermes et n'ont pas besoins de carcans. Il caresse la peau douce de sa petite fille en faisant de petits cercles. Sara semble s'apaiser, Charles recule sa tête, il regarde un bon moment sa petite fille, avant de gober les perles salées qui lui coulent sur ses joues. Il lui demande avec un peu d'inquiétude :

-Qu'est-ce qui t'arrive ma chérie !

Sans répondre, elle se jette dans ses bras, le prend par le cou et plaque ses lèvres sur les siennes. Le grand-père surprit, ne comprend plus rien. La langue de sa petite fille s'engouffre dans sa bouche, se noue à la sienne. Il tente de la repousser, mais le baiser si doux le fait fondre, Sara cesse le baiser et donne une multitude de baisers sur tout le visage de son grand-père, qui reste béat, ne sachant que dire. La jeune amoureuse lui reprend les lèvres et l'embrasse avec un telle fougue que le papy en a le souffle coupé. Brusquement, elle le pousse sur le canapé, l'enjambe et s'assoit sur le haut de ses cuisses. Sans le quitter des yeux, elle deboutonne sa chemise, en écarte les pans et se met à caresser, le torse velu, poivre et sel du grand-père qui ne réalise toujours pas. Elle caresse les pectoraux saillants, lui étire les tétons avant de les sucer. Charles semble rêver, il est sur une autre planète, le bougre bande comme un taureau. Sa petite fille lui déboucle la ceinture et déboutonne la braguette. D'un geste habile elle degage du slip la bite qui se dresse comme un mat sur le bas ventre du papy qui plane.

Le grand-père réagit, il sait que quelque chose de malsain est entrain de se produire. Soudainement, il se redresse, il se degage puis regarde sa petite fille dans les yeux et lui dit :

-Mais ma chérie, tu deviens folle ou quoi !

Elle repond :

-Tu ne comprendras jamais rien, tu es bien trop bête !

Charles bascule sa petite fille sur ses genoux et lui dit :

-Oh, tu vas payer ta grossièreté !

Il lui donne quelques tapes sur les fesses. Ironiquement, elle lui dit :

-Même pas mal !

Le grand-père, dit en lui relevant la jupe et en abaissant sa culotte :


-Ah même pas mal et celles-là comment elle sont !

Il frappe les fesses un court instant, mais vigoureusement, les petits cris que sa petite fille pousse l'émeu. Il regrete de lui avoir fait mal, il caresse les fesses que le bougre a fait rougir, ses doigts glissent dans la raie, passe l'anus et atteignent la petite toison. Il dit en souriant :

-Oh, mais tu mouilles petite princesse !

Sara se relève d'un bond, se frotte les fesses, remonte sa culotte et rabat sa jupe, elle dit en regardant méchamment, son grand-père :

-Tu es un vilain, tu m'as fait mal, je te déteste !

Il lui prend le menton et lui dit en souriant :

-Tu mouilles, petite coquine !

Contre toute attente, elle se jette sur lui et le rebascule sur le canapé, la verge de son papy est toujours aussi raide. Elle le foudroye des yeux, relève sa jupe, et se caresse la chatte à travers sa culotte, devant le vieil homme ébahit, le frottage ne dure qu'un court instant. Sara rapidement enlève sa culotte humide et la passe sous le nez de son grand-père en disant :

- Tiens, regardes ce que tu perds, hume la culotte de ta petite fille !

Charles, sans savoir pour quelle raison, hume avec force la tache humide de la culotte. Vicieusement, Sara lui passe sur les lèvres et tente de la faire entrer dans sa bouche. Le grand-père saisit sa petite fille, la couche sur le canapé et lui relève le t-shirt, il lui malaxe la poitrine, avec un peu de violence, comme pour faire payer à Sara son audace. Il lui devore les nichons avec rage, lui suce les mamelons en les aspirant brutalement. De sa main libre, il lui reléve la jupe, et enfonce ses doigts dans la fine touffe de poils soyeuse, les fait passer sur les fines lèvres vaginales humides. Sara réussit à s'agripper au manche épais de son grand-père et le serre fortement. Elle sent le sang battre dans la hampe large et veineuse. Elle presse plusieurs fois la bête pleine de vie, garnit de grosses bourses velues. Ses mamelons sont tendus au maximum, le papy, véloce, les travaille comme il se doit.

Enfin, il delaisse la poitrine et cherche les lèvres de sa petite fille, le baiser qu'ils échangent et fougueux et très long, un échange de salive a lieu. Sara ronronne comme une chatte, elle tient toujours d'une main, le mat de grand-père, mais elle doit le lâcher, car son papy se redresse, et se place face à elle, il s'agenouille, lui remonte la jupe jusqu'à la taille, et lui écarte lentement les jambes. Il observe un bon moment les fines lèvres qui suintent, avec deux doigts, il caresse la petite boule de chair qui n'est pas encore à maturité comme celle d'une femme mûre. Le petit frottement délicat sur le clito fait geindre Sara comme une bête qui agonise. Le grand-père lui branle la petite boule du mieux qu'il peut. Sara se cambre fortement et jouit en pousse un long râle. Il dit :

-Ma petite princesse, nous sommes fous, de faire une chose pareille, j'ai honte de moi !

C'est en béguant que sa petite fille lui répond :

-Continue grand-père c'est si bon, si tu savais depuis combien de temps, j'attendais ce moment, je veux être à toi corps et âme !

Charles pousse un long soupir, et avance petit à petit sa tête entre les cuisses de sa petite fille demandeuse. Il hume les effluves odorantes que laisse échapper la petite chatte qui n'a pas dû connaitre beaucoup de bites.