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COLLECTION CANDAULISME. Ma Femme et mon patron (1/2)

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Lue : 0 fois - Commentaire(s) : 6 - Histoire postée le 26/05/2023

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Bonjour, il y a trois ans que je suis le plus heureux du monde.
Dans le même mois, en juin, j’ai rencontré Malika, mon épouse, je devais l’épouser un an après dans ce joli mois de juin.
Je venais de la rencontrer en sortant de mon école d’apprentissage alors que je savais que les places étaient rares en mécanique.
J’ai été embauché chez nounours un homme véritable force de la nature.
Nounours, c’est son surnom, il s’appelle Maxime.
Nounours est lui-même marié avec madame Cécile ma patronne qui tient la caisse et la facturation du plus gros garage Citroën de notre ville.
Nous avons aussi un secteur vieille voiture grâce au stock de pièce constitué par le père de Cécile ayant créé le garage depuis les années 50.
Nounours, lorsque j’ai un problème avec un boulon, prend deux clefs et alors que je m’escrime à le desserrer, il le serre jusqu’à ce qu’il se coupe en deux et saute.
Nounours a des mains comme des battoires, avec énormément de poils.

Nous avons un vestiaire avec douche que madame Cécile fait nettoyer tous les jours ou nous nous lavons après notre labeur surtout depuis le mois de mai ou la chaleur est étouffante.
À poil, lui, Alain le jeune en alternance lui aussi en école de mécanique et moi, c’est ainsi que nous nous décrassons.
Si nounours à du poil sur les mains, il en a partout, en grand nombre.
Sa poitrine, une vraie forêt vierge, ses épaules et jusque dans la raie de ses fesses sans compter ses jambes.
Madame Cécile est une jolie brune avec des seins qui vont bien avec les paluches de son mari.
Il est ours, elle reste très féminine pour sa quarantaine très avancée.
Madame Cécile semble s’habiller une, voire deux tailles en dessous de sa taille réelle et ressemble à une jeune fille ayant grandi trop vite.
C’est bandant, mais j’aime Malika qui me satisfait pleinement.

Ce qu’il m’a plu quand je l’ai rencontré, c’est qu’elle ressemblait à ces poupées qui marchent.
Je faisais mes dix mille mètres du dimanche matin et j’allais rentrer chez moi dans mon appartement que j’avais trouvé non loin du garage.
J’avais pu louer grâce à mon premier salaire et ainsi payer la caution.
Encore un point positif de ce joli mois de juin il y a trois ans.
Malika sortait de l’église avec ses parents et je l’ai percuté par manque de chance.
Je peux dire que je suis tombé directement amoureux de ce petit bouchon.
Sans savoir qui elle était, la semaine suivante, je me suis posté sur un banc devant l’église à l’ombre des arbres.
Les dimanches après-midi, ça aurait été impossible, car les joueurs de pétanque du village jouent là et des vieux sont assis sur ces bancs.
Je la vois donc sortir et comme un promeneur du dimanche, je les suis.
Par chance, c’est à pied qu’il rentre chez eux et que je peux la croiser plusieurs jours sans aucune fois l’aborder.
Donc en ce mois de juin, mon mois fétiche, je suis derrière elle et elle va pour traverser quand une voiture surgie.
Je la retiens, fait celui qui la reconnaît et par chance elle aussi et après avoir discuté, elle accepte de venir dans mon petit logement en tout bien tout honneur.
Nous nous retrouvions après mon travail et elle faisait ses devoirs près de moi alors que je la regardais sans pour autant la coucher sur mon lit.
Je l’avais demandé en mariage malgré ses dix-huit ans et ses études qu’elle suivait pour devenir comptable.
Mes futurs beaux-parents m’ont reçu enchanté de ma bonne éducation.
S’ils sortaient de l’église avec Malika, c’est qu’ils étaient croyants et pratiquants et qu’ils faisaient confiance à leur fille pour se marier dans la plus pure des traditions, donc vierge.
Ma belle-mère m’avait fait comprendre que sa fille se marierait en robe blanche immaculée.

Un en plus tard, en juin, j’ai passé la bague au doigt à l’amour de ma vie, petit bouchon véritable sucre d’orge.
Après avoir passé la journée dans la plus pure tradition, robe blanche pour elle et costume me ressemblant guère, je l’ai dénudé dans la chambre louée par ses parents dans l’hôtel voisin du restaurant où nous avions dîner.
Elle m’a donné sa virginité et cela fait un an que nous sommes heureux, vivant d’amour et d’eau fraîche.

• Sylvain, nous discutions avec nounours et nous avons constaté que depuis que tu es avec nous et depuis ton mariage, tu sembles cacher Malika, ton épouse que nous voudrions connaître.
Que faite vous ce week-end ?
• Rien de bien classique, levé huit heures, je vais chercher les croissants et après nous allons faire notre jogging.
L’après-midi, elle travaille sur ses cours et moi, je flémarde sur notre lit en regardant le sport à la télé.
• Ce week-end, ils prévoient du très beau temps, nous vous invitons chez nous.
Nous venons de faire construire une piscine et ce sera l’occasion de l’inaugurer tous ensemble.

Le samedi arrive, nous fermons l’atelier et le garage, je passe chercher Malika nous les rejoignons dans la petite C3 Picasso que nous venons de nous payer pour le premier anniversaire de notre mariage.

• Venez, Nounours nous attend auprès de notre piscine, mais avant passons dans le living pour que vous vous mettiez à l’aise comme je le suis.

Les patrons m’avaient prévenue et nous avons nos maillots de bain.
Je savais une différence physique entre ma femme et ma patronne, l’une forte femme charpentée et ma moitié, portant bien cette manière de la présenter.
Cécile, contre toute attente, est en topless et sans que je lui demande, Malika, comme elle, enlève le haut.
Nounours lui aussi est dans une tenue très libre, montrant l’intégralité de sa pilosité.
Je vois que ma femme tombe en arrêt devant une telle montagne.

Nous nous installons au bord de la piscine une table basse entourée de transats avec coussins.
Boissons fraîches, fruits coupés en morceaux ou en tranche et petits gâteaux.
Malika est une jeune femme discrète, elle participe peu à la conversation.

• Aller à l’eau, profitons de notre piscine.

Nous sommes face à face entre les deux couples.
Nounours se lève, prend la main de Malika qui le suit avant que j’aie le temps de dire quoi que ce soit.
Ils descendent les trois marches et commencent à nager.
De concert, nous les suivons et tous les quatre, nous batifolons dans l’eau.
Malika veut se poser au fond de la piscine mais trop tôt et elle boit la tasse.
C’est Nounours qui la rattrape, elle se pend à son cou.
Je devrais intervenir, mais cela c’est fait si naturellement que j’en ai le souffle coupé.
Surtout lorsque le beau nounours sort de la piscine ma petite plume dans ses bras, l’entraînant vers un transat et son coussin.
Je vois nettement que le slip de bain de mon patron est si tendu que Malika est dans l’obligation de sentir qu’il bande pour son petit cul.
Cécile se rapproche de moi, elle cherche à ce que moi aussi je me colle à elle.

• Non.

Elle se dirige vers les transats sans insister.
Lorsque je m’assieds face à ce couple étrange, la belle et la bête réunies, Malika embrasse mon patron à pleine bouche.
Une nouvelle fois je devrais intervenir.
L’audace montrée par ma petite femme, fille que je croyais sage et réservée comme me l’avaient montré ses parents, me laisse bouche bée.
Je vois sa petite main descendre le slip de bain de nounours.
J’ai déjà vu sa bite sous la douche des vestiaires, mais au repos.
Comment Malika va-t-elle ressortir de la pénétration d’un tel morceau ?
Je vais la récupérer ouverte en deux, mais l’initiative qu’elle prend me facine et me déconcerte.
Telle une chatte, elle se retrouve agenouillée vers ce sexe pointé vers le ciel et ce sont ses lèvres et sa langue qui lèche le méat de cette bite démentielle.
J’ai sorti mon sexe, mais sans y toucher, je suis sûr d’éjaculer des litres de sperme par la vision des lèvres de Malika s’enfonçant au plus loin qu’elle le peut.
Atteignant le point improbable, sans vomir, elle pompe Nounours tout en le masturbant comme s’il avait fait cela toute sa vie.

• Non.

Une nouvelle fois, Cécile tente de me prendre le sexe.
Mon refus l’a calme, a-t-elle enfin compris que je veux voir jusqu’à ou Malika est capable d’aller pour me faire cocu devant mes yeux.
Elle écarte son slip et se caresse en experte qu’elle semble être.
J’ai le temps de voir sa chatte épilée, mais notre nounours a pris une autre initiative.
La saisissant d’une main, il l’empale sur sa verge et dès cet instant ses cris de plaisir me traversent le cerveau.
Malika est un fétu de paille dans les bras de celui qui est définitivement son amant.
Ses cris sont de plus en plus puissants au rythme qu’il lui impose en la soulevant sous son joli cul et la faisant retomber.
Les deux, non les trois, cris leur plaisir, car Cécile les a rejoints en se masturbant.
Sans s’occuper de moi, la bite toujours au fond de la chatte de ma femme, il se lève la ramène dans l’eau et semble vouloir lui rafraichir ses parties intimes après la saillie qu’il lui fait subir.
Malika lui a remis ses bras autour du cou, elle doit sentir les poils de cette bête humaine contre ses seins, je les vois sortir de l’eau et remonter vers la maison, sans plus s’occuper de moi.
Cécile, semblant avoir l’habitude des frasques de son mari, se lève, le slip au mollet l’enlève et me le jette à la figue.
Je le récupère et le porte à mes narines, il sent très bon la chatte de cette femme, alors que moi je reste là amoureux de ce que m’a petite chatte m’a montré de sa personnalité.
C’est le soleil qui me réveille, quand il sort du dessus de la maison.
Ma trique est retombée, dans mon sommeil, je me souviens d’avoir entendu des cris de plaisir, certainement ceux de Malika que notre bête humaine a dû continuer à chevaucher.
Je suis un peu déçu, mais je rentre dans la maison, rejoignant la chambre de mes patrons.
Ils sont là tous les trois, Malika à la verge de nounours dans sa main et Cécile sa tête à la hauteur de la fourche de ma petite.
Salope et lesbienne dans le même soir, dommage d’avoir manqué cet épisode.
Voir ma femme ce gouiner, qui l’eût cru, qui l’aurait pensé quand je l’ai épousé.
Je sais pour l’avoir lu que des maris prenant plaisir à voir leur femme, ça existe, mais je suis dans l’impossibilité de me rappeler ce nom.
Ce qu’il y a de sûr, c’est que même sans ce nom, je me découvre un mari très conciliant envers mes patrons.
Respectant leur sommeil, je trouve la cuisine la machine à café en grains et des croissants dans le congélateur.
Je prépare un plateau, et je retourne dans la chambre.
Le trio a dû entendre la machine, car ils sont tous les trois réveillés.
Je pose le plateau et je m’assieds dans le fauteuil au pied du lit, attendant la suite de la transformation de Malika, ma petite femme pendant ce week-end plein de surprise...






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Histoire de Chris71

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Commentaires du récit : COLLECTION CANDAULISME. Ma Femme et mon patron (1/2)

Le 15/01/2024 - 18:26 par Aletick77
Que dire après cette première partie... déjà se méfier de l'eau qui dort.. et vite la deuxième partie.
Le 27/05/2023 - 09:31 par Sexty53
Oui très belle histoire bien écrite vivement la suite le mari que va t'il faire
Le 26/05/2023 - 22:29 par Chris71
Je suis content que vous aimez mesdames, c'est en grande partie pour vous que j'écris...
Le 26/05/2023 - 22:23 par OlgaT
Malika s'est vite révélée
Le 26/05/2023 - 16:36 par valeriane
Je suis de l'avis de Lounabelle, j'ajoute un délice à lire
Le 26/05/2023 - 16:31 par lounabelle
Bien amenée cette histoire, j'adore

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