Les vacances de l'infidélité 1

Lise et son mari Marc sont en vacances sans une cité balnéaire du sud de la France. Lui passe la major partie de ses journées à la pétanque. Elle, tirée à quatre épingles un peu hautaine, préfère être seule. Entre plage et visite des musées, elle s'adonne au shopping. Au retour de la plage, après le déjeuner et une bonne douche, elle Enfile une jupe légère très courte, et un corsage bien échancré, elle part faire du shopping. Elle arpente les rues piétonnes, avant de prendre place à la terrasse d'un café pour se désaltérer. À la table juste à côté d'elle est installé un homme élégant, vêtu de blanc. Sa chemise, entrouverte, laisse voir une partie de son poitrail couvert de poils grisonnants.

L'homme grisonnant ne cesse de regarder Lise, leurs regards se croisent, ils se sourient et saluent. Après avoir commandé une boisson, Lise sort de son sac son portable et joue avec. De temps en temps, elle lève les yeux vers l'homme qu'elle trouve séduisant. Pendant qu'elle boit son verre, l'homme se lève et s'approche de la table de Lise, il lui dit en souriant :

-Veuillez excuser mon audace, madame, mais votre beauté est telle, qu'il a fallu que je vous le dise. Pour me faire pardonner mon culot, je vous prie d'accepter un verre !


Lise, surprise, mais flattée par les paroles de l'inconnu, accepte. L'homme prend place et appel le garçon. L'homme se présente, il se prénomme Edmond, il habite à la sortie de la ville. Lise donne son prénom, et dévisage l'inconnu. Le charisme de l'homme subjugue Lise. Les deux discutent comme de vieux amis, plus les minutes passent, plus Lise est charmée. En plus d'être séduisant et beau parleur, l'homme a de l'humour. Souvent Lise éclate de rire. L'homme, très cultivé, semble doux. Il prend doucement la main de Lise, la caresse en disant d'une voix tendre :

-Vous avez de belles mains, avec une peau lisse, le rêve de toutes femmes !


Le petit baiser qu'il donne dessus, fait frissonner Lise. Cela fait plus de deux heures que Lise est sous le charme de cet homme séduisant. Il la complimente sur sa tenue et surtout sur sa beauté, qui ne le laisse pas insensible. Lise plane de bonheur. L'homme ne lui lâche plus la main, Lise ne la retire pas. Envoutée, par Edmond, le coquin, très convaincant, réussi à l'emmener dans un hôtel, ou ils font l'amour. Avant de se séparer, les deux se donnent rendez-vous au même endroit à une heure prédéfinie le lendemain. Sur le chemin du retour, Lise commence à culpabiliser, plus elle approche de sa location, plus elle stresse. Elle entre, se serre un verre d'alcool fort qu'elle avale d'un trait, et se laisse tomber dans un fauteuil en osier sur la terrasse.


Elle repense à l'énormité qu'elle a commise, elle regrette amèrement son infidélité. Elle décide de ne pas donner suite à cette relation. Il est tard, Lise et Marc vont comme chaque soir au restaurant. Une fois assise, Lise sursaute, par pure coïncidence, Edmond entre aussi se restaurer, il est accompagné par un couple. Il passe devant Lise et son mari en souriant. Lise pendant le repas est mal à l'aise, elle se lève et se dirige à la toilette. Edmond se lève à son tour et sans se démonter entre dans la toilette dame. Heureusement, il n'y a que Lise, dans cet endroit, elle est appuyée contre le lavabo, il se place derrière et l'enlace, il lui donne plusieurs baisers sur la nuque et le cou, il se frotte un instant contre le fessier charnu de Lise, qui pousse un gros soupir. Elle dit faiblement :

-Mais tu es fou Edmond, sort immédiatement, tu te recomptes dans la situation que tu me mets ?

Après lui avoir donné quelques coups de bassin contre les fesses, en mimant une levrette, il sort en disant :
-À demain !


Lise et rouge de honte, elle se mouille le visage avant de réapparaître devant son mari. Pendant tout le repas, Lise ne cesse de se regarder Edmond, qui lui lance des œillades en souriant. Le repas se termine, mais avant de rentrer, Marc propose à sa femme d'aller danser, elle accepte, elle se dit que cela lui changera les idées. Durant les danses, elle se blottit contre son mari en ronronnant. Ils échangent de nombreux baisers lorsque la lumière et la plus basse. Puis il se fait tard, ils décident de rentrer. Une fois étendus sur lit, Marc se blottit contre sa femme, c'est elle qui prend l'initiative. Elle lui caresse le bas-ventre, extirpe du pyjama sa verge et la branle. Elle se penche, et lui aspire le gland, elle le suce comme une sauvage. Il ne faut pas attendre longtemps pour que Marc lui remplisse la bouche de sa semence. Lise avale sans rechigner, elle enjambe son mari, retrousse sa courte nuisette, et s'empale sur la queue encore bien raide. C'est elle qui le baise, tellement elle est fougueuse, Marc ne reconnait pas sa femme, elle qui faut presque prier pour faire l'amour, eh bien là, elle se lâche totalement.

Elle s'agite comme une forcenée sur le pal dure qui l'embroche. Étire les mamelons de son mari en le faisant grogner. Soudain, elle pousse un gémissement terrible, se laisse retomber sur le ventre de Marc et jouit. Ils s'endorment, l'un sur l'autre, jusqu'au matin. Le petit déjeuner fut rapide, Lise doit sortir pour faire quelques courses pour préparer le déjeuner. Une fois rentrée, elle s'affaire aux fourneaux, aidé par son mari. Une fois le repas pris, Marc rejoint ses amis pour des parties de boules interminables. Lise, pendant la vaisselle, rumine, elle n'aurait pas dû revoir Edmond, elle ressent encore contre ses fesses son bassin. La tentation devient de plus en plus forte, et l'heure approche à grands pas.

Soudain, elle retire le tablier qu'elle avait mis pour faire la vaisselle, et se rend rapidement dans ma salle de bain. Sa résolution est prise, elle va rejoindre son amant. Après sa douche, elle enfile une jupe courte et un chemisier, et se rend à son rendez-vous galant. Les deux amants se retrouvent dans la chambre d'hôtel, là, ils font l'amour comme des bêtes, pendant des heures. Enfin l'ébat prend fin, il faut se séparer. Edmond donne un autre rendez-vous, mais cette fois, chez lui. Il gribouille l'adresse sur un morceau de papier. Puis les deux disparaissent discrètement.