Vacances infidéle 2

Lise rentre chez, elle est euphorique, Edmond est un amant merveilleux, endurant, il l'a fait jouir comme jamais, elle ne l'a fait. Tout le restant de la journée, elle est sur une autre planète, il lui hâte d'être demain. Le soir même au restaurant, elle revoit Edmond avec son couple d'amis, les deux se sourient, ils ne se quittent pas des yeux. Pendant le repas, Lise se lève pour aller fumer une cigarette, elle sort dehors. Marc, non-fumeur, discute avec les personnes de la table voisine. Edmond sort aussi, il attrape Lise par le bras et l'entraine dans un coin à l'écart des regards indiscrets. Il l'enlace, l'embrasse fougueusement, sa main sur sa poitrine, il la pelote, puis passe sa main sous la jupe et lui caresse la chatte au travers de la culotte. Lise gémit de plaisir, sa culotte s'humidifie. Les minutes passent, Lise repousse son amant, se rajuste, et rejoint son mari.


En rentrant, Lise, comme la veille, s'acharne sur son mari, en pensant à son amant. Les jouissances des deux époux sont formidables, Marc n'en croit pas ses yeux, il se dit que les vacances ont du bon. La nuit de Lise fut agitée, hantée par son amant, elle dort très mal. Elle se réveille le lendemain matin, ses traits sont tirés, elle a des cernes sous les yeux. Elle descend, son mari est déjà levé, il a préparé le café. Lise s'étire et embrasse son mari, comme chaque matin, et prend place à table. Rapidement, elle avale son café et se réfugie dans la salle de bain. Elle en sort longtemps après, fraiche comme une rose qui éclot. Elle se promène en sous-vêtements devant son mari qui admire ses formes en souriant.


Il s'approche d'elle et la bascule sur la table. Lise, surprise, refuse l'ébat, prétendant qu'elle vient de prendre sa douche. La coquine veut garder toutes ses forces pour son amant. Marc se dit que ce n'est que partie remise. Le déjeuner est terminé, Marc aide pour la vaisselle. Rapidement, il prend ses boules et va rejoindre ses amis au boulodrome. Lise se pomponne, elle enfile des vêtements légers, puis se rend à une station de taxi, et elle donne l'adresse d'Edmond au chauffeur. Elle arrive devant une grande maison entourée d'une haie. Elle sonne, Edmond vient l'accueillir, il est toujours en blanc, il l'embrasse fougueusement. Il la fait entrer dans le salon, là une surprise attend Lise, Edmond n'est pas seul, le couple qui l'accompagné au restaurant et là aussi. Lise fronce les sourcils, et se dit, c'est un traquenard. La femme est à demi-nue, ses seins à la vue de tous, et sa culotte traine sur le sol. Elle est assise sur les genoux de son partenaire en regardant la nouvelle venue. Edmond dit en souriant :


-Ne te froisse pas Lise, je te présente Louis et Estelle sa femme, mes amis se faisaient une petite gâterie, mais tu es arrivée en avance, ils n'ont pas eu le temps de terminer !


Le duo salue Lise, qui répond par un bonjour timide. Edmond l'invite à s'asseoir. Elle s'enfonce dans un profond fauteuil, en ne quittant pas des yeux le couple, pendant qu'Edmond lui verse un verre. Puis, il regarde ses amis et dit :

-Terminez, ce que vous aviez commencé, mes amis, ne vous occupez pas de nous !



Louis pose sa bouche sur les mamelons de sa femme et sans se soucier des spectateurs les suce, les bruits de succions sont très bruyants. Lise regarde mal à l'aise le duo. Pendant qu'il suce, Louis retrousse la jupe d'Estelle et lui caresse l'entrejambe. Rapidement, elle se met à geindre en ouvrant davantage les cuisses. D'où est Lise, elle voit nettement la chatte mouiller. Elle avale son verre rapidement, elle se demande ce qu'elle fait là. En voyant les doigts d'enfoncer profondément dans le vagin d'Estelle. Lise sursaute en serrant les cuisses.
Les mamelons dévorés, la chatte fouillée, Estelle s'agite en gémissement fortement. Lise commence à avoir chaud, Edmonde pose ses mains sur ses épaules et les masse doucement. Sans brusquerie, il descend lentement ses mains vers la poitrine qu'il convoite. Lentement et longuement, il presse les seins, les malaxe au travers des vêtements. Lise soupire profondément sans refuser l'attouchement mammaire. Avec délicatesse, Edmond fait sauter un à un les boutons du chemisier, le fait glisser sur les épaules frêles qu'il dénude entièrement. D'un geste habile, il dégrafe le soutient-gorge. Les seins jaillissent, libérés de leur carcan qui les emprisonnés.


Les doigts d'Edmond s'enfoncent profondément dans la chair souple, il pétrit les lobes comme un pro. Lise halète en serrant les poings. Quant à Louis, il se place entre les cuisses d'Estelle et lui plante son membre dans le ventre. Elle s'accroche à son mari, en gémissement comme une bête blessée. Enfin, le ramonage peut commencer. Les yeux de Lise brillent de désir, les doigts agiles d'Edmond, roulent ses mamelons en les faisant dresser au maximum. Les bouts, très sollicités, deviennent dur en prenant de l'épaisseur. Lise se met à geindre en s'accrochant au fauteuil. Edmond se place devant elle, il lui glisse ses mains sous la jupe, et saisit la culotte, qu'il fait descendre doucement. Lise inconsciemment lève un peu les fesses pour faciliter la descente de la culotte. Une fois la culotte sur le sol, Edmond, retrousse la jupe, Lise ouvre les cuisses. L'amant regarde la chatte et avance doucement sa main, dès que ses doigts touchent la chatte, celle-ci s'ouvre comme une fleur qui est pleine de rosée.

Les doigts s'insèrent dans le sillon et s'y promènent à la recherche de la perle précieuse. Elles s'accrochent après, et commencent une petite friction dessus. Lise se cabre, mais ne quitte pas des yeux Estelle et louis qui la défonce allègrement. Le clito de Lise prend du volume. Edmond cesse de le frictionner et le saisit entre son pouce et son index. Il commence un branlage, comme Lise à déjà subit à l'hôtel, la coquine n'est pas près de l'oublier. Elle se cabre en poussant des gémissements rauques. Soudain, elle pousse un cri terrible, elle jouit en même temps qu'Estelle qui grogne comme un fauve. La chatte de Lise et une fontaine intarissable qui rejette sans cesse son jus. Edmond délaisse le clito. Il retire ses vêtements, sa verge est tendue au maximum. Il la caresse un instant en regardant sa proie.