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Photocopies au bureau

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Lue : 0 fois - Commentaire(s) : 2 - Histoire postée le 26/12/2023

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Cet automne 2023, la pluie n’en finissait pas.
Quasi impossible pour Marie et Claude de réitérer la dernière sortie champêtre.
Claude y pense souvent, surtout qu’il lui avait promis de l’enculer cette prochaine fois. Rien que d’y penser le faisait durcir.
Marie de son côté y songeait souvent également, elle était restée excitée plusieurs jours, et s’était masturbée un nombre incalculable de fois.

La tension sexuelle devenait palpable, et Claude cherchait une idée pour pimenter une sortie dans les meilleurs délais.
Mais ce fut la prude Marie qui lui fournit la solution : ‘j’ai besoin de faire quelques photocopies, si on allait à ton bureau ce soir ?’

L’imagination de Claude se réveilla immédiatement : bureau, canapé, salle de réunion, … tout était matière à fantasme.
Il réagit immédiatement : ‘OK, mais tu paiera en nature’ lui répondit-il.

A 20h, ils se mirent en route.
Marie avec un sac plein d’originaux à copier, et Claude avec le plug et le petit tube de lubrifiant qu’il avait préparé.
Il s’avait qu’elle avait compris : elle avait passé un temps inhabituellement long dans la salle de bain, et il distinguait à chacun de ses pas le mouvement régulier de ses seins libres d’attaches sous son chemisier léger.
La jupe de tailleur qu’elle avait choisi la faisait ressembler à l’image type de la secrétaire dans les films des années 50.
Alors qu’il essaya de passer une main sous celle-ci, elle enfila son long manteau pour aller dans la voiture.

Le trajet jusqu’à la zone d’immeubles de bureau ne pris que 20mns, la circulation était fluide.
Les bureaux, situé au RdC d’un immeuble de 3 étages, étaient bien vide, plongés dans le noir.

Claude verrouilla la porte derrière lui, laissant la clé dans le barillet afin d’éviter que quelqu’un puisse entrer par inadvertance.

Il lança les première série de copie. La grosse imprimante ingurgita le lot de feuilles à copier en 25 exemplaires.
Marie s’approcha avec sa seconde pile, qu’elle inséra dans le chargeur.
Claude, derrière elle, lui attrapa les seins à travers le chemisier. Les pointes de ses seins pointèrent rapidement sous l’excitation. Claude les prit entre ses doigts pour les pincer, les étirer à travers le fin tissu.
Il savait qu’elle était très sensible.
D’un mouvement rapide, il déboutonna le chemisier, pour écarter le tissu et libérer les 2 globes à l’air libre.
La photocopieuse était dans une petite pièce sans fenêtre, Marie se laissait faire sans peur.
Il reprit le malaxage de ses seins quand la première série se termina.
Une idée saugrenue lui vint : il leva le chargeur et poussa Marie contre la photocopieuse. Ses 2 mains libérèrent ses seins pour saisir Marie par les épaules et pencher son buste sur la vitre de la photocopieuse.
Avant qu’elle n’ait eu le temps de réagir, Claude pressa sur le bouton et une copie A3 des seins de Marie, écrasés sur le vitre, s’imprima.
La libérant, il baissa le chargeur pour que Marie puisse lancer la seconde série.
Pendant qu’elle s’affairait, Claude se baissa derrière elle et saisi la jupe, qui fit lentement remonter jusqu’à la taille.
Ses fesses étaient devant ses yeux. Il ne les admira pas longtemps avant de commencer à y appliquer de petits baisers sur toute leur surface.
Sa mains descendit sous le genou, entre les jambes serrées, et remonta, la forçant à écarter celles-ci jusqu’à ce arrive à son sexe.
il était trempé, déjà prêt. Mais Claude ne voulait pas aller si vite. Sa seconde main appuya sur le dos de Marie, lui faisant comprendre qu’il fallait qu’elle se penche et se cambre, ce qu’elle fit.
Claude pouvait maintenant clairement voir les fesses et le sexe de Marie, et 2 de ses doigts écartant les petites lèvres pour s’enfoncer dans son sexe.
Sa seconde main descendit du dos vers la fesse droite, qu’il serra avant de l’écarter pour faire apparaitre l’entrée de tous ses désirs.
L’index et le majeur s’affairaient toujours dans le sexe de Marie ; avec son pouce, il commença à masser le courte distance entre les 2 entrées, étalant la sécrétion abondante de Marie jusqu’à son anus.
Le pouce, à chaque mouvement, insistait de plus en plus sur celui-ci. Jusqu’à introduire la première phalange. Les doigts se rejoignirent alors par l’intérieur, dans un lent mouvement de va et vient.
Marie ne bougeait pas. Claude compris son excitation quand il senti plusieurs gouttes d’excitation couler doucement le long de son bras, pour finir sur la moquette.

Il se releva, libérant Marie de ses doigts. Son pouce sentait l’huile de coco, il compris pourquoi il lui avait été si facile de glisser celui-ci dans le canal étroit.
Marie se cambra d’avantage, prête à accueillir la queue inquisitrice.
Mais il lui pris la main et l’entraina dans l’open space, où il la mit à genou sur une chaise de bureau.
Marie regarda autours d’elle inquiète. La lumière était éteinte, on ne pouvait pas les voir depuis les voitures qui passaient.
Claude ne lui laissa pas le temps de s’inquiéter.
Il se mit à genou derrière elle, saisie à pleine main les fesses de Marie qu’il écarta pour y plonger la langue, passant alternativement des petites lèvres à l’anus, dans lequel il enfonçait la langue autant qu’il le pouvait.
L’excitation de Marie l’emporta vite sur son appréhension, et elle ne tarda pas à gémir son les coups de langue de Claude.
Elle glissa même une main vers son entrejambe, se caressant frénétiquement le clitoris.
Il ne fallut pas longtemps pour qu’un premier orgasme la secoue. Sentant celui-ci, Claude se releva et s’enfonça d’un coup dans le sexe de Marie, un pouce glissé dans son anus.
L’orgasme de Marie fut si fort qu’elle ne put s’empêcher de crier plusieurs fois, alors que le sexe de Claude tapait le fond de son vagin, le haut de ses cuisses claquait contre ses fesses, le pouce entièrement enfoncé dans le royaume de Sodome.

Claude se retira lentement, sentant encore les dernières contraction du vagin.
Elle se cambra, implicitement prête à le sentir finir dans son cul.
Mais il la fit se lever, et l’entraina dans la salle de réunion, ou il la fit se coucher sur la grande table, sur le dos.
Ne lui laissant pas le temps de comprendre, il plongea immédiatement la tête entre ses jambes pour lui lécher le sexe trempé et sucer le clitoris qu’il n’avait jamais senti aussi gros et aussi dur.
Elle tenta de le repousser, mais il le tenait fermement et suçait le clitoris avec délectation, l’aspirant entre ses dents pour le mordiller ; Elle ne tarda pas à jouir une seconde fois.
Il la retourna alors sur la table, les jambes touchaient maintenant le sol.
Ecartant les fesses, il passa un dernier coup de langue avant de présenter son gland à l’entrée de service.
Poussant doucement mais régulièrement, il sentait l’étroit passage s’ouvrir sous la pression, jusqu’à ce qu’il bute contre ses fesses.
Il commença alors ses va et vient, de plus en plus forts.
En gémissant sous les coups de boutoir, Marie ouvrit les yeux. A 30m, l’immeuble adjacent était entièrement éclairé, on pouvait distinguer une 20e de personnes en train de trinquer.
Elle se crispa immédiatement, ce qui eut pour effet de serrer encore plus le sexe de Claude, qui ne s’arrêtait pas.
Elle lui dit : ‘il y a du monde ‘ entre 2 aller/retour. Il lui répondit simplement ‘je sais’ avant de continuer.
Claude était excité par la situation, et il savait qu’il ne tiendrait plus très longtemps.
Il modifia légèrement son mouvement, en laissant systématiquement sortir son gland du trou maintenant béant de Marie, avant de s’enfoncer jusqu’à la garde.
Sur le point de jouir à son tour, il entendit Marie crier pour son 3e orgasme. Peut-être son premier orgasme purement anal, la position à plat sur la table ne lui permettant pas d’exciter son clitoris pendant la pénétration.
C’est sur cette pensée hautement excitante que Claude accéléra encore, sortant et entrant dans les fesses de Marie comme un beau diable, qu’il finit par se vider, planté jusqu’à la garde, au fond du canal étroit. Elle cria avec lui.
Il ne bougea pas, laissant son sexe dégonfler lentement. En silence, tous les 2 regardaient la fête se dérouler à quelques pas, nu et emboité sur la table de la salle de réunion juste en façe.
Au moment de sortir son sexe, Claude plaqua une main sur le dos de Marie, et saisi le plug qu’il avait apporté, pour l’enfoncer sans difficulté dans le trou encore béant. Il prit place naturellement.
Puis il se rhabillèrent pour aller terminer les photocopies, avant de repartir vers la maison. Dans la voiture elle ne dit qu’une phrase : ‘j’ai bientôt de nouvelles photocopies à faire’




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Histoire de benoitClaude

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Commentaires du récit : Photocopies au bureau

Le 02/01/2024 - 06:20 par OlgaT
Excellent!
Le 28/12/2023 - 17:45 par valeriane
J'adore

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