Maman se lâche 2

Maintenant Estelle se sent revivre sexuellement. Elle enlace son fils en le serrant très fort entre ses bras. Sans se poser de questions, elle cherche ses lèvres, sa langue se noue à celle de son fils, qui frissonne au contact des lèvres maternelles sur les siennes. Leurs langues s'enroulent comme deux reptiles qui cherchent à s'accoupler. Le souffle des deux amants est court, les cœurs battent la chamade dans les poitrines oppressées, qui se soulèvent, au rythme de la respiration.
Les lèvres se séparent un court instant, pour se ressouder encore plus fiévreusement. Les baisers sont fougueux et très longs. Les salives se mêlent, les soupirs sont profonds. Estelle ne cesse de répéter :

-Oh mon chéri, mon chéri !

Elle fond de bonheur, cela fait des années, qu'elle n'a pas fait l'amour, son corps est fébrile, son visage rayonne. Les deux corps s'agitent l'un contre l'autre. Comme une anguille, Gilles se glisse entre les cuisses de sa maman. Elle sent peser contre son bas-ventre le glaive de chair de son jeune amant prêt à la pourfendre. Le membre n'a pas besoin de GPS pour trouver l'ouverture. Le gland appuie fortement sur les grandes lèvres qui s'écartent en laissant le passage au pieu gonflé de désir. Lentement, le gland large s'enfonce dans le conduit humide, en raclant les muqueuses sensibles. Estelle pousse un long râle pendant la lente pénétration. Elle s'accroche à son fils en geignant de plaisir. Le long moment d'abstinence qu'elle a eu, lui avait fait oublier le bonheur que c'était d'être pénétrée par une bite puissante. Elle souffle comme un bœuf en se cramponnant à son jeune amant qui n'est autre que son fils. Elle se met à agiter son bassin en grognant de plaisir, ses mots sont inaudibles et saccadés. Elle se cabre en poussant un gémissement, à chaque coup de reins que lui donne son fils. La bite vigoureuse qui voyage dans son ventre en lui labourant les parois, prend rapidement de la vitesse. Les grosses veines apparentes, qui déforment la hampe épaisse, lui raclent fortement la gaine de chair en la faisant couiner de bonheur.


Estelle défaille en s'accrochant à son fils, comme une pieuvre à son rocher. Dans la chambre résonnent les gémissements bruyants des amants. La bite entre et ressort de l'antre en faisant gémir Estelle qui marmonne faiblement :

-Oh, c'est bon mon chéri, baise bien ta maman, rends-la heureuse, oh mon Dieu mon chéri !


Le gland dilate admirablement le conduit vaginal, qui n'a connu, que depuis de longues années, que des attouchements digitaux et aussi parfois quelques pénétrations, genre carotte ou petit concombre. Gilles a déjà trouvé sur la table de nuit ce genre d'objets, oubliés pas la maman en manque de sexe, cela le faisait sourire.
Là, c'est autre chose, une queue puissante voyage dans le ventre de sa maman qui pâme de bonheur. Gilles donne de formidables coups de bélier, comme s'il voulait traverser le corps de sa maman. Le gland propulsé avec force bute contre le col de l'utérus comme pour en forcer le passage, ce traitement spécial, fait gémir Estelle, elle grogne comme une bête en rut, agite son bassin en donnant elle-même des coups de reins violents. La coquine révèle sa vraie nature, elle aime être prise sauvagement, elle se mord un poignet en marmonnant :

-Plus fort mon chéri, oui plus fort mon Dieu, je vais jouir mon chéri ouiiiiiiiiii !


Elle se cabre et explose de jouissance en giclant sur les couilles de son fils, qui augmente la cadence. Le pieu coulisse dans la gaine de chair, comme une épée dans son fourreau. Estelle plane, elle est hors sol. Ses gémissements ressemblent étrangement à des plaintes d'agonisante. La bite courageuse fait office de piston dans la gaine détrempée. Les râles de la maman sont effrayants, elle agite son bassin comme une forcenée, ses yeux sont presque révulsés, à la commissure de ses lèvres s'écoule un filet de bave. Estelle semble en transe, elle halète fortement. Soudain une giclée brûlante de sperme la fait cabrer. Gilles vient de déverser dans le ventre de sa maman sa semence épaisse. Infatigable, il continue de la démonter avec de grands coups de boutoir. Estelle est au bord de la syncope, elle se cambre comme un pont, en poussant un long gémissement, et explose une seconde fois de jouissance. Gilles reste en elle un long moment avant de retirer son engin gluant du ventre maternel.

Les souffles sont courts, les respirations très rapides. Les deux incestueux s'embrassent langoureusement, avant de s'endormir, blottis l'un contre l'autre. Le réveil s'annonce difficile.