Rose, ou un amour impossible 3

La bouche avide de Théo parcourt le torse de sa belle-mère, elle descend lentement vers le ventre, la langue rapeuse fouille un court instant le nombril avant de reprendre son approche vers le temple de vénus. Rose de cabre, elle angoise, elle a peur des conséquences. Elle pousse un long gémissement lorsque la bouche de son amant se pose sur sa fente. Théo aspire la protubérance de chair, la suce à en fa ire geindre Rose. Comme par miracle, le clito enfle de plus en plus. Théo le suce comme un bonbon. Rose s'agite sur la table, en ne sachant pas ce qu'elle veut :

-Non, Théo, non, je t'en prie, oh oui mon Dieu, je suis une salope, je couche avec mon beau-fils !

Théo s'acharne sur la boule magique, qui devient monstrueuse, Rose s'arc-boute en soufflant comme un dragon, elle ne peut retenir sa puissance, un cri strident retentit, il faut dire que Rose est très expressive. Son fruit suinte abondamment, son jus gave l'amant qui enfonce sa langue le plus loin possible dans le vagin brûlant de son amante. Il en fouille chaque recoin. Rose gémit, elle ne retient plus ses râles, elle a complètement oubliée son mari. Elle se tend comme un arc et jouit affreusement fort, elle serre les poings, honteuse de prendre du plaisir avec un autre homme que son mari, elle se met à sangloter. Théo se redresse, regarde l'abricot lâcher son jus, il baisse son pyjama et enfonce son Priape profondément dans le ventre de Rose qui pousse un long gémissement pendant la pénétration. Théo fait voyager sa queue dans la gaine humide en lui faisant prendre de la vitesse. Rose s'accroche à son amant puissant, qui ne cesse de lui pilonner le ventre à grands coups de reins. Elle pâme de bonheur, gémit comme une bête blessée, en agitant son bassin. Théo est un redoutable amant, infatigable, il emmène Rose au septième ciel en la faisant jouir plus que son mari. Théo, avant de lui remplir le ventre de son sperme, lui donne encore quelques estocades brutales. Il se raidit et déverse dans le corps de son amante le plus de semence possible, comme pour marquer son territoire. Soudain la porte claque, les amants sursautent, c'est le mari qui entre. Rapidement, Théo se retire du vagin débordant de semence, remonte son pyjama et s'assoit autour de la table.


Rose se démène comme elle peut, elle saute de la table et se rajuste comme elle peut et saisit d'un geste, rapide le verseur à café. C'est à ce moment précis que Pierre fait son apparition dans la cuisine. La main de sa femme en versant le café dans le bol de Théo tremble. Pierre sursaute et dit :


-Oh là vous avez vu le diable, vous en faites une tête ?


Rose répond :

-Non mon chéri, tu es rentré si brusquement que tu nous a fait peur !


Pierre sourit et dit :

-Excusez-moi d'avoir interrompu votre tête-à-tête mes chéris !


Le week-end se passe avec un peu de tension, à chaque occasion d'être seul avec Rose, Théo la caresse, l'embrasse furtivement. Chaque matin, une fois Pierre parti à son travail, les deux amants font l'amour comme des bêtes. Rose et enchantée de la résistance de Théo, qui arrive à la faire jouir plusieurs fois à chaque ébat.
Voilà ce sont les vacances, comme prévu, Cloé débarque, elle est reçue à bras ouverts, on lui montre sa chambre, ou elle peut prendre ses aises. Théo est ravi de revoir Cloé, les deux savent qu'ils c'est passé quelques chose entre eux. Ils se lancent des regards enjôleurs, des sourires qui, on disent long. Il est tard, il faut se coucher. Chacun rejoint sa chambre, Pierre honore sa femme en la défonçant comme un sauvage. Théo boue dans son lit, il massacre son oreiller, se masturbe plusieurs fois. Puis il se dit pourquoi pas en profiter, il saute de son lit et entre doucement dans la chambre de Cloé. Il lui faitun signe chut en posant son index sur ses lèvres et dit doucement :


-Il faut parler doucement, on entend tout d'une chambre à l'autre !


Cloé sourit et répond :

-Oh oui, je viens d'entendre Pierre et maman faire l'amour, oh la vache comme maman gémit fort, on n'entend qu'elle !


Théo retire son pyjama et prend place à côté de Cloé, il lui remonte la nuisette et commence-les préliminaires. Cloé doit se mordre la main pour ne pas gémir trop fort. Les deux fort l'amour jusqu'à plus soif. C'est très tard dans la nuit, on va dire au petit matin, que Théo rejoint sa chambre. Pendant le petit déjeuner, les deux se font du pied sous la table. Les sens s'éveillent, Théo ne cesse de regarder sa belle-mère. La queue de Théo est rapidement opérationnelle. Rose se lève et fait le tour de la table pour resservir du café. Ses yeux se posent sur l'énorme bosse qui déforme le pyjama de son amant, volontairement, elle fait tomber une serviette sur le sol. Elle se penche et pendant qu'elle ramasse l'objet, elle presse fortement la verge bandée. Elle se reléve et souriant. Théo lui rend son sourire, et lorsqu'elle se rend à la cuisine, il se lève pour la rejoindre. Il l'enlace, lui donne pleins de baisers sur le visage, en lui caressant l'entrejambe. Rose saisit le manche tendu et le branle un court instant au travers du pyjama, en surveillant la porte qui est restée ouverte. Théo lui dit faiblement :


-Je te veux, mon amour, retrouve-moi après le petit déjeuner, dans le petit chalet au bout du jardin, mais retire tes sous-vêtements, pour ne pas perdre de temps !


Une fois la table débarrassée, Rose va dans la salle de bain, retire ses vêtements, sans omettre son soutien-gorge et sa culotte, et enfile une blouse. Elle a hâte de retrouver son amant. Pierre part s'occuper d'un parterre de fleurs qui se trouve derrière la maison. Cloé, c'est proposée pour faire la vaisselle.




Rose arrive dans le chalet, Théo à déjà la bite hors de son pyjama, le bougre la maintient opérationnelle en la caressant. Rose tombe à genoux devant son amant et maitre, elle saisit sa bite, la décalotte et se met à la sucer avec amour, elle s'évertue à faire une pipe d'enfer. Théo reconnait que sa belle-mère s'améliore. Pendant qu'elle le suce, il lui caresse les cheveux. Théo se cabre en disant :


-C'est pour toi mon amour, hum comme tu es bonne !

Il déverse dans la bouche de son amour un flot de sperme, qu'elle avale difficilement en déglutissant bruyamment. Elle se relève, s'essuie d'un revers de la main ses lèvres, et ouvre sa blouse en disant :


-Prends-moi mon amour, je suis chaude comme de la braise !

Théo lui embrasse le torse pour terminer sur la chatte, sa langue habile, fouille le temple de vénus, lui agace le clito. Pour Rose, c'est le summum du bonheur, elle jouit en ne retenant pas ses gémissements. Elle dit :

-Prends-moi, prends-moi Théo, je suis à bout !

Il lui relève une cuisse à hauteur de sa hanche et la maintient appuyée contre, pour ne pas chuter, Rose s'accroche au cou de son amant. Il dirige sa bite raide contre l'abricot juteux. Il l'enfonce jusqu'aux couilles et besogne Rose jusqu'à ce qu'elle jouisse à nouveau. À chaque coup de reins qu'il donne, Rose est décollée du sol, empaler comme jamais, elle gémit en jouissant encore comme une malade. Théo grince les dents et éjacule dans le ventre de son amour. Soudain la porte du chalet s'ouvre, c'est sa fille qui entre. Elle sursaute en criant :


-Maman, mais qu'est-ce que tu fais, tu baises avec ton beau-fils, mais tu es folle, c'est immorale !
Et toi Théo, la fille ne te suffit pas, il te faut aussi la mère, salaud !


Théo et Rose restent soudés, la maman regarde sa fille avec des yeux hébétés, elle a du mal à comprendre ce que raconte sa fille. Lentement, le couple se désunit. La chatte de Rose laisse échapper le surplus de semence, quant à la bite de Théo, elle laisse tomber sur le plancher quelques gouttes de sperme. Théo explique, longuement, comment lui et sa maman en sont arrivées là. Cloé pousse un gros soupir et dit :


-Et Pierre, vous avez pensé à lui, et comment il va prendre ça le pauvre, vous ne pouvez plus vous taire, il faut lui dire la vérité !



Soudain une voix se fait entendre. C'est Pierre qui se teint sur le pas de la porte.

-Pas la peine de m'expliquer, c'est très clair ce que je vois, Rose, tu me trompes avec mon fils, donc j'en conclus que tu ne m'aimes plus !


Rose se jette dans ses bras et implore son pardon :

-Pierre, je te demande de me pardonner le mal que je te fais, je ne sais pas ce qui m'a pris, j'ai cédé aux avances de Théo qui m'aime comme un fou, je crois que moi aussi, je l'aime !


-Pierre réplique :

-Mais pourquoi tu m'as fait ça, tu ne m'aimes plus !


Rose en larme répond :

-Mais oui, je t'aime, je deviens folle, car je vous aime tous les deux aussi fort !
Je te le prouve chaque soir en me donnant à toi comme une furie, et à toi Théo à chaque fois que tu me désire, ce qui s'est passé est inexplicable, un coup de foudre qui nous a fait perdre la tête, oh comme je m'en veux d'avoir agi de la sorte, mais si tu ne veux plus de moi, je le comprendrai, je partirai !


Pierre l'enlace et la serre contre lui très fort, il sait qu'elle est sincère, il lui dit :

-Mais je ne veux pas te quitter, il y a toujours moyen de s'arranger, des ménages à trois cela excite, tu sais m'a chéri !


Cloé se fait boudeuse, en fronçant les sourcils, réplique :

-Et moi alors pendant mes vacances, je vais faire ceinture, Nada de bite pour moi alors ?


Pierre en bon seigneur répond en souriant :

-Et pourquoi ne pas innover, faisant ménage à quatre durant tes vacances, tu es jolie à regarder et tu dois être, j'en suis sûre, un bon coup !



Théo en riant réplique :

-Je confirme, c'est un bon coup, telle-mère, telle-fille !

Les quatre sont soulagés de la suite des événements, Rose embrasse fougueusement son mari. Théo qui assiste à la réconciliation, réclame sa part. Rose, une fois qu'elle a terminée le baiser avec son mari, embrasse Théo comme une affamée. Rose et Théo se rajustent, les quatre se donnent rendez-vous au salon, la journée ne fait que commencer. Tour en se dirigeant vers la maison, Pierre tripote le cul de Cloé, il se dit, elle se tape mon fils, je vais metaper sa fille ce n'est qu'une juste réparation.