Sara st son papy 1

Simon, et Georgette, ont une petite fille formidable, Sara, la petite passe plus de temps chez ses grands-parents que chez elle. Les deux l'adorent, ils cèdent à tous ses caprices. Bien que ses parents habitent quelques maisons plus loin, elle passe la plus grande partie de sa journée chez papy et mamy. Les deux sont fous de leur petite fille. Ils lui ont même aménagés une petite chambre, un vrai nid d'amour. La petite coquine avant de plonger dans les draps douillets de son lit, elle se faufile habilement entre son grand-père et sa grand-mère pour un ultime câlin qui dure plusieurs minutes. Les années passent, Sara grandit, malheureusement, sa mamy n'est plus de ce monde, le papy a vieilli, ses rides lui donnent un charme fou. Journalisèrent, Sara rendre visite à son grand-père après ses cours de la fac.


Le papy rayonne à chaque fois qu'il voit sa petite fille, à chaque fois, c'est le même cérémonial, ce sont des embrassades interminables. Ils prennent un café ensemble et prennent place dans le canapé, l'un contre l'autre. Sara comme quand elle était petite se blottit contre lui en ronronnant de bonheur, elle regarde son papy avec tendresse, lui, il lui sourit et l'embrasse à chaque fois que l'occasion se présente. Comme un rituel journalier, Sara enjambe son grand-père et s'assoit sur ses genoux, elle le prend par le cou et lui donne de nombreux baisers sur tout le visage. Mais aujourd'hui c'est différent, elle le regarde intensément et appuie ses lèvres sur les siennes. Les yeux bleus du papy s'emplissent de larmes, il enlace sa petite fille en tremblant. Sara libère les lèvres tremblantes de son grand-père et gobe les larmes
salées du bonheur avec une douceur extrême. Le vieux bonhomme et très ému, il veut dire quelque chose, mais les lèvres brulantes de Sara se posent sur les siennes, la langue s'engouffre dans sa bouche entrouverte du papy, et cherche à se nouer à la sienne.


Le baiser est un vrai baiser d'amour que donne Sara. Elle détache ses lèvres et regarde le vieil homme amoureusement. Simon en béguant demande :


-Mais qu'est qui te prend ma chérie !

Elle le regarde, le serre très fort et répond :

-Mon papy, je t'aime, c'est plus fort que moi !
Tu te souviens, lorsque j'étais petite, je voulais me marier avec toi, toi, tu riais, j'étais déjà amoureuse de toi à cette époque !

Simon reste sans voix un petit instant et dit faiblement :

- Ma chérie, moi aussi, je t'aime, mais c'est platonique !

Sara semble agacée, elle réplique :

-Eh bien moi, ce n'est pas platonique papy, je t'aime, je t'aime, tu sais ce que cela veut dire, chaque jour, je pense à toi, je deviens folle d'amour !

Elle se jette dans ses bras et lui donne un baiser plus que fougueux, à la limite de la sauvagerie.

Ils manquent de tomber sur le canapé, tellement le baiser et violent. Simon se résout, il rend le baiser en serrant très fort sa petite fille. Sara s'agite contre lui, cela semble plaire au papy de plus de septante ans, qui ondule du bassin. La main de Sara habilement dégrafe la ceinture du pantalon, et le fait descendre lentement. Elle attrape au passage le slip qui emprisonne la verge encore molle. Et lui fait suivre le même chemin. Enfin, après quelques manœuvres habiles, le bas ventre du grand-père se dénude. Sara saisit la verge au repos et commence un branlage que le papy trouve délicieux. Progressivement la queue se dresse, malgré son âge le papy est encore vert. Sa queue devient dure, Sara la dévore des yeux, et l'agite encore plus énergiquement. Simon gémit en disant :

-Nous sommes fous, m'a chéri, oh mon Dieu, cela faisait si longtemps qu'une femme, n'avait jouée avec ma verge, que j'en avais oublié le bonheur que c'était !

Sara décalotte le gland et le gobe, le grand-père se cabre, Sara le suce avec ardeur pour le plus grand plaisir du papy. Mais ce qui devait arriver arriva, Simon pousse un long râle et gicle dans la bouche de sa petite fille qui se regarde avec la semence abondante.



à suivre