Roland reprend gout à la vie 2

Cloé tend la main et la pose sur le ventre de son papa, elle étale sur le ventre de son papa la semence visqueuse, qu'elle a fait jaillir de sa lance. Elle saisit brusquement la verge et le décalotte, elle regarde avec attention le cèpe imposant, qui chapeaute le mandrin, qui lui aussi est de bon diamètre. Cloé passe la paume de sa main plusieurs fois sur le gland violacé. Son papa rugit sous l'habile attouchement, en se cabrant, il dit :

-Oh Cloé ma chérie, c'est monstrueux ce que tu fais à papa !

Cloé, fière de faire geindre son papa, lui sourit et donne des coups de langue sur le gland, comme elle l'a vu faire dans le film. Roland souffle comme un animal en rut, se cambre fortement et dit :

-Suce ma chérie suce, j'en peux plus, je vais éjaculer !


Cloé ouvre la bouche et encercle le gland de ses lèvres pulpeuses. Le papa pousse un gémissement d'approbation en se cambrant davantage. Cloé suce et tète en essayant d'imiter les acteurs pornos. Roland est étonné par l'ardeur que sa fille met à l'ouvrage. La coquine lui triture d'une main agile, les bourses velues bien pleines de semence. Sa langue rapeuse monte et descend le long du mât de chair veiné monstrueusement. Elle redresse la tête, regarde son papa puis gobe le mandrin en tentant de faire une gorge profonde. C'en est trop pur le papa qui lui attrape les cheveux et tire dessus, le bougre lui baise la bouche brutalement. Un filet de bave s'échappe à la commissure des lèvres de Cloé. Roland enfonce si loin sa verge que Cloé en a des hauts le cœur. Il se raidit et lui envoie une giclée puissante dans la gorge. Cloé le repousse fortement, car elle manque d'étouffer. Le papa l'encourage :

-Avale ma chérie, avale !

Les yeux larmoyants, Cloé déglutie difficilement, après de nombreux efforts, elle parvient à avaler la totalité de la giclée. Son papa lui caresse les cheveux, l'attire contre lui et l'embrasse fougueusement. Le baiser dure un long moment. Enfin, il cesse, mais Cloé l'embrasse à nouveau, la coquine trouve cela bon, elle fronce les sourcils lorsque son papa lui remplit la bouche avec sa salive. Mais elle se dit que maman devait aimer ça. Elle avale le jus un peu salé et soudainement, elle aussi noie la bouche de son papa avec son écume salivaire. Cloé s'allonge sur son papa, elle se blottit contre lui en le serrant dans ses bras et lui dit avec quelques trémolos dans la voix :

-Aime-moi papa comme si j'étais maman, fais-le, j'en ai trop envie mon papa chéri !

Les deux se regardent un long moment, plus besoin de mot, ils se parlent avec les yeux. Cloé libère son papa, et retire rapidement son t-shirt. Ses petits seins jaillissent, les bouts sont larges et épais. Elle pose ses mains sur son short de nuit, mais son papa l'arrête :

-Non ma chérie, je vais le faire moi-même !

Cloé et debout, son papa s'agenouille face à elle. Il saisit le haut du short et le tire doucement vers le bas
Lentement, il lui découvre le ventre plat.Au passage, il profite de donner quelques petits baisers, sur le ventre et la fine toison qui cerne le temple de l'amour. Il renifle comme un chien l'odeur affolante de la petite chatte, avant de lui donner de nombreux coups de langue. Cloé se laisse choir sur le lit, son papa pose sa bouche sur ses mamelons et le suce si fort que Cloé geint comme une bête malade. Sa bouche descend sur le ventre pendant qu'une de ses mains pétrie les petits seins qui sont de nature bien ferme. La bouche s'engouffre dans le compas que forme les jambes. Cloé pousse un râle terrible, la langue se son papa vient de s'enfoncer dans sa chatte étroite et la fouille le plus loin possible. La vulve rapidement se noie de jus que Roland avale avec gourmandise. Il gobe la petite boule sensible, elle lui échappe souvent de la bouche, car le clitoris n'est pas très gros. Avec patience, le papa s'acharne sur la boule qui double de volume. Cloé gémit de plaisir, elle appuie sur la tête de son papa pour qu'il accentue la pression sur son clito. Soudain, elle pousse un hurlement et jouit si fort que son corps tremble comme une personne en transe.


Roland juge que sa fille est à point. Il prend place entre ses cuisses et place son membre contre les grandes lèvres. Il pousse, Cloé grimace, le gland s'engage dans le conduit, le distend et s'enfonce lentement dans le ventre de Cloé. Une résistance se fait sentir. Le papa se redresse, soucieux, et regarde sa fille. Il lui dit :

-Mais ma chérie, tu es encore vierge ?

Cloé serre plus fort son papa contre elle et répond timidement :

-Oui papa, tu es le premier, va doucement, je t'en prie !

Roland donne un coup de reins, Cloé pousse un cri de douleur, elle ressent une brulure intense lui traverser le ventre. L'hymen vient de céder, le membre s'enfonce profondément dans son vagin étroit. Le papa prudent cesse de bouger, sa queue enserrée dans l'étui de chair palpite. Petit à petit, Roland commence un très lent va-et-vient. Cloé s'accroche à lui en grinçant des dents. La vitesse augmente, la douleur, que ressent Cloé
s'atténue. La verge paternelle coulisse avec douceur dans la gaine qu'elle distend. Au fur et à mesure, Le Vagin s'adapte au diamètre de la verge. Cloé grogne en agitant son bassin, le pilonnage devient plus intense
les râles de Cloé aussi. Le but que recherche son papa est atteint. Cloé se cabre et poussant un cri monstrueux de jouissance. Roland maintenant ne la ménage plus, il la défonce comme un soudard affamé.

Il se raidit, pousse un rugissement rauque et remplit la jeune chatte de sa semence brulante. Cloé continue de s'agiter, la coquine en veut encore, le papa reprend ses assauts, mais ils plus violents. C'est l'explosion assurée pour Cloé qui tremble en jouissant plusieurs fois de suite. Enfin, le papa incestueux, retire son engin du ventre en ébullition de sa fille. Il se redresse et caresse un moment la fente qui laisse échapper un filet blanchâtre, mêlé à du sang. Il pose sa boche dessus et fouille le conduit fraichement dépucelé. Cloé se cambre, elle ne cesse de geindre de plaisir, d'un coup, elle se raidit, la langue de son papa vient de poser sur son anus et le lèche. Cette novelle sensation inconnue de Cloé, jusqu'alors, la fait couiner de bonheur. Difficilement, la pointe de la langue s'enfonce de quelques centimètres, dans la gaine encore insondée. Cloé frémit fortement, en gémissant :


-Mon Dieu, mon Dieu papa, tu me tues !

Son anus se met à être secoué de frémissements incontrôlables. Cloé se cabre et jouit du cul pour la première fois de sa vie. Son papa lui propose la sodomie, la réponse de Cloé ne ce fait pas attendre :

-Non, non papa, je ne suis pas encore prête à ce genre de pénétration, laisse-moi du temps !

Les deux amants s'enlacent et s'embrassent comme pour celer un pacte d'amour.