Tentation 1

Louise a été veuve dès le début de son mariage, mais, une fille est nait de cette union, elle s'appelle Manon. la jeune femme à maintenant 26 ans et travaille dans une banque, elle c'est mariée, il y a trois ans et habite chez sa maman avec son mari Lucas. Les trois vivent heureux, dans la grande maison. Ils s'entendent parfaitement bien, ils partent en vacances ensembles, aucune ombres jusqu'à présent ne gâchent leur bonheur.


Chaque soir, c'est comme un rituel, Louise dans sa chambre, se place devant sa coiffeuse et se brosse longuement les cheveux, elle ne porte qu'une petite nuisette courte sans rien en dessous. Une fois ses cheveux lissés, elle se lève, se regarde dans le miroir, tire un peu sur lesquelles rides naissances, en poussant un gros soupir, puis soupèse sa lourde poitrine en faisant une moue. Elle se regarde les formes, en se contorsionnant devant la glace, toujours en faisant la moue, elle se trouve pleine de defauts. Il faut dire que cette femme qui dépasse la soixantaine, a encore de beaux restes, elle n'a jamais songer à se remarier, ni à chercher une aventure occasionnelle., elle est heureuse comme cela.
Enfin, elle entre dans son lit. Mais là, n'y à une chose qui cloche, c'est que les chambres se côtoient et Le soir, pendant que Manon et son mari s'envoient en l'air, la paroi est si mince, que la maman entend leurs gémissements. Cela la met dans un état pas possible. Elle serre les poings, s'agite et à chaque fois cela se termine de la même façon. Elle repousse les draps avec ses pieds, remonte sa nuisette et écarte les cuisses. Elle serre entre ses doigts son clito puis, le masturbe en serrant les dents.



Il faut dire que Louise a l'ouïe fine, à chaque gémissement du duo, elle s'imagine des choses que la morale réprouve. La coquine, ce fait un cinéma, son imagination fertile, la met au centre des ébats. Elle se voit soumise, et se cabre sous les mains imaginaires qui parcourent son corps. Elle se masturbe si fort qu'elle se mort la main pour ne pas hurler de plaisir pendant qu'elle jouit. Mais les deux jeunes son fougueux et résistants. Louise doit remettre la main à la pâte. Elle se fouille profondément le vagin, elle cherche à y enfoncer entièrement sa main, mais c'est sans succès. Elle doit se contenter, de faire des demi-rotations avec quatre doigts bien plantés en elle. Sa vulve est brulante, elle se cabre en geignant, de sa main libre, elle se masturbe le clito avec rage. Soudain, elle s'arc-boute en poussant cri terrible, qu'elle ne peut contenir. Sa jouissante est intense, elle noie le lit de son jus. Louise halète fortement, sa respiration est rapide. Soudain, elle sursaute, la porte de sa chambre vient de s'ouvrir brusquement, c'est Manon et son mari qui font irruption. Ils restent figés en voyant Louise jambes largement ouvertes, les deux s'approchent du lit. Louis tétanisé devient rouge de honte. C'est sa fille qui prend la parole :


-Maman, nous t'avions entendu crier, nous avions pensé qu'il t'etait arrivé quelque chose !

Louise ne pense même pas à remonter les draps pour recouvrir son corps tellement elle est figée. Lucas en souriant dit :

-heureusement ce n'est que cela, eh bien cela me rassure belle-maman, continuez !


Au passage, le vicieux regarde la chatte humide de sa belle-mère en souriant. Louise ne sait plus où se mettre tant elle est honteuse, elle tire brusquement sur les draps et recouvre son corps. Les deux regagnent leur chambre, pour terminer la nuit. Louise, comme chaque jour, est la première debout, elle enfile sa culotte et un peignoir, et descend préparer le petit déjeuner pour Lucas et sa fille, elle dresse la table en les attendant. Les deux descendent l'escalier, Manon s'étire comme un félin, Lucas lui se frotte la tignasse en bâillant. Ils embrassent à tour de rôle Louise, puis prennent place autour de la table. Louise, zélée, sert le café et s'assied en face de son gendre. Les regards se croisent, Louise a le regard fuyant, elle repense à ce qui s'est passé cette nuit. Soudain, elle sursaute, le pied de son gendre vient de buter le sien. Elle ravale sa salive, Lucas insiste, son pied appuie contre la cheville de Louise, qui se met à frémir. Elle n'ose relever la tête, Lucas retire sa pantoufle et monte son pied entre les jambes entrouvertes de Louise. Elle ne veut pas réagir trop brusquement, pour que sa fille, ne pose pas de questions. Lentement, le pied glisse entre les genoux et s'avance vers le temple que le coquin a admiré hier. Louise serre les cuisses, mais les orteils sont déjà contre sa chatte et appuient dessus. Elle n'ose pas faire un mouvement, elle fixe du regard son gendre qui mine de rien boit son café tranquillement. Le bougre fait bouger ses orteils sur la fente qui rapidement humidifie la culotte.


Louise pour échapper à l'audacieux gendre, n'a qu'un recours, elle se relève brusquement pour se rendre à la cuisine. Manon, elle vient de terminer son petit d'EJ, elle se lève pour se rendre à la salle de bain. Lucas profite de l'occasion pour rejoindre Louise dans la cuisine. Elle est appuyée contre le buffet, pensive. Lucas, d'un geste habile, lui fait tomber le peignoir, l'enlace et se plaque contre elle, il la serre très fort contre lui, en lui murmurant à l'oreille :

-Belle-maman, à cause de vous, j'ai passé une nuit très agitée, je ne pensais qu'à votre corps que j'ai vu dénudé jusqu'à la taille hier, hum quelle belle chatte que vous avez !

Louise se raidit et répond très mal à l'aise :

-Lucas, reprenez-vous, cela n'était qu'un incident, votre intrusion dans ma chambre ma même très, très gênée !

Il ondule du bassin contre la croupe de Louise, en geignant doucement, sa verge se raidit dans son pyjama. Il lui donne quelques petits baisers sur le cou, en disant :

-Vous sentez comment elle aussi vous desire !

Louise sent le membre de son gendre encore prendre du volume contre ses fesses, elle se dégage difficilement de l'étreinte de son gendre. Elle lui fait face, instinctivement, elle pose ses yeux sur la bosse énorme qui déforme le pyjama. Lestement, il l'enlace, se colle contre elle, sa joue et contre celle de belle-maman. Il lui mordille le lobe de l'oreille, elle sent contre son bas-ventre la verge dure comme du bois. Louise rugit, elle repousse comme elle peut l'envahissant gendre et dit :

-Clamez-vous Lucas, reprenez vos esprits, je suis la maman de votre femme tout de même, soyez raisonnable !

Le bougre ne l'entend même pas, il frotte sa virilité tendue contre le ventre de Louise, qui se met à trembler. Heureusement, la porte de la salle de bain s'ouvre, Lucas lâche sa belle-mère et rejoint rapidement la cuisine. Manon est prête pour le boulot, elle dit :

-Allez mon chéri, la salle de bain est libre, vas-y, je t'attends, nous ferons la route ensemble pour aller bosser !

Le cœur de Louise bat la chamade, elle se sent fébrile, elle avale d'un trait sa tasse de café, et papote en béguant avec sa fille. Lucas sort de la salle d'eau, enfile sa veste et il prend Manon par le bras, il fait un gros clin d'œil coquin à sa belle-mère. Puis les deux sortent. Louise est toute troublée, si seulement elle n'avait pas joui si fort hier soir, elle n'en serai pas là. Elle se laisse tomber sur le canapé, pensive. Elle ressent encore la verge tendue de son gendre contre son ventre. Elle est ailleurs, sa main se pose sur son ventre et descend sur son entrejambe, ses doigts glissent sur sa fente que seule protège la culotte, qui, rapidement, s'humidifie. Ses doigts agiles montent et descendent en appuyant sur les grandes lèvres. Elle cherche à travers le fin tissu son clito, elle l'agrippe, le coince entre ses doigts et le branle, jusqu'à ce qu'elle jouisse. Mais la tension est telle qu'elle n'en a pas assez. Elle écarte sa culotte d'une main et s'enfonce les doigts de l'autre, dans sa chatte dégoulinante. Elle ferme les yeux et se ramone énergiquement, en imaginant que c'est la queue de son gendre qui lui laboure le ventre. La coquine se fait jouir plusieurs fois avant de prendre sa douche. Elle est agitée toute la journée, elle semble impatiente. Les deux jeunes bosseurs ne vont pas tarder à rentrer, elle s'affaire pour le diner. Enfin, ils arrivent.

Lucas ne quitte pas des yeux sa belle-mère, elle ne l'evite plus, mais fronce les sourcils. pendant que le diner cuit, Louise s'assoit dans le canapé, sa fille la rejoint et se blottit contre elle, elle ronronne comme une chatte en appuyant sa tête contre l'épaule de sa maman qu'elle adore. Elle lève les yeux vers elle, les deux se sourient, puis Manon entame la conversation. Elle dit avec douceur:

-Maman, je sais ce qui s'est passé dans la cuisine ce matin, Lucas m'a tout raconté, tu vois je ne suis même pas fâchée des avances que le coquin t'a fait, au contraire, je suis heureuse qu'il m'ait avoué, qu'il te desire !
Pour qu'il ne le fasse pas derrière moi, si tu le désires petite maman, tu peux coucher avec lui, je suis consentante !

Louise sursaute, elle écarquille les yeux et réplique :

-Tu me demande de coucher avec ton mari, tu es sérieuse en disant cela !

Manon répond :

-Ma petite maman, il n'y a rien de plus sérieux, je sais qu'il te cherchera jusqu'à ce que tu ne lui cèdes, je connais bien l'oiseau, alors autant prendre les devants !


Louise reste dubitative un long moment puis répond :

-Et si j'y prend goût à la verge de Lucas, et que je ne peux plus m'en passer, qu'est- ce qu'il se passera ensuite !


Manon se redresse, dépose un baiser bruyant sur les lèvres de sa maman et répond en souriant :

-Eh bien, nous serons un couple moderne, nous nous le partagerons !


Louise se demande si ce n'est pas une mise à l'épreuve :

-Ma chérie, tu divagues, comment je pourrai te faire une chose pareille, toi qui es tout pour moi !


Manon commence à élever la voix :

-Mais maman, c'est oui ou c'est non, ne cherche pas midi à quatorze heures, il ne te plait pas mon homme !


Avec des trémolos dans la voix, Louise répond :

-C'est le contraire, je le trouve charmant !


Manon se lève un peu déçu de tant de réticences, et dit, si tu change d'avis, dis-le !

Elle se dirige vers la salle de bain pour se rafraîchir. Lucas vient prendre la place de sa femme auprès de Louise. Il la regarde et lui demande :

-Je sais que vous me désirez autant que je vous désire, avouez-le !


Louise le regarde, ses yeux s'emplissent de larmes et repond entre deux souffles :

-Oui, je vous désire aussi, et cela depuis que j'ai senti contre mon ventre votre virilité, je me suis même masturbée en pensant à elle !

Cela fait sourire le gendre, qui sans fioriture, lui saisit la main et la pose sur son sexe, surprise Louise tente retirer sa main de la bosse affreuse qui gonfle le pantaon de son gendre. Il dit en la dévisageant :

-Eh oui, je bande comme un démon, dès que je suis rentré du boulot, et que je vous ai vu, je me suis mis à bander !

Louise ne pense même pas à lâcher la verge raide, instinctivement elle la presse plusieurs fois, puis realise ce qu'elle fait. Elle retire brusquement sa main, quelques gouttes de larmes coulent sur ses joues. Elle respire bruyamment en tremblant. Lucas pose sa main sur sa cuisse, il la regarde droit dans les yeux et ...