Un amour vrai 1

Élodie et Roxanne se connaissent depuis peu, les deux femmes, bien qu'il y est une différence d'âge importante, s'entendent très bien. Un jour, Élodie, la plus âgée, invite Roxanne pour une petite collation, et pour faire plus ample connaissance. Élodie est depuis de nombreuses années, divorcée, d'un mari volage, elle vit seule avec son fils qui travaille dans une agence immobilière. Dès l'arrivée de Roxanne, les deux femmes s'embrassent sur la joue amicalement.
Le souffle de la jeune femme ressemble à une brise légère qui vient caresser avec douceur le visage d'Élodie, qui ferme les yeux, le souffle est si léger qu'il ressemble à un doux baiser.
Un grand trouble l'envahit, elle devient fébrile, ses mains tremblent. Elle se demande se qu'il lui arrive, La jeune femme remarque l'émoi d'Élodie, et profite un peu de la situation. Elle la prend par la taille et l'attire sans brusquerie contre elle. Élodie reste sans réactions, le bassin de son amie, se colle au sien, les visages sont très près l'un de l'autre. Élodie devient encore plus fébrile, elle ne comprend pas ce qu'il lui arrive, elle deglutie bruyamment. Les deux femmes se regardent longuement dans les yeux, leurs yeux brillent. Les lèvres de Roxanne s'approchent et frôlent celles d'Élodie, qui ne comprend toujours pas ce qu'il lui arrive. Elle voudrer fuir, mais une force étrange l'en empêche.


Roxanne est bien plus speed qu'Élodie, qui elle, est bien plus posée, sans doute l'insouciance culottée de la jeunesse. Les deux femmes n'ont pas encore échangées un mot. La jeune intrépide pose ses lèvres sur celles de son amie, qui défaille terriblement. La respiration d'Élodie s'accélère, elle rougit. Ses mains sont moites, sans savoir pour quelle raison, elle les posent sur les épaules de Roxanne, qui la serre très fort dans ses bras. Leurs lèvres se joignent pour un long baiser. Élodie veut repousser l'assaillante, mais les forces lui manquent. Machinalement, elle passe ses bras autour du cou de l'audacieuse. Les langues, maladroites, se cherchent pour enfin se nouer. Élodie ne comprend toujours pas qu'est-ce qui la pousse à ne pas résister. Elle ressent, une attirance irrésistible pour cette jeune femme, qui était il y à encore peu de temps une inconnue pour elle.



Pendant le baiser, une main habile de Roxanne parcourt le corps, de la femme stressée. Elle contourne ses formes, caresse son fessier bien rebondit un instant, avant de reprendre sa place sur la taille. Enfin le baiser se termine, Élodie, honteuse, rouge comme une pivoine, refuse de croiser le regard de Roxanne, qui lui relève le menton avec deux doigts, et c'est en lui caressant le visage qu'elle lui dit :

-Tu ne peux pas savoir comme je te désire !


Élodie, très étonnée par cet aveu qui la déstabilise, la regarde sans pouvoir dire un mot. Roxanne pose ses mains sur les hanches de la femme qu'elle aime, Élodie se met à frissonner, elle est au bord de l'évanouissement. Enfin, elle parvint à dire en béguant :

-Mais, mais, je suis une femme, en plus, je pourrais être ta maman !

Roxanne profite du trouble de son amie, pour déposer sur les lèvres fébriles d'Élodie un baiser bruyant et dit :

-Mais tu n'es pas maman, et de l'age, je m'en fous, je sens que nous allons nous aimer comme des folles !

Avec douceur, elle l'entraine jusqu'au canapé, la bascule dessus et l'enlace. Leurs lèvres se joignent pour un baiser qui étourdit, Élodie. L'adrénaline monte, elle est sur une autre planète, elle plane sans comprendre se qu'il lui arrive. Son cœur bat dans sa poitrine à se rompre. Le baiser qu'elles échangent et fabuleux, Élodie s'accroche à Roxanne, et la serre tendrement. Soudainement, elle reagit, repousse Roxanne et lui dit : !

-Mais qu'est-ce que l'on fait, nous sommes folles !

Roxanne la serre très fort et lui dit :

- Soyons folles !

Élodie sursaute, ne veux pas admettre qu'elle aussi la désire, elle se prend la tête entre les mains et dit avec des sanglots dans la voix :

-Non, non, ce n'est pas possible, cela ne peut être que platonique avec toi, de plus, je ne suis pas lesbienne !

POur toutes réponses, Roxanne hausse les épaules et la couche délicatement sur le canapé. Elle se penche sur sa proie, lui maintient les bras écartés, son visage est très près du sien, elle ne cesse de lui donner des baisers sur tout le visage :

-Alors si c'est platonique, pourquoi tu réponds à mes baisers !

Les yeux remplis de larmes, Élodie répond :

-Tu es un monstre, cesse de me tourmenter !

Elle sait que quelque chose se passe de très fort entre eux. Roxanne ne lâche pas l'affaire, e!le lui dit pleins de mots d'amour. Élodie est au bord de la crise de nerf, elle serre les poings, marmonne des phrases incompréhensibles. La main de Roxanne passe sur ses cuisses, glisse sous sa jupe qui a remonté plus mi-cuisses. Le corps d'Élodie est parcouru de nombreux frissons, incontrôlable. Bien que récalcitrante, Élodie répond à chaque baiser de Roxanne avec de plus en plus de fougue.
Sur ses joues roulent des perles salées, que Roxanne récupère avec la pointe de sa langue. Élodie, honteuse, serre les cuisses, sa culotte s'humidifie. La main qui glisse entre ses cuisses arrive à atteindre son but. Élodie pousse un gros soupir lorsque l'intruse lui caresse à travers le culotte humide sa vulve en feu. Roxanne est ravie, elle constate qu'Élodie n'est pas insensible à ses baisers et à ses caresses. Roxanne retire sa main, regarde droit dans les yeux la femme qu'elle desire, et un à un, fait sauter les boutons du corsage. Elle ouvre les deux pans, d'un geste habile, dégrafe le soutien-gorge à balconnet qui relève les petits seins d'Élodie.


Les petits lobes sont magnifiques, au centre des aréoles grenelées, se dressent des petits mats très épais. Roxanne ne peut s'empêcher de caresser les petits monts de chair, de les pétrir doucement avant de prendre entre ses doigts les bouts dresser fièrement au centre des taches brunes, et de les rouler longuement. Les bouts durcissent et enflent encore plus. Élodie est maintenant résignée. Son souffle et rapide, ses yeux embués laissent encore échapper quelques larmes. La bouche de la jeunette se pose sur les mamelons et à tour de rôle les suce, les tète à en faire gémir Élodie. Le corps soumis aux attouchements très précis de Roxanne est parcouru de nombreux frissons. Élodie souffle à chaque aspiration sur ses mamelons. La bouche qui n'est pas avare de baisers, descend sur le torse dénudé sans oublier une seule parcelle de peau.

Roxanne se redresse, regarde son amour qui est rouge pivoine, elle se palce face à elle et passe ses mains sous sa jupe. Élodie a un geste de défense, elle se cabre. Roxanne lui sourit et saisit la culotte, avec lenteur, elle la fait descendre sur ses jambes de la femme qu'elle desire, qui inconsciemment se tortille pour aider à la descente du tissu. La jupe suis la culotte, Élodie se retrouve nue devant Roxanne qui admire la fine toison qui encadre la vulve humide. Élodie dit avec des tremolos das la voix :

-Je dois devenir folle, si mon fils me voyait, je crois que je mourrais de honte !

Roxanne la rassure :

-Tu sais mon amour ton fils est adulte, il comprendrait surement la situation, l'amour au féminin cela existe, tu sais !

Pendant qu'elle culpabilise, Roxanne se met nue également, la jeunette à un corps de rêve, des seins bien plus gros que les siens, des fesses qui feraient damner un saint. Ses longues jambes bien galbées doivent surement attirer les regards. Sa vulve bien rasée, avec de grandes lèvres bien dessinées, émerveillent Élodie. Elle ne comprend plus rien à la situation, elle se pose des questions. Mais, pourquoi moi, qui n'est, ni lesbienne, ni adultère, ni une malade sexuelle, et qui n'a eu que de très rares relations sexuelles avec peu d'hommes, je suis attirée par cette jeune femme qui pourrait être ma fille, je dois être maudite des dieux. Élodie est toujours sur le canapé, en face d'elle, Roxanne, elle ne se pose aucune question, elle desire tellement Élodie, que rien ne peut la dissuader de l'aimer.