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Un homme bien sous tous rapports 2

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Lue : 0 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 26/12/2023

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Pendant sa douche Juliette se pose pleins des questions, elle ne comprend pas, que même si c'était contre sa volonté, elle a avait éprouvée un certain plaisir, aux caresses de Richard sur sa main surtout surtout sur sa fente, avant de protester. Elle en garde encore un souvenir humide sur sa culotte. Elle se remémore la scéne en se caressant doucement la vulve. Elle soupire profondement en accélérant le rythme. Ses doigts voyagent sur sa fente avec un acharnement inouïe, elle grimace, grogne comme ne bête malade. Puis, elle atteint le but qu'elle c'était fixée, elle jouit en se cabrant. Elle continue de se mastuirber, c'est si intense qu'elle doit s'agripper aux parois de la douche. Enfin elle termine sa toilette, pour se détendre complétement elle reste un long moment sous le jet d'eau.

Elle s'essuie et en se regardant dans le grand miroir, elle secoue la tête, honteuse de se qu'ellevient de faire, ce masturbée en pensant à un homme qui est presque un inconnu pour elle, c'est insensé. Toute la journée, elle est nerveuse, fait les tâches ménagéres sans trop conviction. fait les cent pas en maronnant et en se répétant:

-Mais je deviens folle, qu'est-ce qui m'arrive !


Elle serre les dents en disant fortement:

-Richard je te hais !


Elle prend le papier que lui à donné l'homme, le consulte, en faisant une moue terrible. Puis se jette dans le canapé lourdement. Les heures passent, elle a l'esprit ailleurs. Elle allume la télé sans la regarder, elle est très perturbée. Mais elle se reprend car elle doit préparer le diner, ses deux hommes comme elle les appelle, ne vont pas tarder à rentrer. Enfin Lucas rentre le premier, il embrasse sa maman en la serrant dans ses bras comme il ne l'à pas vu le matin, il lui fait pleins de calins en lui donnant des baisers sur tout le visage, sans omettre les lèvres. Bien qu'elle soit encore perturbée, Juliette ronronne dans les bras de son jeune mâle, l'amour platonique qu'elle lui porte est très fort. Le Coquin caresse doucement les fesses de sa maman en la complimentant sur ses courbures.

Elle appuie fortement ses lèvres sur les siennes et lui dit :

-Merci mon chéri, tu es un amour !

Enfin Roman arrive, il embrasse fougueusement sa femme, qui lui rend le baiser avec un amour incontestable. Les trois papotent, boivent un verre avant de passer à table. Enfin le repas se termine, après avoir aidé à débarrasser la table, les trois prennent place au salon devant la télé. Au bout d'un instant, Roman embrasse son fils et sa femme, il est fatiqué, sa journée à été rude. Après une douche rapide, il monte dans sa chambre. Lucas profite que la salle de bain est libre pour prendre sa douche. Il revient un moment après juste vétu d'un boxer. Il reprend place sur le canapé en se bottissant comme à l'accoutumé contre sa maman, sa cuisse et contre celle de sa maman, il sent la chaleur qu'elle dégage. Comme il le fait souvent, il pose sa main sur sa cuisse et commence une caresse délicate sur la peau. Le coquin dit en regardant sa maman :

-Oh maman comme ta peau et douce !

Elle lui sourit, le bougre glisse sa main sous la jupe et pose sa main sur le ventre de la maman qui sursaute et emprisonne rapidement la main baladeuse avec une poigne puissante. Elle le regarde en lui faisant de gros yeux. Comme fait un enfant trop gâté il se met à bouder. Juliette sourit et lui enserre une épaule avec son bras, elle le plaque contre elle et lui dit :

-Mais Lucas mon chéri, quelle âge as-tu pour te comporter de la sorte !


Pendant un long moment ils restent sans bouger, blottis l'un contre l'autre. Juliette desserre à tord ou à raison l'étau de sa main. Lucas commence à caresser doucement le ventre plat de sa maman, de temps en temps, du bout des doigts, le bougre frôle le haut de la vulve sans oser aller plus bas pour l'instant. juliette frémit, les doigts audacieux pianotent en s'approchant encore plus près de sa fente, que seule la culotte protége. Juliette regarde son fils sans trop bouger, elle remarque une bosse énorme qui déforme son boxer. Elle ravale sa salive et avec un geste habile retire la main de son fils qui commençait à être génante. C'est un peu déçu que Lucas n'insiste pas. La jupe de sa maman et un peu remontée sur le haut de ses cuisses. Discrétement Lucas reluque la culotte. Etrangement à l'enfroit de la fente il semble apercevoir une tache humide. Il écarquille les yeux, et se penche vers sa maman en lui disant :

-Maman, tu mouilles !

Prise en défaut la maman sursaute et rabat brusquement sa jupe, sans dire un mot elle saisit la main de son fils et la presse très fort. Elle lui dit en le regardant fébrilement :

-Vas te coucher mon chéri, il est l'heure !

Lucas se lève et se laisse tomber à genoux face à sa maman, brusquement il lui ouvre les jambes et plaque sa bouche sur la culotte humide, il appuie fortement sa langue, le tissu s'enfonce entre les grandes lèvres. Sa maman réagit promptement et repousse violement l'agresseur en élevant la voix elle dit :

-Mais tu es fou Lucas, je ne suis pas ta copine, ne recommence plus jamais ça, je ne suis pas un jouet !


Lucas se redresse et s'assied sur le canapé, il regarde sa maman et brusquement, baisse son boxer. Sa verge jaillit en oscillant sur son bas ventre. Il la saisit, et tout en regardant sa maman, qui reste coite, il se branle sauvagement. Elle ne quitte pas des yeux la verge que son fils agite habilement. A chaque descente de son poignet, il décalotte l'engin fortement veiné. Juliette n'en croit pas ses yeux, elle ne reconnait plus son fils, qui lui, d'habitude est tendre et si prévenant, elle reste sans voix. Lucas met du cœur à ce qu'il fait, il se branle en grognant sans quitter des yeux sa maman. Soudain, il pousse un gémissement terrible, et envoie sur son ventre et ses doigts plusieurs giclées de sperme. Juliette n'en revient pas de la puissance des jets. Elle serre les cuisses, pour retenir le jus que sa chatte ne peut plus retenir. Lucas retire son boxer, essuie les dégats causés par le sperme. Il embrasse sa maman en lui disant :

-Tu es méchante, je te hais !

La maman est abasourdie, par les paroles de son fils et de son acte. Il est vrai que la coquine à mouillée, mais elle est quand même interloquée par le comportement de son fils chéri. Elle se rend dans la salle de bain et prend nerveusement une douche. Le lendemain la journée se passe normalement, Juliette ne fait aucune allusion à ce qui c'est passé la veille.
Le samedi arrive, toute la matinée, Juliette se demande si elle doit aller au rendez-vous, elle est fébrile, elle passe la plus part de son temps dans la salle de bain. Il est quatoze heure, un copain de Roman vient le chercher pour aller au concourt de boule. Lucas lui, rejoint sa copine. Juliette se pose mille questions, y va n'y va pas. Elle pousse un gros soupir, ça y est c'est décidé, elle va rejoindre Richard. Elle prend la voiture de son mari et se rend à l'adresse que lui à indiqué Richard.



C'est une grosse propriété cloturée, plantée dans un petit parc à la sortie de la ville. Le portail est ouvert, Juliette entre et se gare près de la maison. Richard l'attendait sur le perron, il la reçoit en lui tendant les bras. Il l'embrasse et la fait entrer. Il l'emmène au salon ou une jeune fille est assise dans un profond fauteuil. A la vue de Juliette, la jeune fille se lève, Richard fait les présentations. Sa fille Murielle est une fille superbe, elle à un corps presque parfait, la coquine le sait, elle gonfle sa poitrine et lorsqu'elle se déplace elle ondule du bassin c'est comme par provocation. Elle met trois verre sur la petite table et se penche pour les remplir. La poitrine opulente de Murielle déborde du corsage très échancré. Richard sourit en se rinçant l'œil. Quant à Juliette elle ravale sa salive, en épiant les lobes qui semblent bien ferme. Les verres se suivent, les petits fours son délicieux. Rapidement Juliette est grise, elle qui ne boit pratiquement jamais, là elle est un peu euphorique. Richard commence un baratin flatteur, Juliette est sous le charme de cet homme, qui l'intrigue quand même.


À chaque fois que sa fille passe à côté de lui, sans gêne, il lui caresse doucement le postérieur. Murielle lui sourit à chaque fois sans protester. Les verres se vides rapidement, mais aussitôt ils se remplissent. Juliette est en face de Richard. Le coquin appelle sa fille qui s'assoit sur ses genoux. Il passe ses mains sous la jupe de Murielle, en ne quittant pas des yeux Juliette. L'invitée, voit les mains s'activer sous le tissu. Murielle ferme les yeux, son papa lui retrouse lentement la jupe, la coquine ne porte pas de culotte, elle ouvre doucement les jambes en se positionnant juste sur le devant des cuisses de son papa, pour faciliter l'accés à sa chatte. Juliette n'en croit pas ses yeux, Richard voit le troube de Juliette et lui dit en souriant :

-Nous sommes amants depuis très longtemps, Murielle est un vrai volcan, comme on dit, elle a le sang chaud autant que son papa, j'aimerais la partager avec toi, cette idée me trotte depuis un certain temps !


Juliette reste sans voix, elle avale son verre cul sec et s'en re-sert un aussitôt. Richard, ouvre le corsage de sa fille et d'une main, elle ne porte pas de soutien gorge, il commence lui à malaxer les lobes mammaires avec pas trop de brutalité. Son autre main est trop occupée avec la chatte ruisselante de la jeunette. Juliette ne perd pas une image du spectacle, elle s'agite dans son fauteuil en serrant fortement les cuisses. Sa chatte se met à suinter abondamment, elle réalise seulement que Richard mentait lorsqu'il lui déclarait sa flamme. Le piège qu'il lui a tendu c'est refermé sur elle. Mais trop excitée par ce quelle voit, elle n'a pas l'intention de fuir, elle veut assister jusqu'au bout au spectable, qui devient de plus en plus torride. Les doigts de Richard s'enfoncent profondement dans la chair tendre des seins de sa fille, qui grogne de plaisir. Elle regarde Juliette qui s'agite sur son siège. Doucement la voyeuse ouvre le compas de ses jambes, et sans quitter des yeux les mains de richard qui font gémir sa fille, commence à se caresse l'entrejambe. Sa culotte est trempée, sa main fébrile s'agite sur la fente qui ne cesse de rejetter son jus. Richard lui dit :


-Retire ta culotte, et branle toi plus fort, je veux tendendre gueuler salope, aller ne me fais pas attendre !


Comme un automate sans ce préoccuper des paroles autoritaires de Richard, Juliette retire sa culotte trempée, et reprend en plus violent le branlage qu'elle avait délaissée. Les doigts de Richard s'enfoncent dans la chatte de sa fille qui se tend comme un arc en gémissant comme une bête. Il lui fouille violemment la gaine, Murielle agite sa croupe, ses gémissements sont bruyants. Soudain elle gicle comme un geyser, un puissant jet de cyprine est expulsé de sa chatte. Murielle serre les dents, ses yeux sont révulsés, son corps tremble. Juliette accélére la cadence, elle grince des dents et jouit à son tour en poussant un cri de délivrance.




















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Histoire de valeriane

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Commentaires du récit : Un homme bien sous tous rapports 2

Le 27/12/2023 - 09:59 par OlgaT
Très chaud!

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