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Un homme bien sous tous rapports.

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Lue : 0 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 26/12/2023

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Juliette vit une vie paisible avec Roman, son mari et son fils. Mais depuis quelques jours, elle se sent suivit par un homme. Elle se dit qu'elle se fait une idée, mais cela la turlupine tellement, qu'elle décide de faire très attention, on ne sait jamais.

En début d'après midi, elle arpente les rues de piétonnières de la ville en faisant du shopping. Elle admire dans une vitrine une magnifique paire de chaussures. Lorsque dans le reflet de la vitrine, elle voit un homme qui semble l'épier. Son cœur se serre, elle commence à stresser. Elle fait quelques pas, l'homme la suit. Elle décide d'en avoir le cœur net. Elle fait demi-tour et affronte l'homme.

-Pourquoi que vous me suivez, vous cherchez quelque chose ?


L'homme surpris commence à bégayer :

-Mais, mais je ne vous suis pas !


Juliette réplique :

-Oui, cela fait plusieurs jours que j'ai remarqué votre petit manège sans doute malsain !


L'homme déglutît bruyamment et dit :

-Je vais tout vous dire, oui je vous suis, car je suis amoureux de vous, depuis le premier jour que je vous aie vu au parc la semaine dernière avec un jeune homme. Depuis je ne pense qu'à vous, mes nuits sont un enfer, je vous demande pardon, mais je vous aime profondément, c'est plus fort que moi !


Juliette reste sans voix, elle dévisage l'homme qui a beaucoup de charme. Sans le vouloir, les deux se mettent à faire quelques pas en baladant. Juliette lui pose de nombreuses questions, elle apprend que l'homme la suit aussi jusqu'à son domicile, avant de faire demi-tour.
L'homme semble sincère, il est plus âgé que Juliette, et en plus est un beau parleur. Rapidement, Juliette se laisse ensorceler par l'inconnu. L'homme l'invite à prendre un verre à la terrasse d'un café. Peut-être pour en savoir plus, elle accepte. Elle est très impressionnée par le charisme de l'homme.

Cela fait bientôt plus de deux heures qu'ils papotent comme de vieux amis, en buvant un verre. Elle apprend que L'homme se prénomme Richard, qu'il est divorcé et qu'il a une fille de 25 ans, la prunelle de ses yeux comme il dit. Juliette lui parle de son mari Roman, et surtout de son petit homme, Lucas qui n'est autre que son fils, avec lequel elle se promenait au parc lorsque Richard la vue. Elle lui parle longuement de son fils de 18 ans et avoue l'amour qu'elle porte au deux hommes de sa vie. Richard aussi couvre sa fille Murielle d'éloge, qu'il appelle sa princesse. D'après ses dires, ils semblent être très fusionnels tous les deux.
Richard ne prend plus de gants, il drague ouvertement Juliette qui rougit, les compliments flatteurs, pleuvent, elle est mal à l'aise, elle a des trémolos dans la voix lorsqu'elle lui répond. Il est temps de se quitter, l'homme ose embrasser Juliette sur la joue pour lui dire au-revoir, en espérant la revoir prochainement. Juliette pince les lèvres sans lui répondre.



Juliette est encore sous le choc, voire troublée, par les paroles flatteuses de Richard. Cela faisait des lustres qu'elle n'avait été draguée aussi intensément, cela la flatte de savoir qu'elle plait encore. C'est en pensant à lui, qu'elle fait le chemin du retour pour rejoindre sa petite famille. Toute la soirée, elle semble sur un nuage. Même dans son lit, elle est rêveuse, elle pousse de nombreux soupirs, pour enfin se blottir contre son mari. Le lendemain matin, elle se lève souriante, sa nuit a dû être très bonne. Elle prépare le petit déjeuner en chantonnant. Roman se lève à son tour, il descend à son tour l'escalier en s'étirant et en bâillant comme un félin. Comme un rituel, il prend sa douche avant de rejoindre sa femme. Il la regarde en souriant, cela faisait longtemps qu'il ne l'avait pas vu aussi joyeuse. Il l'enlace et l'embrasse fougueusement, en faisant voyager ses mains sur le corps, qui n'est recouvert que par une fine blouse. Le coquin palpe les formes comme si c'était la première fois qu'il le faisait. Il se plaque contre elle et commence une ondulation du bassin comme une danseuse orientale. Juliette sent contre son bas-ventre le manche de chair, qui commence à prendre du volume. Elle serre très fort son mâle en lui disant :

-Ouh-là, tu es en forme mon chéri, mais nous devons aller bosser donc pas de précipitation, attends ce soir !


C'est avec regret que Roman abandonne sa proie. Le petit déjeuner terminé, Juliette va prendre sa douche. Son mari, lui, s'éclipse pour se rendre à son travail en voiture. Une fois prête, Juliette réveil son fils pour qu'il prenne son petit dej, car il doit se rendre à la fac comme chaque jour. Juliette sort de chez elle, elle doit faire un court trajet pour se rendre à l'arrêt de bus, car son travail est à l'autre bout de la ville. Cela fait déjà un long moment qu'elle poirote, pas de bus en vue. Les minutes passent, elle commence à, stresser. Un passant lui annonce que la régie des transports est en grève. Juliette souffle comme un bœuf, en rageant un peu. Elle téléphone à la société qui l'emploie, et annonce la nouvelle. Elle obtient un jour de congé, pour ne pas perdre sa journée.


Comme elle a du temps libre et que son fils et à la fac, son mari au boulot, comme la journée s'annonce belle, elle décide de faire du lèche-vitrine. Elle traine dans la rue commerçante, lorsqu'elle tombe nez à nez avec Richard. L'homme très souriant la salue en l'embrassant et dit avec humour :

-Je vous manquais donc tant, que je vous retrouve ici aujourd'hui !


Juliette éclate de rire et raconte sa mésaventure. L'homme lui propose de prendre un café, elle accepte comme elle a du temps à perdre et en plus, l'homme est très séduisant. Richard l'entraine dans un coin du café pour être à l'abri des regards. Les deux décident de se tutoyer pour faciliter le dialogue. L'homme reprend la drague, qu'il avait abandonné la veille. Juliette ne sait que faire, les paroles de Richard la troublent profondément. Très gênée, elle croise les doigts en les serrant très fort. Les regards que l'homme lui lance, la met mal à l'aise. Elle voudrait fuir, mais elle est envoutée par cet homme charmeur. Richard avec délicatesse lui prend la main, le cœur de Juliette se met à battre fortement dans sa poitrine. Il la caresse longuement avant de déposer plusieurs petits baisers dessus. Juliette rougit, sa main se met à trembler. L'homme lui sourit et lui dit en la regardant droit dans les yeux :

-Tu es si désirable, que j'ai beaucoup de mal à me contrôler !


Juliette baisse les yeux, cet homme la trouble comme jamais, elle ne l'a été. L'homme donne un baiser très appuyé sur le dos de sa main, elle sent la langue glisser sur sa peau. Juliette frissonne, puis retire sa main tremblante. L'homme, sans se démonter, pose une main sur la cuisse de Juliette et la caresse doucement. Juliette sursaute et saisit la main baladeuse qu'elle bloque prestement. L'homme la regarde en disant :

-Je t'aime comme un dingue, sois à moi ma chérie !

Juliette défaille, aucun son ne sort de sa gorge, elle secoue la tête négativement en relâchant son étreinte, l'homme en profite pour monter sa main jusqu'à l'aine, ses doigts se posent sur l'entrejambe, en touchent la culotte. Juliette saisit brutalement la main audacieuse et la maintient contre sa vulve en l'immobilisant. Elle dit en regarde l'homme sans gêne :

-Richard, tu es fou, je suis mariée, je veux être ton amie, mais pas plus !

L'homme ne l'écoute pas, il réussit à faire bouger ses doigts malgré la forte pression que donne Juliette sur sa main. Juliette se cabre, elle tente de se relever, mais une chose incompréhensible l'en empêche. Les doigts agiles s'agitent difficilement sur son intimité. Juliette serre les dents, elle tremble comme une feuille. Sans pouvoir se contrôler, un petit filet de cyprine humidifie sa culotte, inconsciemment, elle desserre l'étau de sa main. Les doigts s'activent sur la vulve qui rejette de plus en plus son jus. Juliette se cabre légèrement, deux doigts appuient sur sa fente en entrainant la culotte entre les grandes lèvres. Juliette se reprend, elle se cabre, en vociférant :

-Arrête Richard, je ne suis pas un jouet, tu es fou ma parole, nous sommes dans un café, lâche-moi, je veux rentrer chez moi !

Richard retire sa main avec regret, il relève avec deux doigts le menton de Juliette et y dépose un baiser très appuyé. Il griffonne sur un papier son adresse et dit en lui souriant :

-Je t'attends chez moi samedi ma chérie, à quinze heures, soit à l'heure !


Juliette le regarde méchamment et lui répond :

-là mon pauvre, tu peux te brosser, je ne veux plus te voir !


Mais avant de partir, elle fourre en rageant dans son sac le papier griffonné. Elle rentre chez elle en marmonnant. Elle se jette sur le canapé en soufflant comme un dragon sans savoir ce qu'il lui arrive. Elle ne sait plus où elle en est, elle sent couler sur ses cuisses la cyprine que sa chatte ne peut plus retenir. Elle retrousse sa jupe, et regarde sa culotte trempée en hochant négativement la tête. Une douche s'impose.






















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Commentaires du récit : Un homme bien sous tous rapports.

Le 27/12/2023 - 09:56 par OlgaT
Elle est tentée!

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