Une belle-soeur que l'on ne peut oublier 1

Julia déteste son beau-frère Benoît, il a la réputation de trop plaire aux femmes. Entre eux, il n'y a pas d'atomes crochus, on en ignore la raison. À chaque rencontre, c'est le même scénario, elle lui lance des piques, le toise de haut en le regardant méchamment. Lui, en bon seigneur jusqu'à présent, ne répond pas aux attaques infondées de sa belle-sœur.
Un jour, il se présente chez son frère accompagné d'une femme magnifique. Il présente sa conquête à son frère Ludovic et à sa femme. Ludovic, très souriant, est ravi de faire la connaissance de Marthe, mais pour Julia, il en est autrement, elle rumine, elle serre les dents en dévorant des yeux Marthe, elle la salue à peine. Ludovic serre un verre au salon. Marthe est assise en face de Julia, elle lui sourit en tentant d'engager la conversation. Julia pince les lèvres, en soufflant fortement, se lève et se dirige vers la cuisine. C'est la goutte qui fait déborder le vase. Son mari la rejoint et lui d'un dit ton autoritaire dit :


- Maintenant, j'en ai assez de tes délires, cela n'a que trop durées, je te demande pour une fois, d'être plus gentille avec mon frère et surtout avec son amie !
Mais c'est étrange, il n'y a qu'avec lui que tu agis comme ça ?
Je préfère que tu soit câline plutôt que de faire ta tête de cochon, tu comprends ça !


Julia bouillonne en marmonnant, mais elle répond :

-C'est comme tu veux Ludovic, je vais me montrer très, très gentille avec eux, tu verras !


Ludovic fronce les sourcils, il ne comprend pas ce que veut dire Julia. Les deux rejoignent le couple. Julia, en s'asseyant, regarde Benoît et Marthe en faisant un grand sourire, sûrement forcé. Elle entame la conversation, elle devient même aimable, ce qui étonne Benoît. Même son mari ne la reconnait pas, il opine de la tête en lui souriant. Soudainement, Julia disparait pour prendre une boite de gâteaux dans un buffet. Benoît se lève à son tour pour se rendre à la toilette, il croise dans le couloir Julia, il la regarde, et lui dit :

- Tu me surprends, enfin, tu changes de comportement, j'avoue que c'est un bon point pour toi !


Elle se plaque brutalement contre lui, elle se frotte un instant contre lui en le serrant très fort, approche son visage du sien, puis en lui passant la pointe de sa langue sur ses lèvres, réplique :

-Tu n'as encore rien vu mon salaud !


La réponse de Julia, et le petit coup de langue, font sursauter Benoit, il se dit qu'il y a anguille sous roche, cela le laisse perplexe. Il revient peu de temps après rejoindre sa place. Ludovic pose beaucoup de questions à Marthe qui se fait un plaisir d'y répondre. Quant à Julia, la coquine, en épiant du coin de l'œil son beau-frère, ouvre légèrement les jambes, en faisant remonter sa jupe à mi-cuisses. Benoit malgré lui, aperçoit la culotte de dentelle de Julia, il ravale sa salive. Marthe, en détournant le regard, voit aussi les cuisses à demi-dénudées de Julia. Un peu gênée, elle toussote en regardant Julia. Celle-ci ouvre davantage le compas que forment ses jambes en souriant. Sa jupe glisse si haut, qu'elle découvre sa culotte. Marthe ne parle plus, benoit cela fait déjà un certain temps qu'il est muet. Ludovic tourne la tête vers sa femme, il écarquille les yeux, en voyant les cuisses entièrement découvertes. Il reste figé, en voyant la main de sa femme glisser sur son ventre pour disparaitre entre ses cuisses. Avec douceur, la main monte et descend sur l'entrejambe. Personne ne dit mot, les yeux sont braqués sur la main qui voyage de plus en plus rapidement sur le bas-ventre de Julia. Ses yeux brillent, elle regarde son mari et lui murmure :

-Tu vois mon chéri, je sais me faire câline, même plus sociable, lorsqu'on me le demande !


Ludovic ne répond pas, il regarde Marthe qui déglutit bruyamment. Quant à Benoît, une bosse commence à déformer son pantalon. Ludovic veut voir jusqu'où sa femme peut aller, il ne lui fait aucun reproche, mais l'observe. La coquine se prend à son propre jeu, sa chatte devient brûlante, sa culotte s'humidifie de plus en plus.
Marthe, sans quitter des yeux l'entrejambe de l'exhibitionniste, serre les cuisses, sa vulve suinte. Mais lorsque Julia écarte sa culotte, pour se frotter énergiquement le clito. Marthe plaque brusquement sa main sur son bas-ventre. Contre sa volonté, Marthe mouille de plus en plus, c'est en tremblant, qu'elle saisit son verre et l'avale d'un trait. Elle se presse fortement l'abricot trop mûr au travers sa jupe, pour tenter de tarir le flot de cyprine, qui se déverse dans sa culotte. Les deux frères bandent terriblement, Ludovic vient de découvrir une autre facette de sa femme, et cela ne semble pas lui déplaire, il ose dire :


-Oh ma chérie, si tu continues, tu vas jouir !


Elle tourne la tête vers lui et dit avec des trémolos dans la voix :

-Je ne doute pas une seconde, que tu veux que je jouisse devant ton frère et sa copine, avoue-le !



Ludovic répond en serrant les dents :

-Oui, oui, salope, jouis devant eux, oh putain comme tu me fais bander grosse salope !


Julia d'une main arrache sa culotte, et envoie vers Benoît les morceaux de tissu déchirés. D'un geste habile, il en attrape un et le porte à son nez, il hume fortement le débris de la culotte, il le place sous le nez de Marthe en disant :

-Hume cette odeur ma chérie, oh comme j'aimerais lui bouffer la chatte, à cette allumeuse de belle-sœur !

Les yeux de Marthe pétillent, sa main s'égare sous sa jupe et frictionne sa vulve en ébullition, le plus discrètement possible, mais en vain, Benoît lui suggère :

-Vas-y ma chérie, branle-toi aussi, fais comme elle jouis, joui, ne te retiens pas !



Un cri rauque retentit, Julia vient de jouir, elle serre les dents, mais continue de se masturber. Ludovic se lève, disparait un court instant, pour revenir avec un concombre, il dit en regardant sa femme se branler comme une sauvage :

-Prends ça ma chérie, oui, oui, enfonce-toi ce truc dans la chatte, oh comme cela m'excite, vas-y, vas-y !



Julia sous les yeux voyeurs saisit le légume, elle le passe plusieurs fois sur sa chatte avant de le présenter aux grandes lèvres. Elle pousse doucement, elle grimace, les grandes lèvres s'écartent, et le gode improvisé s'engage dans la gaine gorgée de cyprine. Lentement, en soufflant fortement, Julia se pénètre de plus en plus profondément. Marthe a retroussée sa jupe et écartée sa culotte, ses doigts agiles agressent son clito jusqu'à le rendre méconnaissable. Benoît et son frère ont sorti leurs verges et la branlent sans perdre une image du spectacle que leur donnent les deux femmes. Julia se fouille le ventre avec le légume en gémissant comme un animal tombé dans un piège. Marthe, elle ne se fait pas trop expressive, elle retient ses gémissements, surement par honte, ses râles étouffés ressemblent à des grognements de bête. Marthe, souffle comme un dragon, elle est au bord de l'explosion, elle se cabre, cesse de se branler dans la foulée, écrase son clito le plus fort possible. Elle hurle en jouissant sans pouvoir retenir son cri.



Julia fait voyager avec de plus e plus d'aisance, le concombre dans son étui, lubrifié naturellement par l'abondante cyprine que la gaine sécrète. Elle se cambre terriblement, et jouit, en poussant un rugissement de fauve. Les deux hommes sont rouges comme des pivoines, ils sont devenus experts en masturbation, ils ne quittent pas des yeux les jouisseuses, les grognements que les deux mâles en rut, produisent, résonnent dans le salon.