Une belle-soeur que l'on ne peut oublier 2

Benoît se lève, il tient dans sa main son sexe gonflé au maximum, il l'approche de la bouche de Julia en disant :

— Je n'en peux plus Ludovic, je peux ?

Le frère répond :

-Oui, oui, tu peux Benoît !


Julia regarde son mari, le bougre sans se démonter lui dit :

-Vas-y ma chérie, sois encore gentille, suce mon frère !


Julia ne se pose plus de questions, elle saisit le membre, le décalotte et avant de l'engloutir dans sa bouche, elle l'observe un bon moment. Ses lèvres pulpeuses encerclent le gland violacé, et avec une voracité inouïe, Julia se met à sucer l'engin. Les succions sur le cèpe sont bruyantes. Les yeux de Ludovic sont exorbités, il bave tellement il est excité. Il dit en grognant comme un fauve :


-Oui, oui suce-le bien ma chérie, oh putain que c'est bon, je vais encore décharger !

La bouche, de Julia, fait des merveilles, la verge de Benoît, est prise de secousses que Benoît ne peut contrôler. Il se cabre, et c'est en poussant un long gémissement, qu'il envoie dans la bouche de Julia sa semence épaisse. Julia repousse l'éjaculateur, se tourne vers son mari et ouvre la bouche pour lui montrer le sperme qu'à en bouche. Ludovic dit en ne cessant de se branler :

-Avale, avale ma chérie, oh que tu sais être bonne quand tu le veux ma chérie !

En déglutissant bruyamment, Julia avale la totalité de la décharge, elle ouvre la bouche pour que son mari constate qu'elle a tout avalée. Ludovic a les doigts enduits de sperme, son pantalon porte les traces de ses éjaculations. Mais sans lâcher la bête, il continu de se masturber, il dit à voix haute :


-baise-là Benoît, baise-là !

Le bougre de frangin n'attendait que cela, il bascule Julia sur la table du salon et prend place entre ses cuisses. Il enfonce son mandrin jusqu'aux couilles dans le ventre de Julia qui pousse un long râle pendant la pénétration. Dans son fauteuil, Marthe s'enhardit, elle dégrafe son corsage et dégage un sein du soutien-gorge, elle se triture le mamelon pendant que son autre main s'active sur son clito hyper gonflé. Ses yeux sont rivés sur le couple emboîté, elle souffle comme un dragon, ses nerfs sont à vifs. Benoît défonce son amante en lui donnant des coups de bélier redoutables. Julia s'accroche aux fesses de son amant, et à chaque enfoncement du pieu dans son ventre, elle tire sur les fesses de Benoît pour être totalement empalée. Ludovic, le mari qui s'ignorait voyeur jusqu'à ce jour, est à la fête. Il encourage les amants :

-Benoit, baise-là, fais-lui mal, défonce-là fort, oh mon Dieu comme je vous aime, oh la vache, je vais encore jouir, c'est trop bon ce que vous faites mes chéris !

Marthe, elle, de son côté, se cabre et explose, son corps tremble, elle à beaucoup de mal à se contrôler, elle se lève tant bien que mal et s'approche du couple en pleine action. Elle se penche sur Julia et d'un coup sec lui arrache le corsage et lui baisse brutalement le soutien-gorge. Les seins de Julia jaillissent, les bouts au centre des aréoles fortement grenelées se dressent, ils sont larges et épais. Marthe les regarde, puis d'un geste brusque s'en empare, et commence à les presser, tout en les étirant le plus possible. Ludovic sursaute, il est au bord du coma tellement il est excité par ce qu'il voit. Il dit en béguant :

-Oui à trois, c'est trop bon, faites la gueuler de plaisir ma salope, mon Dieu, mon Dieu, c'est merveilleux !

Julia grimace, mais ne repousse pas l'agresseuse, elle se cambre en tirant encore plus fort sur les fesses de son amant. Elle agite son bassin en grognant de plaisir. La bite de son amant entre est ressort de son antre ruisselant de cyprine. Elle rugit lorqu'il lui donne un coup de reins très violent pour déverser en elle sa semence abondante. Le flot de sperme qui s'écoule dans son ventre fait la fait cabrer. Marthe pose sa bouche sur un mamelon et l'aspire, la coquine sait se servir de sa bouche, Julia défaille sous les aspirations puissantes et les coups de boutoir de Benoît. Ludovic, lui, se décompose, son pantalon souillé, et ses doigts englués qui ne quittent pas sa queue. Prouvent que le bougre à beaucoup de réserve de sperme dans les couilles. Julia est sur le point de non-retour, elle se tend comme un arc et en poussant un long râle rauque jouit comme une damnée. Marthe cesse les aspirations, maintenant, elle titille de la pointe de sa langue les mats dressés. Julia croit se vider de tout son jus, elle a tellement joui qu'elle semble sur une autre planète.


Benoît se retire de son ventre, il regarde la vulve relâcher le surplus de semence qu'elle contient. Marthe mordille les mamelons encore un instant avant de lâcher sa proie. Julia reste sur la table, haletante, son cœur bat la chamade, sa respiration est rapide. Ludovic n'en a pas assez vu, il demande à Marthe :

-Et toi, Benoît te baise bien ma chérie ?


Étonnée par la question, Marthe répond avec de la gêne dans la voix :

-hum oui, il est merveilleux, il me fait décoller, grimper aux rideaux, je dois avouer que c'est un bon amant !


Ludovic regarde Benoît et dit en haletant comme un chien qui régule sa température :


-On peut dire que ta réputation n'est pas surfaite hein mon cochon, vas-y baise-là, oui baise-là !


Benoit réplique :

-Je ne suis pas une machine, il me faut récupérer, attends un peu !


Ludovic répond :

-Tu le feras après hein ?


Benoît répond avec un large sourire :

-Oui , je vais baiser Marthe, elle n'attend que cela ma chérie !


Pendant la pause, Ludovic prépare une collation pour recharger les accus, Julia se place à côté de Benoît, elle lui dit en le regardant droit dans les yeux :

-Oh toi, toi mon salaud, depuis le temps que j'attendais que tu me baises, enfin, c'est arrivé !


Ludovic sursaute et répond :

- Ah, je comprends pourquoi tu le détestais tant, tu étais jalouse de ses conquêtes, hein avoues ma salope, allez courage !

C'est en serrant les dents que Julia réplique :

-Oui, oui, je l'aime depuis le premier jour que je l'ai vu, mais comme c'était un coureur de jupon, c'est toi que j'ai choisis, pas de crainte, je t'aime mon chéri autant que lui !


Ludovic la regarde, ses yeux s'embrument, il dit :

-Je te remercie pour ta franchise ma chérie, mais si tu veux baiser avec mon frère, et si lui le désir aussi, je n'y vois pas d'inconvénient, du temps que j'assiste à la baise, cela me va !


Benoît se dresse et répond :

-bien sûr que je veux la sauter, mais j'aime Marthe alors, il faut qu'elle participe aussi à la baise, tu acceptes ma chérie !


Marthe en prenant une grande aspiration répond :

-Oui mon chéri, je ferais tout ce que tu voudras pourvue que je sois avec toi !

Ludovic applaudi, il dit :

-Ouvrant le champagne pour fêter ça mes chéris !



Benoit en souriant demande :

-Mais Ludovic, tu ne serais pas un peu voyeur par hasard !

Ludovic en souriant répond :


-Eh bien, je viens de le découvrir, c'est une sensation qui vous prend aux tripes, et qui vous met dans un état d'excitation incroyable, je trouve cela merveilleux, je tiens à ajouter, que ma femme encaisse comme une reine, sa jouissance me rend dingue, je veux revivre cet instant !


La récupération ravigote les ébateurs, les quatre retire leurs vêtements ou les lambeaux de tissus qui les recouvre encore. Ludovic intervient :

-Benoît, c'est ta copine, que tu doit prendre maintenant, tu l'as promis !