Une femme enfin libérée 2

Olga invite Audrey à danser, elle se dit, qu'il faut bien la chauffer, comme cela avant de l'emmener dans une alcôve, elle sera chaude comme de la braise et moins récalcitrante, Olga lui prépare le grand jeu. Une fois sur la piste, elle l'enlace, colle sa joue contre la sienne et la serre très fort. Les deux corps ondulent en se frottant l'un contre l'autre. Olga, vicieusement, fait monter sa cuisse entre les jambes d'Audrey et l'appuie fortement contre sa chatte. Audrey agite doucement son bas-ventre, sur l'intrus qui se frotte contre son intimité. Rapidement son string s'humidifie, elle sent le souffle chaud d'Olga sur sa nuque, la danse reprend, Olga n'est pas décidée de lâcher sa proie, elle donne plusieurs petits baisers sur le cou d'Audrey, lui mordille le lobe de l'oreille puis rappuie sa cuisse contre la chatte qui ne peut retenir son jus.


Elle lui caresse le dos, appuie fortement sa poitrine contre la sienne, elle pianote sur la colonne vertébrale. Caresse les fesses avec ses deux mains et tire fortement pour la plaquer contre elle. Elle donne quelques coups de reins comme si elle la baisait. Audrey défaille, elle se dit s'il faut en passer par là, pour connaitre les plaisirs du sexe, elle l'accepte. Au travers du corsage, elle lui gobe un mamelon et le suce en même temps que le fin tissu. Au début, les succions se font avec douceur, puis avec plus de voracités. La danse est déjà terminée depuis un bon moment que plusieurs couples restent sur la piste à se faire des petites gâteries. Audrey geint de plus en plus fort. Olga, en bonne amante, change souvent de mamelons.

Audrey devient fébrile, Olga lui murmure :

-Ça te plait, ma petite cochonne hein :


Audrey répond :

-Tu es un monstre, je mouille comme une fontaine !


Olga pose ses lèvres sur les siennes, surprise, Audrey veut la repousser, mais la langue agile de l'agresseuse se noue à la sienne, le baiser est si bon qu'Audrey lui rend. Olga passe sa main sous la jupe et plaque sa main sur le triangle de l'amour. Elle sourit et dit :

-Retire ton string ma chérie, il est trempé !


Audrey fronce les sourcils et réplique :

-Ici devant tout le monde ?


Olga la regarde et lui répond :

-Mais ma chérie, tu es venue te faire démonter ou faire tapisserie !

Ses yeux font le tour de la salle, plusieurs femmes sont seins nus, d'autres jupes retroussées, se font trifouiller la chatte. Des hommes queues hors du pantalon attendent l'occasion pour saillir quelques femelles en ruts.
Avec timidité, Audrey passe ses mains sous sa jupe et retire son string, Olga s'en saisit et le porte à son nez, elle hume fortement et en souriant dit :

-Oh ma chérie comme tu sens l'amour !

Olga passe sa main sous la jupe de sa proie, et la pose sur la fente qui laisse échapper sa cyprine. Instinctivement, Audrey, écarte légèrement les jambes pour faciliter l'accès à son temple en feu. Quelques caresses bien ajustées, sur la fente, font geindre doucement Audrey. Olga prend délicatement le clito entre ses doigts et commence un doux branlage dans elle en a le secret. Le clito devient rapidement énorme, Audrey commence à agiter son bassin, elle retient comme elle peut ses gémissements. Olga sait qu'il est grand temps de rejoindre une alcôve. Elle prend la main d'Audrey, les deux complices s'éloignent de la piste. En chemin, Olga parle à deux hommes, Audrey n'a rien compris aux paroles de son amie, car la musique, c'est remise à résonner.


Elles en font plusieurs alcôves pour en trouver une libre. Elle entre et, sans ménagement, Olga arrache le corsage d'Audrey, en faisant jaillir les seins. Les lobes tombent légèrement sur le torse d'Audrey, mais semblent fermes. Olga ne laisse pas réagir Audrey, elle fait glisser la fermeture Éclair de la jupe, et doucement la baisse. Elle dévoile le ventre et découvre lentement la chatte rasée. Elle ne peut s'empêcher de donner quelques coups de langue sur la fente suintante. Enfin la jupe se retrouve sur la paillasse. Olga ôte rapidement ses fripes pour se blottir contre la femme qui va devenir son amante. Les lèvres se cherchent, Audrey est plus audacieuse, elle caresse la poitrine d'Olga pendant le baiser. Les salives se mêlent, Audrey à beaucoup de mal à l'avaler, mais réussi après un petit temps d'hésitation. Les deux amantes se laissent tomber sur l'épais matelas. Les corps enlacés roulent l'un sur l'autre. Les bouches se séparent enfin. Olga enjambe Audrey, elle se place tête bêche sur elle et plaque sa bouche sur l'abricot qui libère son jus.


Audrey geint comme un animal, la langue d'Olga fait un travail d'enfer sur sa chatte. Elle s'enfonce profondément fouille chaque recoin, les fortes aspirations de la bouche vide la chatte de son jus, Olga se gave du produit abondant que rejette le fruit trop mûr. Audrey défaille, pour sa première expérience lesbienne, là, elle est servie. Elle se sent une âme de cochonne, elle accroche les reins d'Olga avec ses mains, et tire fortement dessus pour faire descendre le bassin vers sa bouche. Elle relève légèrement la tête pour plaquer sa bouche sur la chatte dégoulinante de son amante. Les aspirations sont bruyantes, les coups de langues dévastateurs. Les deux rugissent pratiquement ensemble. Les chattes ne sont que des volcans en éruptions. Soudain Olga se met à Lécher l'anus d'Audrey, qui pousse un gémissement terrible. Pour la première fois, une langue lui travaille l'anus. Audrey fait de même à Olga, les femmes ne cessent de geindre comme des bêtes.




Les langues s'activent, lentement, avec de la persévérance, les orifices anaux, sont investis linguale ment, les rectums fouillés jusqu'à plus soif. Audrey et Olga, sont en transe, elles gémissent comme des agonisantes, c'est dans un cabrage collectif, qu'elles jouissent. Elles gisent l'une sur l'autre un instant, pour reprendre un peu plus tard leurs ébats. Les seins sont pétris, malaxés, les mamelons dévorés et la reprise des clitos en bouche, c'est le summum du bonheur. Ils sont devenus méconnaissables, surtout très sensibles. Les deux femmes explosent plusieurs fois de jouissance. Audrey s'avère être une bonne élève. Soudain le rideau de l'alcôve s'ouvre, les deux hommes avec lesquels Olga parlait, font leur apparition. Olga en embrassant goulument, Audrey lui dit :

-C'est le moment ma chérie de goûter à de la bite, ses messieurs sont là spécialement pour toi, éclate-toi ma chérie, jouis, jouis à en mourir.