Une nuit merveilleuse

Sara a réussi son bac, pour l'occasion avec l'accord de ses parents, elle invite des amies pour fêter l'événement. Les parents se tiennent à l'écart pour ne pas couper l'ambiance joyeuse qui se déroule dans le salon
Les heures passent, les rirent fusent, la bonne humeur est de rigueur. Enfin la fête prend fin, Sara est un peu grisée par la réussite de sa journée. Elle est radieuse, elle ne cesse d'embrasser son papa et sa maman tellement elle est heureuse. Après le diner, Sara prend sa douche et, enroulée dans un peignoir de bain qui lui arrive à mi-cuisses, s'installe entre son papa et sa maman sur le canapé, pour regarder la télé, en s'asseyant, les pans du peignoir s'ouvrent sur les cuisses magnifiques de la jeune adule. Elle se blottit contre sa maman en ronronnant. Les trois sont très, très fusionnels, ils s'adorent.
La maman pose sa main sur la cuisse découverte de sa fille et la caresse avec douceur. Les bouts de ses doigts qui frôlent dangereusement la vulve, font frissonner Sara. L'heure tourne, il est tard, il est temps d'aller se coucher.

Sara monte rapidement l'escalier, retire son peignoir et enfile une nuisette. La coquine prend place dans le lit de ses parents. Georges, le papa et Sandra, la maman, arrivent à leur tour dans la chambre. Qu'elle n'est pas leur surprise de voir leur enfant souriante dans le lit, comme elle le faisait, lorsqu'elle etait enfant. Les deux parents se regardent, haussent les épaules et entre dans le lit en encadrant Sara. La lumière reste allumée, cela leur rappelle lorsque elle vennait se réfugier dans leur lit les jours d'orage.
Sandra pour dormit porte une chemise de nuit transparente, sans aucun soulèvements dessous. Georges, lui, ne porte qu'un pantalon de pyjama, rien d'autre.

Georges dit en souriant :

-Mais il n'y à pas d'orage ma chérie !

Elle ne repond pas, mais se blottit contre lui, en position latérale, replie une jambe qu'elle pose, sans mauvaise intention, sur le bas-ventre de son papa.
Sa maman hoche la tête et dit en souriant :

-Tu ne changeras donc jamais ma chérie !

La coquine ne réplique pas, elle se serre encore plus contre son papa. Georges est mal à l'aise, car la cuisse de son enfant chérie est posée sur son membre endormi et sa main sur son torse. Machinalement, Sara caresse le poitrail de son papa, en massant délicatement les pectoraux saillants. Dans la foulée, doucement, elle lui triture également les tétons, Sara est surprise avec quelle vitesse les bouts durcissent en devenant épais. Georges déglutit bruyamment, il n'ose pas repousser sa petite princesse comme il l'appel. Sandra, regarde du coin de l'œil le duo, elle remarque l'embarras de son mari, elle se pince les lèvres pour ne pas pouffer de rire. Très lentement, la verge de Georges, commence malgré lui à enfler dans son pyjama, il serre les dents. Son sang commence à bouillir dans ses veines. La cuisse de sa fille pèse fortement sur son membre, inconsciemment ou non, la coquine bouge continuellement sa cuisse sur la verge paternelle qui se tend de plus en plus. Georges voudrait bien culbuter la petite provocatrice, mais c'est sa fille, il se retient en serrant les dents.

Mais qu'est-ce qui se passe dans la tête de la maman, elle, pose sa main sur la cuisse de sa fille, et joue à la petite bête qui monte, qui monte. La main douce glisse sous sa nuisette et arrive progressivement sur son ventre, deux doigts tournent délicatement sur son nombril, Sara se cabre en poussant un gros soupir. Elle se met sur le dos, et regarde sa maman qui lui sourit, en continuant de lui caresser le ventre.
Georges est soulagé, il peut respirer maintenant. Les draps remuent, il se rencompte qu'il se passe quelque chose là-dessous, il repousse avec ses pieds les draps. Il écarquille les yeux, le spectacle qu'il voit, le rend fébrile, la main de sa femme est sur le ventre de sa fille, la nuisette de Sara est remontée jusqu'à sa taille et découvre grandement son intimité. Ses yeux se figent sur les fines lèvres vaginales, entourées par une fine toison soyeuse. Sandra, aventure sa main de plus en plus près du petit abricot. Georges n'en croit pas ses yeux, il se pose des questions, sur le comportement de sa femme.

Il sursaute, les doigts fins de sa femme glissent sur les fines lèvres vaginales de Sara, qui pousse un soupir de bonheur. Le fruit, à peine mûr, se met à suinter. Georges interroge :

-Mais, mes chéries, que faites-vous ?

Sara lui sourit et répond :

-Papa, je t'en prie, ne gâche pas ce moment magique, c'est merveilleux ce que maman me fait !

Georges fait les gros yeux, il ne quitte pas du regard la vulve suintante de sa fille. Sandra regarde son mari et comme pour l'exciter, frotte doucement la petite protubérance qui se trouve au-dessus des grandes lèvres. Sara ferme les yeux en gémissant faiblement, elle commence à agiter son bassin. De sa main libre, sa maman lui remonte la nuisette au-dessus des seins. Tout en taquinant le clito, elle masse tendrement les seins, les bougres durcissent rapidement, les bouts plantés au centre des aréoles, se dressent fièrement. Georges ébahit, ravale sa salive, il voudrait intervenir, mais le courage lui manque, son pyjama est déformé par une bosse énorme. Sa fille geint de plaisir sous les doigts habiles de sa maman, elle ouvre les yeux et tourne la tête vers son papa médusé, elle regarde la bosse qu'il a sur le vas-ventre. Lentement, elle avance la main et la pose sur l'enflure. Le papa surpris sursaute. Sara presse plusieurs fois le manche, avant de baisser le pyjama pour découvrir la verge qui jaillit en oscillant un instant, avant de se stabiliser sur le bas ventre du papa honteux. Il veut remonter le pantalon, mais, n'en a pas le temps, car rapidement Sara enserre le membre vivant qui est continuellement secoué de soubresauts.


La maman délaisse les seins durs comme du béton, et sort de son écrin la perle de tous les plaisirs. Elle la prendre entre son pouce et son index, et avec une douceur extrême, branle la boule de chair. Sara se cabre, elle geint en serrant fortement la verge de son papa. Georges grimace, la pression sur sa verge est telle qu'une douleur s'en dégage. Sara souffle puissamment, elle se cambre fortement, et en poussant un râle monstrueux jouit. Sa maman, fière du résultat, continue de branler le clito qui a doublé de volume.
La maman, agile comme un serpent, faufile sa tête entre les cuisses de sa fille, et dépose plusieurs petits baisers sur la fente gorgée de cyprine. Sara pousse un long gémissement, sa maman lui aspire, tout ce qui s'échappe de la vulve. Sa langue s'enfonce profondément dans le vagin noyé de jus, et en fouille chaque recoin. Sara, cabrée comme un cheval, ne retient pas ses gémissements. Dans l'action, elle lâche la verge de son papa et jouit une seconde fois, en râlant de plaisir. Sandra se redresse, elle est souriante, elle regarde son mari, plus particulièrement sa queue, elle lui dit :

- Elle te fait, envie, ta petite princesse hein !

Georges a les yeux qui luisent, sa gorge est nouée, il ne peut dire un mot. Sandra maintenant s'adresse à sa fille :

- Ma chérie, tu a vu dans quel état tu as mise ton papa, il ne peut pas rester comme ça !
Tu veux qu'il te prenne, c'est un bon amant ru sais !


Sara regarde le membre de son papa, dressé comme un mât de cocagne, le bougre est impressionnant. Elle dit :

-Maman, c'est très tentant, mais j'ai peur qu'il m'ouvre en deux avec son engin terrible !

Sandra éclate de rire et réplique :

-Mais ma chérie, nos chattes s'adaptent à tous les calibres, tu le sais bien ça !

Elle repond en ne quittant pas du regard le monstre paternel :

-Je le sais, mais moi, je suis très étroite des orifices !

La maman rétorque en souriant :

-Ne t'inquiète pas, je vais bien te préparer ma chérie, regarde papa n'en peut plus le pauvre !

Vicieusement, Sara accepte, mais y met une condition :


-Je veux bien, mais à une condition, c'est que tu te branles maman, je veux te voir jouir !