Valériane et Isabelle, un amour fou. 1

C'est en promenant son chien que Valériane avait fait la connaissance d'Isabelle, cette femme mûre qui pourrait être sa maman, à un charme fou. La différence d'age importante n'a pas été une barrière pour la jeune fille très entreprenante. Le coup de foudre fut immédiat pour Valériane, mais pour Isabelle, ce ne fut pas le cas. Petit, à petit, la jeune coquine réussit à amener Isabelle dans son lit, et à lui faire découvrir le lesbianisme. Un amour inébranlable s'installe entre eux. Valériane qui n'a pas froid aux yeux, avait persuadé Isabelle de vivre ensemble. Cela fait de nombreuses années maintenant que les deux femmes vivent conjointement.
Malgré, que les deux ont déjà fait des délires sexuels avec des amis, Valériane devient de plus en plus possessive. Pendant leur promenade, elle ne supporte pas les yeux d'autres personnes se poser sur Isabelle. Souvent des scènes éclatent, les deux se réconcilient à chaque fois dans le lit, après une nuit torride.


Valériane doit récupérer quelques heures, donc elle quitte son travail plutôt, elle décide de se rendre au restaurant ou travaille comme cheffe cuisinière, son amour, pour lui faire une surprise. Elle prend place au bar, commande un verre et scrute du regarde la salle. Elle voit Isabelle, comme le veut la tradition, circuler entre les tables pour parler du menu avec les clients. Soudain, Valériane sursaute, une cliente saisit la main d'Isabelle et la lui caresse en souriant. Pendant que le mari, âgé, la regarde sous toutes ses coutures. Valériane suppose que les deux ne lui parlent pas du menu. Son sang bout dans ses veines, ses entrailles se nouent. Elle quitte le bar, se dirige vers le trio en pleine discutions. Elle se plante devant la femme, lui demande d'un air menaçant de lâcher la main d'Isabelle. La femme, confuse, s'excuse en lâchant la main. Isabelle regarde Valériane en fronçant les sourcils, Valériane la prend par la taille et dit en béguant, les yeux pleins de larmes :


-C'est la femme de ma vie, elle est à moi !

Isabelle intervient :

-Valériane, je t'assure que ces personnes sont correctes, je ne comprends pas ta réaction, ce sont des amis d'enfance, Grégoire et Maude, rien de plus !

Valériane comprend qu'elle vient de faire une gourde, elle se jette dans les bras d'isabelle en sanglotant. Isabelle propose un verre aux amis et d'oublier ce petit mal entendu. L'homme accepte, mais à condition qu'Isabelle et Valériane consomment avec eux. Isabelle demande que cela se fasse jute après son service qui ne va pas tarder à se terminer. Les quatre se retrouvent pour prendre le verre, Valériane, curieuse, dirige la conversation, sur les rapports qu'avaient Isabelle, autrefois, avec ses deux amis. C'est en ravalant sa salive qu'Isabelle avoue que Grégoire avait été son amant, à la fac. Valériane soupire profondément en regardant Isabelle, elle lui dit :

-C'était un bon coup ?

Isabelle répond en riant :

-Oui, très bon coup !

Grégoire se redresse en bondant fièrement le torse. Valériane très curieuse demande encore :

-Et avec Maude, il s'est passé quoi ?

Isabelle hausse les épaules et réplique :

-Absolument rien, je n'étais pas lesbienne à l'époque !

Maude ne quitte pas du regard Valériane, elle ne cesse de lui sourire. Valériane se trouble, lorsque la femme lui saisit le bras pour contempler la gourmette qui entoure son poignet. Maude lève les yeux vers Valériane et dit :

-Elle est magnifique, c'est un cadeau ?

Val répond :

-Oui, c'est de ma chérie !

La femme lui caresse délicatement la main en la fixant droit dans les yeux. Valériane est déstabilisée, elle qui si sûr d'elle d'habitude, là, doute. Isabelle remarque le trouble de son amante, elle sourit puis lève son verre pour trinquer. Les quatre ont deja vidés deux bouteilles de champagne, l'heure tourne. Grégoire dit :

-Venez chez nous, pour prendre un dernier verre, nous reparlerons du bon vieux temps !

Valériane regarde Isabelle, elles se sourient, puis acceptent l'invitation. Grégoire à réussit dans les affaires, il est en couple avec Maude depuis cinq ans, il l'a rencontré dans une boite, les deux très portés sur le sexe s'entendent à merveilles. De temps en temps, Grégoire revient sur le lieu de son enfance, se ressourcer. Il a acheté une maison à la sortie de la ville, et c'est là qu'il invite Isabelle est Valériane. Une fois sur place, Grégoire sort le champagne, il prend place entre Isabelle et Valériane, dans un confortable canapé, pendant que Maud choisit de prendre place en face du trio. Les quatre vident verres sur verres, la tension monte, les langues se délient. Valériane, demande :

- Grégoire, Comment était la boite, lorsque vous avez rencontré Maude.

Sans chercher de fioriture, il dit :


-C'était une boite à de rencontre, Maude attendait au comptoir, pour se faire emballer, je suis allé vers elle et voila, nous sommes ensemble depuis que le l'ai bien démonté, il faut dire que c'est une chaude du cul ma Maude hein coquine que tu aimes ma bite !

Maude répond que par un sourire. Valériane boit avec intérêt les paroles de Grégoire, elle fixe les longues jambes de Maude qui ne cessent de s'ouvrir et de se refermer. Souvent, elle aperçoit sa culotte. Grégoire dit en riant :


-Ma salope a besoin d'amour, je la connais bien, lorsqu'elle sagite comme cela, c'est qu'elle est en manque !


Isabelle et Valériane regardent Maude en écarquillant les yeux. Grégoire ajoute en souriant :



-Vas-y ma chérie, fais-toi plaisir, je sais que tu en meurs d'envie !

Sans se le faire dire deux fois, Maude passe ses mains sous sa jupe et retire sa culotte sous les yeux ébahis des deux invitées. Elle retrousse sa jupe, et ouvre largement les cuisses. Les regards se posent sur la chatte bien rasée de l'exhibitionniste, qui dès les premiers contacts de ses doigts sur sa vulve brulante se met à geindre fortement. Elle frotte énergiquement son clito en grimaçant, rapidement la boule de chair devient méconnaissable. Soudain, en grognant comme une bête, Maude saisit entre son pouce et son index son bouton magique, et le branle comme une malade. Valériane et Isabelle sont estomaquées par la violence de la masturbation que pratique Maude. Elle geint comme une bête blessée, en accélérant le branlage. Les vulves des voyeuses deviennent humides et rapidement se mettent à suinter. Valériane serre les cuisses en ne quittant pas des yeux, les doigts qui malmènent le clito de Maude. Grégoire l'encourage :

-Jouis Maude, fais voir à tes invitées comment tu sais jouir, oui, oui ma salope, fais-toi mal, arrache-toi le clito, gicle, gicle !

Maude comme une forcenée, accélère le branlage, le bougre doit être douloureux, tellement il est violent. Dans son corps, la tension est à son comble, son corps se met à trembler, elle se cabre, se tend comme un arc et gicle comme une fontaine sous les yeux hagards des deux voyeuses. Maude n'en reste pas là, tout en se masturbant le clito qui est devenu monstrueux, elle s'enfonce plusieurs doigts dans le vagin et le ramone avec brutalité en grimaçant. Grégoire pose sa main gauche sur la cuisse d'isabelle et la droite sur celle de Valériane. Les deux femmes ne réagissent pas, tant, elle sont absorbées par le spectacle de Maude
Avec lenteur, les intruses glissent sous les jupes, et rapidement viennent en contactes avec les culottes humides. Isabelle réagit la première, elle serre les cuisses pour emprisonner la main baladeuse de Grégoire. Quant à Valériane, mécaniquement ouvre les cuisses, les doigts agiles de Grégoire passent de nombreuses fois sur sa fente qui n'a que comme seul rempart, la culotte trempée. Excitée comme une puce, Valériane souffle comme un dragon sous les doigts habiles du maitre de maison. Isabelle regarde son amour, ses mains trembles. Elle repousse sans brutalité la main de Grégoire, et va prendre place à côté de Valériane. Elle lui prend la main avec tendresse, et la serre doucement. Valériane ronronne comme une chatte, elle pose ses yeux vitreux sur son amour, et la regarde comme un enfant qui a fait une bêtise. Isabelle lui donne un petit baiser sur la joue juste au même moment que Grégoire glisse deux doigts dans la culotte de Valériane qui se cabre sans repousser l'agresseur. Elle rejette sa tête en arrière sans quitter des yeux Isabelle. Sa respiration est rapide, Isabelle lui serre fortement la main, en lui murmurant à l'oreille :


- Je ne veux que ton bonheur ma chérie, Si tu le souhaite, donne-toi, je participerai aussi à ta jouissance !

Sous les mots tendres d'Isabelle, Valériane lui tend ses lèvres, Les deux échangent un baiser langoureux. Valériane se met à trembler, les doigts experts de Grégoire s'activent sur son clitoris déjà gonflé de désir. Les deux femmes cessent de s'embrasser, Maude vient de jouir encore deux fois avant de se lever et de se diriger vers le trio. Elle s'agenouille face à Valériane qui, sans résistance, se soumet à l'appel des sens. La coquine avec art commence à lui baisser la culotte. Une fois libérée de son carcan, Valériane regarde son amour comme pour lui demander pardon de ce qu'elle fait. Elle ouvre les cuisses, Grégoire peut reprendre son investigation. Ses doigts glissement sur la fente trempée, en s'enfonçant dans la fine toison soyeuse, avant de s'attaquer au bouton sensible. Isabelle ne lâche pas la main de Valériane comme pour la rassurer. Sa chatte à elle aussi est une fontaine. Maude place sa tête entre les cuisses de Valériane, hume fortement le fruit juteux, puis avec habileté, donne quelques coups de langue bien ajustés sur la fente dégoulinante de cyprine. Son clitoris agacé par Grégoire est enflé comme une grosse noisette. Habilement, Maude écarte Grégoire et plaque sa bouche sur le fruit trop mûr.