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Lucas incorrigible 2

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Lue : 0 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 15/03/2024

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Comme chaque samedi, José s'adonne à son passe-temps favori, la pêche. À chaque fois, il part très tôt le matin. Il est quatre heures, José démarre de ma maison. C'est l'instant qu'attendait son fils, furtivement, il se dirige vers la chambre de sa maman. Il ouvre très doucement la porte, passe la tête par l'ouverture. Ses parents laissent toujours une veilleuse allumée, dans la chambre, car le noir stresse Lucie. La maman est étendue sur le lit, les draps sont repoussés, la chaleur pesante, rend les corps moites. Lucas s'avance doucement comme un félin en chasse. La nuisette de sa maman est remontée sur les haut de ses cuisses et laisse entrevoir sa toison.




Le coquin se penche, il est à quelques centimètres de la vulve. Il hume avec force, les effluves odorantes que la fente rejette. Sa queue se dresse de plus en plus. Il admire le temple en ravalant sa salive.
Il devient téméraire, du bout des doigts, il caresse la toison, il constate qu'il y a du sperme séché sur les poils, il pince les lèvres, en se disant que sa maman s'est fait éclater hier soir.
Soudain sa maman change de position, elle se met sur le flanc, sa nuisette remonte encore plus, et elle découvre une grande partie de ses fesses. Lucas écarquille les yeux, la faible lumière met en évidence le fessier bien rebondit de sa maman.




Il se penche et voit nettement le petit œillet ridé. Il serre les dents pour ne pas se ruer sur sa maman et lui faire violence. Sa queue est tendue au maximum. D'un geste habile, il retire son pyjama. Avec une audace terrible, c'est entièrement nu, il s'allonge à côte de sa maman. Elle change encore de position et se met sur le dos. Elle sent un corps à côté d'elle. Elle bafouille :

-Mais José, tu n'es pas à la pêche mon chéri !




Sans réponse, une de ses mains part en reconnaissance, et se pose sur le ventre dénudé, et bute sur le mât dressé. Lucie sursaute, elle se redresse sur son lit. Elle est dans un état second, ses yeux sont encore pleins de sommeil. Elle a beaucoup de mal à émerger. Elle dit en bafouillant :

-Mais qu'est-ce que tu fais dans mon lit Lucas, et en plus tout nu !


Lucas, enjolive la situation, en répondant :

-J'ai entendu papa partir, je me suis dit que se serait bien si je venais, m'étendre contre toi comme quand j'étais plus petit, j'aime sentir l'odeur et la chaleur de ton corps !


Lucie hausse les épaules en opinant de la tête, et reprend sa position sur le dos, en disant :

-Mais cela n'explique pas pourquoi tu es nu, et que tu bandes, mon cochon !

Un peu pris au dépourvu, Lucas tente une pirouette :

-Si je suis nu, c'est qu'il fait très chaud, d'ailleurs toi aussi, tu es à l'aise, ta nuisette est très fine, et je suis sûr que tu es nue en dessous, et si je bande, c'est peut-être à cause de ça !


La maman pousse un gros soupir, et dit :


-Il est très tôt, il faut dormir surtout, ne tente pas de profiter de la situation !



Lucas se blottit contre sa maman, il sent la chaleur de son corps contre le sien. Mais ni lui, ni sa maman ne trouvent le sommeil. Lucie sent contre sa cuisse le membre raide qui semble être secoué, de petits soubresauts. Elle se pince les lèvres, elle n'ose pas faire un mouvement. Lucas ronronne, il dépose un petit baiser au creux de l'épaule de sa maman, qui soupire doucement. Il lui pose doucement sa main sur la cuisse, et du bout des doigts, avec une lenteur bien calculé, il se met à caresser la peau laiteuse de sa maman. Avec art, en passant sous la nuisette, le coquin avance centimètre, par centimètre sur la cuisse brûlante.


La maman frissonne, avec douceur les doigts progressent sur sa peau en cherchant le point le plus sensible du corps. Doucement, avec une audace folle, Lucas agite son bassin, sa queue tendue, coulisse contre la cuisse de sa maman, qui déglutie bruyamment, elle ne sait si elle doit repousser son fils, ou accepter ce que son propre corps demande.
Elle réagit en se mettant sur le flanc, pour éviter les attouchements de son fils. Mais c'est sans compter sur l'opiniâtreté de Lucas. Le bougre se re-colle contre elle, en agitant doucement son bassin. La maman se cabre en sentant le manche coulisser entre ses lobes charnus.


Ses sens sont en feu. Hier soir, pendant que son mari lui faisait l'amour, elle pensait grave à son fils, et là, c'est le comble, elle sent contre ses fesses, son braquemart qui doit être très vigoureux. La douce chaleur du membre qui voyage dans le large sillon fessier, fait frémir la maman, qui ne cesse de soupirer. Soudain, elle sent contre son anus le gland, qui tente de le pénétrer. Lucie se cabre en disant :

-Non mon chéri, pas ça, va dans ta chambre, avant de faire des bêtises que nous pourrions regretter !


Toujours en maintenant la pression, il passe sa main entre les jambes de sa maman et la plaque contre sa chatte, il constate, qu'elle est trempée. Il lui murmure à l'oreille :

-Tu mouilles maman, ça te fait de l'effet de sentir mon gland contre ta petite porte hein !


Lucie commence à trembler, elle dit avec des trémolos dans la voix :

-Ne fais pas l'irréparable mon chéri, sort de mon lit !


Lucas sait que sa maman est fébrile, il pousse un peu plus fort, en disant :

-Maman, avoue que tu veux que je te pénètre !


Lucie répond avec des tremblements dans la voix :

-Tu es un monstre Lucas, cesse de jouer avec moi !


Il réplique sans se démoraliser :

-Je te sens fiévreuse, oh comme ton clito est gonflé maman !


Le bougre le presse plusieurs fois avant de le frotter. Lucie se retourne brusquement, elle est sur le dos, ses yeux sont remplis de larmes. Rapidement, le vicieux, lui re-saisit le clito et cette fois, il le branle énergiquement. La maman a beau serrer les cuisses, le coquin arrive quand même à lui branler le clito. Elle rugit :

-Non, non Lucas, pas ça mon chéri !

Il continue de branler la boule de chair qui est devenue énorme, il dit en souriant :

-Dis que tu veux ma bite en toi, dis-le !

Lucie grogne :

-Cesse de me torturer, tu es un fils indigne, je te hais !


Lucas insiste :

-Dis-le, dis-le maman !



Lucie éclate en sanglot et hurle :

-Oui, oui, je veux que tu me baisses, que tu me défonces, prends-moi, prends-moi !


Souriant le voyou, lui répond :

-Eh bien, tu vois, ce n'est pas difficile à dire, eh bien oui, je vais te prendre comme la chienne que tu es. Je t'entendais le soir gémir, hurler sous les coups de bite de papa, pendant que je me masturbais des heures en pensant à toi, maintenant, c'est à mon tour de profiter de ton corps de chaudasse, allez suce-moi !


Avant que Lucas ne présente aux lèvres de sa maman son gland violacé, il allume à lumière. Il regarde sa maman qui a les yeux embués par les larmes. Il lui caresse avec deux doigts les lèvres. La maman entrouvre la bouche et doucement les doigts pénètrent à l'intérieur. Lucie commence à les sucer, à les téter avec de plus en plus de convictions. Elle suce comme si c'était une véritable bite. Lucas retire ses doigts et pose sa bite contre le visage de sa maman. Elle la saisit, la décalotte et gobe le gland. Lucie suce divinement, pendant un long moment, elle savoure le gland épais.


Lucas, gémis, agite son bassin, en caressant les longs cheveux de sa maman. Il se cabre et dit :

-Maman ça vient, oh comme tu suces bien, ouah, je vais décharger maman !


Entre deux succions, elle dit :

-Décharge dans la bouche de maman mon chéri !


Lucas se raidit en grognant et envoie une giclée formidable de sperme dans la bouche de sa maman. La décharge est si puissante que Lucie recrache le gland, elle se pince les lèvres, un filet de sperme, s'échappe à la commissure de ses lèvres, qu'elle essuie d'un revers de la main. En regardant son fils droit dans les yeux, elle avale la totalité de la semence douçâtre. Lucas lui dit :

-Oh maman comme je t'aime, j'en ai passé des nuits à me masturber, je sentais tes culottes sales en pensant à ton corps, maintenant, tu es à moi !


Elle répond :

-Oui mon chéri, je suis à toi corps et âme, moi aussi, je te dédirais depuis longtemps, et la correction que je t'ai donnée, a confirmé mon envie de toi. Fait de moi ta femme, ton esclave, ton objet sexuel mon chéri !


Lucas l'enlace et lui écrase les lèvres avec les siennes, les langues se nouent, un flot de salive est échangé. Soudain, Lucas lui déchire la nuisette. Sa maman lui dit :

-Oui mon chéri, soit brutale avec ta salope de maman, j'adore ça !

Il la regarde en souriant et répond :

-Oui ma salope, je vais faire de toi une esclave sexuelle, une machine à jouir !



















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Commentaires du récit : Lucas incorrigible 2

Le 03/04/2024 - 01:43 par alexandre8819
Hum je veux bien être ton amant j'adore tu dois être coquine et sympa

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