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18 ans après Partie 2

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Lue : 2025 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 29/08/2020

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PARTIE 2
Et voilà que dix-huit ans après, je la retrouvais, semblable mais différente. Elle mais une autre. Resplendissante en tout cas. L’adolescence était devenue une femme.
—Si j’avais pensé qu’on se revoie un jour.
—Qu’est-ce que tu fais ici,? je lui ai demandé.
—Je pourrais te retourner la question.
—Ecoute il faut que j’y aille.
Elle a désigné une maison avec des volets bleus un peu plus bas.
—J’habite là. Tu finis à quelle heure?
—Dix-huit heures sans doute.
—Passe quand tu auras fini ta journée. Je serai là. On parlera du passé et du présent.
Et elle est montée dans sa voiture. Vous avez déjà vu une femme monter dans sa voiture? Elle a glissé une jambe, puis l’autre, et l’espace d’un instant, quelques secondes, le temps qu’elle rentre sa deuxième jambe, donc jambes ouvertes, j’ai eu une vision impeccable de son sexe, que nulle pièce de tissu ne parait. Je l’ai retrouvé, à 18 ans de distance. Ce qui n’avait pas changé, c’étaient ces deux bouts de lèvre qui sortaient, même quand son sexe était au repos. Par contre, sa toison pubienne avait totalement disparu. Elle m’a fait un petit signe de la main. Je me suis demandé si elle était consciente de s’être exhibée.
J’ai pensé à elle toute la journée. Mon passé qui remontait. Des dizaines de souvenirs. Discussions, fou-rires, moments complices. Et sexe.
Ce soir-là, en revenant, je me suis arrêté chez un fleuriste, pour prendre un bouquet de roses. J’ai évité les rouges. On n’en était plus là. Mais ça m’a rappelé quand je lui avais amené un bouquet de pivoines.
Je suis arrivé à 18 heures 55 et j’ai été sonner chez elle. Elle s’était changée, vêtue d’un leggings très collant, qui montrait clairement qu’elle n’avait pas pris un gramme en 18 ans, et que ses courbes étaient toujours aussi attirantes, et d’un T-shirt. Elle avait changé, et pourtant elle était toujours celle que j’avais connue il y avait 18 ans de cela. Plus mûre, plus consciente de ses charmes, sans doute.
—Ca me touche, elle m’a dit, quand je lui ai tendu les fleurs, et ça me rappelle des souvenirs.
Elle m’a amené dans un living qui n’était pas tellement différent de celui dans lequel nous nous étions rapprochés en d’autres temps. Il y avait deux divans face à face. Elle s’est posé sur un, moi sur l’autre.
—C’est quand même incroyable qu’on se retrouve comme ça,..
—Mon oncle m’a laissé cette maison il y a deux ans. Je revenais le voir régulièrement, et on s’entendait très bien. Tu sais, quand j’ai eu mon Bac, le hasard a fait qu’en même temps, mon père a eu un poste qu’il convoitait à T…Donc on a déménagé là-bas…Lui pour le travail, moi pour mes études…
Mais j’étais attachée ici…La relation qu’on avait nouée toi et moi m’a énormément marquée…Je n’ai jamais rien montré, mais j’ai fini par te détester d’avoir préféré tes études à moi.
—Si, rassure-toi, je m’en suis rendu compte.
—J’étais contente qu’on ait déménagé alors que ça n’était pas prévu. Je me suis dit que si tu revenais et que tu ne me trouvais pas, ça serait une belle punition pour toi.
—C’est bien ce qui s’est passé…
—J’ai décidé, au bout d’un moment de tirer le trait. J’ai eu mon diplôme de comptable, et du travail quasi immédiatement, pour une chaine de supermarchés. J’ai fait plusieurs postes dans la région. Il y a deux ans, les planètes ont été alignées. J’ai hérité de cette maison, et un poste s’est libéré pas loin d’ici. J’ai demandé ma mutation, et je l’ai eue. Voilà. La boucle est bouclée, comme on dit. Et toi, comment ça se fait que tu te retrouves ici?
—Hé bien, mes parents ont toujours gardé la maison, et je savais que j’en hériterais. Mon père est mort il y a quatre ans, ma mère deux. Et j’ai eu un coup de chance, une filiale de la compagnie pour laquelle je travaille a ouvert à cinq kilomètres. Je faisais entretenir la maison, depuis la mort de ma mère, par une dame que je connais, qui venait aérer, nettoyer, et vérifier que tout allait bien.
Il y a eu un silence, puis je lui ai dit:
—Tu te souviens?…
—De quoi?
—Quand on faisait l’amour…Tu n’as jamais voulu que je te pénètre parce que tu avais une peur bleue d’avoir un gosse, même si tu prenais la pilule, et je t’avais proposé la capote en plus…
—J’avais pas envie d’avoir un gosse à 17 ans, et de foutre ma vie en l’air. Pour vous les mecs, c’est facile…
—Oh, ça ne m’a pas manqué. C’était vraiment bien ce qu’on faisait ensemble. Je n’ai aucun regret.
Une lueur s’est allumée dans son regard. Mais sans doute qu’on pouvait lire la même dans le mien.
—Si c’était si bien que ça, elle a suggéré, on pourrait recommencer et aller plus loin. Qu’est-ce que tu en dis?
Ca a été très vite. Elle s’est levée, a fait les quelques mètres nous séparant, s’est posé à côté de moi. Il aurait fallu être aveugle pour ne pas se rendre compte que je bandais. Ca tendait mon pantalon. Elle m’a caressé à travers le tissu de mon pantalon. J’ai senti la forme et la chaleur de sa main, et j’ai gémi, autant parce que sa caresse était bonne que parce que ça me renvoyait aux sensations d’autres caresses, de par le passé. …Elle m’a massé doucement, avant de tirer sur la fermeture éclair, et d’aller chercher ma queue dans mon caleçon.
—Tu as toujours une belle queue, à ce que je vois.
Elle s’est mise à parcourir mon membre de sa langue et de sa bouche. Ca m’a ramené en arrière. On est redevenus les deux adolescents qui découvraient le sexe…Tout en évitant la pénétration.
—En parfait état de fonctionnement.
Tout revenait. Ses fellations. Les cunnis que j’avais pu lui faire. Nos masturbations mutuelles. Ca avait été très bon. Pourtant, si nous revenions vers le passé, j’en étais bien conscient, c’était pour aller vers autre chose.
—Déshabille-moi.
Elle s’est levée, et s’est posée juste devant moi, à portée de mes mains. C’est toujours excitant de déshabiller quelqu’un. Je l’avais tellement déshabillée de par le passé… Les souvenirs remontaient avec force. J’ai attrapé les bords du caleçon et je l’ai tiré vers le bas. Décidément, elle avait perdu l’habitude de mettre une petite culotte, ou alors elle n’avait pas le budget pour. L’odeur de ses sécrétions est montée à mes narines. Ses formes n’avaient pas changé, mais bien l’aspect de son sexe, comme j’avais pu le voir ce matin. Elle s’est défaite elle-même de son T-shirt et de son soutien-gorge. Ses seins me semblaient avoir pris du volume, plus lourds, plus charnus. Mais quand même bien fermes.
—Tu sais qu’à l’époque, j’en mourrais d’envie. Mais j’avais trop peur. Je ne pensais pas que ça arriverait 18 ans après.
Elle a traversé la pièce en direction d’un vaisselier, en me présentant sa partie pile. Ses fesses n’avaient pas bougé, toujours bien rondes, et fendues en deux par un sillon profond. Elle est revenue avec une boite de préservatifs.
—Je crois que rien ne s’oppose à ce que tu viennes dans mon ventre, maintenant, non?
Ca a été très vite. Elle a déchiré un emballage, en a sorti une capote gluante, et l’a faite descendre sur moi d’un mouvement unique et sans failles. Elle a posé une main sur mon épaule gauche, et elle s’est venue se placer au dessus de ma queue. Elle l’a attrapée de sa main droite et l’a guidée vers mes lèvres. Ca s’est passé tout seul, et elle m’a enveloppé de son sexe, m’absorbant totalement. Elle a fermé les yeux et poussé un long soupir.
—C’est bon de te sentir en moi…J’en ai tellement rêvé.
Moi aussi j’avais rêvé de venir dans son sexe, de la sentir autour de moi. Dire qu’il avait fallu si longtemps pour y arriver. C’était quelque chose de basique, sans doute, mais qui avait toute sa valeur, tellement on l’avait attendu. Il n’y avait sans doute pas vraiment de démarche volontaire de notre part, mais on a vraiment tout fait pour retarder au maximum notre jouissance. On a trouvé un rythme, elle bougeait sur moi, puis je la faisais bouger, on faisait une pause, et on a tenu longtemps comme ça, au simple plaisir du frottement de nos deux sexes. On avait loupé ça dix-huit ans plus tôt. On dit souvent qu’on a une seconde chance. On en était la preuve vivante.
Quand on a enfin joui, elle trois fois, moi une seule, l’orgasme a vraiment été comme une récompense pour avoir attendu aussi longtemps, l’un des meilleurs qu’il m’ait été donné de connaître.
Quand elle s’est détachée de moi, elle m’a dit:
—On va quand même manger ensemble avant de se séparer non. J’ai préparé une salade nicoise. Ca te dit? Je pensais qu’on mangerait ensemble, je ne savais pas s’il y aurait du sexe.
On a diné en parlant pas mal, dans la bonne humeur, et en se souvenant de nos années collège, et lycée.
Je me posais une question qui a trouvé réponse à la fin du diner. Serait-ce une fois unique, l’histoire d’avoir enfin un aboutissement de quelque chose qui n’avait pas été accompli 11 ans plus tôt, et une fin, ou bien un début.
—Demain soir, je ne suis pas libre, je suis invitée par des amis.
Au moins, c’était clair. Je me suis levé. Elle a souri.
—Et après-demain, je passe la soirée avec une copine.
—Il est minuit. Il faut que j’aille me coucher, demain je démarre tôt. Merci pour ce bon moment.
—Par contre, samedi et dimanche, je suis totalement libre. On pourrait passer les deux jours ensemble. Je crois que c’est les journées du patrimoine, non? On pourrait aller visiter quelques jolis endroits, manger ensemble, passer la soirée ensemble, et dormir ensemble. J’ai plein d’idées concernant le sexe. Tu m’as enfin pénétrée, mais j’aimerais savoir si dans d’autres positions, tu as les mêmes sensations. Qu’est-ce que tu en dis? Et puis, j’aimerais qu’on retrouve des pratiques du passé. J’adore les cunnis. Tu les fais toujours aussi bien?
Elle m’a raccompagné. L’avenir me semblait soudain prendre une toute autre forme. Nettement plus sympathique.
On s’est longuement embrassés devant chez elle. Je suis rentré chez moi avec la certitude qu’on pouvait vivre une belle histoire.
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Histoire de JamesB

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