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1974 le bonus partie 1

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Lue : 0 fois - Commentaire(s) : 0 - Histoire postée le 04/01/2023

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1974 LE BONUS

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Marie-Jo finissait une dissertation quand elle entendit les pas, précipités, dans le couloir qui menait à sa chambre...Elle reconnut les talons de Sandra et se retourna pour voir celle-ci faire irruption dans a chambre.
--Je les ai !
Elle brandissait deux tickets.
--Pas possible ! J'y crois pas ! Comment tu as fait ?
--Oh, j'ai fait la queue, très simplement. Ce matin, je suis parti très tôt de chez moi, six heures du mat, et j'ai été la troisième dans la file. Alors quand ça a ouvert, j'ai pu avoir les billets quasiment avant tout le monde. Et je peux te dire qu'il y en avait du monde derrière moi...
Elle posa les deux tickets sur la table de Marie-Jo. Pas de doute, c'étaient bien deux tickets tout ce qu'il y avait d'officiel. Il y avait le logo de la chaine de radio, le prix, la date...Dans deux semaines.
On était au début juin, et une grande chaine de radio nationale venait de lancer ce formidable événement qu'était chaque année sa tournée d'été. Un formidable événement, parce que chaque soir, pendant trois mois, dans des villes grandes ou moyennes, c'était un vrai spectacle qui était offert pour à peu près trois heures. Avec un incroyable patchwork de styles de musique, des performances individuelles, des groupes...On venait souvent pour une personne, une groupe, que l'on aimait, mais on appréciait le reste du spectacle.
Les deux jeunes femmes écoutaient énormément de musique. Il y avait la radio, bien sûr, et puis les 45 et les 33 tours qui pouvaient tourner en boucle sur leurs tourne-disques...
Marie-Jo et Sandra avaient beaucoup de goûts en commun, Dont une fascination sans bornes pour le John Dupont Band. Un groupe bien français, qui jouait un rock progressif, original, écrit par eux, rien à voir avec les tendances si médiocres de reprises sans originalité une décennie plus tôt. Ils avaient choisi un nom qui revendiquait leurs racines, tout en y ajoutant un prénom anglais pour dire clairement qu'ils avaient été influencés par bien des groupes américains. Elles aimaient cette musique, qui rejoignait celle de bien des groupes anglais ou américains. Et puis, ils étaient beaux. Leur statut de rock stars leur conférait une aura qui les faisait vraiment différents, et encourageait au désir. Et il fallait bien dire que, si Marie-Jo fréquentait pas mal de garçons, et si Sandra avait décidé elle de ne se consacrer qu'aux filles, ils les séduisaient toutes les deux, sans d'ailleurs de préférence. Dans leurs fantasmes, fantasmes partagés, elles se voyaient parfaitement, toutes les quatre, avec les quatre chanteurs du groupe, leur donnant du plaisir. Elles avaient suffisamment d'imagination, et d'expérience. Avant de ne se consacrer qu'aux filles, Sandra partageait souvent les moments tarifés de Marie-Jo. Et c'était d'elle que cette dernière avait appris certaines techniques qu'elle mettait en place depuis...
--Ah, c'est formidable, je n'y croyais pas...Ces deux semaines vont être les plus longues de ma vie.
--C'est toujours meilleur d'avoir quelque chose après avoir beaucoup attendu...Dis donc, je crois que ça mérite une petite récompense, non ?
Marie-Jo comprit aussitôt à quoi Sandra faisait référence. Par chance, sa mère venait de partir manger à la cantine. Elle y passait généralement une bonne demi-heure moins pour manger que pour discuter avec des collègues. Mais par précaution, elle poussa la porte de sa chambre. Elle se retourna, défit la ceinture qui tenait son pantalon à la taille de Sandra, tira sur la fermeture-éclair. Le blanc de la culotte qu'elle portait dessous apparut, avec déjà une tâche de mouille. Marie-Jo se demanda quelle en était la source, la joie d'avoir pu obtenir des billets, une envie de sexe ou le fait qu'elle la défasse. Les trois à la fois peut-être. Elle descendit le pantalon, puis la culotte, révélant une chatte qu'en ces années-là, on ne rasait pas, brune et fournie. Elle passa ses doigts à travers le buisson, une sensation qu'elle appréciait toujours, celle d'une fourrure délicate et soyeuse. Un peu plus bas, il y avait la fente de Sandra, à laquelle cette position debout ne donnait qu'un accès partiel. Elle commença par un coup de langue, qui ne caressa que le haut de ses lèvres, avant de partir pour un doigt, glissé horizontalement, entre ses cuisses, un simple doigt qui vint appuyer contre la fente close. Marie-Jo aimait bien les commencements, et elle apprécia de sentir le sexe encore clos s'épanouir, s'ouvrir, les lèvres sortir, et ce qui n'avait été que quelques gouttes de sécrétions intimes devenir un écoulement plus consistant. Elle sentit Sandra gémir. Sandra qui lui jeta avec une pointe de reproche :
--Tu ne m'as rien fait depuis dimanche !
--On est mercredi, c'est une éternité. On va quand même avoir quelques minutes de plaisir.
Et c'était vrai que Marie-Jo était très sollicitée par les garçons ces derniers temps, contre finances...
Elle attrapa Sandra par les fesses, et la soulevant légèrement, la fit basculer sur le lit tout proche. Dans une autre position, ce serait mieux. Sandra se laissa faire. ('Tu es lourde', lui fit remarquer Marie-Jo.) Sur le lit, elle laissa Marie-Jo lui enlever définitivement le pantalon et le slip. Elle écarta les jambes, donnant libre accès à son sexe, que sa position, mais aussi son excitation ouvraient nettement à présent. Marie-Jo plongea sur elle, son envie à présent aussi forte que celle de Sandra. Il existait entre elles un lien très fort, qui se maintenait au fil des mois, des semaines, des jours, une complicité qui se manifestait dans bien des domaines.
--On n'a pas beaucoup de temps...Si ma mère revient plus tôt...
Juste en face d'elle, il y avait le gros réveil. Elle le garda dans son champ de vision le temps qu'elle caressa sa partenaire. Elle glissa ses mains sous ses fesses, une manière de prise de possession, et elle vint, de la langue, explorer ce sexe féminin qu'elle connaissait par cœur mais dont elle n'arrivait pas à se lasser. Caressant la chair délicate des lèvres, lapant les sécrétions à présent abondantes, venant appuyer à l'endroit où son gland clitoridien était encore couvert par sa calotte, tournant de la langue jusqu'à ce qu'il se décalotte tout seul. Marie-Jo aimait la chatte de sa partenaire, autant pour ses lèvres qui étaient, quand elles étaient gorgées de sang, fines et longues, que pour ce clitoris qui, quand il était lui aussi en érection, était impressionnant, un bout de chair épais et plutôt long. Elle appuya sur le gland clitoridien de sa langue, tournant sur lui, morceau de chair suffisant pour procurer à la jeune femme un plaisir intense.
Parce que les deux jeunes femmes étaient très proches, elles n'hésitaient pas à se confier mutuellement ce qui leur plaisait. Ou à le faire comprendre avec des gestes. C'était comme ça que Sandra avait pris, il y avait peu de temps de cela, sa main, dans une position identique, en avait sélectionné un doigt, et l'avait appuyé contre sa muqueuse anale. C'était rentré sans problème. Elle avait fait bouger la man, amorçant un va-et-vient que Marie-Jo devait, elle l'avait bien compris, effectuer une fois que Sandra l'aurait lâchée.
Elle avait éprouvé du plaisir à bouger dans le conduit étroit, une sensation très forte. Sans aucun doute, si elle était revenue en elle depuis, c'était parce que Marie-Jo y prenait autant de plaisir que Sandra pouvait en éprouver.
Elle était dans une position d'équilibriste. Sa langue sur son sexe, un doigt dans son anus, et de son autre main, elle s'était dégrafée pour se caresser. Elle avait elle aussi un pantalon et un slip dessous. Elle avait tiré ses vêtements vers le bas, et elle s'était mise à se frotter.
Le réveil lui disait clairement qu'il était temps de conclure. Marie-Jo avait bougé son doigt plus vite dans le rectum de Sandra, mordillant très doucement son gland clitoridien, en même temps qu'elle appuyait sur le sien.
Les deux filles avaient joui toutes les deux quasi simultanément, en crachant des jets de liquide.
Marie-Jo avait une mauvaise intuition. Etre très proche de sa mère faisait qu'elle sentait beaucoup de choses. Elle se reculotta à toute vitesse, avant de dire à Sandra : 'Vite, rhabille-toi !' Cette dernière lui faisait une confiance absolue, et elle avait obéi.
Marie-Jo repoussa la porte de moitié. Elles se mirent au bureau, pour entreprendre une conversation sur les cours. Josiane fit son apparition trente secondes plus tard.
--J'ai mangé. Ca va les filles ? Vous avez mangé, vous ?
Elles avaient eu chaud.

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Histoire de JamesB

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