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1974 partie 2

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Lue : 0 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 03/01/2023

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1974

PARTIE 2
Elles connaissaient parfaitement l'emploi du temps et les salles de l'autre, donc elles savaient où la retrouver. Ca dépendait qui avait fini la première. Souvent, c'était à mi-chemin.
Marie-Jo allait rejoindre Sandra, mais elles se rencontrèrent à mi-chemin. Quand elle vit celle qui tenait de multiples rôles pour elle, meilleure amie, confidente, mais aussi partenaire de plaisir, Marie-Jo éprouva ce qu'elle éprouvait toujours : un mélange d'affection, d'attirance, de désir, mais aussi une pointe de jalousie. Elle se sentait liée à elle d'une manière très possessive, et l'idée qu'elle puisse lui échapper, appartenir à quelqu'un d'autre la tourmentait.
Si elle était aussi grande qu'elle, un bon mètre quatre-vingt, Sandra était aussi blonde qu'elle était brune. Une vraie blonde, ça Marie-Jo pouvait en témoigner, elle qui avait régulièreent sa chatte à deux centimètres de ses yeux...
Sandra avait une jupe blanche, courte et plissée qui dégageait bien ses longues jambes fines, et un T-shirt tendu par des seins volumineux. Il y avait chez elle un mélange d'innocence et de perversion que Marie-Jo était sans doute la seule à déceler, qui la mettait dans tous ses états...
--Tu viens, on va s'aérer ?
La pause de dix heures était copieuse, un bon quart d'heure qui permettait de profiter. Les deux jeunes femmes descendirent. La cité de formation était immense, avec des zones d'herbe, des préaux, des endroits où se poser, avec des bancs...On pouvait s'éparpiller sans problème. Elles partirent se caler près d'un bosquet. Incapable de résister à son envie, Marie-Jo glissa la main sous la jupe et vint du bout des doigts à la rencontre de la proéminence de ses parties intimes.
--Tu es folle...On peut nous voir...
--Mais non, on a les bosquets autour...Et puis si on nous voit...Les autres ne font pas mieux...
Elle éprouva le renflement du sexe de son amie, la faisant frémir, et sentit que le coton de la culotte se mouillait. Elle tourna autour de la tache de mouille, la sentit s'élargir. A cause de l'humidite, elle sentait mieux le renflement du sexe de son amante, l'ouverture de son sexe...Elle souleva d'une main curieuse la jupe, remarquant comme le tissu était tendu à la fois par le pubis de Sandra et sa vulve, dont on apercevait une partie, le tissu rendu transparent par ses sécrétions. Elle amena sa main sur ses fesses bombées, autre objet de sa convoitise, les caressa en glissant sous le tissu, pétrissant la chair.
--On est libres à quinze heures toutes les deux, non?, fit remarquer Marie-Jo. Tu passes à l'appart?
--Et si tu venais chez moi? Tu sais que je ne suis jamais tranquille chez toi.
Et effectivement c'était très compliqué pour elles de prendre du plaisir ensemble. L'appartement de fonction donnait directement sur la loge dans laquelle sa mère officiait. Il y avait une porte communicante entre les deux qui n'était jamais fermée. Sa mère non seulement la laissait ouverte ou entre-ouverte, mais de plus, elle se glissait souvent dans l'appartement, pour venir y prendre quelque chose. Et Marie-Jo était convaincue que c'était également pour la surveiller quand elle était en compagnie de quelqu'un. Il y avait bien sur la solution de fermer la porte de sa chambre, mais cela induisait des suspicions qui faisaient que sa mère tapait à la porte, au motif 'qu'elle se faisait du souci pour elle, elle avait peur qu'elle se trouve mal...' Et difficile de prétendre qu'elle faisait autre chose, si sa mère la trouvait entrain de se faire bouffer la chatte ou les seins par Sandra, ou vice-versa...Quoi que...Ca aurait peut-être été la solution, une manière de rassurer sa mère, qui aurait vu qu'elle n'était pas entourée de queues qui cherchaient à se frayer un chemin en elle, et à la mettre enceinte.
Sandra se cambra...
--Ah arrête tu m'excites...Si tu continues, je vais me jouir dessus...Alors tu viens ? Si tu veux, je viens avec toi, je dis à ta mère qu'on va bosser ensemble...
--Elle pensera qu'on va se taper deux gars...Bon, écoute on fera comme ça. Elle a un peu confiance en toi...
La sonnerie se déclencha. Marie-Jo porta ses doigts à ses narines, reniflant l'odeur intime et intense des sécrétions de Sandra. Quand elle était avec Sandra, et qu'il fallait se séparer d'elle, c'était toujours pénible.
La journée se finissait ce jour-là, pour l'une comme pour l'autre, sur le coup de 15 heures. Marie-Jo avait bouclé ses travaux personnels la veille, elle pouvait donc partir en toute quiétude avec Sandra, et passer deux ou trois heures avec elle.
Posée devant le standard téléphonique, Jeanine répondait à un appel. La loge était enserrée par une face vitrée et un comptoir derrière lequel se tenaient Sandra et Marie-Jo. Cette dernière en profita pour glisser sa main dans la culotte de sa copine et enserrer une de ses fesses.
--Tiens, tu es là, Sandra ?
--J'ai besoin que Marie-Jo m'aide pour une dissert. Y a possibilité qu'elle vienne chez moi ?
Jeanine jeta aux deux jeunes femmes un œil scrutateur. C'était le moment de vérité, et la réponse ne serait pas forcément oui.
--Je veux que tu sois de retour avant 19 heures, Marie-Jo.
Même dans cet accord, il y avait un lourd doute sur la nature réelle des activités des deux filles.
Elles partirent à travers la ville. Une petite rue à remonter, une grande avenue à traverser, pour arriver à un immeuble de quatre étages,tout récent. Marie-Jo était déjà venue ici plusieurs fois. Elle aimait bien l'appartement, simplement meublé, grand et spacieux. Les parents de Sandra étaient tous les deux ingénieurs. Un autre train de vie, même si l'existence que menait Marie-Jo, plus modeste, ne lui posait aucun problème.
Si le matin, c'était Marie-Jo qui avait mené l'offensive, et Sandra avait été réservée, le courant s'inversa, sans doute parce que Sandra détestait s'afficher plus que tout. Dès que la porte de l'appartement fut fermée, elle vint plaquer son corps contre celui de Mairie-Jo, qui fut envahie par les sensations. Elle était friande du moindre contact, éprouvant avec elle des plaisirs sensuels, qu'elle savait pertinemment ne jamais connaître avec des hommes. Quelque chose de plus subtil. Avec les garçons, tout tournait autour de leur queue. Seule source de jouissance. Le corps des filles était lui riche d'une multitude de terminaisons nerveuses susceptibles de leur donner du plaisir, et, même instinctivement, elles en étaient conscientes.
Les seins de Sandra, lourds, écrasés contre sa poitrine, aussi bien développée, son ventre plat contre le sien. Dans un léger mouvement de gauche à droite, et à travers leurs vêtements, ça ne changeait rien à la sensation, au contraire, ça l'accroissait, Marie-Jo vint frotter sa poitrine contre celle de son amante tout doucement, avant de prendre sa bouche. Leurs langues se caressèrent, avant qu'elle ne glisse ses mains sous la jupe de Sandra, et ne descende la culotte, pour prendre ses fesses à pleines mains et les masser.
--Tu as un avantage sur moi, lui souffla finalement Sandra. Tu peux me toucher le cul, alors que pour moi c'est impossible.
Sans opposition de la part de Marie-Jo, elle glissa les mains entre leurs tailles, et défit la ceinture qui maintenait le pantalon patte d'eph. Quelques gestes effectués d'une main tremblante, avec le sexe en feu et ruisselant, un pantalon qu'on descend, un slip qui suit le même chemin. Dans un équilibre, elle vint aggriper les fesses de sa bien-aimée, aussi charnues mais dessinées différemment et plus allongées. Elles s'embrassèrent encore un moment, avant de venir, dans une harmonie qui était leur signe distinctif, caresser le sexe ouvert de l'autre. Deux sexes au dessin différent, mais sur lesquels l'excitation produisait le même effet, l'ouvrant, le dilatant, le faisant gonfler...Elles se mirent à gémir sans retenue, tranquilles dans l'appartement, pouvant se laisser aller, aussi excitées de sentir la caresse de la main de leur maitresse sur elles que d'avoir au bout de leur main le sexe de l'autre qui réagissait. Un effet miroir qui décuplait le plaisir. Elles gémissaient. Marie-Jo risqua un doigt entre les lèvres de son amie, et le fit aller et venir. Sandra se mit à gémir de plaisir. Elle se dégagea pourtant, et dit à son amie :
--J'ai une surprise. Je suis passée au sex-shop et j'ai acheté quelque chose pour nous deux.
Faire cette révélation l'excitait. Un rien décontenancée, Marie-Jo la regarda traverser la pièce pour aller chercher dans sa chambre son emplette. Elle se demandait de quoi il s'agissait. Elle savait bien qu'il y avait, ici comme dans pas mal de villes de France, des sex-shops qui avaient ouvert, résultat d'une libéralisation des mœurs qui traversait la société, faisait qu'on pouvait tout autant voir dans de nombreuses salles de cinéma, en France, des films X mais aussi que des films érotiques, non classés X, sortaient.
Sandra fut de retour avec un serpent de plastique bleu foncé, quelque chose de long, de très long, qu ilaissa Marie-Jo sans voix. Devant sa surprise, Sandra expliqua :
--C'est un gode, mais il est double...
Si elle n'avait jamais utilisé de godes, elle préferait ses mains pour se donner du plaisir, Marie-Jo savait ce que c'était, mais elle n'avait jamais imaginé qu'il puisse y en avoir d'aussi long. Celui-là était impressionnant par sa taille.
--Viens, je l'ai acheté en pensant comme ca serait bien pour avoir du plaisir...On peut l'utiliser de mille manières différentes...
Elle se laisser tomber sur le grand divan, et attrapant le gode en son milieu, elle vint poser l'un des bouts sur sa toison pour le faire aller et venir dans un mouvement qui mit bientôt le feu au ventre de Marie-Jo. Le bête morceau de plastique, par une étrange magie, prenait soudain une toute autre dimension, grâce à l'habileté de Sandra, qui, les yeux brillants, s'efforçait de caresser au mieux son amante. Quand elle vint faire tourner le jouet de plastique sur ses lèvres, frolant aussi son gland clitoridien que la jeune femme sentit gonfler, Marie-Jo ne put s'empêcher de gémir. C'était vraiment bon.
La jeune femme glissa en elle de quelques milimètres seulement, C'était finalement une sorte de queue, sans les risques que pouvait impliquer celle-ci. Celle-là ne risquait pas de la mettre enceinte. Alors bien sûr, elle n'était pas de chair, elle n'était pas toute chaude, mais ça n'était pas vraiment un problème. Il y avait le plaisir d'être pénétrée, quelque chose qui tournait à l'obsession chez elle, elle avait envie de se sentir REMPLIE, et puis l'habileté, et pour ça on pouvait faire confiance à Sandra pour s'en servir comme d'un instrument capable de donner du plaisir, d'improviser des jeux, des caresses qui n'avaient rien à voir avec le simple mouvement de va-et-vient d'une queue, qu'elle était tentée de mépriser, de même qu'elle se disait souvent qu'elle préférait donner son sexe à Sandra qui avec ses simples doigts, sans gode, improvisait mille caresses différentes sur son intimité, même si elle savait que c'était en partie du dépit que de penser cela. Elle aurait aimé aussi avoir un sexe d'homme dans le ventre, même si elle en avait très peur.
Sandra joua quelques minutes, rentrant un tout petit peu en elle, ressortant, venant frotter ses lèvres, son gland clitoridien, tournant autour de son sexe, s'en éloignant, revenant.
--Tu peux rentrer...Tu sais que je n'ai plus mon hymen.
Deux ans plus tôt, elles étaient ensemble sur une balancoire...Un coup un peu plus fort ? Elle avait senti une déchirure, confirmée par des traces dans son slip. C'était une bonne chose au final.
--Puisque tu me le demandes...
Ca avait énormément troublé Marie-Jo que de voir son amante attraper l'autre bout du gode et de venir le caler dans son ventre. Elle avait autant aimé voir Sandra faire rentrer le pénis de plastique en elle, cette grimace qui signifiait un plaisir qu'elle n'attendait sans doute pas de se sentir remplie, de sentir ses muqueuses caressées, que de saisir ce léger mouvement, celui de refermer ses muscles vaginaux autour du morceau de plastique pour bloquer le gode en elle une fois qu'elle en eut avalé un tiers à peu près. Sandra, elle le savait, avait perdu son pucelage il y avait pas mal de temps de cela, dans des circonstances qu'elle n'avait pas voulu préciser. Elle se disait souvent que Sandra était son exact contraire. Autant Marie-Jo redoutait de laisser un sexe masculin rentrer en elle, autant Sandra accueillait volontiers tout ce qui pouvait la pénétrer. Même si de son propre aveu, ca faisait longtemps qu'un homme n'avait glissé sa queue en elle. Elle lui avait déjà parlé de ses passages au sex-shop pour acheter des godes, sans qu'elle en ait jamais la preuve...Elle l'avait là, sous les yeux...
Quand elle eut calé le gode en elle, pendant hors de son sexe comme quelque chose d'à la fois obscène et excitant, elle s'approcha de Marie Jo. Celle-ci attendait sur le divan. Elle se pencha sur elle pour attraper le jean et le slip, accrochés au niveau de ses genoux, et elle les tira fermement, jusqu'à les enlever. Puis elle se pencha sur elle, vint prendre sa bouche en même temps qu'elle appuyait la tête du long serpent de plastique contre ses lèvres.
--Dis-moi que tu en as envie !
--J'en ai envie, tu le sais très bien.
Lentement, simplement d'un coup de ventre, elle poussa le sexe de plastique dans le ventre de Marie-Jo. Une extrême lenteur qui mit la jeune femme dans tous ses états, partagée entre plaisir et frustration...Elle avait envie de lui hurler de rentrer d'un seul bloc, et après de la fouiller bien, avec vigueur, et pourtant elle avait bien conscience, en même temps que c'était justement cette extrême lenteur qui donnait toute sa densité à sa jouissance et l'emportait totalement, comme une vague qui l'aurait balayée.
En laissant son ventre agir, Sandra parvenait à manipuler le plastique comme si elle avait une vraie queue, d'ailleurs, à ce moment, la queue faisait partie d'elle, intégrée dans son anatomie, une excroissance qu'elle faisait aller et venir dans le sexe de Marie-Jo, en jouant plus qu'habilement, variant des mouvements dans le sexe de sa maitresse, tantôt lents, tantôt rapides, sortant pour caresser le gland clitoridien, le plastique dégoulinant de ses sécrétions les plus intimes...
--Je crois que je vais jouir...
--C'est bien mon but, répondit Sandra...
Marie-Jo se sentit emportée par un orgasme comme elle savait n'en savoir qu'avec Sandra. Il y avait entre elles une alchimie qui faisait, que, quelles que soient les conditions, elles avaient un plaisir intense ensemble.
--Et si on inversait les rôles ? Tu as vu comment j'ai fait ?
Lorsqu'elles faisaient l'amour, il y avait toujours un côté initiatique, un partage des expériences, du savoir-faire, que Marie-Jo appréciait beaucoup. Chacune avait découvert le plaisir de son côté, et faisait profiter l'autre de ce qu'elle avait vécu.
Marie-Jo attrapa le double gode en son centre, et le fit bien rentrer en elle. Il lui fut facile de resserrer les muscles de son con autour du plastique, et de ne pas les déserrer. Sandra laissa le sexe de plastique sortir d'elle, ruisselant de ses liquides intimes. Elle se bascula à quatre pattes sur le divan, s'offrant à Marie-Jo et lui faisant tourner la tête, rivant son regard au sien pour bien lui faire comprendre qu'elle pouvait venir et la prendre. La jeune femme se redressa, savourant la sensation de sentir cette queue de plastique accrochée en elle, comme une queue qui lui aurait poussé magiquement, et à vitesse grand V, et qui lui donnait un nouveau pouvoir. Un instant, l'oeil attiré par l'anus de sa copine, elle eut envie d'y glisser le gode, mais elle n'osa pas, de peur de lui faire mal. De toute façon, elle le pressentait bien, ce serait très bon de rentrer dans cette vulve tout sauf close, dilatée d'excitation, ouverte sur un intérieur rose sur les parois duquel coulait un flux de sécrétion, qui sortant d'elle, venait se perdre sur ses chairs. Lors de leur premier rapport, elle avait dit à Sandra : 'J'ai envie de te boire jusqu'à la dernière goutte, sans y parvenir tellement il y avait de liquide qui coulait d'elle.' Elle aimait sentir les sécrétions couler dans sa gorge, sentir aussi son goût le plus intime. C'était comme un alcool fort...
Ce qui l'amena, dès les premières secondes, au bord de l'orgasme, ce fut de comprendre que le gode n'était pas qu'un simple morceau de plastique, mais qu'il était ancré en elle, c'était vraiment comme si une queue lui était poussée, et qu'il avait un impact énorme sur elle, puisque chaque mouvement, le plus infime soit-il, lui envoyait des ondes de plaisir dans le ventre. Le plaisir n'était donc pas qu'à un sens. Et aussi de voir la queue glisser dans la vulve, la remplir, masquer le rose de la muqueuse. La pousser lentement en elle, juste retour des choses, jusqu'à ce qu'elle sente le bout de plastique taper contre son utérus.
--J'aime tellement me sentir remplie...Et que ce soit par toi...C'est tellement bien...
Marie-Jo eut le pressentiment que ce double gode allait beaucoup servir dans les jours et les semaines qui viendraient...
A son tour, elle esquissa des mouvements, en suivant un rythme qui n'avait pas forcément été celui de sa maitresse, ressortant le gode de quelques centimètres seulement, le faisant rerentrer...Ou exercant un mouvement plus ample...La fouillant vivement jusqu'à la faire crier, ou partant sur des mouvements très lents...Elle sentait Sandra vibrer.
--Je vais jouir si tu continues, souffla Sandra.
--Et si je fais ça, elle lui demanda, en lui plantant un doigt dans sa muqueuse anale, et en le faisant aller et venir, s'efforçant de trouver un rythme commun au mouvement du gode, tatonnant avant d'y parvenir. La jouissance fit rapidement disjoncter Sandra qui se mit à hurler, suppliant :
--Continue de me fouiller, je veux jouir encore.
Marie-Jo obéit, le corps de sa bien-aimée secouée par des orgasmes successifs, jusqu'à ce qu'elle crie :
--Arrête, j'en peux plus !
Marie-Jo dégagea le gode de la vulve de Sandra. Sans doute parce que l'objet avait en partie bloqué les jaillissements de sécrétions, le fait de le retirer fit jaillir une vague de sécrétions vaginales qui vint tremper Marie-Jo.
Dans les jours qui suivirent, lorsqu'elles eurent un moment ensemble, ce ne fut que des variations autour du double gode, et ses infinies possibilités.
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Histoire de JamesB

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Commentaires du récit : 1974 partie 2

Le 04/01/2023 - 07:32 par Harold38
Merci JamesB, excellent 👍

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