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1974 le bonus partie 2

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Lue : 0 fois - Commentaire(s) : 0 - Histoire postée le 04/01/2023

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1974 LE BONUS
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Les 15 jours qui avaient suivi avaient été intenses. Les deux jeunes femmes y pensaient jour et nuit. Se dessinait petit à petit un projet qui les voyait assister au concert dans un premier temps, pour ensuite se glisser dans les coulisses. Elles avaient entendu une interview à la radio du groupe où ses membres disaient, c'était presque un cliché, qu'ils aimaient les filles, toutes les filles, et qu'ils appréciaient énormément qu'elles les rejoignent après leurs prestations. Ils évoquaient clairement du plaisir partagé 'de toute nature'.
Les deux jeunes femmes imaginaient bien qu'elles ne seraient pas les seules, mais elles étaient convaincues qu'elles avaient leurs chances. Elles n'étaient pas spécialement moches. Quelqu'un qui aime le sexe sent instinctivement qu'une autre personne fonctionne comme lui. Et puis, elles avaient prévu de s'arranger pour ce jour.
Marie-Jo avait bien sûr prévenu sa mère qu'elle allait au concert avec Sandra. Elle redoutait une quelconque réaction, on ne pouvait jamais savoir avec elle, mais ça n'avait pas semblé poser problème.
Quand, dans ses rendez-vous tarifés quotidiens, elle prenait la queue des garçons dans sa main ou dans sa bouche, elle pensait aux queues des John Dupont et ça lui donnait un plaisir qu'elle n'avait pas forcément, dans ces moments où elle allait très vite pour procurer leur jouissance aux garçons qui n'attendaient que ça sans s'occuper de la sienne. Elle se caressait, elle n'avait même pas besoin de se défaire si elle avait un jean, quelques mouvements suffisaient à la faire jouir tellement elle était excitée. Et Sandra et elle, quand
elles avaient la chance d'être seules, parlaient du groupe, en se caressant mutuellement.
'J'aimerais bien leur faire ça...Et moi ça...C'est lui que je préfère...' Excitées comme deux puces...
Et puis ce fameux samedi après-midi qu'elles attendaient tant était enfin arrivé. Elles avaient calculé leur stratégie comme un général d'armée calcule la sienne. Sandra devait passer chez Sandra en partant de chez elle. Elle lui avait en effet prêté une robe qu'elle affectionnait, une robe bleue, simple mais moulante, qui, elle l'estimait du moins, la mettait en valeur. Si elle l'avait mis en partant de chez elle, Josiane aurait compris tout de suite qu'il y avait du pas orthodoxe.
Pour se rendre au concert, rien de plus simple. Le bus, en ligne droite, deux villes plus loin, il y avait un grand parc, qui avait été aménagé pour l'occasion. Une scène avait été montée. Les spectateurs devraient rester debout.
Elle était partie plus tôt, ça n'avait pas semblé perturber sa mère, pour aller voir Sandra. Celle-ci était déjà habillée. Elle avait voulu faire la surprise à Marie-Jo de ne lui montrer sa robe qu'au dernier moment et ça en valait la peine. Elle avait une robe vraiment somptueuse, rouge, qui soulignait sa poitrine, sa taille, avant de s'évaser en une multitude de volants. Marie-Jo se changea sous l'oeil concupiscent de la jeune femme.
--Tu as gardé un slip ?
Sandra souleva la robe en guise de réponse, lui présentant son intimité. Marie-Jo fit glisser le sien le long de ses jambes et le laissa avec le jean pour le retour.
Dans le bus, Marie-Jo glissa sa main sous la robe et vint doucement caresser ses fesses nues, laissant son doigt s'égarer dans sa raie.
--On va tenter....Je ne sais pas ce que ça donnera, mais on peut toujours essayer.
Comme elles s'y attendaient, l'approche du parc changea radicalement la donne. Le bus se remplit, le métro l'était certainement tout autant, et il y avait des jeunes qui marchaient dans la rue, vers une destination évidente.
Le parc était gigantesque, parfait pour l'événement. A l'entrée, on filtrait les gens, du personnel accompagné de gardes du corps, mais tout le monde était discipliné. Sandra et Marie-Jo sortirent leurs tickets et se virent accorder l'accès au parc. Elles s'approchèrent de la scène immense. Sur le côté, on avait installé des préfabriqués qui servaient sans aucun doute de loges.
Il y avait, le terme n'était pas forcément approprié, un chauffeur de salle qui mettait de l'ambiance pendant que les spectateurs se calaient devant le podium. Puis ce fut bientôt la première partie, réservée à ceux dont la carrière avait commencé depuis peu, mais déjà appréciés apparemment, pour une chanson, voire deux. La deuxième partie était réservée à trois stars confirmées, dont le groupe.
--Regarde, les loges là-bas. On ira après. Je suis sûre qu'on va arriver à nos fins. Il y a pas une fille ici qui nous arrive à la cheville.
Ils furent enfin sur scène. Le live, c'était vraiment autre chose que la télévision ou la radio. La musique prenait une autre dimension, une autre épaisseur. Une musique plus vraie, issue de leurs tripes. Ce n'était pas une bande enregistrée, comme souvent à la télévision. Les vraies voix, la musique arrangée différemment. Et puis le plaisir de les voir en chair et en dos, à quelques centimètres de soi.
Les meilleures choses ont une fin. Avec un set de 7 à 8 chansons pour chaque participant de la deuxième partie,
Et enfin, le spectacle prit fin. Avec des moments de danse, le retour de l'animateur, ça avait duré cinq heures. 23 heures, mais la nuit était tombée depuis peu de temps,
--Viens, on y va. Maintenant.
Ca na fut pas très compliqué, et sans doute plus facile qu'elles ne l'avaient imaginé, pour la bonne raison que le public s'éclipsait. Il y avait moins de fans qu'elles n'auraient pu le concevoir. Malgré tout, elles, elles ne lacheraient pas.
Il y avait deux hommes devant les préfabriqués, en contrôlant la longueur. Sandra dit simplement :
--On voudrait rencontrer les John Dupont...
--Pas de problème, allez-y. Mais vous risquez d'être déçues...
Sandra et Marie-Jo se regardèrent, vraiment surprises. La phrase de l'homme les avait d'ailleurs moins décontenancées que son petit sourire. Que fallait-il comprendre par là ?
Elles avancèrent le long des espaces aménagés à la hâte. Des loges improvisées, des vedettes qu'elles reconnurent, entourés de fans, signant des autographes, des pochettes de disques...
Et puis il y avait les John Dupont. Pour eux tout était différent.
Il y avait là trois membres du groupe, difficile de savoir où étaient les autres, même si Marie-Jo imagina une hypothèse sans réponse plus tard. Ils étaient avec trois jeunes mâles, trois groupies d'évidence, dont deux leur faisaient une fellation avec ardeur, tandis que le troisième subissait une fellation.
Les deux filles se regardèrent, interloquées. Décontenancées surtout, parce que se rendant compte que ce que pouvaient dire les médias était totalement bidonné. La vérité était impubliable et inmontrable.
Elles revinrent sur leur pas.
--On rentre ?
--Je te rappelle qu'on doit passer chez moi pour que tu te changes.
Quand elles arrivèrent chez Sandra, tout le monde dormait. Elles glissèrent dans la chambre de la jeune femme. Comme c'était la mode à l'époque, la chambre était tapissée de posters. Dont ceux du groupe.
--Ils font une musique formidable. Mais je crois que je ne les regarderai plus pareil.
Sentant son amie déçue, plus qu'elle encore, Maire-Jo s'approcha de Sandra.
--On a encore un peu de temps. Ma mère m'a donné la permission de minuit, mais je sais qu'elle dort certainement profondément.
Elle souleva sa robe, pour offrir sa nudité à son amie. Ce qui eut un effet magique. Toute l'amertume de Sandra se dissipa. Que Marie-Jo lui donne ainsi son corps, prendre en pleine face sa nudité, ses charmes, sa chaleur...Impossible d'y résister. Sandra l'attira, l'amena sur ses genoux. Marie-Jo se cala sur elle. Elle vint avaler goulument un sein, téton, aréole, bout de chair, en même temps qu'elle trifouillait l'ouverture de son sexe, que sa position rendait aisément accessible. Marie-Jo poussa un petit gémissement, se laissant prendre au plaisir que lui procurait la double caresse. Elle aimait se donner ainsi à Sandra. Celle-ci passa sur son autre sein, délaissant sa vulve pour venir masser son corps dans des gestes aussi caressants qu'enveloppants...Marie-Jo se pencha sur elle et attrapa l'ourlet de sa robe. La jeune femme se souleva, permettant ainsi à sa maitresse de lui retirer sa robe, d'un seul mouvement. Elles réagissaient avec beaucoup de similitude l'une à l'autre, et ce fut pour elle quelque chose de tout aussi bouleversant que de retrouver la nudité de sa copine. Elle aimait quand elles étaient nues toutes les deux, qu'elles pouvaient contempler l'autre, la caresser des yeux, des mains.
--Viens, il ne nous reste pas beaucoup de temps, après je vais rentrer. Je sais ce qu'on va faire...
Ca faisait longtemps qu'elles ne s'étaient pas adonnées à ce plaisir. C'était bien de tourner, de partir toujours sur de nouvelles tentatives. Marie-Jo fit glisser sa partenaire sur le lit, et Sandra comprit aussitôt où elle voulait en venir. Elle se laissa aller en arrière, et ouvrit les jambes pour permettre à Marie-Jo de venir s’emboîter à elle. Le simple contact, sans aller plus loin, les faisait frémir toutes les deux. Il y avait cet effet miroir, toujours très fort...Elle le ressentait simplement quand elles étaient face à face...Mais ainsi...C'était lèvre contre lèvre, gland clitoridien contre gland clitoridien, leurs humidités se mêlant...Un moment intense, quelque chose qui la traversait et la remuait profondément...Elle aimait qu'elles puissent éprouver du plaisir ainsi, à armes égales, sexe contre sexe. Il n'y en avait pas une qui dominait l'autre.
Au tout début, elles appréciaient simplement le contact, qui, déjà, les faisait planer, et puis ensuite, c'était comme elles le sentaient. L'une qui caressait l'autre, ou vice-versa, ou encore deux caresses simultanées. Des sensations qui emportent, la jouissance qui monte...
Elles mêlèrent leurs sécrétions vaginales et leurs orgasmes, jusqu'à ce que Marie-Jo se dégage. Elle aurait aimé passer la nuit avec Sandra, ça n'avait jamais été le cas encore, mais là, ça n'était pas possible.
Elle repassa culotte et jean, fourra sa robe dans son sac, et s'engagea dans la nuit.



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Histoire de JamesB

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