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1ère fois avec mon amant

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Lue : 42469 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 16/09/2011

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J'avais vingt ans, bien décidée à profiter de mon célibat, obsédée par le désir de découvrir de nouveaux plaisirs, tenaillée par l'envie d'expérimenter, je décidai désormais de m'y abandonner à la moindre occasion.
A l'époque, habitant la campagne et encore étudiante, je prenais quotidiennement le car pour me rendre en cours. De ce fait, je côtoyais les habitués de la ligne et certains conducteurs de bus. Inévitablement au fil du temps, j'avais sympathisé avec quelques uns d'entre eux, et en particulier Chris qui allait devenir un de mes amants.

Chris était un homme mûr fin de la quarantaine, aux yeux bleus expressifs, à l'allure mince et sportive, toujours souriant. Il avait la réputation d'être un dragueur, un peu beau-parleur, doué pour flatter les femmes, ces discours de séducteur habile semblait leur plaire; je ne sais pas pourquoi il m'avait charmé et j'étais prête à me laisser prendre innocemment dans ses filets.
Comme avec les autres femmes, il arrivait qu'avec moi aussi il plaisante, me taquine sur les choses de la vie et de l'amour; audacieuse je savais lui répliquer sans rougir. Peu à peu, nos conversations concernant nos vies, nos goûts, nos envies prirent une tournure plus intime, ses allusions récurrentes me laissaient imaginer que je l'avais séduit.
Je découvrais un homme sûr de lui, confiant, entreprenant mais, je devinais sous cette façade un homme attentionné, en manque de tendresse et de sexe.

Un soir alors qu'il était affecté sur ma ligne de bus, nous étions presque seuls, il n'y avait quatre ou cinq jeunes au fond du bus qui allaient descendre au prochain arrêt, il se livra à quelques confidences. J'appris qu'il était en couple, mais peu importe, cela ne me posait aucun problème de moral.
Il m'avoua qu'il avait un faible pour les brunes aux formes généreuses, qu'il adorait mon regard pétillant, mon sourire espiègle et qu'il appréciait ma répartie.
Il n'hésita pas à me révéler que mes seins ronds et lourds captivaient son regard dès qu'il m'apercevait, qu'il ne pouvait s'empêcher de contempler mes fesses et mes larges hanches ...c'est à ce moment là que je compris qu'il me désirait!
Ouvertement, je lui répondis: Tu proposes quoi?
Sur le ton de la plaisanterie, il me dit: J'ai envie de te faire l'amour.
Je saisis immédiatement l'occasion de le prendre au mot, je lui dis en souriant: où et quand ?
D'un air surpris et hésitant, il répondit: rejoins moi demain à midi au départ de la station de bus, tu me tiendra compagnie durant le dernier trajet, ensuite j'ai deux heures trente de pause avant de rendre du service.
D'accord, lui dis-je.
J'arrivais moi aussi à mon arrêt, je descendis en lançant: à demain! quant à lui en vrai séducteur il répondit: à demain ma chérie!

Il m'attirait beaucoup, j'étais toute excitée à l'idée de le retrouver, d'autant plus que ma libido était, à ce moment là, insatiable.
Nous étions au début de l'été, le temps était beau et l'air chaud, pour notre rendez-vous j'avais mis une jupe blanche sous laquelle je portais un string en dentelle blanche, uniquement un débardeur rouge bordeaux et des sandales blanches à talons .

C'était l'heure, je le rejoignis au bus, son air étonné en me voyant arriver me fit sourire.
Bonjour, lui dis-je. Tu es venue finalement, me dit-il?
D'un ton amusé mais confiante, je lui rétorquais: oui ! Je crois que nous avions rendez- vous.
Il ouvrit la porte du bus, pris place sur son siège et moi, je m'installais dans la 1ère rangée à côté près de la porte.
Au cours du trajet et jusqu'à l'arrivée au terminus, nous bavardions de banalités , son discours ne reflétait plus le séducteur qu'il paraissait être .
Mais où était passé l'homme que je connaissais, cette attitude ne lui ressemblait pas.
Je le sentais plein d'appréhensions d'être seul avec moi. Voulait-il faire marche arrière? Était-il angoissé? Après tout, me faire l'amour n'était peut être qu'un fantasme pour lui.
J'étais surprise de la tournure que prenait la situation. Je voulais en avoir le coeur net.
Contrairement à lui, je me sentais à l'aise, j'étais bien décidée à profiter d'un moment de plaisir et à assouvir mon envie de sexe.
Je pris donc les choses en main, le temps n'était plus au marivaudage, il fallait de l'action.

Sans détour, je lui dit : que fait-on? Tu préfères que nous allions déjeuner? Il me répondit que non.
Pourquoi as-tu accepté de venir, me demanda-t-il? Honnêtement lui dis-je, tu m'as allumé pendant suffisamment longtemps avec tes sous-entendus, tu me plais, je sais que tu as envie de moi et moi aussi!
Il souligna notre différence d'âge, je l'arrêtais immédiatement en ajoutant: sans importance puisque je suis là.
Je me penchais vers lui pour l'embrasser, lui pris la main pour qu'il me suive jusqu'à la banquette à l'arrière du bus. Avant, il pris soin de verrouiller le bus de l'intérieur, abaissa le pare-soleil du pare- bise, pendant que je m'occupais de faire de même à l'arrière afin de nous assurer un minimum d'intimité.

Il me rejoignis à l'arrière, je pris l'initiative de l'embrasser doucement, sensuellement, mes mains parcourait son corps et je lui murmurais: laisse toi aller, lâche toi!
Enfin, il se décontracta, sa langue vint jouer avec la mienne, il dégagea mes seins de mon débardeur, ses mains les pelotaient, les tâtaient. Il s'attardait longuement sur mes tétons qu'il pressait et étirait entre ses doigts.
Je me retournais, dandinant lascivement ma croupe contre lui, lui poursuivait ses caresses sur mes seins tendus, sur mes tétons durcis qu'il continuait à malmener; excitée, le minou enflammé, je gémissais!

Rapidement, je sentis son membre durcir dans son pantalon, je n'avais qu'une hâte le libérer pour le découvrir! Je fis glisser ma jupe au sol, m'aidant de mes deux mains je débouclais sa ceinture, déboutonnait son pantalon qui à son tour tomba au sol. Il se débarrassa de sa chemise. A travers son caleçon, je caressais son sexe sur tout sa longueur comme pour mieux en examiner la taille. Je revins face à lui, il enleva mon string et baissa son caleçon. Mes seins frottaient contre son torse ,j'ondulais mes hanches pour faire glisser son sexe contre ma vulve puis mes lèvres. Fermement il plaqua ses mains contre mes fesses, il devait sentir sur sa verge l'excitation qui humidifiait mon sexe.

Je descendis lentement, en l'embrassant, jusqu'à m'asseoir sur la banquette; mon visage arrivait à hauteur de sa queue, raide et fièrement dressée. Elle était peu veinée, surmontée d'un gland peu développé mais déjà décalotté, elle s'élargissait à mi chemin puis se rétrécissait à la base, j'apercevais deux bourses rondes et hautement arrimées.
Délicatement, du bout de la langue je léchais ses couilles l'une après l'autre, les prenais dans ma bouche puis remontais ainsi jusqu'à l'extrémité de son gland, autour duquel je refermais ma bouche pour le sucer profondément. Je tenais fermement ses bourses dans ma main, je goûtais sa queue qui grossissait dans ma bouche, lui soupirait, gémissait, entendre son excitation faisait accroître la mienne.
Puis il s'assit à mes côtés, se pencha sur ma poitrine pour pendre un sein en bouche, il aspira et tira sur mon téton pendant un long moment. Il fit de même avec l'autre qu'il téta goulûment. Une de ses mains descendit jusqu'à mon entrejambe, il écarta mes lèvres gonflées de désir pour explorer avec ses doigts mon écrin déjà bien mouillé. Il se leva vers moi et me dit: hum que tu es trempée. Je répondis: Tu aimes?
Pour réponse, il me dit de m'adosser à la banquette. Impudique, j'ouvris mes cuisses au maximum offrant ma chatte trempée à sa vue et à ses caresses. Je voyais dans ces yeux que cette attitude l'excitait beaucoup. Il ne détourna plus son regard de ce spectacle et s'appliquer à exciter mon petit bouton entre son index et son majeur. Il alternait en glissant ses doigts dans ma fente, ses doigts étaient souillés de mouille. Ondulant mon bassin sous ses attouchements, je ronronnais de plaisir. Plaisir qui s'accentua lorsque, mon bouton sortit de son capuchon.

Je partageais ces douces sensations en le branlant à son tour, sa queue enflait littéralement dans ma main, tendue à son paroxysme. Quelques gouttes de liqueurs perlaient de son gland, signe que sa jouissance était proche, je continuais ainsi la masturbation de sa queue bien lubrifiée. J'étais proche de l'orgasme aussi, je sentais le plaisir me submerger... ma main se resserra autour de sa queue, je ne le branlais plus, je m'abandonnais à la jouissance sans retenue. Il n'arrêta pas pour autant, quatre des ces doigts me fouillaient. Je repris mon va-et-vient, ses râlement de plaisirs devenaient plus forts, presque aussitôt, son corps se raidit et là trois bons jets de liqueurs blanches jaillirent de sa queue sur mon ventre. Je me relevais, il m'embrassa tendrement, son sperme s'écoulait vers mon pubis.
Troublé, il était presque gêné d'avoir éjaculer trop tôt. Surexcitée et insatiable, j'en voulais encore.

Je partis à l'avant chercher dans mon sac un mouchoir afin nettoyer son sperme sur moi et rapporter deux ou trois préservatifs. De retour sur la banquette, il me dit: laisse-moi goûter ton minou. Il s'agenouilla devant mes cuisses entrouvertes et approcha sa bouche de mon bas-ventre. Sa langue passait sur mes lèvres et se fraya un chemin jusqu'à mon clitoris encore dressé. Il le gâtait de coups de langue et de petites succions, ses doigts me pénétraient profondément. Je ne souhaitais qu'une chose qu'il ne s'arrête pas avant que je ne vienne une seconde fois...il n'arrêta pas avant que je pousse des cris de plaisirs. Je le suppliais d'arrêter parce que mon sexe, exacerbé par toutes ces gâteries, était devenu hypersensible.

Sa queue avait recouvré sa vigueur, il bandait à nouveau, je ne pus m'empêcher à mon tour de m'agenouiller pour le pomper. D'un regard provocant, je le fixais dans les yeux pendant que ma bouche bouffait sa queue, avalait ses couilles avec appétit. Surexcitée, je m'employais à le faire couiner.
D'une geste sûr et expérimenté, je sortis un préservatif de son emballage que je déroulais adroitement avec la bouche le long de sa verge. A califourchon, je vins m'empaler sur son membre aussi raide et dur qu'un bâton, il s'engloutissait dans ma chatte chaude et trempée. Je me déhanchais sur sa béquille, elle cognait au fond de moi, mes seins se balançaient devant son visage, il saisit mes hanches pour accompagner mon mouvement, j'allais et venais toujours plus vite, je jubilais de l'entendre rugir ainsi.

Je voulais faire durer notre union, je ralentis la cadence. Dans un soupir, je lui demandais de me branler pendant que de l'autre main il caressait mon sein.
J'oscillais encore et encore, quelle délice de sentir ma chatte ainsi remplie! Je pâmais de plaisir.
Je souhaitais que nous jouissions ensemble mais je savais que je ne tiendrais plus longtemps. Aussi amenai-je à ma bouche, les deux doigts maculés de mouille qui me branlaient, je les léchais puis les suçais, je les nettoyais avidement. Mon vagin se contractait autour de sa bite, des spasmes m'envahirent, je jouissais oh oui oui oui hurlai-je, instinctivement je lâchais un cri. Chris ne put se retenir plus longtemps, il explosa en moi en étouffant son râle entre mes seins.

Pour faire retomber la tension de nos corps, il me prit dans ses bras et me câlina, on resta ainsi un petit moment, à effleurer nos corps on savourait nos caresses mutuelles sans dire un mot. Une satisfaction incontestable se lisait sur nos visages souriants et comblés.
Wahou, j'ai adoré, vraiment! Me dit-il. Et toi? Moi aussi. Pas mal pour une première fois!

Le temps filait, il nous restait une demi-heure environ. On s'embrassait lorsqu'il me dit: j'ai envie de toi encore! Hum oui, recommençons! répliquai-je avec le sourire.
Mais je ne sais si j'arriverai à te satisfaire à nouveau en aussi peu de temps, rétorqua-t-il.
Ne t'angoisse pas pour cela, répondis-je.
Je me serrais contre lui en lui murmurant: baise moi comme tu en as envie, prends-moi comme tu veux, tu as carte blanche. Il ne perdit pas de temps. Retourne-toi et cambre-toi sur la banquette, ordonna-t-il. Je m'exécutais donc et lui offrit mon cul! Il se plaça debout derrière moi, passa sa main sur ma vulve et mes lèvres, tout en faufilant son majeur entre mes lèvres pour recueillir mon nectar qu'il étalait en remontant jusqu'entre mes fesses. Je commençais à bouger et osciller sur sa main en me m'interrogeant sur l'orifice qu'il allait pénétrer. Se contenterait-il de refouiller l'écrin chaud et trempé qui l'avait déjà accueilli? Tentera-t-il forcer ma rosette ?
De ses deux mains il écarta largement mon fessier pour mieux apprécier sa bite qu'il masturbait contre mon anus lubrifié. Allait-il me sodomiser, je ne pouvais que m'en réjouir, c'est si jouissif pratiqué avec savoir-faire. Il mit une protection et s'engouffra brusquement dans mon vagin. Il me martelait rudement tout en me doigtant l'anus avec un puis deux doigts. J'appréciais grandement son initiative, parallèlement je me caressais le clitoris d'une main et étirait mes tétons de l'autre. Ma cyprine se répandait le long d'une de ma cuisse, tandis que lui laissa couler sa salive sur ses doigts pour mieux lubrifier mon anus qu'il préparait à accueillir sa queue. Il se retira soudainement, je sentis sa queue venir contre mon petit trou, il le pénétra doucement, progressivement. Soumise, je me laissais baiser. Il allait et venait toujours plus profondément, sa queue me prenait tout entière, je sentais ses couilles contre mon cul à chaque coup de reins. Mon cul s'échauffait au fur et à mesure que sa queue s'agitait dans mes entrailles, c'était exquis! Ma respiration s'emballait, mes muscles se pétrifiaient; une dernière fois, je succombais laissant éclater ma jouissance. Docile, je subissais encore ses assauts, il balbutiait oh oh ,oh oui, ses coups de butoir étaient toujours plus rudes et brutales. Je me redressais un peu de manière à pouvoir m'agripper avec mes mains à ses fesses. Bientôt, il céda. Épuisé et vidé, il se retira, et s'effondra sur la banquette dans un soupir de bien-être. Nous étions tout les deux repus de tant d'exaltation. Son bâton triomphant se relâcha, finit par se ramollir et retrouva son état de repos. Je déposais un délicat baiser sur son gland à demi encapuchonné puis un autre sur sa bouche. Il passa une dernière fois sa main sur mon minou pour constater les conséquences de nos deux heures trente d'étreintes. Il me susurra: je t'adore. J'aime que tu mouilles à ce point!

Mon Dieu c'était l'heure, il devait reprendre son service. On se rhabilla rapidement sans avoir eu le temps de vraiment reprendre nos esprits. Heureusement, l'arrêt où attendait les premiers passagers était éloigné. Il exprima son envie de me revoir très vite, me demanda si j'en avais envie aussi. Bien sûr, que j'en avais envie. J'eus à peine le temps de noter mon numéro de téléphone sur morceau de papier que je glissais dans la poche de sa chemise, que nous arrivions à l'arrêt les premiers passagers montèrent.
C'est de cette façon que notre relation commença ...c'était il y a 12 ans déjà.
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Histoire de ronde67

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