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35 ans

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Lue : 9047 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 03/11/2013

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Il m’a quitté, bon vent. La seule chose que je pourrais regretter est sa queue et encore. Nous nous étions mariés trop jeunes. On me le disait : profite de la vie avant. Je vais en profiter maintenant. Tout n’est pas perdu. Je peux partir à la chasse aux sexes opposés au mien. Oui, je vais chasser. J’ai commencé l’autre jour au super marché, au rayon bricolage. Je voyais un beau gars, plus jeune que moi, bien gaulé. Je me suis arrangée pour me mettre contre lui, mes fesses prêtes à s’ouvrir. Je sentais sa queue qui grossissait. J’en avais la culotte toutes mouillée. Et puis, il m’a regardé pour partir : je devais lui faire peur vu mon âge 35 ans, pensez donc. L’ennui est que j’avais envie de jouir. J’ai trouvé le seul endroit possible : les cabines d’essayage. C’est extraordinaire le service de ces cabines : j’ai baissé le jean, la culotte, je me suis assise et je me suis masturbée sans soucis, tant mieux si des gens me voyait. Mes doigts ont remplacé une bite. C’est là que j’ai pensé à m’offrir un gode.

Depuis je suis armée, même à la maison : je me masturbe bien mieux. J’ai demandé à une copine de venir chez moi pour lui montrer mon nouvel amant. Crédule, elle m’a pris au mot. Je croyais l’étonner. C’est moi qui l’ai été. Elle en avait un dans son sac. Nous les avons comparés. Pas en les regardant, en les essayant. Nous nous sommes excitée, pas bêtement puisque nous nous somme allongées sur le lit, nues, les jambes bien ouvertes, introduisant dans le sexe de l’autre les godes. Tant pour elle que pour moi, c’était notre première fois entre filles. Nous regrettons de ne pas l’avoir fait plus tôt. Nous étions les pieds à la tête, je voyais parfaitement son sexe avec le gode que je maniais. J’imagine qu’elle aussi avait le même paysage que moi. J’ai joui deux fois avant de changer d’endroit : son cul tout mignon attirait ma main. Je l’ai sodomisé. Elle me l’a rendu. J’ai soupiré de contentement : il y avait si longtemps que je n’avais pas eu le cul occupé par une bite. Elle vient me voir le soir, les mardis, nous passons la nuit ensemble

Sinon j’ai trouvé un jeune amant. Lui ne cherche qu’une chose : baiser à tout prix. Je l’aime bien, sa queue est normale, un peu longue, et son jus raffiné. J’aime son gout et sa quantité. Et puis j’ai appris la fellation : mon mari n’aimait pas ce genre de saloperie. J’aime faire des saloperies. J’ai ainsi appris, à lécher un anus. Un peu par hasard, en faisant un 69, l’amant qui me léchait la chatte faisant en léger bond en avant. Sa langue venait sur l’anus. Je l’ai laissé faire, comme c’était bon je lui en ai fait autant. Ça fait bizarre a début d’avoir la bouche sur des couilles, de lécher juste avant de trouver un petit trou noir. J’hésitais un peu avant d’y mettre ma langue. L’endroit me paraissait inhabituel. La réaction bonne, j’ai continué. Je sentais sur mon cou la grosseur de la queue, sur le menton ses couilles. Ça m’excitait tellement que ma langue a plongé.

Nous nous sommes léchés l’anus un bon moment. Je sentais son sperme couler sur moi, sur le cou, les épaules, les seins. Et moi je jouissais sans cesse. Je lui demandais de continuer. Comme un amour il m’a léché longtemps.

A tant qu’être à me donner, pourquoi chinoiser sur le nombre. On disait que plusieurs hommes à la fois sont serviables, qu’ils donnent tout ce qu’ils ont dans le ventre pour rendre heureuse une femme. J’ai cherché longtemps pour finir par trouver dans un café, trois amis. Je les ai convaincus de me baiser. Ensemble bien sûr.

J’étais bien tombé : des bites comme j’aime, du bon diamètre et de la bonne longueur. Sauf qu’un bandait du côté gauche.

J’étais nue en les servant chez moi à 13 heures. Ils étaient à peu près nus aussi. Je voyais des bites qui bandaient. J’en étais toute remuée. Je savais qu’ils allaient me défoncer, j’en rêvais. Comme dessert je leur ai servi ma chatte : je me suis assise au bord de la table, leurs bouches pouvaient venir me gouter. Ils se disputaient presque la place. Je ne sais combien de fois ils m’ont fait jouir. Pour moi c’était l’apéritif.

Une fois dans la chambre, j’ai pu me faire baiser par les trois, vite fait. Ils n’ont même pas pu décharger. C’est moi qui menais la dance. J’ai fait venir le premier sous moi, je mettais sa queue en place dans le con. Il y était bien. J’aimais sa présence. J’ai encouragé l’autre à venir prendre de ma salive sur sa pine avant d’aller plus bas, en bas, dans mon cul. J’ai eu mal, disons 5 secondes. C’était meilleur avec lui qui coulissait dans mon boyau final.

Le dernier est venu dans la bouche alors qu’il pensait venir dans le cul non le mien, mais celui qui justement me défonçait la capsule. Je l’ai fait venir dans la bouche. J’avais raison de l’y prendre : un goût de bite magnifiquement développé.

Je servais de cylindre à deux pistons. Je les sentais aller et venir en coordination ensemble dans mon ventre. J’aurais hurlé de plaisir si je n’avais pas eu la bouche prise par l’autre bite.

C’était une révélation encore pire qu’avec ma copine. Je ne voulais pas qu’ils arrêtent. Un homme est un homme, il ne jouit pas comme une femme, plusieurs fois à la suite : ils se sont vidés en moi chacun à leur tour.

Heureusement, je sais où les trouver pour recommencer à me faire mettre ainsi. Je le fais une fois par semaine. Au gré des rencontres je trouve de jeunes amants. Je ne regrette pas du tout mon ex : je suis bien mieux baisée maintenant sans lui.

Mon gode meuble mes solitudes. Je me le mets surtout dans l’anus. Je pourrais me finir en me baisant, mais j’aime avoir le cul plein pour jouir, surtout en me regardant dans le grand miroir du séjour, nue la main gauche .
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Histoire de fabrissa

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