4 avec les voisins

Elle avait envie, une envie folle de jouir. Déjà, avant le repas, elle s'était assise sur le divan, le jean en bas des jambes, le string pareil. Il ne lui a pas fallu longtemps pour être presque nue. Elle me regardait avec son air innocent, celle qui ne fait rien de mal. Pour elle ce n'était que des sensations menant à l'orgasme. Pour moi c'était une belle trique. Je sortais même mon engin déjà bandé.

Sa main est rapide sur sa chatte. Elle alterne d'abord les caresses sur le clitoris, puis, elle se doigte un peu avant de lécher le doigt pour revenir prendre son plaisir sur le bouton : elle jouit comme toujours. Ce soir elle ne prend pas la peine de remette ce qu'elle a enlevé. Elle vient servir à table presque nue. A chaque fois qu'elle se lève je vois son sexe avec des gouttes, quand elle revient elle est plus présentable : elle s'est un peu essuyée je ne sais où.

Tu sais j'aimerais baiser, mais pas comme d’habitude. Je prendrais le commandement pour une fois.
Comme tu veux ma chérie, ma poule.
Elle a horreur que je l’appelle ma poule. Dès la dernière bouchée, elle vient sur mes genoux. Elle défait habilement la braguette, sort ma queue bien grosse, me branle deux minutes pas plus.
Déshabilles toit s'il te plais.
Et toi enlève le reste.
Oui, mais attend, il faut que je prenne quelque chose dans la chambre.
Fais comme tu veux.

Elle revient bien nue, mais, parce qu'il y a un grand mais. Elle s'est harnachée d'un gode ceinture. Je me doute bien de son intention, encore une fois c'est mon cul qui va prendre.
Si la première fois je l'ai laissé faire, rien que pour elle, j'avoue prendre un goût certain à ses sodomies. Je présume qu'elle va m'enculer et me branler à la fois.

Ce soir est encore différent. Elle m'embrasse sur la bouche, nos langues font leurs petits travaux utiles. Je sens sur mon ventre la bite qui doit me sodomiser.
Ma femme traîne pas mal, comme si elle cherchait quelque chose.

Elle me montre ce qu'elle porte : un slip particulier muni d'une bite devant assez grosse pour mes fesses. Dedans y sont disposées deux autre faux sexes orientés un vers le vagin, l'autre vers son petit trou.
Elle est devant moi pour arranger son harnachement. Elle se baisse un peu, entre d’abord le premier gode dans son cul, lentement, comme je le lui fais. Le second entre directement plus facilement dans le con qui lui est mouillé.

Elle s'approche de moi, me contourne en faisant un genre de danse particulièrement érotique pour profiter de sa double pénétration. Elle me tient les épaules, y appuie pour que je sois bien à sa hauteur.

J’entends déjà gémir sans qu'elle me touche. J'ai la curiosité de prendre son gode à pleine main; je remue tout l’ensemble pour son plus grand plaisir.
Je sens que je fais passer un fameux, un fabuleux moment. Elle passe le gode dans la raie des fesses. Ses mains s’emparent de mes seins. Je ne suis pas sensible comme une femme, mais j'aime bien quand elle me pelote à cet endroit. Mes bouts durcissent, ma bite bande.

Elle descend ses mains prendre me hanches. Je sens qu'elle ajuste le gode vers mon entrée secondaire. Elle a dû me mettre de sa cyprine sur le cul : le gode glisse facilement en moi. Elle y rentre comme je le lui fais. C'est agréable sans plus. Je sens le truc glisser dans mes boyaux. Je ne sais jusqu'où elle veut aller.

Putain que c'est bon d'être baisée et enculée. Pourquoi te ne me le fais jamais.
Tu oublies que tu me sodomise

Moi aussi je m'encule et je me baise à la fois, putain que c'est bon. La prochaine fois nous demanderons aux voisins de venir, je ferais essayer mon engin à sa femme. Elle appréciera comme lui que tu pourras enculer avec ta queue, il n'attend que ça, ta queue dans son cul
Je préférerais enculer sa femme que lui.
Tu ne penses pas à moi qui va la baiser qui va me baiser : elle tout simplement, je la désire depuis assez de temps. Je la branlerais, la sucerais nous ferons des 69 devant vous pendant que tu l'enculera devant nous.
Elle y tient. Le lendemain je rencontre le voisin, je le regarde avec des yeux de maquignon ; il n 'est pas mal il pourrait me convenir pour une fois.

Je ne sais comme ma femme s’arrange, le soir même les voisins sont là pour l’apéro. Un apéro particulier. C'est a femme qui entreprend l'invitée. Oh, elle ne fait pas d'obstacle pour une suite plus chaude avec ma femme. C'est je crois bien chose faites quand elles reviennent de la cuisine en se tenant les bras : les lèvres se touchent. Le temps pour moi d'aller pisser, quand je reviens elles sont bien avancées : elles s’embrassent comme de vraies amantes. Pas possible, elles se connaissent déjà, surtout quand elle les jupes de l'autre montrant qu'aucune des deux n'est couverte par dessous. Pour ma part je vois la chatte de la voisine pour la première fois. Mais la main de ma femme est sur l'autre chatte.. Elles se masturbent à deux. Elles partent dans la chambre pour récupérer le slip particulier. C'est la voisine qui le porte. Elle marche bizarrement ! Les deux godes internes sont en elle certainement. Ma femme s’assoit sur le divan, écarte les jambes. Elle se fait baiser par la voisine qui sait parfaitement comme donner ce plaisir particulier. Elle fait jouir ma femme, change d'endroit pour la sodomiser. Les deux filles hurlent leurs orgasmes.

J'ai pris la queue du voisin dans ma main, il me laisse faire : je le branle pas très longtemps?. Je veux le faire jouir à ma façon. Je passe derrière lui, il connait ce que faire lui faire. Il n'a rien contre au contraire. Il se met de la salive sur le cul, j'approche ma queue de cet endroit des plus stratégiques. Son cul s'ouvre assez facilement devant ma queue. Il est presque aussi bon que le cul de ma femme. Je suis bien dans son cul, je prends sa queue que je lui dispute. Je l'ai en pleine main, je vais doucement pour le branler. Je suis asses rapide dans son ventre. Il gémit comme une fille. Je le pilonne. Les femmes m'encouragent. Il se baisse à peine pour être mieux pris. Mes poils caressent ses fesses. Je ne vais pas tenir longtemps. Les femmes sont au sommet de leur plaisir. Nous, les pauvres hommes sommes également au sommet : c'est lui qui jette se semence le premier. Je lui presque de suite.

Il paraît que les femmes ont fini avant nous.