Guy

La veille nous avons accueilli une fille du ministère. Elle venait pour faire une conférence le lendemain. Nous étions couchés tard après l’avoir sorti dans une boite de nuit. Elle n’était pas mal, pour moi sans plus. Mais Guy, mon copain aurait bien aimé se « divertir » avec elle.

Le lendemain matin, très tôt, pour moi en tout cas, le téléphone sonne dans ma chambre d’hôtel. C’est mon copain Guy qui m’annonce qu’il bande. S’il savait combien je me fous de l’était de sa bite ! Il rappelle un instant après pour annoncer qu’il vient de jouir. Qu’il le dise à la fille pas à moi.

Quelques jours plus tard je le reçois chez moi, avec Huguette, ma femme. Il vient comme prévu avec Colette, sa femme. Une fille splendide, sexy comme tout. Les deux femmes sont copines comme deux sœurs. Guy nous raconte des conneries comme souvent. Je lui rappelle qu’il se branlait l’autre matin. Sa femme ajoute qu’il est coutumier de la chose, qu’il se masturbe au moins une fois par jour, comme elle aussi. Huguette rajoute son grain de sel : elle aussi aime bien se branler l’après-midi. Je suis bien obligé de dire que moi aussi je me branle souvent. On ne dirait pas, mais ce genre de conversation fait monter la température.

C’est Guy, avec sa légèreté bien connu qui met le feu aux poudres. Il tient à nous montrer sa queue quand il bande. Rien ne l’arrête, surtout pas sa femme. Il se lève de table, descend pantalon, slip, monte sa chemise pour bien exposer sa bite qui commence à bander. Il a un beau morceau. Huguette demande par politesse si cette pine fait du bien quand elle baise Colette. Elle répond franchement : il faut qu’il la lui mette bien au fond, qu’il aille même dans le petit trou pour la faire jouir. Huguette avoue ses plaisirs quand je la baise. Elle détaille même, nos façons de nous aimer : baise à la missionnaire, devant, derrière, en 69, par masturbation, par douche, etc.

Colette donne les mêmes détails : ils baisent presque comme nous. Mais Guy reste sa queue dehors. Elle grossit pas mal. Colette voudrait le gronder, sans y arriver. Elle prend la queue dans sa main, s’excuse pour nous et le masturbe. Moi, elle me donne envie qu’elle aussi me touche, Huguette en est excitée, elle voudrait aussi branler Guy. Le plus fort est que Guy fait céder Colette qui le lâche, pour venir donner sa queue à ma femme qui me regarde un peu avant de le branler.

Il n’y a pas de raison pour que je ne montre pas ma queue. Après tout elle est comparable à celle de Guy. Et puis je vais plus loin, je me mets nu devant les autres. Huguette me connait, pas Colette. Ma femme est occupée avec une bite, je vais donner la mienne à Colette. Elle oublie de me branler, elle me prend dans sa bouche. Ouah ! Qu’elle langue. Guy ne m’avait jamais dit qu’elle le suçait. Elle caresse mes roubignoles, va, pour moi c’est une première, loger un doigt dans mon cul. J’apprécie peu cette fantaisie. Mais sa langue a des écarts extrêmement agréables : elle suce mieux qu’Huguette. Je me laisse faire, j’attends la jouissance prochaine dans sa bouche.

Huguette semble prendre du plaisir à masturber une nouvelle queue. Sa main a saisi le membre à plein. Elle la fait aller et venir, s’arrête pour rependre un instant après. Elle descend la main jusqu’aux couilles pour recouvrir un instant après le gland avant de recommencer je vois Guy qui se tend devant le plaisir. Et Huguette qui prend un plaisir inconnu à le branler. Elle arrive à le faire jouir ! Elle se penche sur la bite, récolte le fruit de sa caresse. Elle aime le sperme depuis toujours.

Colette lèche le gland, puis le fut de la bite. Elle lèche les couilles, revient sur la queue. Elle montre ses talents de baiseuse. Je remarque un peu tard sa main sous la robe rouge : elle se caresse la chatte. Elle doit jouir quand elle me fait partir dans sa bouche en longs jets. Je sens encore ses lèvres autour de la pine quand je lui donne une bonne quantité de sperme.

Les deux femmes sont à égalité. Elles ont mangé les semences du mari de l’autre. L’ennui maintenant est que nous débandons complément. C’est ma femme Huguette qui s’approche de Colette. Leurs lèvres se rencontrent dans un long baiser. Ce n’est pas vrai, ma femme embrase une autre femme devant moi. Une femme qui se laisse faire, qui même accentue le baiser. Qui semble avoir le même but. C’est vite mis une main entre les cuisses de l’autre, surtout quand elle est d’accord.

Elles se lèvent un instant, elles s’embrassent à nouveau avant d’aller s’installer dans la chambre, sur le lit conjugal. Leur liaison commence encore par un baiser, puis elles se déshabillent ensemble. C’est beau de voir deux corps de filles enlacées. Le plus beau est de voir des mains chercher tous les endroits sensibles sur l’autre corps. Elles se caressent les sexes, jouissent certainement. Elles sont toujours sur le côté. J’ai envie d’un cul, comme Guy. Nous ne parlons pas, nous partageons les deux corps : il prend celui d’Huguette qui sait bien que ce n’est pas son mari qui est là. Moi je suis sur l’anus de Colette, à travers un fessier légèrement rebondi. Elle me laisse passer. C’est facile dans ces conditions d’aller vers le cul. J’entends ma femme dire des oui, encore. Colette reste silencieuse pour se faire mettre. Je l’encule, elle jouit vite. Je suis au fond de l’anus, elle jouit encore. Je largue mon sperme, elle jouit cette fois longuement. En sortant j’entraine une coulée de semence.

Pendant toute la durée de nos sodomies, les femmes ne se sont jamais arrêter de sa masturber. Marquant ainsi la supériorité féminine pendant les orgasmes.

Le remarquable est qu’elles se déplacent chez l’autre souvent malgré la distance. Les bites ne leur suffisent pas.