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Ça a commencé au ciné 2

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Lue : 2405 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 20/03/2020

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Si à Paris, on avait le choix des cinémas pour ce genre de sortie coquine, ici en province, c'est loin d'être le cas, peut être deux mois après, l'envie d'y retourner me prend, l'inconvénient de ce genre de scénario, c'est que quand on y retourne, le peloteur reprend là ou on en était resté la dernière fois, exit l'inconnu qui teste, il devient presque un banal amant, un habitué.

Joueuse autant que farceuse, j'y vais cette fois-ci avec un copain de fraiche date, connu dans des circonstances coquines, s'il découvrait le pot aux roses, il ne s'en mêlerait pas. Pour ne pas être l'amante qui revient, je change de look, une perruque avec une couleur de cheveux différente et des lunettes, toujours une jupe plissée mais d'une autre couleur, des bas noirs avec porte jarretelles, un pull ample aussi mais d'une autre couleur, sombre avec un motif brillant au cou, par contre ni soutif ni string.

Cette fois ci, on arrive un peu avant le début de la séance, devant les affiches des films programmés, je reconnais mon peloteur de la dernière fois, discrètement, il regarde de notre côté, j'allume le bougre, en regardant les affiches du haut, ce qui met mes seins en avant, et comme il est à ma gauche, je montre du doigt à celui qui m'accompagne, le film tout en haut de l'affiche, ce qui fait remonter ma jupe, je ne me suis pas tapé tous ces kilomètres pour risquer de n'avoir que le film à regarder.

Celles que j'ai vu rentrer dans le cinéma, n'avaient rien de rivales, jeans basket et parfois le garçon qui les accompagnait avait de plus belles formes, nous rentrons et cette fois, je me mets sur le côté gauche pour changer. Je laisse passer le copain, comme je suis toujours à droite d'un homme.

Contrairement à la première fois, je mets directement mon manteau sur mes genoux, au bout de cinq minutes que le film à commencer, Luc arrive et se met directement à coté de moi, j'ai retiré mes lunettes, sinon je ne voyais pas le film. Dans la pénombre, il ne pouvait pas me reconnaitre.

Je connais sa méthode, autant que l'individu, son genou vient contre le mien, je pousse ma jambe, il me suit, je pousse encore, il me suit aussi avec bien sur, une petite pause entre chaque gestes, je laisse son genou faire contact avec le mien, sait-il seulement que rien que ce contact anodin, commence à agir.

N'oublions pas que je suis venus à dessein, mais même quand cela m'est arrivé sans l'avoir cherché, et ne voulant que rien ne se passe, le corps décide autrement, sa main attaque ma cuisse, je pousse en appuyant sur le manteau, appuyer fatigue, la pression se relâche et sa main profite de cet instant pour filer à son but, l'entre mi-cuisse.

Voilà une zone érogène sensible, je serre les genoux, mais une main à cet endroit, c'est de la braise qui couve sous la cendre, il faut être frigide pour pouvoir rester longtemps ainsi, le temps est son allié, au bout d'un moment, les muscles des cuisses se détendent un peu, puis un peu plus, plus tard il me dira qu'a ce moment-là, il savait qu'il avait gagné la partie.

. Mes cuisses s'entrouvrent juste ce qu'il faut pour que sa main arrive au but, quelle torture ça serait s'il décidait d'arrêter, la chance que l'on a, que les hommes soient portés sur le sexe, les cuisses ouvertes, prêtes à tout subir, la pudeur s'efface complètement et seul le plaisir compte.


Le copain à ma gauche, les gens dans la salle, ce sont les seuls garde fou qui me restent, si nous étions seuls tous les deux, je lui appartiendrais complètement, chose qui n'est pas pour me déplaire, mais il faut savoir que le monde est rempli de malades, de refoulés, alors à défaut de rendez-vous dans un endroit plus propice, je me contente du cinéma.


Il faut savoir aussi que l'endroit public discret est une circonstance excitante, le risque d'être surpris, risque calculé, on n'en meurt pas, uniquement la honte d'être découverte, honte pour la femme et fierté pour l'homme.


Sa main remonte sur mon sexe qu'il découvre sans barrière de tissus, c'est le moment ou sans lire dans les pensées, je devine ce qu'il pense, "la salope, elle est venue ici exprès pour se faire tripoter, attend salope, tu ne vas pas être déçue", il titille mon clito, me faisant onduler discrètement, j'écarte ma jambe complètement de son coté, c'est moi qui pousse la sienne maintenant, une façon de lui dire, "va y, je suis toute à toi".


Ma main gauche tenant mon manteau et le coude sur l'accoudoir, la droite se cramponne à son bras pour le ralentir, je ne suis pas adossée sur le dossier, mais droite pour le cacher du copain, jugeant le moment voulu, il s'enhardit, il retire sa main gauche, se tourne vers moi et de sa main droite prend le relai, il m'insère deux doigts, l'extase.


Lorsque nous somme à droite du cinéma, celui à ma gauche regarde un peu à gauche, mais là nous somme à gauche et celui à ma gauche regarde un peu à droite, cette fois-là, ai-je été moins discrète ou est-ce l'emplacement, je m'aperçois que le copain, qui fait celui qui ne se rend compte de rien, sait ce qui se passe.


Il me connait très bien et sait que je m'adonnais souvent à ce genre de chose, le fait qu'il sache, décuple mon excitation, Luc me dira encore plus tard, que de me savoir sans string, il s'est dit que celui qui m'accompagne devait être mon mari candauliste et qu'il n'avait pas à se cacher de lui plus que ça, uniquement des autres spectateurs et faire semblant vis à vis de lui.

En bonne position pour me masturber, il n'hésite plus, il accélère la cadence, me doigte à toute vitesse, de son autre main, la gauche, il passe sous le pull ou mes seins sont libres.


Ce cinéma-là alors que plus près on a mieux, mon look style camouflage, et maintenant un inconnu qui me fait bouger du fauteuil, le copain a compris et joue le jeu du mari cocu content qui ne voit rien, ou même un aveugle lobotomisé verrait.


D'un coup, je me fixe, je serre les cuisses, empêchant tout mouvement, je retiens son bras, Luc, contorsionné, continue à me masturber et me tripoter les seins, il pince mes tétons, et j'explose, je me tortille, j'ondule mon bassin, je desserre mes étreintes.


Je lui lâche son bras pour mettre ma main dans ma bouche pour ne pas crier, il reprend la masturbation pour faire durer mon plaisir, mes cuisses se sont desserrées, je me suis mise un peu tourné vers ma droite, ou il continue d'œuvrer.


En voulant toujours plus, je lui donne ce qu'il veut, il me les tripote en passant de l'un à l'autre, c'est dans ces moments ou on a la nostalgie des années 1980, ou on aurait pu passer à des choses plus sérieuses aux toilettes.

Le deuxième orgasme arrive, moins violent certes, mais tout aussi agréable, il me fixe dans les yeux, je suis éclairée par la toile et éblouie aussi, il me regarde jouir, mais je ne vois pas son visage.


Épuisée, repue, je reprends mon souffle une petite minute, les seins toujours malaxés, je saisis son sexe déjà prêt, il continue de tripoter mes seins, je secoue sa verge. Il me lâche un sein, il lève ses fesses comme, pour demander une pipe, mais je ne me risque jamais à cela sans être passé par la case test VIH, je fais signe que non, il n'insiste pas, je prends mon temps, tout comme lui en a pris pour faire durer le plaisir, mais les bonnes choses ont toujours une fin, quand je le sens se raidir dans tout son corps, je fais jaillir son liquide.

Comme la première fois, j'adore voir l'homme se tortiller sur son orgasme, je décalotte et "recalotte" au maximum pour bien vider. Au clap de fin, c'est l'inconnu qui part le premier, sans me dire au revoir, mais c'était parce qu'il nous attendait devant les affiches.

N'engageant pas la conversation quand les gens sortaient, une fois la foule passée, il nous parle du film, je parle le moins possible, il dit au copain que sa femme est superbe (avec un clin d'œil), nous prenons congé et il me dira par la suite qu'il a eu une femme venue sans soutif ni string, juste pour se faire tripoter, qu'il a essayé d'engager une conversation, car il pensait pourvoir aller plus loi, mais rien n'a eu lieu, je ne lui ai jamais avoué que c'était moi.

Dans la voiture, le copain me demande s'il a bien joué son rôle, et me demande si c'était prévue, je lui ai dit oui, précisant que deux mois auparavant, j'avais déjà eu la même prestation improvisée, ce copain ne me demande jamais rien de sexuel, il préfère que ce soit moi qui décide à chaque fois quand j'en ai envie, et ce soir là, il a été comblé.

Être tripotée c'est bien, mais j'aime une finition complète, je suis bi mais pas lesbienne, j'apprécie la rudesse d'un homme tout comme la douceur d'une femme, un sextoy, ça dépanne, mais aussi performant et de bonne dimension soit-il, ça ne remplacera jamais celui du vicieux pervers.

A suivre.
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Histoire de annizette

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