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Sexe et tractage

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Lue : 1049 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 20/03/2020

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C’est au moment où j’écarte les deux battants qui ferment la cabine de douche que j’entends la sonnette. Plusieurs coups qui se succèdent. Une pause, et ça recommence.
—J’arrive, je crie !
Je pourrais laisser glisser, mais ce n’est pas mon genre. Non que je pense que c’est important. Mais je suis curieux. Et puis je n’ai jamais aimé être impoli. J’attrape la serviette qui m’attendait, je m’essuie rapidement, et je saisis mon peignoir en tissu éponge, dont je m’enveloppe. Ca fera l’affaire.
Je vais ouvrir. Pour me trouver face à une femme, qui tient à la main un épais paquet de prospectus colorés.
Elle me déconcerte un peu. D’abord justement, parce qu’elle porte ainsi des prospectus. Ensuite parce qu’elle est très différente des femmes dont j’ai pu habituellement croiser le chemin. Elle est très grande, plus que moi sans aucun doute pieds nus, et encore plus avec les talons de ses bottines. Je mesure un mètre quatre-vingt-quatre, et pourtant, elle me domine largement. Elle est particulière parce qu’elle a un visage bien dessiné, avec des traits fins, de grands yeux bleus, mais un nez vraiment trop gros qui en casse l’harmonie. Son corps, par contre, est nettement bien dessiné, lui totalement harmonieux ; Je m’en rends compte parce qu’elle porte un legging très collant, et un T-shirt sous une veste qui dessinent nettement l’équilibre de pleins et de creux qui la constituent.
—Bonjour, je tracte pour les élections municipales. Je peux vous parler cinq minutes…Oh, je vois que vous sortez de sous la douche. Je peux repasser si vous voulez…
—Non, non, vous pouvez rentrer si vous voulez. J’avais mis du café à faire avant d’aller sous la douche. Je suis prêt à vous en offrir une tasse.
Elle me sourit, d’un sourire qui éclaire son visage, et fait oublier son nez trop gros. D’ailleurs, je me dis que finalement c’est ce qui lui donne un charme, une particularité. On dit souvent que ce sont nos défauts nous définissent.
On rentre à l’intérieur, et on se glisse dans la cuisine. L’odeur forte et parfumée du café remplit la pièce. Je vais jusqu’à la cafetière, et attrape deux tasses. Je nous sers. Quand je me retourne, elle s’est installée sur l’un des sièges hauts qui sont calés de part et d’autre de la table qui prolonge le bloc du plan de travail sur la gauche. Je viens m’asseoir face à elle, après avoir déposé une tasse près du paquet de prospectus.
—Je vous écoute.
—Je fais partie de l’équipe municipale actuelle.
—Je ne suis ici que depuis deux mois. Une mutation pour le travail.
—Il y a cinq listes en lice. Je pense que nous avons un excellent bilan, et nous souhaiterions rester en place, pour finir ce que nous avons commencé…Vous êtes bien inscrit sur les listes électorales ?
—Je me suis inscrit la semaine dernière. C’est important pour moi d’accomplir mon devoir électoral. La démocratie, c’est quelque chose qu’on croit avoir, un acquis, mais qu’on peut perdre très vite.
—Alors, je vais vous expliquer tout ce qu’on a fait.
Elle se met à parler, avec passion. Mon regard glisse sur son visage. Oui, paradoxalement, son gros nez lui donne toute son particularité, la rend unique. Et son corps est un vrai corps de femme. Le legging colle à ses cuisses bien galbées et dessine avec précision son sexe, sa masse, son volume, et la fente qui le coupe en deux.
La regarder ne m’empêche pas de l’écouter. Je lui pose plusieurs questions, ce qui semble lui plaire.
—Au moins, vous ne pensez pas à autre chose pendant que je vous parle. Enfin, du moins, pas de manière consciente.
—Je ne vois pas à quoi vous faites référence, je lui dis.
Elle sourit en me répondant :
—Hé bien disons que votre peignoir était fermé au début, mais les pans ont glissé, et pendant que vous parliez, j’ai vu votre queue gonfler et devenir toute dure. A ce moment précis, et elle dressée, collée contre votre ventre…Je suis flattée de vous plaire, en tout cas.
Je baisse les yeux sur moi, et je me rends compte effectivement que j’ai une belle érection. Je rougis.
—Pour tout vous dire, à force de faire du porte à porte, on voit de tout, mais depuis une semaine, je n’ai pas encore vu un aussi beau spécimen de mâle que vous…Il faut dire qu’ici, c’est une denrée rare, je m’en rends compte, dans une ville à la population vieillissante.
Je la regarde, surpris. Une autre fille aurait sans doute piqué une crise. Serait partie en glapissant. Elle n’attend d’ailleurs pas une quelconque permission pour venir encercler ma queue de sa main, dans un contact qui n’est pas un effleurement. Je sens à la fois la douceur de sa main, sa chaleur, et ma queue est secouée par un spasme. Elle reste un instant immobile, sa main autour de moi, ferme les yeux.
—C’est bon de tenir une queue au creux de sa main…Ces derniers temps, je n’ai pas eu beaucoup de sexe…Je me rends compte maintenant que ça m’a manqué…Elle est longue et dure, exactement comme j’aime…Bien chaude…
Je suis un peu surpris que la situation bascule ainsi. Elle venait me faire des palabres pour que je vote pour son parti et je me retrouvais un quart d’heure après avec sa main autour de ma queue. Un moment exceptionnel. Je n’avais pas fait l’amour avec une fille depuis que j’étais arrivé dans la région, sans vraiment ressentir de frustration et là tout remontait.
Elle se met à me masturber, avec un mouvement très lent. Elle sourit, d’un sourire qui éclaire son visage. Même si j’étais déjà en érection quand elle m’a pris dans sa main, celle-ci s’est confirmée, je me suis épaissi, allongé, durci encore.
Du liquide pré-sécrétif se met à couler de mon méat, trempant ma chair, mais aussi sa main.
-Dis donc, tu mouilles beaucoup ?
—Et toi, tu mouilles ?
—Ca coule de ma chatte comme une fontaine. Je n’ai pas baisé depuis deux mois, et je suis super excitée. J’en envie d’une queue. Et tu es très beau.
Elle me lâche pour laper le liquide huileux qui a coulé sur sa main, avec une expression gourmande, avant d’ajouter :
—Je t’ai vendu nos actions et nos programmes, maintenant il faut que je vende mes charmes…
Elle se recule un peu, fait glisser sa veste, puis soulève son T-shirt. Elle est vraiment bien faite, taille fine, ventre plat, marqué d’un nombril allongé. Elle le soulève lentement, jusqu’à dévoiler un soutien-gorge rouge vif, qui enveloppe une poitrine lourde. Dans un mouvement tout ce qu’il y a de féminin, elle glisse ses mains dans son dos, pour aller chercher l’agrafe de son soutien-gorge, qui devient flou autour de sa chair, et qu’elle rattrape. Ses seins sont parfaits, ronds, bien charnus, fermes avec une très large aréole et un téton que le froid relatif de la pièce durcit. Elle vient poser la pièce de tissu près des brochures. Mais son esprit comme le mien sont loin d’un programme politique.
Elle fait glisser le legging. Dessous, elle a une culotte assortie au soutien-gorge, la même teinte. Elle me tourne le dos et la fait glisser pour me dévoiler ses fesses. Allongées, elles sont aussi pleines et aussi fermes que ses seins, cambrées en prolongement de sa chute de reins. Elle se retourne, et, avec une expression radieuse, elle se hisse à nouveau sur le siège et se bascule en arrière, tirant son slip jusqu’à ses chevilles. Elle m’offre son sexe, lèvres sorties, étirées. Elle enfonce deux doigts dans son intimité, et les écarte, pour me laisser apercevoir un intérieur tout rose dans lequel mon regard plonge.
Elle finit par se redresser. Elle a envie, je le comprends, de prendre les initiatives, et je la laisse faire. Je me dis qu’elle va me gainer de sa bouche, avant de comprendre qu’elle a une autre visée. Elle prend ses seins à pleines mains, et elle vient englober ma queue de sa poitrine. Je la vois disparaitre, et je suis un moment interdit, avant que les sensations n’affluent. Le velouté de sa peau, sa chaleur…Tenant ses seins, elle se met à me caresser en les faisant monter et descendre le long de ma queue. Aucune fille ne m’a fait ça avant, ça m’excite terriblement. Finalement, ça a été une providence qu’elle frappe à ma porte pour tracter. Mon jus présécrétif coule de moi d’abondance et vient poisser ses seins, comme il a poissé sa main quelques minutes plus tôt. Elle finit par s’immobiliser, laissant dépasser mon gland gorgé de sang dans son décolleté.
—Surtout, tu ne jouis pas, elle me dit. On a encore pas mal de choses à faire.
Elle se penche sur moi et vient faire agiter sa langue sur mon gland, tournant dessus avant de se concentrer sur mon méat, lapant d’abord le liquide qui coule de moi, puis appuyant la pointe de sa langue comme si elle voulait rentrer en moi…Le plaisir monte en moi. Elle finit par relâcher la pression. Elle se redresse, va jusqu’à son grand sac à main, qui, j’imagine, comme tout sac de femme, doit contenir un million de choses. Je me demande ce qu’elle y cherche avant de la voir sortir une boite de préservatifs. Elle en tire un de la boite, le dépiaute, puis s’approche de moi, tenant entre ses deux doigts. Elle a un air concentré, et un sourire sur le visage quand elle se penche sur moi et vient faire glisser la rondelle de plastique le long de ma queue, jusqu’à ce que le bord soit ajusté à la base de ma queue. Puis elle part en direction du grand canapé qui trône un peu plus loin dans mon living. Elle se laisse tomber dessus, et glisse à quatre pattes. Il y a un moment que je m’efforce de fixer dans ma mémoire. Elle est là, offerte, sa croupe ouverte en deux par sa position sur le plissement de son anus, son sexe dilaté et ouvert, suffisamment en tout cas pour laisser voir son intérieur, des filaments de sécrétions pendant d’elle. Elle tourne son visage vers moi, sans dire un mot, mais son expression un appel, pour que je vienne sur elle et en elle. Elle n’a sans doute jamais été aussi attirante qu’à ce moment. Vraiment belle AVEC son gros nez.
Je m’approche d’elle, ému. Je viens poser mes mains sur ses hanches pleines. Sa chaleur monte en moi. A ce moment, je n’ai plus qu’une envie, la pénétrer, faire glisser ma queue congestionnée en elle. Je viens poser mon gland tout dilaté contre ses lèvres. Même à travers le latex, j’ai bien toutes les sensations, le dessin de sa chair, sa chaleur, son humidité, et elles me submergent. Je promène ma queue sur le relief de ses lèvres, pendant qu’elle amène sa main sur son clitoris, et le masse. Je finis par glisser en elle, très lentement. Sa chair frotte contre la mienne…C’est un moment parfait. Je vais au fond d’elle. Elle gémit, perdant déjà le contrôle, et le perdant encore plus dans les minutes qui suivent….Je recule, puis je reviens en elle, très lentement, pour que l’un comme l’autre nous profitions de ce moment…Et à chaque fois que je rentre en elle, j’ai l’impression, sans doute fallacieuse, d’aller plus profond. Son corps frémit et tremble, elle éprouve sans nul doute du plaisir, alors que ma queue bouge en elle et la caresse à l’intérieur. Mais je peux en dire tout autant pour moi. C’est un moment vraiment intense, comme je n’en ai pas connu depuis longtemps. J’ai le sentiment qu’il y a une réelle harmonie entre nous. Harmonie que je ressens encore plus quand mon sperme commence à sortir en elle, jet après jet. Elle crie en sentant ma semence remplir la capote et taper contre les parois internes de son vagin, frotte son clitoris d’une manière fébrile, et explose dans une série d’orgasmes qui la font littéralement hurler et cracher des jets de liquide, un peu comme un homme qui éjacule.
Après, il y a le calme, l’apaisement, un sentiment de bien être, intense. Parfois, on est déçu, parfois, on se dit que le moment qu’on a vécu a été très fort. Et c’est vrai que ça s’est tellement bien passé entre elle et moi… Et puis bien sûr, ça faisait un moment que je n’avais pas eu de rapport sexuel, ça a sans doute enjolivé les choses. Mais indéniablement, et c’est ce que je me dis en la regardant se rhabiller, il s’est passé quelque chose entre nous. Au point que je la regarde se rhabiller avec regret. J’aimerais bien la garder un peu plus, mais elle a d’autres personnes à tracter.
Sur le seuil de la porte, elle me regarde, j’ai l’impression qu’elle aussi aimerait rester un peu plus. Mais elle s’éloigne déjà, vers une nouvelle porte.
Ce moment et sa présence restent longtemps en moi…Mais c’est la vie…Des rencontres que l’on aimerait bien prolonger, sans que ce soit possible…
Il se passe une semaine et demi avant que je ne la revoie, et je me rends compte que j’ai raté l’évidence. Elle est présente au bureau de vote, avec des membres d’autres listes, pour contrôler la légalité de l’élection. Elle n’a pas changé, elle a toujours son gros nez, et quelque chose de radieux qu’elle dégage, depuis l’autre jour…. Je me dis qu’elle me plait vraiment.
Elle s’est faite belle pour cette journée, sexy à l’extrême. Veste noire, un débardeur rose qui rend hommage à sa poitrine, une jupe en simili cuir très courte, qui laisse voir ses jambes gainées du nylon d’un collant jusqu’à des cuissardes de velours noir qui la prennent au dessus du genou. Elle me fait un sourire radieux. Je passe dans l’isoloir, puis je viens déposer mon bulletin dans l’urne. ‘ A voté !’ C’est quand je m’en écarte qu’elle s’approche et moi.
—Viens avec moi, je t’emmène dans les couloirs de la mairie.
Il y a une porte sur la gauche. Elle me guide par là. Un couloir, puis un autre. On s’arrête enfin. Elle m’attire contre elle. Je sens sa chaleur, l’épaisseur de son corps, ses formes, ses seins qui s’écrasent contre moi. Elle vient chercher ma bouche. On s’embrasse à perdre haleine. Nos langues se joignent et se frottent. Quand je me détache d’elle, elle attrape ma main et la glisse sous la jupe. Les sensations affluent, alors qu’elle plaque ma main contre son pubis. Je sens la barrière du collant, le nylon électrique, et que celui-ci est directement posé contre sa chair. Je sens aussi le renflement de son sexe, et au centre la fente qui le coupe en deux, aussi ouverte qu’humide.
—Caresse-moi.
De la pointe des doigts, me sentant d’abord malhabile, puis plus habile, je la masse à travers le nylon, qui s’enfonce dans sa fente. Celle-ci, sous l’effet de ma caresse de haut en bas, se dilate. Ses jus ruissellent. Je remonte jusqu’à son clitoris, décalotté… Elle se tend, frémit.
—Je ne sais pas pourquoi je n’ai fait que penser à toi depuis l’autre jour. Ton corps, ta présence, ta bite autour de mes seins, ou dans ma chatte…Tu m’as marqué…
Je pousse le nylon et mes doigts en elle. Elle mouille tellement que j’ai l’impression qu’elle fait pipi. Elle tend la main vers mon pantalon, et me trouve tout dur. Elle me défait rapidement.
—Laisse-moi faire.
J’obéis et je relâche ma caresse, alors qu’elle tire ma queue de mon pantalon. Je suis en pleine érection. Elle regarde ma queue, avec dans les yeux un mélange d’une joie enfantine, d’avidité et d’excitation. Elle soulève sa jupe, me laissant voir sa nudité enveloppée de nylon, et elle vient poser mon gland contre son sexe. J’ai, contre mon gland, la sensation du nylon, et celle de l’ouverture de son sexe, le relief de ses lèvres, la béance qui m’attire, et la sensation d’humidité qui sature la matière du collant. Elle me frotte contre ses lèvres. Ma queue glisse en elle, poussant le nylon à l’intérieur. Mais il n’y a aucune pénétration possible, bien sur, avec la barrière du collant. Elle me souffle :
—Je vais descendre le collant. Je veux que tu me sodomises et que tu craches tout son sperme dans mon rectum. Comme ça il suintera toute la journée, et en coulant, trait par trait, en sortant de son anus et en venant se perdre le long de mes jambes, et je penserai à ta bite en moi, à ce qui s’est passé l’autre jour, et ce qui se passe aujourd’hui.
Elle glisse ses mains sous la jupe pour attraper le collant et le faire descendre jusqu’à mi-cuisses, puis elle prend ma queue dans sa main. Elle vient la poser en haut de son pubis, puis la fait descendre. Elle me fait passer au milieu de ses lèvres. Je me dis qu’un coup de reins me permettrait de rentrer en elle, mais ce n’est pas ce dont j’ai envie, et elle non plus. Elle m’amène plus bas, jusqu’à me loger contre l’ouverture de son anus. Je perçois les plissements délicats contre mon gland. C’est maintenant que je donne un coup de reins, et je me dis, en glissant en elle avec facilité, et apparemment sans lui faire mal, que ce n’est sans doute pas la première fois qu’elle se fait sodomiser.
Je glisse en elle jusqu’à être totalement emmanché. Elle a amené sa main gauche, aux ongles peints d’un rouge vif sur son sexe, et elle se masturbe dans un mouvement frénétique. Je me sens un rien maladroit, mais cette maladresse disparait quand j’amorce un mouvement de va-et-vient dans l’étroitesse du conduit. On est pour ainsi dire figés dans le temps, alors que nous parvient le murmure de la salle à côté, la phrase ‘A voté’…Les jus, abondants, qui sortent de son vagin, trempent sa main qui tourne sur elle, sa chair, et coulent dans ses aines, entre ses fesses, venant mouiller ma queue, comme un lubrifiant qui rend la pénétration plus aisée. La situation m’excite terriblement…Elle jouit, se cambrant, sa main figée au niveau de son clitoris, crachant par saccades ses liquides intimes… Une jouissance communicative, alors que je commence à me vider en elle, crachant jet de sperme après jet de sperme, comme si je me libérais de la semence accumulée entre les deux fois où nous nous sommes vus.
Je sors d’elle. Son anus se referme. J’ai l’image, excitante, du sperme, sortant d’elle, l’après-midi, trait par trait, venant poisser ses jambes et son collant.
Elle me souffle :
—On aura fini vers minuit. Si je passe chez toi, tu m’ouvriras la porte ?
—Je t’attendrai.
Je la regarde s’éloigner, grande silhouette qui évolue dans une démarche chaloupée, remplie de mon sperme. Elle se retourne, me sourit, un sourire plein de promesses.
Je quitte la mairie en pensant au moment où elle me rejoindra.
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Histoire de JamesB

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