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Ça a commencé au ciné 3

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Lue : 1673 fois - Commentaire(s) : 2 - Histoire postée le 20/03/2020

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Je suis retourné plusieurs fois voir Luc au cinéma, toute seule et sans déguisement, il me tripotait pareillement dans la salle, sans l'approche habituelle, il aurait aimé avoir plus, mais s'était dit que le cinéma, c'était mon fantasme, et il respectait cela, j'ai pu apprécier son respect.

Mon but était de m'en rendre compte pour ensuite discuter sur des situations complices, que je voulais organiser pour mon petit cercle de copines, du genre venir avec une qui ne savait pas ce qui allait lui arriver.

La première que j'ai emmenée, elle a appréciée, mais sans plus, certaines choses plaisent à chaud, mais l'envie de recommencer n'y est pas, il faut dire que cela s'est déroulé sans érotisme, ni situation sortant de l'ordinaire, Luc et moi débutions et nous n'osions pas innover, nous nous sommes retrouvés dans une situation banale de baise hygiénique, qui s'est faites dans sa voiture sièges baissés.

La copine suivante partage mes gouts, ce qui fait que j'ai amené la chose de façon moins conventionnelle, elle a été emballée, Luc m'avait parlé d'un copain que je vais nommer Nic, très vicieux, très pervers, Luc le connaissait très bien, il avait confiance en lui et disait qu'il était aussi discret que lui, ce dont j'ai pu me rendre compte.

Sans cette confiance, je n'aurais jamais accepter, ce soir donc, nous rentrons dans la salle, la copine et moi, je reconnais Luc et fais celle qui ne le connais pas, celui à coté, Nic certainement, du même âge, un peu plus grand et plus costaud, le regard vraiment vicieux que j'ai pu constater du coin de l'œil, cinq minutes après que le film ait commencé, ils rentrent, Nic se met à coté de moi et Luc s'assoit à coté de la copine, elle ne savait pas du tout que c'était prévue.

Elle me regarde, je la regarde, justifiant celle qui sait pas, je lui dis, "ils sont gonflés, qu'est ce qu'on fait, on s'en va, on rentre", elle me répond, "je sais pas, on risque quoi", je lui dis, "y'a du monde, ils vont pas nous violer", on sourit et on continu de regarder le film, je calque mes gestes sur elle, Luc sait que ma copine est comme moi.

Je l'ai rassuré en lui disant que si elle se mettait en colère, que je la calmerais et qu'on partira sans scandale, si Luc connait son copain Nic, je connais ma copine, ce n'est pas elle qui refuserait une main inconnue dans sa culotte, si elle se sait en sécurité, et en ce moment même, sa sécurité, c'est moi, donc tant que je ne dis rien, elle l'acceptera .

Luc avait dit à Nic, que je venais avec une copine, pour voir si elle se laisserait faire, mais qu'il était pas sur que moi, j'en ai envie et soit docile, disant aussi que la première fois, j'étais réticente, mais qu'en y allant doucement, qu'il avait une chance.


Au premier toucher, elle se blottit vers moi, à chaque geste que son voisin fait, elle me le fait savoir du regard, je la connais, on est pareille toutes les deux, ce qu'elle subit, n'est pas pour lui déplaire, et elle ne fera jamais scandale pour cela, en me le signalant, c'est une façon de me demander s'il n'y a pas de risque, loin de la maison, inconnue dans le coin, sécurité dans l'endroit, confiante en moi, la situation idéale pour ce qui va arriver.

Après les genoux collés, la main arrive sur sa cuisse, comme nous nous tenons les mains, je ressens tout ce quelle éprouve, chaque frisson, chaque sursaut, comme il m'arrive la même chose, nous nous regardons, comme je ne dis rien, elle laisse faire aussi, à cette époque de l'année, nous n'avons plus de manteau, juste un petit gilet qu'on s'est mis sur les genoux.


Cette copine, que ceux qui ont lu mes histoires, devinent de qui il s'agit, sans être sœur, nous nous ressemblons à 95%, sauf le visage et le caractère, mais nous avons les mêmes gouts sexuels, la même façon de s'habiller etc. Et comme des jumelles, c'est tout naturellement qu'on à mis la même jupe plissée légère, toujours d'une couleur différente.


Nous appuyons sur nos gilets pour que leurs mains ne progressent pas trop vite, mais la main d'un inconnu sur notre cuisse, le frisson que cela procure, ne s'arrête pas que là ou la main se trouve, ça se propage en remontant, sinon nous partirions aussitôt, le frisson nous fait rester.


Ma principale inconnue en ce moment précis est, est-ce elle ou moi, qui va céder la première, cela pour dire après coups, mais c'est de ta faute aussi, si tu n'avais pas cédée, j'aurais pas cédée à mon tour, mais qu'importe qui n'a pas résisté, puisqu'on se dit ensuite qu'on aurait été bête de ne pas en profiter.


N'ayant pas la surprise de ce qui arrive, c'est elle qui avec ses yeux et sa main qui me serre, qui me fait comprendre qu'elle succombe ou est prête à le faire, ce qui à l'effet de m'exciter, la réponse dans mon regard est, "on est cuite ma vielle", nos deux peloteurs, quand ils ont posés leurs mains, n'avaient qu'une fesse sur leur siège, et chacun voyait ou en était l'autre et se synchronisaient.


Nos quatre mains, coté accoudoir commun se serraient, laissant la voie libre aux deux compères. Contrairement à mes derniers rendez-vous, nous avions string et soutif.

Nous agaçant le clito, nous étions dans un état d'excitation intense, surtout ma copine qui était là pour la première fois et redécouvrait la puissance d'excitation d'un inconnu, chacune, de voir l'autre excitée, accentuait encore plus notre état.

Avec cette copine, si sur paris, nous avions pas mal "libertiné" ainsi, en province, elle n'avait plus que les repas ou rendez-vous d'affaires ou avec son mari complice, ils ont organisés quelques scénarios candauliste, mais ce soir là, cela faisait quelques années ou c'était fini, même si nous avons continués de "libertiner" ensembles, de son coté, Ils (leur couple) avaient arrêtés les scénarios en dehors de notre cercle, ce soir pour elle, c'est le renouveau.

Avec Luc, après nos parties pendant le film, chacun prenait sa voiture et nous allions dans un endroit plus tranquille pour discuter, afin de ne pas être vu ensemble, même aussi loin, lors de nos discussions informels l'un sur l'autre, dans la pénombre de l'endroit, je lui avais dit comment j'étais, mes gouts coquins, il m'avait donné son numéro de téléphone, disant, vous appelez quand vous voulez.

Femme objet, être un peu forcée pour faire ce qu'on me demande, obéissante à beaucoup de choses quand je suis excitée et excitée quand on me demande beaucoup de choses risquées (risque d'être surprise dans une situation humiliante, pas le risque me mettant en danger physique).


Luc avait probablement mis Nic dans la confidence, il prend l'initiative de retirer mon string en me le chuchotant et joignant le geste, l'autre en fait de même et ma copine laisse faire aussi, dans ses yeux je devine son plaisir, c'est à ce moment là qu'elle me dira qu'elle s'est demandé, si je n'avais pas mis en place tout cela, elle me connait et les hommes sont trop directs, trop sur d'eux.


Mais elle n'en était pas certaine et me suivait dans ce que je laissais faire, Nic m'attrape la jambe et se la met sur lui, Luc copie aussi, nous nous retrouvons toutes les deux, un quart dos à dos, se tenant qu'avec une seule main, tout en surveillant la salle.


Un pied à terre, l'autre sur l'accoudoir de Nic, ma copine symétriquement, nos jupes remontés, plus rien ne leur fait barrage, ils en profitent, je dirais même un peu trop car comme ils chuchotent en même temps, du genre "ça vous plait, hein, vous aimez ça, hein vous aimez, regarde comme elles mouillent".


Un couple, 3 rangs devant s'est retourné comme pour faire "chut", mais est retourné sur l'écran en souriant, peut être comprenant ce qui se passe, les hommes se sont calmés, sur les paroles, mais pas sur l'action, avec la copine nous tournons la tête l'une vers l'autre, dans son regard, j'ai senti qu'elle allait s’envoler, complice que nous sommes, sans mot dire, elle a retenue le moment fatidique, j'ai accéléré le mien et nous avons jouis en même temps.


Ils ont fait durer notre plaisir au maximum, quand ce fut fait, fiers d'eux, ils se sont félicités mutuellement en se tapant le poing, et attaquant les boutons de notre chemisier qu'ils défont complètement, nous sommes au milieu du film, plus personne ne rentre comme les premières minutes où il a commencé. Il y a longtemps, qu'il n'y a plus d'ouvreuses.

Le souci ne proviendrait pas d'un spectateur qui risquerait d'aller aux toilettes, nous-mêmes, ne serions pas contre qu'il se joigne à nous, enfin deux au maximum, pas plus. Mais une spectatrice coincée, outrée, qui s'offusquerait. Une fois les chemisiers retirés, chacun nous dégrafe et retire le soutif, ils nous tripotent, malaxent.

La copine n'est plus dans la réalité, elle profite de l'instant présent, je ne suis pas mieux, en sachant notre tenue et les conséquences qui peuvent en découler. Je me laisse faire également tout en étant excitée par la situation, j'imagine le couple qui devine ce qui se passe, et qui déciderait de nous rejoindre.


Chacun nous prend dans son bras en nous faisant glisser sur notre fauteuil, leurs mains reviennent sur notre sexe qu'ils titillent pour que ça reparte sur le chemin du plaisir, une main sur un sein et l'autre qui nous masturbe, Nic est plus grand, plus costaud et aussi beaucoup plus dominant que Luc, ce qui est loin de me déplaire.


Il lâche mon sein pour tournez ma tête vers lui, pour que je le fixe dans les yeux, j'entends à peine ce qu'il dit, afin de ne pas se faire entendre du couple, "t'aimes ça petite cochonne, t'as l'air d'être une bonne salope, t'aimes ça ce que je te fais là, ton clito que je roule entre mes doigts, allez dit le moi que t'aimes, j'aimerais l'entendre ........ Sinon j'arrête".


Comme je ne disais rien, il le fait, il ne me titille plus le clito, comme c'est frustrant, l'excitation que j'ai, demande la délivrance d'un orgasme, j’obéis à ce qu'il demande en lui disant, "non, non continu, encore", il me dit, "OK, mais demande le moi, dis moi le genre de femme que tu es et si ce que je fais te plait".


j'avais presque tout dit à Luc, mais pas que j'appréciais les mots vulgaires, je n'avais pas osé lui dire, s'il a tenté le coup, bingo pour lui, ou se dit-il qu'il nous reverra jamais, qu'il est juste là pour un soir, pour un essai, je ne sais pas ce qu'il lui a dit.


Je suis à point, j'attrape sa tête que je mets devant moi pour chuchoter à son oreille, "va y, fait moi jouir, je suis ta salope, j'aime ce que tu me fais, mets moi tes doigt maintenant, j'ai envie de jouir encore, oui comme ça, va y plus fort, encore, enc........".

Je lui attrape sa tête sur le coté que je serre contre ma bouche pour ne pas crier, à lui faire mal, il me dira après le deuxième rendez vous, que je lui avais griffé la nuque, je m'en suis excusée, mais il m'a dit, "ce sont des marques de virilité, elle indiquait que j'ai été bon".


Mon orgasme a fait venir celui de ma copine, nous sommes seins nus dans le cinéma et on ne s'en inquiète même plus, comme si cela était normal, les hommes nous les tripotent encore un peu et plus lucides, ils nous disent de remettre notre chemisier, quand je dis, "ils" je devrais plutôt parler de Nic, c'est lui qui mène la danse.


Une fois habillée, il me demande (par geste), s'il n'aurait pas droit lui aussi a une petite faveur manuelle, je pose ma main sur son sexe gonflé sous le tissu, il se penche à mon oreille pour me dire que nous sommes des déesses du sexe.

Dans ma tête, et aussi celle de ma copine, je me dis que le cinéma c'est bien pour une petite parenthèse, on se fait tripoter et puis bye, Luc avait déjà acquis ma confiance, Nic m'en paraissait digne aussi, j'ai envie de me donner à ce rustre, qui obéi à son instinct et non à la bienséance, je me lance et lui dit, vous me donneriez votre pièce d'identité que je fasse une photo pour l'envoyer sur mon ordi.

Il m'en demande la raison, je lui dis, "après on monte dans votre voiture et on va sur un parking" (ou j'avais été avec la première copine emmenée), il comprend la raison de ma demande et sort sa carte, nous avons attendu la fin du film pour sortir, une fois dehors, je prends le téléphone de ma copine et je photographie sa carte que j’envoie sur le mail de mon mari.

A suivre.
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Histoire de annizette

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Commentaires du récit : Ça a commencé au ciné 3

Le 21/03/2020 - 18:03 par vieuxmec
Bonjour vraiment un plaisir de vous retrouver. A bientôt

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