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Le train de banlieue de 18h36

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Lue : 2130 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 20/03/2020

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C’était un train omnibus qui chaque soir partait bondé de la gare de Lyon et qui ramenait chez eux les banlieusards du sud est de Paris, de Charenton à Melun. Je l’empruntais chaque jour de la semaine en sortant de l’école Diderot et je me retrouvais tassé dans les compartiments, debout la plupart du temps, mêlé à d’autres apprentis ou étudiants et à la foule de ceux qui sortis de leur bureaux et usines travaillaient à Paris. C’était ce qu’on appelait un train dit cage à poule où chaque compartiment avait sa portière à double verrou et à part ceux des extrémités des wagons, isolés, eux, ils communiquaient les uns avec les autres.

Un jour, pas comme un autre, c’est mon copain Serge, rencontré sur le quai qui me proposa de venir avec lui et de monter dans un de ces compartiments isolés pour rejoindre une bande de joyeux drilles, filles et garçons.
« Tu vas voir comme on se marre me dit-il d’un air entendu :

C’était, je m’en rendis compte par la suite, une sorte de chasse gardée, un sacré foutoir où tout autre qu’eux qui voulait monter était repoussé par des hurlements. Ainsi ils étaient tranquilles. Lorsque le compartiment faisait le plein des habitués nous étions une bonne dizaine, sept ou huit jeunes garçons de mon âge, une fille, parfois deux ou trois et un vieux grigou qui dénotait dans cette assemblée de jeunes gens.

Au fil des jours je me rendis compte que les filles régnaient en maîtresse sur les garçons, elles menaient la danse, elles n’avaient pas froid aux yeux et elles se laissaient peloter par l’un ou avec l’autre ; pas de jalousie entre garçons, en des simulacres de bagarre, ils se les partageaient en essayant de leur caresser les fesses ou les seins parfois plus et cela était excitant au plus haut point. Elles aimaient ça et nous aussi.


D’amblé je fus adopté et dès le premier soir je me rendis compte à mes dépends du fameux bordel qui y régnait durant le trajet, une heure durant, de la gare de Lyon et avant notre arrivée à Villeneuve.


Annie seule fille ce soir-là était entiché de Guy, elle le cajolais comme une chatte en le bécotant .Consentant, on le serait à moins, je le vis sortir son sexe en érection et assoir la drôlesse sur lui, jupe retroussée, elle se trémoussait face à lui, écartelée, assise sur ses cuisses en riant avant au bout d’un moment de ronronner de plaisir, je n’en croyais pas mes yeux et mes oreilles, il la baisait ainsi accrochée à lui , son sexe agité, caché sous sa jupe ; tous nous étions médusés, certains se branlaient la verge à l’air, les yeux dans le vague en les regardant, ils savaient qu’après avoir bien joui Annie leur ferait peut être une petite gâterie, une caresse, les laisserait passer leurs mains sous sa culotte.

Et le vieux dans tout ça, un vrai satyre, je reconnu en lui ce vieux pédéraste qui le matin dans le train qui nous menait à Paris avait la main baladeuse sur les fesses à sa portée, mâle ou femelle ; rappeler vous de mes témoignages ( La femme du pédéraste et Arrière train de Banlieue ) et qui là sans vergogne, avec l’assentiment de tous les aidait à jouir en caressant leur sexe, parfois deux en même temps, Il ne manquait pas lui aussi de sortir le sien, une monstruosité grosse et noueuse je vous l’ai dit j’étais tombé dans un vrai boxon.

Ce vieux sadique ne déparait pas dans l’assistance, je me rendis compte qu’il avait un rôle, qu’il était utile si j’ose dire ; pas avec moi mais avec d’autres, il avait la manière pour les faire jouir en les tripotant. En baisant leur culotte, il lui arrivait de prendre leur sexe dans sa bouche tout en leur caressant les fesses pour les faire jouir et nous pouvions voir les giclées de sperme qu’il savait faire monter. Effaré je le vis même sortir son sexe pour se faire sucer par des garçons, plus rarement avec une fille qui excités se laissaient faire. Il baisait leur bouche en enfonçant sa grosse queue, à fond entre leurs lèvres, au point de les faire hoqueter, avant d’arroser leur visage de sa semence. J’ai supposé qu’il était un peu l’instigateur de ce bordel ambulant !

A l’époque j’étais un peu niais, pourtant j’étais friand de sexe et faute de connaitre des filles je m’excitais en lisant des revues érotiques comme Paris Hollywood c’est de cette période où je pris goût aux images et aux récits érotiques et qu’au bout d’un moment y trouvant moins d’excitation je me mis, déjà, à en écrire moi- même pour raconter mes frasques.

Ce premier soir, cette première montée dans le compartiment réservé de Serge et sa bande, le compartiment arrière du troisième wagon, je fus surpris de l’accueil, c’est lui qui sonna la charge de mon bizutage dès que le train s’ébranla, il se mit à vociférer :
« Une mise à l’air….une mise à l’air de Georges, mon copain,
Ordre repris en chœur par tous ; cela avait l’air d’une coutume, une obligation pour les nouveaux entrants, une sorte d’initiation, le prix à payer pour entrer dans cette sorte de confrérie.

Eberlué je me demandais dans quel traquenard j’étais tombé quand, assis sur la banquette, à plusieurs ils m’immobilisèrent tandis que d’autres baisaient mon futal à mi cuisses, offert si j’ose dire je me retrouvais en slip ; on appela Annie qui dut se désaccoupler de Guy et qui vint s’agenouiller devant moi, entre mes jambes, heureuse semble t‘il de participer à mon bizutage, cela avait l’air de lui plaire, la situation d’un coup me parut moins incongrue.

Devant l’assemblée hilare Annie se mit à me caresser, ses mains voltigeant sur mon boxer au niveau de mon sexe qui eut tôt fait de se dresser. Serge me regardait et avait l’air de me dire : je t’avais dit qu’on se marrait bien. Où cela allait il me mener, je ressentais dans ma verge une tension agréable et quand Annie rabattit mon slip sous mes testicules je vis mon sexe se dresser comme un diable sortant de sa boîte
Annie s’exclama :
« Eh les gars il a une belle queue…….une belle queue toute neuve qui n’a pas encore baisé…tu es puceau Georges ?
C’était vrai, à dix-sept ans passés
« il est puceau ! il est puceau ! disaient l’entourage

Je crus défaillir quand se penchant sur moi Annie me prit le gland dans sa bouche, un de mes fantasmes qui se réalisait et c’était bon, elle savait ce qui fait du bien, en me suçant, en me pompant, elle me caressait les testicules mises à l’air tout en me masturbant. Jamais je n’avais été si bien, si gros, si raide, je me retenais pour ne pas jouir trop vite mais au bout d’un moment n’y tenant plus j’explosais dans la bouche d’Annie qui ne fis rien pour se retirer. Alors, souriante, elle se redressa légèrement et avançant son visage vers le mien elle me tendit ses lèvres ouvertes pour un baiser extraordinaire où nos langues se mêlèrent à mon sperme qu’elle avait gardé dans sa bouche. C’est ainsi que j’en découvris le goût, salé, iodé, pas désagréable finalement.


Annie, positionnée ainsi, penchée, à genoux, ses fesses relevées, offertes, certains s’excitèrent, leur ventre calé sur ses rondeurs, quelques mains folâtrant sous sa jupe, les gros doigts du vieux satyre aussi.
Le compartiment n’était que rires crispés, cris et chants ( air connu )
« Il est des nôtres…. otre, il a montré son cul comme nous autres….o o otre
« Laissez-moi hurlait Annie, mon cul ce soir c’est pour Georges……..à genoux Georges dit- elle en s’asseyant cuisses ouvertes sur la banquette.

Face à moi, sous sa jupe retroussée, au fond du vé enchanteur de ses cuisses nues, je vis sa culotte souillée ne cachant rien de sa chatte ouverte portant encore le passage de la verge de Guy . C’est la première fois que je pouvais voir un sexe féminin pour de vrai, c’était beau à en pleurer
« Suce moi Georges…fais-moi jouir
et comme interdit je ne savais que faire
« Avec ta langue, idiot bouffe moi la chatte !

Alors malgré mon inexpérience je sus faire ce qu’il fallait pour satisfaire Annie, et calmer mon désir et le sien, oui je m’avançais vers ce trésor et lèvres grandes ouvertes j’embrassais son sexe à pleine bouche, comme un mort de faim et cela eut l’air de plaire, Ma langue durcie n’eut aucun mal à s’introduire dans le vagin préparé par d’autres assauts et cela fit se pâmer Annie, je caressais la vulve avec ma langue avant petit à petit de l’enfoncer complètement dans son vagin grand ouvert et de le branler.

Je m’aperçus de mon pouvoir et cela me déchaina, j’attirais Annie vers moi en passant mes mains sous ses fesses, je calais ses jambes au-dessus de mes épaules et là je fus bien pour bien la sucer, pour enfoncer ma langue au plus profond de son ventre, pour lui faire parcourir toute la balafre de sa chatte, de son clito jusqu’à son anus que je léchais lui aussi pour le plus grand plaisir d’Annie qui ondulait en gémissant.

Obsédé c’est à peine si je me rendis compte de la présence de Guy et de Serge, à mes côtés, à genoux sur la banquette, de part et d’autre d’Annie, le sexe au vent à hauteur de son visage, positionnés ainsi pour se faire branler et même je les vis se faire sucer à tour de rôle entre deux branlettes. D’une bourrade avec un coup de coude dans sa tronche je repoussais le vieux sadique qui opportuniste, commençait par dessous à vouloir caresser mon sexe. Quel salaud celui-là !

Annie se mit à jouir très fort, elle gémissait, criait presque, son sexe, ses fesses son anus, sa chatte dansaient en se vautrant sur ma bouche, sur mon nez, sur mon visage, moi je bandais comme jamais et quand un doigt mouillé de son plaisir se joignit à ma langue sur son joli petit anus se fut de la folie, incroyablement, moi le puceau, je lui fis la double, ma langue dans son vagin et mon doigt lubrifié dans son fondement.

Et puis tout se calma, il était temps, nous étions à Triage, le temps de se réajuster, tout le monde descendit à Villeneuve.

C’est dans ce compartiment qu’un soir je perdis mon pucelage, avec une dénommée Simone qui me déniaisa de la plus belle des manières devant tout le monde en se laissant prendre en levrette, dépucelage dont je garde un souvenir attendri et une reconnaissance éternelle. Ce fut le début d’une vie sexuelle débridée dans le compartiment et ailleurs……partout.
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Histoire de Pierre le Grand

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