Ça finit toujours par arriver

Eh oui ! Pour peu que comme moi vous éprouviez une attirance pour les garçons, et que l'un de vos amis vous déclare un jour qu'il est gay, vous pouvez être sûr que les choses n'en resteront pas là. Ça finit toujours par arriver.C'est comme ça, allez savoir pourquoi.

Les circonstances ont bon dos, puisque depuis son aveu si touchant vous ne pensiez plus qu'à ça, et de préférence avec lui: qu'enfin il vous initie. Notre relation a toujours été amicale, à la bonne franquette, mais elle a pris une tournure plus ambiguë, plus trouble. Il était très chaleureux et très tactile, en sorte que la transition s'est faite en douceur vers une relation charnelle, disons, plus approfondie. En tout cas, j'avais mis mon point d'honneur à ce que ce soit lui et nul autre qui me déflore.

Les circonstances font parfois qu'après une soirée bien arrosée en duo avec un autre homme, l'ami plus âgé vous offre son hospitalité pour la nuit, déjà bien avancée. Et puis s'il n'y a qu'un lit, il n'y a qu'un lit, la belle affaire ! Et puis à vingt ans vous êtes un grand garçon, vous savez vous défendre, même si votre ami a deux fois votre âge. Et vous ne manquez pas de vous dire: un homme d'âge mûr attiré par les garçons, ça doit savoir s'y prendre.

Et puis, ce qui me rassure, c'est qu'il n'est pas très grand de taille, j'en déduis que sa queue doit être d'un gabarit modeste, et que donc si jamais il lui prend l'envie me déflorer, ça ne devrait pas faire trop mal pour une première fois.

Donc direction sa chambre. Entre mecs on va pas faire de manières, l'été invite à dormir nu.

Je m'allonge nu sur le ventre à ses côtés, histoire de voir venir. Sur le balcon une chatte en rut miaule en se faisant prendre par un chat du quartier.

Je sens bientôt une main effleurer puis caresser mes fesses. Il faut dire que le soir même, après quelques verres, il m'avait déclaré que mon petit cul rebondi l'affolait. Ses caresses si douces et excitantes suffisent à me faire bander. Et me semblent durer, pour mon plus grand plaisir, une éternité.

Il n'a pas besoin de me demander de me retourner, après m'avoir si bien flatté la croupe, pour constater mon érection. Il prend carrément ma queue dans sa main, je fais de même pour lui. Sa queue est assez petite, en effet, mais bien raide et nerveuse. Elle me fait penser à un poney qui s'emballe. On commence à se branler doucement mutuellement. Il me masturbe merveilleusement bien.

Ses mains explorent tout mon corps dans la pénombre, puis il me prend en bouche. Cette bouche qui suavement suce et lèche votre queue, c'est à ce point délicieux que c'en est indescriptible, surtout quand en même temps sa main vous tripote et vous malaxe langoureusement les couilles.

Je crie stop ! pour ne pas éjaculer dans sa bouche. Je le suce à mon tour en commençant par lui pourlécher le gland. C'est trop bon. Spontanément, je m'installe en levrette. Il s'agenouille derrière moi. Il plaque ses mains sur mes fesses et les écarte. Ses doigts s'introduisent dans fente puis s'aventurent aux abords de ma rondelle. Ma rondelle se contracte et se dilate, il tourne autour, ça en devient un supplice. C'est alors qu'il pose sur ma petite ventouse le bout de sa langue, qui entre ensuite dans mon petit trou.Puis son gland vient s'aboucher. J'adore sentir son gland abouché à l'entrée de mon sanctuaire et s'y frayant un passage. Puis ça y est, à force de pousser le petit poney bien membré est en moi, il s'emballe, fait de moi sa petite femelle et écume. Il me fait jouir du cul au moment où jaillit mon sperme.

Ça finit tours par arriver. Enfin, je suis défloré.