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A poil chez lui partie 2

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Lue : 0 fois - Commentaire(s) : 0 - Histoire postée le 26/10/2024

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A POIL CHEZ LUI
C'est la partie 2 et c'est JIM qui parle.

En soirée, j'aime aller au spectacle. Théâtre, stand-up, comédie musicale. Autant de moments uniques pour moi. Du bonheur pur.
Et ce soir encore, j'ai été au théâtre.
Le comité d'entreprise nous permet d'avoir des places à des prix vraiment intéressants. Autant en profiter. Et c'est bien ce que je fais.
Ce soir, j'ai assisté à la représentation d'une pièce de Jean Anouilh. LE VOYAGEUR SANS BAGAGES. Le texte, le jeu des acteurs...J'ai passé un très bon moment.
Je suis ingénieur, tourné vers les chiffres, les calculs et pourtant, j'aime aussi tout ce qui est culturel...Littérature, théatre, cinéma...
Le temps de rentrer chez moi...Il était pas loin de minuit. Heureux de cette soirée, je me suis garé sur le parking. Sans me douter que la soirée n'était pas vraiment finie, en fait.
Je suis rentré dans l'immeuble. Totalement silencieux. A cette heure-ci, tout le monde dormait. Et je n'allais pas tarder à en faire autant.
C'était du moins ce que je pensais.
L'appartement baignait lui aussi dans une quasi-obscurité, tempérée par les lumières de l'extérieur, et dans le silence.
Je suis parti directement pour la salle de bains. Quelques ablutions. Je me suis déshabillé. Un pyjama. Il était temps d'aller dormir.
Ça m'arrivait rarement surpris. J'arrivais toujours à sentir ce qui allait arriver.
Mais là...
Je me suis glissé dans ma chambre.
Et je l'ai vue.
Sur le lit.
Allongée sur le dos, elle dormait profondément.
Nue, sauf pour deux accessoires, une paire de cuissardes rouges, et des bas qui montaient de quelques centimètres plus haut que les cuissardes.
Je me suis figé.
Décontenancé parce que je ne connaissais absolument pas cette fille.
Elle n'avait en tout cas pas senti ma présence, et elle continuait à dormir.
Endormie de chez endormie.
J'ai eu tout le loisir de continuer à la contempler.
M'en voulant parce que je me suis senti voyeur.
Et en même temps, impossible de m'en empêcher.
C'était vraiment une jolie fille. Entre 25 et 30 ans, blonde. Une vraie blonde à en juger par la toison bien entretenue qui marquait son pubis. Une chevelure blonde longue et soyeuse, étalée autour de sa tête. Un visage aux traits fins, avec une sérénité nettement lisible alors qu'elle dormait. Et un corps....Nu, offert au regard. Bien dessiné. Seins hauts et fermes, qui bougeaient au rythme de sa respiration. J'ai eu le temps, tout le temps en fait de remarquer certains détails qui m'ont émoustillé. Les aréoles larges et toutes roses et le fait que ses tétons soient durs. Le froid de la pièce, ou un rêve érotique?
Un ventre plat. Des hanches bien marquées. Et des jambes elles aussi bien dessinées pour ce que j'en voyais, c'est-à-dire une partie de ses cuisses. En effet ses jambes étaient prises par ces cuissardes, qui arrivaient au-dessus du genou, et des bas stay-up se prolongeait un peu plus haut.
C'était une situation particulière.
En effet, il se serait très bien pu qu'une fille de mes connaissances ait envie de me faire une petite surprise. Se glissant chez moi, se mettant quasiment nue, avec deux éléments de séduction incontournables, pour m'attendre.
Cette fille aurait également du avoir une clef de chez moi.
Il y avait pourtant un problème.
Cette fille je ne la connaissais absolument pas. Je ne risquais donc pas de lui avoir donné ma clef.
Comment avait-elle pu rentrer chez moi?
Que faire? La réveiller? Elle dormait à poings fermés.
Je me suis dit que j'allais la laisser dormir. On verrait quand elle serait réveillée.
Le divan ferait parfaitement l'affaire pour passer la nuit.
Je m'y suis laissé tomber. J'avais vraiment sommeil. Et aussi une belle érection.
C'était qu'elle avait vraiment un charme fou.
Il ne m'a pas fallu longtemps avant de sombrer.

XXX
Je crois bien que c'est de la sentir près de moi qui m'a réveillé. Avant, quelques minutes avant que l'alarme ne sonne.
Ce qui m'entourait, et les circonstances de mes derniers moments avant le sommeil s'est reprécisé.
Elle était près de moi, debout, et sa condition n'avait pas changé. C'est-à-dire qu'elle était toujours nue, sauf pour les bas stay-up et les cuissardes.
Elle me regardait avec un mélange de curiosité et d'inquiétude.
Le jour se levait.
Un rapide coup d' oeil à mon portable.
Le réveil devait sonner d'ici 8 minutes.
On s'est fixés.
C'est elle qui a parlé la première.
— Ecoutez, je suis désolée.
J'ai failli répondre:
— Pas moi.
Et c'était vrai. Je ne l'étais pas...Pouvoir poser mon regard sur une aussi jolie fille...Séduisante quand elle dormait, séduisante différemment quand elle était debout devant moi. Elle ne s'était pas souciée de se rhabiller, comme si sa nudité n'avait aucune importance et ne risquait pas de me troubler, ou bien, plus simplement parce qu'elle était déstabilisée par la situation et qu'elle ne pensait absolument pas qu'elle était à poil.
En tout cas, elle me troublait bien.
Son corps, quand elle était debout, prenait un autre relief. Je pouvais en tout cas distinguer ce qui disait qu'elle était une femme, et que je n'avais pas vu la veille, parce qu'elle avait les jambes serrées. Son sexe. Une fente qui coupait ses chairs en deux, et dont sortaient deux bons bouts de lèvres.
Je me suis soudain rendu compte que j'avais une énorme érection. Bien sûr, quand il se réveille le matin, un homme a souvent la trique. Mais la voir devant moi avait pour ainsi dire démultiplié l'effet, dans le volume comme dans la durée.
Elle a finalement parlé.
— Je me suis trompée...
— Ah!, j'ai dit sans me compromettre.
— D'appartement. Je ne suis pas où je voulais être.
— Oui, je pense. Si je comprends bien, vous vouliez faire une bonne surprise à un homme?
— C'est ça.
— Il devait rentrer et vous trouver toute nue, avec pour tout vêtement, des bas stay-up et ces magnifiques cuissardes.
— Et oui. Mais je me suis trompée d'appartement.
— Il est sur le même palier.
— Je pense.
— Vous n'êtes pas sûre ?
— On n'est pas amants. Je voulais le séduire, pour qu'on le devienne. Je l'ai vu rentrer dans cet appartement.
— Je suis là depuis plusieurs années. C'est forcément l'un des deux appartements qui restent. Mes voisins sont deux hommes.
— Je n'ai pas regardé les boites en bas.
— C'est certain que vous n'auriez pas loupé votre coup, je lui ai répondu. Trouver une fille aussi jolie que vous chez soi en rentrant. Avec en plus bas et cuissardes...
Ma phrase a paru, c'était le but, la réconforter. Elle a esquissé un maigre sourire.
En même temps, elle a intégré, à ce moment, le fait qu'elle était à poil devant moi, et elle est devenue toute rouge. Je crois qu'elle a aussi pensé que j'étais un homme. Et que je pouvais éprouver du désir pour elle. D'ailleurs, mon érection se maintenait, et je n'avais pas pensé à la cacher.
Mais elle n'a pas bougé. Perdue.
— Ecoutez, voilà ce que je vous propose, j'ai dit. Vous prenez une douche et vous vous habillez. Moi je vais préparer le petit déjeuner. On le prendra ensemble. Et puis on se séparera. Ça vous convient ?
--Ca me va.
— La salle de bains est par là, j'ai dit en me levant, ce qui n'était pas une bonne idée, car mon érection était vraiment évidente. Mais elle était déjà partie en direction de la salle de bains.
L'occasion pour moi d'apprécier une partie de son anatomie qui ne m'avait pas encore été offerte. Elle avait des fesses magnifiques. Des fesses bien pleines, bien rebondies, ce qui était plutôt rare, coupées en deux par un sillon profond.
Elle était vraiment éblouissante. Comment un homme pouvait-il ne pas la désirer? Je me suis demandé lequel de mes deux voisins elle avait voulu conquérir, et s'il aurait succombé. Une sorte de scénario vain, puisque je ne connaîtrais jamais la réponse.
Envisageait-elle de retenter l'expérience, cette fois dans le bon appartement?
Je finissais de préparer le petit déjeuner quand elle m'a rejoint. J'avais mis un point d'honneur à lui proposer une table bien garnie.
Elle était tout aussi ravissante habillée que nue. Un autre charme. Celui de la nudité d'un côté, celui de formes soulignées, marquées par une tenue collante, en l' occurrence un petit pull serré, et un caleçon moulant de l'autre. Elle avait ramené ses cheveux dans une queue de cheval qui dégageait son visage, et ça lui allait très bien. Elle resplendissait.
Elle s'est calée face à moi.
Il y avait de quoi se rassasier sur la table, et elle a dévoré avec appétit. Elle semblait à présent plus détendue, laissant derrière elle un épisode malheureux de sa vie amoureuse. Elle n'a pas hésité à parler avec moi, de son métier, de ses goûts, de sa vie tout simplement. Une conversation aussi agréable qu'elle.
Il était temps de partir travailler. Chacun de son côté.
On allait se séparer. On ne se reverrait jamais. A moins qu'on ne se croise quand et si elle venait revoir le gars qu'elle avait voulu séduire, un de mes deux voisins.
Mais ça semblait tout sauf évident. J'avais l'impression que le fait de se tromper ainsi lui avait permis de prendre de la distance, et de passer à autre chose.
Je me trompais peut-être.
On s'est séparés devant l'immeuble.
Que pensait-elle?
Moi en tout cas, j'étais très au clair de mes pensées.
Il aurait peut-être pu se passer quelque chose entre nous. Et quelque chose d'agréable.
Et on est partis chacun de notre côté.
Les semaines ont glissé.
J'ai repensé à elle.
On a toujours de l'envie, du regret pour ce qu'on n'a pas pu avoir.
Ça avait été un moment cocasse, exceptionnel, qui avait brisé la routine d'une vie finalement très routinière.
Et elle avait beaucoup de charme. Physique, bien sûr, mais aussi dans sa manière d'être, de penser.
Et puis il y a eu ce soir. Ce mercredi soir.
Je suis rentré tôt. Pas de spectacle en vue. Le lendemain, j'allais voir une pièce. Là, je rentrais et j'allais sans doute me coucher tôt.
C'est en avançant vers mon appartement, plongé dans mes pensées, je me suis soudain rendu compte qu'elle était là.
Elle était magnifique, ce soir-là. Il n'y avait pas d'autre mot.
Une longue robe de soirée, simple, noire, à la fois floue et collante. Avec une fente sur le côté qui montait jusqu'à la hanche, et laissait voir une jambe aussi bien dessinée que dans mon souvenir. Gainée d'un bas stay-up dont je voyais la jarretière élastiquée.
Décidément, elle aimait les bas.
Elle était en tout cas très différente de la fois précédente.
Comme libérée d'un poids. Soulagée. Joyeuse.
Ses cheveux n'étaient pas attachés, ils coulaient sur ses épaules, et c'était la touche ultime qui la rendait infiniment désirable.
— J'avais envie qu'on se revoie...
— Vous...Vous n'allez pas chez mon voisin ?
Elle a souri.
— Après cet épisode...Malheureux...J'ai décidé d'avoir une explication franche avec lui. Il m'a dit clairement que je ne l'intéressais pas. J'ai tiré un trait, et ça m'a permis de me sentir mieux.
Elle a fait une pause avant d'ajouter :
— Et puis...J'ai repensé à ce moment qu'on a passé ensemble. Très bref...Mais très agréable...Et je me suis dit...Que j'avais bien envie qu'on se revoie. Pour aller plus loin. Tu es toujours intéressé ? Parce que ça semblait être le cas l'autre jour.
Elle a amené ses mains à ses épaules. La robe y tenait par deux fines bretelles. Elle les a fait glisser. La robe est descendue naturellement pour se retrouver sur le sol. J'ai pris sa nudité de plein fouet. Je l'avais déjà vue nue, mais c'était toujours comme la première fois quand une fille se déshabillait devant vous. Et puis le process était différent cette fois. Il y avait une volonté claire de séduction dans ce strip express.
J'avais énormément fantasmé sur elle. Les images de sa nudité, mais aussi de son corps habillé me hantaient. J'avais eu envie de le revoir. Sans jamais espérer que ce soit le cas. Son retour était...Inespéré. Elle me l'offrait. Et tout était possible.
— Alors, intéressé ?
Elle a tourné sur elle-même, me présentant son dos lisse, ses fesses toujours aussi rebondies...
— Evidemment.
— Alors...
Elle aussi, elle l'était, intéressée, apparemment. Elle a avancé vers moi et elle est venue se plaquer à moi.
J'ai tout pris de plein fouet. L'épaisseur de son corps, ses formes, sa chaleur, son parfum. Elle m'a frotté avec son bassin, caressant mon érection.
Elle est venue chercher ma bouche, et on s'est embrassés longuement et avec intensité.
Au bout d'un moment, elle m'a dit:
— Je crois qu'on serait mieux chez toi, non?
Elle s'est rapprochée de la porte, en tirant de son réticule une clef qui ressemblait étrangement à la mienne.
— Tu n'avais pas encore vu l'objet du délit, je crois, elle m'a dit en souriant.
— Surtout conserve-le...Si le cœur t'en dit, tu pourras venir m'attendre comme tu voulais le faire pour ton copain potentiel.
Son expression me disait que c'était tout à fait possible.
Le canapé nous offrait son moelleux et son confort. Elle m'a entraîné vers lui, pour finalement poser ses fesses rebondies sur son dossier.
Elle m'a défait. J'avais la queue tendue comme un arc. Dure, longue, gorgée de sang.
— C'est tout à fait ce qu'il me fallait, elle m'a dit, en venant donner des coups de langue habiles et avides dessus. Une bonne queue bien dure et bien charnue.
Du plaisir à l'état pur. Pour elle, mais aussi pour moi. Elle est venue enfiler sa langue dans mon méat, pour laper les liquides qui en suppuraient, et se sont faits de plus en plus abondants. Elle a fini par m'avaler. Etre enveloppé par la gaine chaude d'une bouche de femme c'était vraiment bon. Je l'avais oublié, par manque de partenaires ces derniers temps. Elle a bougé sur moi, tout en massant mes couilles d'une main habile.
Elle a fini par basculer sur le divan, cul par dessus tête, pour se mettre à quatre pattes, soulever sa robe, et s'offrir, me présentant ses parties intimes. Sa croupe que sa position ouvrait sur ses muqueuses anales et le boursouflement de sa vulve dilatée d'excitation, bien entrouverte sur sa muqueuse, avec ses lèvres gonflées bien sorties, et des filets de mouille qui en pendaient.
— Viens me fouiller.
Il y a des propositions qui ne se refusent pas.
— Mets une capote, s'il te plaît. J'en ai dans mon sac. J'ai peur des MST.
— Pas de souci, madame.
Le regard rivé à ce corps si bien dessiné, j'ai effectivement récupéré une boite de capotes dans son sac à main, dépiauté une capote pour la glisser sur ma queue. Cela faisait un paquet de jours que je pensais à elle, mais je n'avais pas imaginé, pas une seule seconde, que quelque chose puisse se passer entre nous. Cet aboutissement me ravissait. La vie n'était pas si moche, après tout.
Je suis venu derrière elle, et j'ai posé mon gland contre ses lèvres. Il a suffi que j'appuie un peu pour rentrer en elle, La gaine chaude et humide de sa vulve m'a pris petit à petit. Et c'était...
— Ahh, elle a gémi, c'est tellement bon. Remplis-moi bien.
Oui, c'était tellement bon pour l'un comme pour l'autre.
J'ai obéi à sa requête, la fouillant comme elle le voulait, me donnant au maximum, et ayant du plaisir en retour, dans un effet boomerang. Je me sentais me dilater de plus en plus, me rapprocher de l'orgasme tout en m'efforçant de me maîtriser au maximum.
On s'est engagés sur d'autres positions.
C'est quand elle a été assise, empalée sur moi jusqu'à la garde, qu'elle s'est mise à jouir. Un enchaînement d'orgasmes qui lui ont fait perdre le contrôle et cracher de nombreux jets de mouille autour de ma queue qui nous ont bien trempés.
C'est la voir jouir aussi fort qui a déclenché ma jouissance à moi. Un bon orgasme comme je n'en avais plus eu depuis longtemps.
— C'était bon, elle a soupiré.
— Je ne dirai pas le contraire.
— J'ai encore envie. Si on allait dans ton lit?
— Tu as passé une nuit dessus...Maintenant tu as envie d'être dedans, c'est ça?
— J'ai surtout envie que tu sois en moi.
Je ne savais pas ce qui nous attendait. Une nuit? Ou plus ? C'était en tout cas très bien qu'elle se soit trompée d'appartement.





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Histoire de JamesB

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