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En pleine tempête

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Lue : 1916 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 04/10/2021

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Il était environ dix huit heures, quand nous avons quitté en urgence le séminaire d’entreprise, mon collègue Yves et moi. En effet, la météo se dégradait, et annoncé une tempête pour la soirée. Ce n’était qu’à trois heures de Montpellier. Nous avons donc pensé que nous aurions tout le temps, d’éviter la tempête qui s’annonçait.
Conduire vers le sud à travers le centre est pittoresque à tout moment de l’année, mais pendant ces bourrasques de neige, il y a une beauté presque étrange. Nous avions parlé de tout et de rien, dans le but de ne plus penser à la férocité de cet épisode neigeux, mais nous avions roulé pendant une heure, et n’avions parcouru qu’une vingtaine de kilomètres.
Il en manquait encore près de six cent.
Nous étions quelque part dans la région des lacs, ou il n’y a pas âme qui vive, à cet période de l’année. Yves conduisait assez lentement, parce que la visibilité était très faible. A peine au-delà du capot de la voiture.
La voiture s’est arrêtée, lorsque nous avons entendu un bruit sourd. Yves est sorti pour voir ce que c’était, et s’est rendu compte qu’il avait quitter la route, et que les deux pneus droits étaient enfonces dans la neige, de presque vingt centimètres de profondeur.
Les routes n’étaient pas déneigées à ce stade, et nous savions que nous étions en difficulté. Et le crépuscule commençait à s’installer.
Nous avons décidé que nôtre meilleure option, était de marcher, et de chercher une maison, en espérant que quelqu’un nous abrite, en attendant une météo plus clémente.
Le dragage de la neige était misérable...c’était profond, humide, glacial. Les maisons étaient clairsemées, alors en apercevant la première, nous espérions y être hébergé. Hélas, elle était vide.
Il est évident que c’était une sorte de maison d’été, qui était fermée pour l’hiver. Nous avons décidé de trouver le moyen d’y entrer, car le danger de trouver un autre endroit, était trop risqué.
Yves commençait à vérifier les portes et les fenêtres, pour voir s’il n’y avait pas une issue, pour pouvoir y accéder.
En plaisantant, j’ai dit qu’il y avait peut-être une clé sous le tapis. Nous avons éclaté de rire quand Yves trouve une clé, sous un pot de fleurs.
La maison était sombre et l’électricité ne fonctionnait pas. J’avais une petite lampe de poche sur mon porte clés, et Yves s’en servait pour éclairer. Il y avait une cheminée, du bois de chauffage, et des bougies.

C’était réconfortant de savoir que serions en mesure de nous sécher, et de nous réchauffer.
Pendant que Yves récupérait du bois, et travaillait au feu, je jouais avec mon téléphone portable, pour essayer de contacter le monde extérieur. J’ai finalement eu une barre du réseau, et j’ai appelé mon mari. Il était rassuré d’apprendre que nous allions bien, et en sécurité. Il a dit qu’il appellerait la femme de Yves, et lui ferait savoir, juste au cas ou nous perdrions nôtre connexion.
Yves a allumé un bon feu. Nous avons cherché des couvertures, afin de pouvoir faire sécher nos vêtements mouillés, pour éviter qu’ils ne gèlent. Nous avons décidé de nous envelopper dans les couvertures, pendant que nos habits séchaient près du feu.
C’était gênant d’être seule avec lui. Même si nous avons travaillé ensemble pendant cinq ans, nous nous jamais vraiment côtoyés. Pas de collation après le travail, pas de restaurant ou de repas entre amis, rien d’autre que le travail. Et là, nous étions enveloppés dans des couvertures, nus, à regarder le feu. Nous nous sommes regardés, et avons éclaté de rire.
Yves a dit qu’il avait repéré une bouteille de cognac dans la cuisine. Je lui ai dit que je ne buvais pas, ce qui ne l’empêcha pas d’aller à la cuisine, et de revenir avec deux gobelets en plastic, et la bouteille.
A ce stade, je pensais que je n’avais aucune raison, de ne pas prendre une photo, pour immortaliser nôtre nuit à la neige. Nous avons porté un toast à nos famille respective.
Il semblait que nous avions réussi à oublier nos problèmes imminents, et aussi à oublier le monde extérieur. De temps en temps, l’un de nous ouvrait la couverture près du feu, pour laisser la chaleur réchauffer nos corps.
Au début, nous étions pudiques et positionnés de façon à ce que l’un ne voit pas la nudité de l’autre. Mais après une demi-douzaine de verre d’alcool, la modestie disparu et s’est transformée en taquinerie. J’étais excitée par la bizarrerie de nôtre situation. Bien sur, le cognac a joué un grand rôle dans ma libération.
A un moment donné, lorsque Yves a ouvert sa couverture devant le feu, j’ai pu voir que sa queue devenait un peu grosse, tendue. Du reste, mon mari, pour l’avoir vu nu sous la douche au club de tennis, m’avait dit que Yves était pas mal monté. Je pouvais le confirmer ce soir.
A ce moment là, je savais que j’allais passer une nuit de sexe. Le seul problème, était de trouver un moyen subtil, pour le lui faire savoir.
Aussi, en m’assurant de laisser une ouverture comme excuse, pour dire que je plaisantais, au cas ou il n’aurait pas envie de tromper sa femme.
Je lui demandais de servir un autre verre, avons trinqué à deux inconnus bloqués à cent kilomètres de chez eux. Alors que j’inclinais la tête vers le bas, je laissais la couverture tomber complètement sur le sol. J’ai fait comme si je me précipitais pour la ramasser, faisant mine d’être gênée, puis je suis tombé au sol, le corps nu, exposé et visible à la lueur du feu,
et me suis excusé de cette situation.
Comme un vrai mec, il a acheté hameçon, ligne et plomb.
- Ne t’inquiète pas pour ça, dit-il, pendant cinq ans, je me suis demandais à quoi tu ressemblais toute nu. Maintenant je sais, et ne suis pas déçu.
- Ouah...ben dis dont...cinq ans. Cela valait-il la peine d’attendre ?
- Sur, reprit-il, j’espère seulement qu’il ne faudra pas attendre cinq ans, avant de pouvoir satisfaire mon autre interrogation sur toi. Je me suis également demandé ce que ça donnerait, si on avait une relation sexe.
- Attendre cinq ans ? Dis-je. Je pense qu’il y a une chance que ce soit d’en moins de cinq minutes.
Il ne savait quoi répondre. Il a alimenté maladroitement le feu, ne sachant que faire pour franchir la ligne, qui nous emmènerait fatalement au sexe. Il a rempli deux verres de cognac, et m’a rejoint.
En trinquant pour la énième fois, j’ai laissé tombé ma couverture, me tenant là, toute nue, avec comme seul habit, la lueur du feu sur mon corps. Yves me fixa un moment, comme s’il était sous le choc, non pas à la vue de ma nudité, mais à la réalisation de l’instant.
Il n’a pas perdu de temps pour déclencher les hostilités. Nous avons couvert nos corps nus de brûlants baiser. Je pouvais sentir mes seins durcir contre sa poitrine, et je pouvais sentir sa queue en érection, contre mon ventre. Ses baisers étaient tellement meilleurs, que ce à quoi je m’attendais. Ses mains se sont enroulées autour de moi, tel une pieuvre qui retient sa proie. Nous respirions tous les deux fortement pendant que nous nous embrassions. Je n’aurais jamais pensé faire ça avec Yves, et maintenant je pensais qu’il était un des mecs le plus sexy, que j’ai embrassé. J’espérais seulement qu’il serait l’un des meilleurs aussi, que j’aie jamais baisé. Ma tête tournait un peu, à cause de l’alcool. Je ne sais pas vraiment comment j’ai fini par m’allonger sur le dos, la tête de Yves encastrée dans mon entrejambe. Sa bouche léchait mes lèvres intimes, sa langue jouait avec mon clitoris légèrement sorti.
Une de ses mains caressait mes seins, tandis que des doigts vicieux cherchaient mon point G.
Je fondais alors que ce type travaillait ma chatte avec une telle connaissance de l’endroit ou je prenais du plaisir. La sensation qu’il me donne à me lécher, et me doigter est d’une intensité indescriptible. Comme j’étais placée, je ne pouvais atteindre sa bite, alors je lui massais la tête et le cou, pendant qu’il me mangeait la chatte. Mes ongles le griffaient doucement. Je pouvais dire que çà lui donnait la chair de poule. Mes jambes se serrèrent autour de sa tête, alors que je jouissais violemment sur son visage. L’orgasme s’était intensifié, tandis qu’il gardait ses doigts dans ma chatte, et ses lèvres aspiraient mon petit bouton. Cela a semblé durer une éternité. C’était sauvage, jusqu’à ce que je n’en puisse plus,et que je sois épuisée.
Je l’ai roulé sur le dos. J’étais trop pressée de prendre son énorme bite en bouche. J’aime la sensation d’une grosse queue dans ma bouche. J’aime savoir que je rends un homme fou, quand je lui suce le gland. La queue de Yves était dure comme du granit. Ça fait un sacré bout de temps, que je n’ai pas senti une bite aussi dure. Pa celle de mon mari en tous cas. C’était chaud à sentir, mais aussi dure soit-elle, la peau semblait si douce. J’ai taquiné la tête pendant un moment, avant de la prendre au fond de ma bouche. J’ai enfoui le bout dans ma gorge, pendant que je serrais mes lèvres autour de sa hampe. Mes lèvres ont fait des va et vient, de haut en bas. Il gémissait et se tordait quand mes mains jouaient avec ses couilles. Chaque fois que j’avais besoin d’une pause momentanée, je léchais ses couilles, et branlais sa bite. Cette bite si chaude et dure, à la peau si douce. Je sais que j’aimais autant lui sucer la queue, qu’il prenait plaisir à ce que je lui taille une pipe. Aussi, je n’ai pas tardé à recevoir l’offrande, que j’avalais sans restriction.
Puis il m’a amené dans une position de style chienne, et se mit à genoux derrière moi. Je sentais son gland écarter mes lèvres imbibées de mouille, alors que sa queue s’enfonçait en moi. Les lèvres de ma chatte enflées, ont massé sa bite en pénétrant. Cette bite était si bonne, c’était certainement l’une des meilleures que ma chatte a reçu. Il m’a agrippé par les hanches, et à commençait à me baiser. Au début, c’était de petites pénétrations lentes, mais il n’a pas fallu longtemps, avant que le rythme des va et vient deviennent plus rapides, plus fort..
J’ai senti mes seins se balancer d’avant en arrière pendant qu’il me baisait. J’ai perdu le fil du nombre de fois ou je suis venu pendant qu’il s’enfonçait en moi. Je pouvais sentir ma cyprine couler le long de mes jambes.
J’étais tellement excité que je ne pense pas avoir déjà aussi mouillé auparavant. C’était super d’être baisée par un mec super.
Il savait certainement comment donner du plaisir au femme.
Je ne voulais pas qu’il jouisse encore, car je voulais que ça dure.
Nous étions en train de nous repositionner, quand il a verser un autre coup de cognac. J’ai souri, car je pense n’avoir jamais bu autant de cognac auparavant, mais c’est à coup sur, ma nouvelle boisson préférée.
Nous avons trinqué à nous, et nous sommes allongés sur le sol, dans une position de soixante neuf. J’avais hâte de sucer à nouveau cette énorme queue. Ses lèvres s’embrassaient frénétique ment avec mon clitoris, tandis que sa bite s’enfonçait lentement au fond de ma gorge. Nous avions tous les deux nos bras enroulés l’un autour de l’autre, alors que nous nous partions dans une incroyable session de succion mutuelle. Une fois de plus, j’ai joui sur son visage, et j’espère que ça ne la pas dérangé, de voir à quel point j’étais mouillée, et à quel point je coulais dans sa bouche. Il n’arrêtait pas de lécher, alors j’ai supposé qu’il aimait ça.
Je l’ai roulé sur le dos, et suis monté sur lui. Sa queue a glissé dans ma chatte, et j’ai gémi à haute voix, j’ai adoré la sensation de sa bite au fond de moi. Ma chatte s’est resserrée pour mieux épouser son calibre, alors que je commençais à monter et à descendre. J’ai senti ses mains saisir mes seins, mes bout rouler entre ses doigts. J’ai senti des surtensions traverser mon corps, directement de mes bourgeons, à mon clitoris. Le sentiment était quelque chose que je ne pense pas avoir jamais ressenti auparavant, et me fait exploser dans un orgasme multiple. Yves me rendait vraiment folle...tout simplement.
J’ai senti qu’il était sur le point de jouir, alors je me suis agenouillé à côté de lui. J’ai saisi sa queue dans ma main pour la contrôler, pendant que je la guidais dans ma bouche. Je pouvais goûter le pré-sperme, et pouvais dire à ses gémissements, qu’il était en extase totale. Sa bite était trempée du jus de ma chatte, je la caressais en secouant la tête au rythme de la douce action de sa hanche. Je pouvais goûter mon propre jus avec sa queue qui palpitait dans ma bouche.
Quand il éjacula, tout son corps se mit à trembler. L’orgasme était intense. J’ai continué à caresser et à sucer, pendant que son sperme remplissait ma bouche. J’ai gardé ma langue sur son gland, pendant que le sperme jaillissait.
L’idée de savoir à quel point son orgasme était puissant, m’avait donné un orgasme, avec mon autre main, quand j’ai doigté mon clitoris, et ensemble, avons atteint une intense jouissance.
Je ne sais pas pour lui, mais pour moi, c’est l’une des meilleures baises, que j’ai eue depuis longtemps.
Pendant la nuit le feu s’est atténué. Nous nous sommes logés dans une couverture, l’autre n’étant plus en état, à cause de nôtre torride relation, qui a laissé des traces. Nous nous sommes enfin assoupis, enlacés, blottis l’un contre.
Nous nous somme réveillés alors que le soleil commençait à filtrer à travers les fenêtres.
J’espérais ne pas avoir une mauvaise gueule de bois à cause de tout nos plans, et nous demandions comment allions gérer cette maladresse. Au cours de nôtre réveil, nos regard se sont croisés. Nous nous sommes fixés une minute, puis avons tous les deux éclatés de rire, en réalisant ce que nous avions fait.
Nous nous sommes levés et nous sommes habillés. Grâce au feu, nos vêtements étaient secs. Nous nous sommes assurés que le feu était bien éteint, avons remis la maison en état, et nous sommes donnés un baiser.
Nous pouvions entendre les chasses-neige dégager la route, et Yves a couru, et a filé un billet au chauffeur, pour sortir la voiture du fossé.
Bientôt, nous étions à nouveau sur la route, et nous sommes arrêtés dans un relais, pour boire un bon café chaud.
Pendant que nous prenions le petit déjeuner, son portable a sonné. C’était sa femme. Il l’a rassuré que tout allait bien, et que nous espérions rentrés dans la soirée. Il a semblé un peu gêné par cet appel, et lui dit qu’il ne pouvait parler maintenant.
Après avoir raccroché, il me dit qu’elle posait tout un tas de questions, sur l’endroit ou nous avions dormis, comment avions nous dormis. Yves et moi, avions mis en place des indices de couvertures, au cas ou on nous poserait trop de questions. En fait, nous sommes endormis tôt, avons dormis dans des chambres différentes, sans jamais parler du cognac, évidemment.
Alors que nous quittions le relais, mon téléphone a sonné. C’était mon mari. Il demanda de nos nouvelles, je lui dis que ça allait, et que nous serions rentrés dans la soirée, que nous devions passé à nôtre société pour faire nôtre rapport de nos différentes réunions. Je lui dis aussi, que j’avais des trucs important à lui dire. Je voulais être honnête envers lui, et je tenais à ce qu’il sache ce qu’il s’était réellement passé cette nuit.
Yves et moi avons repris la route, en échangeant nos numéros de téléphone. Nous parcourions sans encombre les derniers kilomètres, et il me déposa chez moi.
Vincent, mon époux, sortit pour nous accueillir. Surtout Yves, qu’il remercia chaleureusement d’avoir pris soin de moi. Il ne s’attendait certainement pas que j’allais lui avouer mon infidélité.
Il invita Yves à prendre un verre, et à dîner avec nous.
Yves accepta, et prévint son épouse. A son regard, je compris que ce coup de fil s’était mal passé.
Après avoir enfin pris une bonne douche bien chaude, nous passons au salon, pour prendre l’apéritif, puis passions à table. Il était vingt deux heures.
Mais les caprices de la météo réservent parfois des surprises. Voilà que le mauvais temps se déplace vers le sud. Il n’en faut pas plus pour que nôtre région passe en vigilance orange.
Vincent, élu municipal, est appelé en urgence, pour mettre en place un plan hébergement, au cas ou.
Il recommande à Yves de ne pas prendre la route, et lui propose de l’héberger pour la nuit. Il nous dit de ne pas l’attendre, que la nuit risque d’être longue.
S’ensuivit une nuit torride, ou c’est moi qui menais les ébats, prenais les initiatives. Je voulais le dominer, être la maîtresse du jeu. J’offrais mon corps, bravant les interdits. Ceux que je j’ai jamais offert à mon mari.
Malgré nôtre sulfureuse nuit, Yves avait des ressource, et reprenait vite le dessus, jouait avec moi. De dominatrice, je devenais soumise.
Je ne pouvais retenir mes cris de plaisir quand j’atteignais l’orgasme, et ils furent nombreux. Je scellais cette nuit intense en lui taillant une pipe d’enfer, avalant son sperme jusqu’à la dernière goutte. J’eus juste le temps d’essuyer ma bouche, quand soudain, le portail de l’allée grinça.
Je quittais la chambre après une nuit que je jugeais trop courte.
Quand mon mari rejoint la chambre, j’étais sagement allongeais sur le lit, faisant mine de dormir. Il se pencha sur moi, me donna un tendre baiser sur le front. « Qu’as-tu de si important à me dire ma chérie. »
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Histoire de Aurore34

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Commentaires du récit : En pleine tempête

Le 05/10/2021 - 08:21 par Seeley68
Une aventure vraiment très excitante . Quel chanceux ce collègue de travail . LOL

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