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Adieux mouvementés

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Lue : 18845 fois - Commentaire(s) : 2 - Histoire postée le 19/06/2009

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Cela faisait déjà quelques jours que Jérôme et moi ne nous entendions plus très bien… Il n’était pas près à s’investir plus dans notre relation alors que je voulais l’exclusivité… Toujours est-il que je commençais à me détourner de lui… J’idéalisais de moins en moins ce dieu vivant du sexe… Je cherchais donc un remplaçant qui puisse au moins rivaliser avec lui… J’avoue que ce ne fût pas facile… Mais je tombais sur une personne qui m’attirait sur tous les aspects… Certes, il n’était pas aussi bon que Jérôme mais je me voyais bien vivre ma vie avec lui… On était vraiment connecté l’un à l’autre… Ce fût un réel coup de foudre… Le problème était que je me sentais encore attaché à Jérôme… Il me fallait me détacher complètement de lui et pour ça, il fallait que je l’affronte, que je lui fasse mes adieux en bonne et due forme… Je lui passai alors un coup de fil et je lui expliquais que je devais lui parler… Il me proposa de passer à son appartement, mais je savais pertinemment que je lui cèderai s’il tentait quelque chose… Un lieu publique me semblait plus sûr… Je lui proposai qu’on déjeune ensemble le lendemain midi… On devait se retrouver non loin de chez lui à midi… Je n’étais pas inquiète car je sais qu’il est de nature ponctuelle…

Le lendemain matin, sans même m’en rendre compte, j’enfilai un corset assorti à un joli string noir et des bas… Le tout en dessous d’un tailleur jupe blanc très près du corps… J’avais tellement l’habitude de m’habiller de manière coquine lorsque j’allais le voir, que mon corps avait agi spontanément… Lorsque je m’en rendis compte, il était malheureusement trop tard pour me changer… Je ne voulais pas qu’il interprète mal mes intentions… Il fallait donc que je trouve une raison pour m’être habillée de la sorte… Je décidai de prétexter un rendez-vous important dans l’après-midi, juste après notre déjeuner… J’arrivai à notre point de rendez-vous, non loin de chez lui vers 11h45… Je lui envoyai un message pour qu’il sache que j’étais déjà arrivée… Je reçus une réponse quasi-instantanément... Il serait légèrement en retard…

Malheureusement pour moi qui portais un tailleur blanc, il se mit à pleuvoir des cordes en l’espace d’un claquement de doigt… Saleté de flotte !!! Je lui envoyai un autre message lui demandant de se dépêcher parce qu’une douche toute habillée ne me tentais pas le moins du monde… Il me répondit qu’il n’était pas prêt mais que si je le désirais je pouvais marcher en sa direction, ainsi on se rencontrerait plus vite… En mon fort intérieur, je sentais que ce n’était pas une bonne idée, mais l’eau envahissait mes jolis escarpins blancs et mon parapluie était à deux doigts de me lâcher… Je marchais en direction de son appartement en priant pour qu’il sorte avant que je n’arrive chez lui… Mais déjà j’étais devant chez lui… Je composai alors son numéro :
« Je suis en bas, tu n’as toujours pas fini ??
- Je fais du mieux que je peux, tu peux monter en attendant…
- Non, non… Je t’attends dans l’entrée…
- Ne sois pas bête !! Je suis sûre que tu es trempée... Monte t’essuyer et te réchauffer un peu… »

D’un pas hésitant, je montais les marches menant à son appartement… Comme d’habitude la porte était entrouverte, ce qui me rappela toutes les fois ou j’étais entrée sur la pointe de pied (cf. Visites Matinales)… Non !! Je devais me sortir toutes ces idées de la tête… J’entrais en faisant le plus de bruit possible pour montrer que ma visite d’aujourd’hui était bien différente des autres…
« Jérôme ??
-Dans la salle de bain… »

J’arrivais dans la salle de bain, il était encore en caleçon en train de se raser…
« Mais tu es loin d’être prêt !!
- Je reviens d’un voyage d’affaire et puis vu qu’on va déjeuner à l’extérieur je voulais paraître un minimum décent… D’ailleurs je ne comprends même pas pourquoi on sort, j’aurais très bien pu te faire la cuisine…
- Aujourd’hui les choses sont différentes…
- C'est-à-dire ?
- On en discutera tout à l’heure…
- Non !!! Je veux savoir de quoi tu parles… Où veux-tu en venir ?
- C’est que… Je voulais qu’on… Qu’on discute….
- De quoi ??
- De nous !!
- Mais encore…
- J’ai toujours eu besoin d’un peu plus… Mais tu ne t’es jamais décidé à faire un pas vers moi…
- …
- Je ne peux pas attendre indéfiniment que tu oses enfin sauter le pas…
- Bien sûr… Je ne veux pas que tu perdes ton temps à m’attendre… Si jamais tu as l’occasion…
- Et bien justement !!! Je l’ai cette occasion…
- Je… Je suis heureux pour toi… Tout ce que je souhaite, c’est ton bonheur !!
- Merci… Je savais que tu comprendrais… »

Nous étions tous les deux tristes… Après tout nous avions passé tant de bons moments ensemble et personne ne m’avait jamais fait autant jouir que lui… Il cachait sa tristesse derrière son humour… J’avais un pincement au cœur… Il le remarqua et essaya de détourner le sujet pour que je me sente moins embarrassée…
« Alors ta matinée ?
- Bah la routine… Tu sais à quel point ma vie est trépidante…
- Mais dis moi, tu es vraiment classe aujourd’hui…
- J’ai un rendez-vous important à 15h… D’ailleurs il faut que tu accélères un peu le mouvement si tu ne veux pas me mettre en retard…
- Tu sais… Tu vas vraiment me manquer…
- Non s’il te plaît, ne rend pas les choses plus difficiles…
- Tu sais ce qui me manquera le plus…
- Non !!! Tais-toi !!
- Tes tenues sexy… Tes dessous affriolants… Les courbes de ton corps…
- Pitié arrête ça tout de suite !!! »

Au fur et à mesure qu’il énumérait tout ce qui lui manquerait chez moi… Il avançait doucement vers moi, me fixant droit dans les yeux… Son regard était si profond et cela m’avait toujours fasciné… C’est l’une des principales choses qui m’attirait chez lui… Le beau brun ténébreux au regard profond… Mais j’avais peur de ce qui pourrait arriver… Je ne voulais pas faire de bêtises… Je reculai au fur et à mesure qu’il avançait…
« S’il te plaît !!! Stop…
- Ton regard… Tes magnifiques fesses… Ta chaleur…
- … »

J’arrivais contre le mûr et lui continuait d’avancer vers moi… J’en mouillais tant il m’excitait mais je lutterai jusqu’au bout pour résister contre la tentation…
« Tes lèvres que j’aime tant embrasser… »
Et il m’embrassa alors qu’il m’avait complètement plaqué contre le mûr…
« Ton cou que j’aime tant caresser… »

Et m’embrassant de nouveau, il passa sa main chaude dans le creux de mon cou… Il savait ce qui me faisait craquer… Il connaissait tous mes points faibles et s’en servait pour me faire céder… Je réussi à le repousser et je me dirigeai rapidement vers la porte d’entrée… Il me suivit… Je posai une main sur la poignée comme pour le menacer de m’en aller… Mais il se plaça derrière moi rapidement, je sentais son souffle dans mon cou… Ma main était comme paralysée… La porte était presque ouverte mais Jérôme plaça sa main sur la mienne, me faisant fermer la porte et lâcher la poignée… Je sentis alors son autre main déboutonner ma veste et mon chemisier… Il passa sa main sur mon corset me caressant les seins à travers lui…
« Tes seins que j’aime tant faire durcir sous mes caresses »
Je n’en pouvais plus, je murmurai alors :
« Je… S’il te plaît, je t’en supplie… Ne me fais pas ça…
-Pourquoi tu n’aimes pas ?? »

Je le sentis se plaquer encore plus sur moi… Je sentais son pénis durcit sur mes fesses… Le sentir bander m’empêchais de me concentrer sur ma réponse… Bien sûr que j’avais envie mais il fallait que je lui dise non… Mais pourquoi déjà ?! Je ne m’en souvenais plus… Mon cerveau était complètement engourdi par le désir…
« Je… Je…
- Si tu veux que j’arrête… dis-le… Si tu ne veux plus sentir mes mains te caresser… dis-le…
- Je… Je…
- Si tu ne veux plus me sentir te pénétrer… dis-le… »

C’est cette phrase qui m’acheva car pendant qu’il la disait il me donna un bon coup de rein comme pour mimer une levrette… Il continuait de plus belles… Coup de rein, sur coup de rein… Je devenais dingue… En fermant les yeux, à chaque coup de rein, c’est comme si je le sentais aller et venir en moi…
« Si tu ne veux plus que je te baise… dis le… Si tu ne veux plus être ma salope… dis-le… Si tu ne veux plus être ma chienne, dis-le… DIS-LE !!!!!!!! » Me hurla-t-il en m’agrippant par les cheveux…
« DIS-LE !!! Salope !!! DIS-LE !!! »

Mais je restais muette, ayant même oublié comment aligner deux mots correctement tant il me rendait dingue… Il remonta ma jupe… Passa ses mains brûlantes sur mes cuisses trempées par ma mouille… Ma jupe était maintenant remontée jusqu'à ma taille… Il me caressa les fesses, ôta rapidement ma veste et mon chemisier, dégrafa mon corset et les jeta à nos pieds, devant la porte d’entrée… Il ne me restait que mon string et mes bas…
« C’est ta dernière chance…
- …
- Tu restes donc muette… Ma pauvre, aujourd’hui je vais te baiser comme jamais… Tu vas prendre, Salope !! »

Il arracha mon string… Je le vis tomber en lambeau à mes pieds… Il écarta mes jambes tout en enlevant son caleçon… Il me cambra et me pénétra de toute la longueur de son membre d’un seul coup… Il tapait si fort contre moi que je dus placer une main sur mon front pour éviter que les coups répétés contre la porte ne me marquent… Il me hurlait des mots crus… Je criais de toute mes forces mais il ne faiblissait pas le moins du monde… Bien au contraire… Cet incessant va-et-vient me faisait défaillir tant le plaisir était immense… Je ne tenais plus sur mes jambes tant elles tremblaient… Voyant que je ne pouvais plus tenir la position il me retourna… J’étais maintenant fasse à lui… Me prenant les fesses, il me souleva… Mes jambes étaient maintenant enroulées autour de sa taille… Il me laissa alors retomber sur mon membre, si bien que je le sentis buter au fond de ma chatte… Il continuait sans cesse, gémissant de plus belle ce qui ne faisait qu’augmenter mon plaisir…
« Haaaaa, Salope !!! Tu aimes ça !!! Quand je te transperce la chatte… Et attend que j’attrape ta petite rondelle… Tu n’y échapperas pas aujourd’hui… Peu importe pour qui tu me quittes, tu sais bien que personne ne pourra te baiser comme je le fais là »

En prononçant ses mots, je me souvins enfin pourquoi j’étais venue ici… Mais j’étais là impuissante à prendre mon pied alors que j’avais fermement décidée de ne pas succomber à la tentation… Je me mis alors à me débattre comme une folle, si fort qu’il dût me lâcher… Je retombai à ses pieds… Rassemblant mes affaires du mieux que je pouvais, me rhabillant presque n’importe comment… J’avais les larmes aux yeux, j’avais honte de moi… Je ne pris même pas la peine d’enfiler mes chaussures… De toute façon il pleuvait dehors… ça ne changerai rien… Jérôme essaya de me retenir, s’habillant en même temps que moi pour essayer de me retenir…
« Attends, qu’est ce que tu fais ??
- Je dois y aller…
- Mais il pleut dehors tu ne vas pas partir comme ça… »

Mais je claquais déjà la porte de son appartement, dévalant les escaliers aussi vite que mes jambes encore flageolantes ne me le permirent… J’arrivais dehors… La pluie était devenue un torrent… Je vis alors Jérôme arriver dans la cage d’escalier juste derrière moi… Mais je ne voulais plus le voir… Je voulais fuir… Je me mis à courir aussi vite que je le pouvais… J’étais définitivement trempée jusqu’au os… Je m’étais engagée dans une petite ruelle… Il n’y avait personne… J’entendais Jérôme se rapprocher de plus en plus de moi… Il me hurlait de m’arrêter… Il était sur mes talons… Il m’attrapa enfin et m’immobilisa contre le mûr…
« Je suis désolé !!!
- Laisse-moi m’en aller…
- Pas avant que tu ne te sois calmée… Je te demande vraiment pardon, je pensais que tu aimerais que l’on fasse l’amour une dernière fois… Je ne te ferais plus rien... Viens on rentre, on va te sécher, je ne veux pas que tu attrapes la crève… »

Décidément, il ne comprenait rien à rien !! Ce n’était pas lui que je fuyais mais moi !!! J’avais couru pour échapper à mon propre désir mais manifestement il m’avait rattrapé… Je n’en pouvais plus de toute façon… J’avais cédé alors autant finir ce que l’on avait commencé…
« Prends-moi ici !!! Prends-moi comme ta chienne… » Je l’embrassai fougueusement… Le pauvre avait l’air complètement perdu…
« Tu… Tu es sûre ??
- Tais-toi et baise-moi !!!! »

Je m’accroupis devant lui et lui baissa son pantalon qui n’était même pas boutonné correctement… Je le pris en bouche… Je le suçai goulument car quitte à ce que ce soit la dernière fois que l’on se voyait autant en profiter… Je commençai tout doucement en embrassant son gland… Je le sentais gonfler sous les à-coups de ma langue chaude et humide… Je pris alors sa main et la plaça derrière ma tête… Le message était clair, je voulais qu’il se fasse plaisir… Qu’il choisisse le rythme, la profondeur… Il comprit très vite et fit faire bon nombre de va-et-vient à ma tête sur sa hampe… Je l’entendais murmurer tant bien que mal que c’était très bon… La pluie devait aussi rendre les choses plus excitantes… Nos vêtements complètement transparents collant à nos peaux respectives… L’eau dégoulinant sur nous… Une douche habillée… Jérôme gémissait de plus en plus fort… Je sentais sa bite se contracter dans ma bouche… Il allait jouir… Il était à deux doigts… Il voulut alors se retirer de ma bouche…
« Arrête !!! Sinon je vais jouir et j’ai envie de te prendre, de te baiser… »

Mais je ne voulais pas l’écouter, je voulais qu’il déverse tout son être dans ma bouche… Je m’accrochais alors à lui, le tenant fermement par la taille et j’avalai sa queue totalement, si bien qu’elle touchait presque le fond de ma gorge… Je lui faisais donner de petits coups rapides de butoirs et il ne tarda pas à décharger complètement dans un cri de plaisir… J’avalai tout, pour la première fois… Il ne le savait pas encore, car d’habitude je recrachais tout… Je savais que lorsqu’il saurait que j’avais tout avalé cela le rendrait fou… Je me relevai tout doucement… La pluie n’avait toujours pas cessé… Je le regardai dans les yeux pendant qu’il reprenait son souffle… J’ouvris alors la bouche pour lui montrer que j’avais tout avalé… Je crus que ces yeux sortiraient de leurs orbites tant il les avait ouvert grand…
« Alors là, tu mérites ton titre de salope… »
Il me retourna presque aussitôt pour me plaquer contre le mûr… J’étais de nouveau dos à lui… Je remarquai qu’il n’avait même pas débandé tant il était excité… Sans prendre de gants, il s’enfonça profondément dans ma chatte…
« Oh elle est trop bonne ta chatte… C’est la meilleure chatte que je n’ai jamais connu !!! Oh t’es vraiment une Salope… Une chienne !!! Tu n’as que ce que tu mérite… »
Il empoigna mes hanches et continua à défoncer ma petite chatte bien humide… Il ne me fallu pas longtemps pour jouir comme je n’avais jamais joui auparavant… Il me suivit rapidement en jouissant une deuxième fois sur mes fesses…

La pression redescendit lentement… Nous en avions presque oublié qu’il pleuvait des cordes, que je n’avais même pas remis mes escarpins… Que sa chemise n’était pas correctement déboutonnée… Heureusement qu’il n’y avait personne dehors… Nous nous arrangeâmes du mieux que nous pouvions… Il me prit dans ses bras et nous retournâmes à son appartement sans dire mots… Nous allâmes prendre une douche bien chaude sous laquelle nous osions à peine nous effleurer l’un l’autre… Il mit mes habits à sécher et me servit un chocolat chaud pour me réchauffer… En attendant que mes vêtements sèchent, il m’avait donné une chemise à lui, une couverture et installé dans le salon, sur le canapé… Il se prépara un café et vint s’asseoir à distance raisonnable de moi… Il y eût un long silence… Je pris alors mon courage à deux mains pour briser ce silence pesant…
« Je suis désolée… Je ne sais pas ce qui m’a prit… Je ne voulais pas…
- Ce n’est pas ta faute, mais bien la mienne… Je n’arrive pas à me contrôler en ta présence… J’ai tellement envie de te posséder…
- Je pense que les torts sont partagés…
- Tu me rends fou, tu hantes mes rêves… »

En disant cela il avait glissé une main sur ma cuisse… Elle était si douce... Je ne pus me résoudre à la retirer… Au contraire je l’invitais à partager la couette qu’il m’avait prêtée… L’un dans les bras de l’autre, je pus mieux lui expliquer les détails du sujet qui m’avait aujourd’hui mené à sa rencontre… Ce jour-là je vis un autre aspect de sa personnalité, il était enfin prêt à se dévoiler un peu plus à moi…
« Si j’ai toujours gardé une certaine distance entre toi et moi, c’est parce que très vite j’ai compris que je ne pourrais pas me passer de toi… Je t’aime tu sais…
- Tu… Tu… M’aime ??
- Oui je t’aime, autre qu’une complice sexuelle… J’apprécie ta personnalité, ta gentillesse… Je me dis que je suis vraiment bête de te laisser filer comme ça… »

Ces révélations me brisaient le cœur… Pourquoi ne me l’avait-il pas dit ?? Pourquoi attendre de me perdre… J’avais envie de le gifler et de l’embrasser en même temps… je voulais lui dire qu’il fallait qu’il se batte pour moi… Que rien n’était joué, qu’il ne fallait pas laisser tomber… Mais quelque chose m’en empêchait, je ne voulais pas rendre les choses plus compliquées… Ce fût l’un des moments les plus durs de ma vie… Devoir lui annoncer que c’était trop tard pour envisager un « nous » alors que j’étais convaincu du contraire…
« Maintenant… C’est trop tard… »
En disant ces mots, je ne pus empêcher mes larmes de couler… Mon cœur était en miette… Il me prit dans ses bras pour me réconforter…
« Ne t’inquiète pas ma chérie… Je te comprends… Mais s’il te plaît ne pleure pas, je ne peux supporter de te voir si triste… Surtout si c’est de ma faute… »

Il effaça mes larmes de ses doigts si fins… Il me releva la tête pour me demander de lui faire un sourire… Il avait le regard si doux… Je pouvais voir l’amour et la tristesse dans son regard… Je voulais tellement soulager ses maux… Son visage était si proche du mien que je pouvais sentir son souffle… Les centimètres qui séparaient ses lèvres des miennes devinrent des millimètres… Elles se touchèrent enfin… Ce fût le baiser le plus amoureux et le plus tendre que je connus… J’aurais voulu qu’il dure toute l’éternité… Je me sentais en sécurité dans ces bras… Je donnerais tout pour revivre un moment pareil… Nos mains se joignirent aux spectacles…
« S’il te plaît, ne pars pas, ne me laisse pas…
- Tu sais bien que je ne peux pas…
- Mais pourquoi ?
- C’est comme ça, la vie en as décidé autrement…
- Mais je te veux… je veux vivre avec toi, vieillir à tes côtés…
- Ne dis pas de bêtises, tu m’oublieras vite…
- Je veux que tu sois la mère de mes enfants…
- …
- Viens t’installer avec moi…
- Pardon ??!!
- Je t’accompagne chez toi, tu récupères tes affaires et tu viens t’installer avec moi…
- … »

J’étais choquée par la proposition qu’il venait de me faire… Cette idée me plaisait beaucoup mais on savait pertinemment tous les deux que ce n’était pas possible… Pourtant il me suppliait presque, il insistait vraiment…
Je m’assis face à lui, à califourchon sur ses genoux… Je mis mes deux mains sur son visage, l’approchant du mien…
« C’est fini maintenant… »

Je l’embrassai tendrement… Je sentis ses mains remonter sur ma taille et me caresser lentement… Mes mains descendaient dans son cou… Je caressai doucement son torse… C’était bien la première fois que nos caresses se voulaient si tendres… Il m’embrassa doucement dans le cou… Le plaisir qu’il me procurait était si intense que je me mettais à onduler du bassin… Par ce mouvement je me frottai doucement à son membre… Je le sentais grossir petit à petit… Il déboutonna la chemise qu’il m’avait prêtée… Ses mains caressaient doucement mes seins… Il titillait mes tétons… Ses doigts jouaient avec eux… Je mouillais de nouveau… Tant de douceur et autant de plaisir que lorsque nous faisions l’amour sauvagement…Je passais mes mains sous son tee-shirt… Je lui retirai pour pouvoir mieux explorer toutes les parcelles de ce beaux corps… Ses caresses me procuraient de plus en plus de plaisir… Il se mit alors à me lécher les tétons ce qui eut pour effet immédiat de m’arracher un petit cri… Nos respirations se faisaient de plus en plus bruyantes… Je continuais à me frotter à lui en ondulant du bassin… Je sentais son membre si dur que j’imaginais qu’il devait se sentir à l’étroit dans son caleçon… Je rejetais ma tête en arrière pour mieux apprécier les caresses qu’il me prodiguait… Il m’agrippa les fesses fermement et se leva… Il me portait littéralement… Je me sentais légère comme une plume… Mes jambes enroulées autour de sa taille, nous nous embrassions là, au milieu du salon… Il se dirigea vers sa chambre où il m’allongea tendrement sur le lit… Il vint se loger entre mes jambes et continua ses caresses de plus belles… Sa tendresse m’époustouflait…. Lui qui d’habitude était si bestial, se révélait être si doux… Cet aspect là de sa personnalité me plaisait beaucoup… Il me déshabilla tendrement et je fis de même pour lui... Nous étions nus… Plus rien n’avait d’importance… A la place des mots crus auxquels j’avais droit d’habitude, j’avais les mots les plus tendres qui existaient en ce monde… Il n’arrêtait pas de me murmurer, de me susurrer qu’il m’aimait, que j’étais la femme de sa vie, que je le rendais heureux, qu’il voulait des enfants de moi… Je ne répondais rien… Je ne voulais pas répondre… Je me contentais d’écouter…

Et alors que le plaisir était à son comble, il me pénétra avec vigueur mais si tendrement… Il entrait et sortait de mon intimité en prenant son temps… Il m’arrachait quelques gémissements à chaque passage…Cela dura un long moment… Mais enfin la jouissance s’empara de nos deux corps en même temps… Nous étions complètement connectés… Nous nous écroulâmes tous les deux sur le lit… Il m’entoura de ses bras si protecteurs et nous nous endormîmes ainsi… Je me réveillai avant lui, repensant à cette journée folle que j’avais passée... Je le regardai dormir paisiblement… Il avait vraiment l’air angélique… Je n’osai pas le réveiller… Je n’avais pas le cœur à lui faire mes adieux… Je me libérai de ses bras sans le réveiller… Je me rhabillais doucement, récupéra du papier et un stylo dans le salon où je griffonnais un petit mot…
« A moi aussi tu vas me manquer, mais il est vraiment temps que nos chemins se séparent… Je t’aime… Prends soin de toi… Merci pour tout, je ne t’oublierais jamais… »

Je déposai le mot sur le lit, je l’embrassai sur les lèvres une dernière fois… Je partis sans me retourner de peur de ne pas avoir assez de cran pour partir… Je jetai un dernier coup d’œil pour vérifier que je n’avais rien oublié… Tout était fini… C’était dur mais il fallait l’admettre… Il ne pleuvait plus dehors… Sur le chemin du retour je n’arrêtais pas de me demander si j’avais fait le bon choix… D’ailleurs je me le demande encore aujourd’hui… Je ne revis jamais Jérôme, mais il ne se passe pas une seule journée sans que je ne pense à lui…

FIN
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Commentaires du récit : Adieux mouvementés

Le 19/09/2009 - 16:28 par Pierre le Grand
Chére Baby. Erotique à l'extrême ton récit est très émouvant. On te découvre partagée entre la raison et ta sexualité démesurée. Tu as bien su décrire cette séparation comme une sorte d'arrachement contre ta nature. Et nous, tes lecteurs fidèles, une fois encore, nous, avons joui, nous prenant pour Jérôme. Continue de te confier à nous, nous t'aimons toi et res dessous affriolants.

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