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Les toiles de Véronique

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Lue : 9701 fois - Commentaire(s) : 2 - Histoire postée le 13/06/2009

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Dans la douceur de l’art, Véronique s’épanouissait à travers ses peintures. Des toiles plutôt abstraites, aux couleurs chaudes, à travers lesquelles elle exprimait sa passion de la vie, ses sentiments et sa vision des choses. A 34 ans, elle exploite son art depuis quelques années maintenant, alors que son mari, Denis, est musicien et s’absente de temps en temps pour faire des tournées à travers la France.

Le couple est solide et uni, Véronique étant d’ordinaire pudique et fidèle. Elle a un physique agréable (1m63 58kgs environ, 90C) et certains la font ressembler à Ségolène Royale de visage. Denis est plus grand (1m86… et c’est ce qui a attiré Véro) mais pour tout dire, son instrument de musique, la flûte, était bien plus grande que son appareil à plaisir… mais ceci n’avait pas d’importance aux yeux de Véronique, disait-elle à Denis, qui souhaitait être rassuré.
Bref, un couple sans histoire, qui vivait sa passion entre art et amour, entre complicité et tendresse. Une histoire sans faille mais même les édifices les plus solides connaissent des fissures. Sans qu’on s’y attende, les murs peuvent se lézarder insidieusement par la chaleur, le froid et sans qu’ils s’y attendent, leur histoire va connaître un bouleversement.

Denis est parti ce matin en tournée pour une série de concert à travers la France. Véronique se prélasse tranquillement dans son atelier sur cette toile pour laquelle elle médite et travaille depuis deux semaines. Une toile à dominante rouge sur le thème de l’amour et de la force des sentiments. Elle doit se rendre dans l’après-midi voir l’exposition d’une amie Place des Vosges, dans une galerie qu’elle ne connaît pas.
Après une toilette soignée, elle enfile sa lingerie et orne son corps d’une robe bordeaux à fleurs blanches. La voilà engouffrée dans le RER qui l’amènera de son Essonne à la capitale.

Arrivée dans cette galerie, elle contemple les œuvres de son amie et reste en admiration devant une toile plutôt sombre intitulée « Bestialité ». Une œuvre abstraite ou une femme se retrouve possédée par une forme imposante d’où se dégage une puissance incroyable. Les couleurs vives laissent transparaître une bouche féminine ouverte avec des yeux perdus entre plaisir et douleur. Le reste du corps est arc-bouté et l’on peut distinguer le membre puissant et dressé de la forme masculine empaler le sexe de cette femme.

C’est avec des yeux rêveurs que Véronique observe la maîtrise et le talent de son amie tout en se laissant porter par le sens profond de cette œuvre. Un trouble lui parcourt l’échine lorsqu’elle se transpose à la place de l’inconnue de cette toile. Elle se met alors à penser ce que pourraient être les sensations ressenties à l’introduction d’un tel engin. Elle qui ne connaît que le membre de son mari (qui lui donne satisfaction) se met à songer, au détriment de sa pudeur et de sa fidélité, à des idées salaces et impudiques. Sa timidité apparente disparaît au fur et à mesure que son esprit se laisse porter par cette toile. Inconsciemment, ses seins lourds et bien dessinés durcissent et ses mamelons pointent discrètement sous le tissu de sa robe fleurie.

La chaleur l’envahit peu à peu et elle se dit qu’elle devrait revenir à la raison en repensant à son mari Denis parcourant la France avec sa flûte. Elle demande à l’hôtesse d’accueil ou se trouve les toilettes en prétextant une envie urgente. La demoiselle lui rétorqua de ne pas être longue car les toilettes sont réservées au personnel. Déambulant dans un couloir obscur et mal éclairé, elle entend de l’eau s’écouler sans vraiment savoir d’où le bruit provient.

En ouvrant une porte qu’elle pensait être celle des toilettes, elle reste tétanisée de honte. Elle voit un homme de profil, d’au moins 1m90, imposant, entrain d’uriner. L’homme tient dans sa main une queue énorme et épaisse. Tout en regardant Véronique, il arrose d’un jet dru le fond des wc et finit par secouer ce serpentin pour en extraire les dernières gouttes.

Véronique agrippe la poignée à s’en laisser des traces, bouche bée, perdue entre honte et confusion, incapable de sortir un son de sa bouche. Elle regarde tantôt les yeux de cet inconnu, tantôt cet engin impressionnant, d’une dimension jusqu’alors inconnu. Elle recule, les jambes tremblantes, dans une gêne inédite. Le fard de ses joues trahit l’émotion qui lui noue la gorge. L’homme sort des toilettes en rangeant son nœud veiné et remonte sa braguette tout en affichant un large sourire.
- Excuse moi Madame. Je ne voulais pas vous effrayer ni même vous mettre mal à l’aise mais avouez que c’est vous qui êtes venus me chercher.
- Je suis désolé Monsieur, dit elle en avalant sa salive face à l’imposante stature.

Le dos contre le mur, les mains plaquées à la paroi, elle laisse passer l’homme qui lui dit qu’elle peut à présent utiliser les toilettes.
Un sentiment étrange la tourmentait. Le calme apparent de cet homme et son assurance affiché d’un sourire la troublait et la désorientait complètement. Et cette bite, pensait elle… Rien de comparable avec ce qu’elle avait à la maison ou ce qu’elle avait connu jusqu’alors.

Tentant d’oublier cet interlude, elle regagnait l’expo ou elle demanda à l’hôtesse si son amie peintre était arrivée. Elle l’orienta vers un autre couloir où elle aperçut son amie de moitié cachée par un mur. Elle l’appela et Christine lui dit d’approcher en lui faisant un signe de la main.
L’angle du mur qui la cachait révéla une présence masculine.
- Salut Véro, laisse moi te présenter Hugo.
- En… enchantée… Hugo.

Il s’agissait de l’inconnu qui a perverti ses idées et avait secoué sa queue sous les yeux de la pauvre Véro. Il lui serra la main assez virilement, dégageant un sentiment de force et confortant l’assurance qui émanait déjà à profusion de sa personne. Poussant le vice jusqu’au bout, il demanda à Véronique.
- On s’est déjà vu quelque part, non ? Il me semble vous connaître. Votre visage ou plus particulièrement votre regard me semble familier.
- Non… enfin, je ne crois pas…
Christine a été appelé par un acheteur qui voulait rencontrer l’artiste et s’excusa le temps d’aller renseigner la personne.
- Je suis Hugo, le directeur de cette galerie. Désolé pour la rencontre un peu abrupte de tout à l’heure. J’expose d’ailleurs moi-même.
- Ah… très bien. Et où sont vos œuvres ?
- Dans l’autre salle. Elles sont destinées à un public plutôt averti. Je vous y emmène ?
- Ma foi… pourquoi pas.
- Voilà mes œuvres. Le message est la force, la soumission, la dépendance et la faiblesse des hommes.

Le ton est plus noir et grisé. Les œuvres mettent en action des hommes soumis à d’autres hommes, des scènes plus ou moins osées, et partout cette idée de puissance et de domination.
La discussion s’installait et du bas de ses 1m63, le sommet de son interlocuteur lui paraissait bien haut. Il s’avère que ce Hugo lui avoua que ce qu’il aimait dans la vie était ce pouvoir de soumission et qu’il avait tout un harem de jeunes hommes dans le Marais voisin qui se soumettait à sa puissance. Il lui dit également qu’il avait pu l’observer tout à l’heure fixer l’œuvre de son amie Christine « Bestialité » et que son amie avait dessiné et peint ce tableau en prenant Hugo comme modèle et une jeune femme, tout juste mariée, qui s’était adonnée à la luxure le jour d’après son mariage. Le regard et le discours d’Hugo emprisonnait lentement Véro en lui ôtant lentement toutes les barrières protectrices qu’elle avait érigée au cours de ces dernières années de vie commune avec Denis. Elle se sentait attiré par ce personnage, observait cette barbe en se disant qu’elle lui conférait un attribut de puissance et de masculinité supplémentaire. Sa tête arrivait aux pectoraux de son interlocuteur et elle regardait discrètement la corpulence de cet homme. C’est toujours la tête levée qu’elle s’adressait à lui, se sentant déjà physiquement en infériorité. Le ton grave de sa voix libérait une sorte d’impunité à ses propos. Elle n’oserait pas le contredire.

La douce pensée de son Denis lui redonnait un peu plus de conviction et de résistance dans ses propos. Elle tentait par tous les moyens de regagner sa confiance et de surmonter son trouble. Elle apercevait dans un coin de la salle un jeune homme qui les regardait depuis quelques temps et elle demandait alors à Hugo s’il connaissait ce jeune homme puisqu’il n’était plus que trois désormais dans cette pièce d’une trentaine de m².
- Ah… excusez moi Véronique. Une petite affaire à régler.

Le regard triste du jeune homme fluet inquiétait quelque peu Véronique. Hugo alla à sa rencontre et échangea quelques paroles avec le jeune inconnu. Il tombait subitement à genoux devant Hugo et s’accrochait à sa jambe en plaquant et en frottant sa joue contre la braguette d’Hugo. Interloquée et légèrement inquiète, elle se demandait quelle pouvait être l’histoire de ce jeune homme. Elle vit alors Hugo empoigner la chevelure du jeune homme et le relever en lui ordonnant d’aller l’attendre dans un lieu qu’elle ne saisit pas. Le jeune homme s’éclipsa, la tête basse en envoyant un regard furtif à Véronique.
- Qu’est qui se passe ? demanda-t-elle.
- Lui. Ce n’est rien. Quand la faiblesse des uns est exploitée par la force des autres, on obtient ce genre d’individus. J’ai peint ce sujet sur cette toile que vous voyez ici.

On y reconnaissait effectivement dans les grands traits le jeune homme qui venait de partir, à genoux, posant ses mains sur les cuisses d’un individu robuste. Hugo observait la réaction de Véro qui commençait à comprendre que toutes ces toiles n’étaient pas de l’imagination mais bien des esquisses issues de la réalité.
Alors qu’Hugo était retenu au téléphone, Christine revint trouver son amie.
- Ca y est, la vente a été réalisée. Alors comment trouves-tu Hugo ?
La réponse ne fut pas immédiate et Christine se douta que cette discussion trop longue avait dérapé. Elle connaissait Hugo.
- Il m’a parlé de ton tableau… celui avec la jeune mariée. J’ai comme une impression de vivre une relation déroutante avec cet homme.
- Méfie toi de lui Véro. Je l’ai vu soumettre des hommes à sa volonté, j’ai vu des femmes conquises et esclaves de sa volonté, j’ai vu des gens pleurer et d’autres totalement comblés. Il a un charisme fou, aussi fou que peut l’être sa férocité, et il a… enfin, tu sais, un membre démesuré.
- Tu sembles bien le connaître…
- Sur le tableau là-bas, c’est moi qui suis avec lui.
Le tableau qu’elle montra à Véro représentait une silhouette féminine, une bouche déformée par l’intromission d’une verge.
- Crois moi Véro, fuis le et ne t’aventure jamais sur le terrain de la sexualité avec lui. Il te posséderas et t’humilieras. Il te souillera sans que tu ne puisses faire marche arrière.

La discussion fut close. Véronique s’en retournait chez elle. Sur le chemin du retour, les songes l’envahissaient de nouveau. Impossible d’arrêter de penser à cet Hugo. Loin d’avoir apaiser ses craintes, les propos de Brigitte avaient au contraire éveiller la curiosité de Véro. La nuit ne fut pas plus calme. En l’absence de Denis, elle tournait et se retournait dans son lit et quand enfin elle trouvait le sommeil, Hugo errait dans ses rêves mais cette fois-ci, elle ne résistait pas aussi bien que dans la réalité. C’est goulûment qu’elle suçait la bite d’Hugo, et c’est sans aucune retenue qu’elle se livrait sans concessions à cet inconnu corps et âme. C’est en pleurs qu’elle se réveillait, atteinte d’un orgasme foudroyant… L’espace laissé libre par Denis a servi de psychodrame. Pour la première fois, elle venait de céder involontairement et contre son gré au pêcher et à la tentation. Elle, si fidèle et si pudique, si douce et avide de tendresse, se voyait possédée par rustre qui ne connaissait que la force et la brutalité. Son univers s’effondrait. En touchant sa chatte encore trempée, le doute se transformait en danger. Hugo l’avait impressionné dans la réalité, voilà qu’il hantait ses rêves.

Les questions la tourmentaient, le doute l’habitait, elle arrivait à un carrefour. Devait-elle résister à cette pulsion peut-être passagère ou céder à l’ogre qui tenaillait son esprit et son bas ventre ? La question ne se posait plus quand, dérouté par le géant récemment rencontré, elle se caressa en plein milieu de la nuit, pour atteindre une jouissance libératrice. Ce fût la goutte qui faisait déborder le vase. Demain, elle irait mettre les choses sur la table en allant rencontrer Hugo.

Le lendemain, après une toilette rafraîchissante, elle se rend dans la galerie… ou dans l’antre d’Hugo pensait elle. Décidée à défendre l’amour qu’elle avait pour Denis et à dénoncer l’attitude provocatrice d’Hugo, elle entra dans les lieux encore déserts à l’heure de l’ouverture. Hugo se présenta à elle en la saluant. Il referma à clé derrière elle. Interloquée, elle demanda pourquoi il refermait la porte…
- Chuuutt, répondit il, serein et déterminé.
- Hugo, je… je voulais vous faire part d’une chose qui m’a un peu mise mal à l’aise…

En guise de réponse, Hugo en se retournant avait libéré sa queue. Encore au repos, elle pendait sur environ 15 ou 16 cm. D’un diamètre impressionnant, elle laissa Véronique sans voix et sans aucune répartie. Elle pensait dans son fort intérieur qu’elle ressemblait au pénis de Denis en érection.
- Je sais ce que tu veux. Approche et mets toi à genoux.
C’est complètement désarmée et comme hypnotisée qu’elle obéit. Il l’avait entraîné dans la pièce où trônaient ses œuvres. La voilà à genoux, complètement dénudée, gardant seulement ses dim up noirs, son string et son soutien-gorge.
- Allez… suce ma queue comme une bonne petite salope.

Le ton insultant n’était pas dans ses habitudes mais elle s’en accommodait bien pour l’occasion. Elle aimait qu’il la traite ainsi, curieusement. Ce qu’elle ne supporterait pas de Denis, elle était entrain de l’accorder à Hugo. Elle se saisit de la queue du géant qui la regardait du haut de ses 2m avec un léger rictus. Elle caressa cette queue énorme avec sa joue et ses lèvres. Elle était douce.
Hugo se saisit de son terrible engin et gifla tendrement sa victime avec, en tenant de l’autre main la chevelure noire de véronique.
- Suce ma salope.

Elle engloutit alors la lance qui ne cessait de grossir. Elle devenait énorme. Elle gagnait en longueur et en grosseur. Elle comprenait mieux le tableau à sa droite, dédié à son amie Christine, la bouche déformée par ce cylindre dévastateur. Elle suçait du mieux qu’elle pouvait ce pieu pour satisfaire cet homme sans principes ni tabous.
- Elle est bonne, hein… T’en as jamais sucé de si grosse. Dis moi la vérité ma salope. C’est pas ton mari qui te donne à bouffer comme ça. Pendant qu’il va jouer de la flûte en Province, toi tu joues du trombone à Paris.
Elle suçait furieusement sous les insultes cet instrument de plaisir quand les ordres tombèrent.
- Arrête toi de sucer. Debout et dos contre le mur.

Il s’approcha d’elle, le mât en érection sur au moins 25 cm, vaillant et terrifiant. Elle était trempée, elle aurait pu essorer sa culotte, et même son entrecuisse donnait des signes d’humidité.
- Enlève ta culotte et ton soutif. Et déshabille moi par la même occasion.

Les voilà nus tous les deux. Elle avait juste gardé ses dim up. Elle déboutonne gracieusement la chemise d’Hugo, laissant apparaître un large et ferme poitrail, puis défait la ceinture et laisse tomber le pantalon pour libérer le monstre qui se dresse à sa vue.
- T’en a jamais vu de si grosse, hein ? Vas y, prend mon manche en main et amuse toi avec… (elle s’exécute avec ses deux mains). Tu vois la différence avec le vermicelle de ton mari, hein ? Attend, après l’avoir vu, tu vas la sentir… Tu reviendras me supplier et tu en redemanderas encore une fois que je t’aurai possédé. Tu deviendras l’esclave de ma bite, comme l’autre petite fiente que tu as vu hier. Assez joué maintenant, je vais t’enfiler…

Véronique était dans un état second. Il souleva la conquise pour l’empaler sur son albarde. Une fois à l’entrée de la grotte, il laissa lentement glisser la chatte de cette femelle sur son attribut mâle. L’antre déjà trempé n’attendait plus que cette pénétration. Le réceptacle bouillant était complètement rempli, voire distendu. Le cri que Véro poussa à ce moment fut un cri que Denis n’avait jamais entendu. L’orgasme qui le suivit fût également un sentiment jusqu’alors inconnu. Les deux mains d’Hugo agrippaient les fesses charnues de Véronique et faisaient coulisser le corps entier sur le pilier de chair, alors que les seins lourds et ballottants étaient la proie de la bouche et de la barbe d’Hugo. Empalée sur cette queue, Véronique défaillait, les cris se succédant sous les insultes barbares de son bourreau. Elle coulissait sur la queue rigide de son assaillant.
- Tu me sens bien la, hein ma salope… Je m’approprie ton corps et ta vertu. Regarde moi dans les yeux pendant que je te bourre… voilà…c’est bien. Tu sens bien ma grosse bite ! TU ES A MOI ! A MOI ! Vas-y, gueule le ! Déchaine toi sur ma bite !
- OUIIIII… Ouuiiiiiiiiii…. JE SUIS A VOUS ! JE SUIS A VOUS !!!!!!!!!!!!

Entre râle et cris, Véro se transforme en femelle en rut, en animal retrouvant ses instincts les plus primitifs. Les coups de boutoir s’enchaînent et déclenchent des ondes de plaisir qui font trembler son corps entier. Elle découvre la quintessence du plaisir alors qu’Hugo est toujours entrain d’agripper les fesses de sa victime.
Dans un effort ultime, Hugo posséda violemment la poupée qui s’agrippait à ses bras puissants et inonda son vagin de sa liqueur abondante. Une fois redescendue, l’impudique nettoyait sa queue sous les dernières insultes et allait se nettoyer dans une salle d’eau à proximité. Elle revint par la suite dans la galerie, Hugo l’attendait en fumant une cigarette.

Un peu honteuse mais tellement rassasiée, elle se présenta à Hugo sans savoir quel discours tenir.
- Tu voulais me dire quelque chose avant que je m’accapare ton corps, non ?
- Je… Je… comment dire…

Perdu dans ses pensées, partagée entre l’ivresse de la jouissance et la fine fierté retrouvée, elle dit juste qu’elle préférait s’en aller. En quittant la galerie, Hugo l’interpella :
- Au fait, si jamais tu ne devais plus revenir… ce dont je doute, sache qu’à l’endroit où je t’ai possédé, j’accrocherai une toile sexy dépeignant tes exploits. Une sorte d’ode en ton honneur et en celui de ton mari. Passe à la galerie avec lui, je serai honoré de le rencontrer.

Elle claqua la porte et s’en retourna dans son Essonne.
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Histoire de Philosophie

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Commentaires du récit : Les toiles de Véronique

Le 15/06/2009 - 11:01 par pirateneuilly
j'adore cette histoire, non seulement parce qu'elle est bien racontée, mais aussi parce que je me retrouve dans l'héroïne qui passe d'épouse modèle à une salope jouissante. C'est difficile à vivre au quotidien mais tellement bon!

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