Adorable vengeance, suite et fin.

L'instant était merveilleux, je ne savais pas encore si il serait un bon amant mais ses doigts me comblaient de plaisirs. Honnêtement, beaucoup d'hommes s'imaginent nous faire jouir manuellement, mais ce n'est pas toujours le cas. Lui, IL SAVAIT !
Tandis qu'il me masturbait il me suçait la langue, ce gars avait une belle expérience avec les femmes.
Je me laissais faire, mais n'en oubliais pas d'être une partenaire bien gourmande et lui ai déboutonné son pantalon pour pouvoir m'emparer de sa queue.
WAOU ! Je ne m'attendais pas à un tel objet ! Excuse-moi chéri mais il te dépasse d'au moins 3 cm et sa grosseur... énormeeee !
Avait-il pris une petite pilule bleue ??
Cela dura quelques instants puis il se dégagea, se releva et se déshabilla.
Enfin, j'allais me faire baiser. Du moins je l'ai cru car il prit sa coupe de champagne et y trempa son sexe qu'il me donna ensuite à sucer. Régulièrement il le sortait de ma bouche pour le tremper à nouveau, c'était bon et marrant.
Je m'appliquais sensuellement quand il me dit:
- Vu qu'on ne se connait pas vraiment et que je veux que toi et moi prenions du plaisir, je vais te poser quelques questions.
Moi, étonnée et ne sachant à quoi m'attendre:
- Si vous voulez.
Lui:
- Me permettras-tu de te sodomiser ? De te fesser ?
Moi:
- Je prends du plaisir avec tout, mais si vous avez eu des rapports sexuels ces derniers temps il y a des préservatifs dans mon sac.
Il me jura n'avoir rencontré personne et ne plus faire l'amour avec sa femme depuis presque 1 an.
Moi:
- J'ai également du lubrifiant dans mon sac, merci de l'utiliser pour la sodo.
Il s'empara du lubrifiant et le déposa sur le lit.
- Pour plus tard, dit-il.

Il s'allongea à côté de moi et m'embrassa à nouveau tout en me titillant le clito, du bout des doigts il me le caressait, de temps en temps l'étirait, c'était plus qu'agréable. Moi je le branlais, surtout son gland qui mouillait.

- Tu trompes souvent ton mari ?
- Oui et non, je dois t'avouer qu'il sait que je suis ici avec toi. Je le lui dis toujours et parfois il est présent.
- Hein ! Il est d'accord que tu t'envoies en l'air avec d'autres hommes ?
- Oui, avec des filles aussi, mais ne parlons pas de ça maintenant et baise-moi.

Ce n'est pas trop dans mon habitude d'être vulgaire, mais cette fois-là j'en avais envie !

Moi:
- Je veux que vous me baisiez et m'enculiez, mais je veux aussi avaler votre sperme alors essayez de ne pas éjaculez en moi. Faites-moi jouir et, comme moi, pensez à votre salope de femme.
Il est resté interloqué, se et me demandant pourquoi il devait penser à sa femme.
- Je vous le dirai après, maintenant amusez-vous au maximum avec moi.

Je me suis assise sur lui et ai avalé sa queue entre mes jambes. C'est moi qui ai donné le tempo, lentement car je ne voulais pas que notre "histoire" soit trop brève.
Il ahanait bruyamment et ça avait le don de m'exciter encore plus !
Moi:
- Alors gros cochon, votre femme ne baise plus avec vous ? Moi je vais être la salope qui va faire que vous n'aurez plus jamais envie d'elle, je parie que votre putain se gode seule en votre absence. Si ça tombe elle a des amants, je la vois bien se faire sauter dans sa voiture.
L'effet fut sidérant, il se mit à parler de sa femme de cette façon:
Lui:
- Oui, je suis sûr qu'elle a des amants, et des jeunes car elle me traite toujours de vieux débris ventripotent. D'ailleurs, déjà il y a quelques années elle est rentrée chez nous avec des taches sur sa jupe et j'étais certain que c'était du sperme, même si elle a nié.
Plus il parlait et plus je sentais qu'il s'excitait, ne voulant pas prendre de risque je me suis libérée de lui et allongée à son côté en le priant de me fesser.
Moi:
- N'ayez pas peur d'y aller fort, imaginez que c'est elle et que vous la punissez de vous tromper. Et prenez le lubrifiant près de vous.

Il glissa ses jambes sous les miennes, ma chatte écrasait son membre. Puis il commença à me fesser, sans même prendre le temps d'habituer mes fesses à la douleur il y alla de bon coeur, de très bon coeur (j'en ai gardé les marques plusieurs jours).
Ses coups me faisaient jouir, je mouillais terriblement. Mais mon excitation en voulait plus et j'ai replié mes jambes en lui disant de se servir du lubrifiant.
Il a compris ce que j'attendais et en a versé quelques gouttes entre mes fesses.
Moi:
- Mettez-moi un doigt dans le cul tout de suite !
Ce fut un, puis deux doigts qui allaient et venaient en moi pendant que je me caressais.
Lui:
- Jamais une femme ne m'a demandé ça, tu es vraiment une chaudasse !
Moi, après quelques minutes de doigtage anal:
- Vous voulez me prendre par devant ou me mettre votre queue dans le cul ?
Lui:
- C'est comme tu veux, mais t'enculer me ferait plaisir.
J'ai pris la position et il s'est introduit entre mes fesses.
Quels coups de reins, malgré son âge il était dans une forme physique impressionnante!

Malheureusement ce que je redoutais arriva et il éjacula là :(
Il s'est retiré et je lui ai exprimé mon regret:
Moi:
- J'aurai voulu vous sucer et récolter votre sperme en bouche, c'est dommage que vous n'ayez pu vous retenir.
Lui:
- Si on peut rester ici encore un peu de temps je te promets que je le ferai.

Effectivement, 1/2 heure plus tard, et après des caresses de ma part, sa queue fut à nouveau opérationnelle et j'eus droit à sa semence (peu, mais gouteuse).

Après, allongés côte à côte et nous caressant doucement, je lui ai expliqué pourquoi je lui avais écrit le mot.
A son air un peu déçu je lei ai également dit qu'il m'avait donné envie lorsqu'il m'avait caressé les fesses en dansant, qu'il était vraiment le type d'amant que j'aime.
Il m'a demandé à ce que je devienne sa maitresse, je lui ai expliqué que non mais qu'il devrait en avoir une, que sa femme ne se gênait sûrement pas de son côté.

Voilà, ma vengeance était exécutée et depuis j'ai toujours souri quand ELLE prend ses grands airs avec moi.

Lucrèce, la coquine de Liège.