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Adultère 2

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Lue : 22693 fois - Commentaire(s) : 2 - Histoire postée le 21/12/2009

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Pour ceux qui n’auraient pas l’envie, le temps ou le courage de lire le premier chapitre de nos aventures, je résume brièvement la situation : Je m’appelle Adrien, 29 ans, marié et père d’un petit bonhomme, informaticien-conseil sur Paris et pratiquant invétéré des forums RPG pendant mes heures de boulot. C’est sur l’un de ces sites que j’ai rencontré Justine, étudiante à Lyon, de 8 ans ma cadette, en couple avec son petit ami depuis l’âge de la majorité. Pendant près d’un an nous avons discuté et sympathisé, d’abord sur des JDR puis par msn, jusqu’à ce qu’une réelle amitié nous lie. Lors d’un voyage à Lyon, j’ai été contraint de lui demander de m’héberger. Cette première rencontre me fit l’effet d’un coup de foudre et je ne mis que quelques heures à craquer, transformant nos échanges platoniques en une relation des plus sulfureuses.

Le week-end que nous avons passé ensemble fut bref mais intense, et la séparation sur le quai de la gare fut un véritablement déchirement, pour l’un comme pour l’autre. Alors que je la serrai dans mes bras, profitant de la moindre seconde pour m’imprégner d’elle, je la sentais pleurer doucement contre mon épaule. J’allais apprendre par la suite que les larmes coulaient facilement de ses grands yeux noirs, mais sur le coup cela me fendit le cœur.

Lorsque le contrôleur de la SNCF fit résonner son célèbre sifflet, je le maudis intérieurement et déposais un rapide baisé sur le front de ma belle, pénétrant résolument dans le train en me forçant à ne pas regarder en arrière jusqu’à ce que la porte se soit refermée, sans quoi je n’aurai sans doute pas résisté à la tentation de louper mon train pour passer encore quelques heures en sa compagnie. Le chuintement feutré du verrouillage de la porte m’indiqua qu’il était trop tard, et je n’eus que quelques secondes pour l’observer à travers la vitre légèrement teintée. Elle eut un pauvre sourire qui ne dissimula pas le voile de doute dans son regard. Mon cœur se serra car je comprenais parfaitement ce qu’elle ressentait. Comment allions-nous pouvoir retourner à nos vies ordinaires, et faire comme de rien n’était auprès de nos conjoints, après la liaison passionnée que nous avions partagés ? Alors que je posai mon sac et m’asseyais à la place qui m’avait été allouée, je laissai mon esprit divaguer. Je la revoyais à genoux devant moi, me faisant découvrir avec un art consommé le plaisir de la fellation. Ses cheveux humides formaient de belles boucles brunes autours d’un visage sur lequel se lisait une véritable malice : ses yeux brillaient d’un éclat coquin, et ses lèvres luisantes serrées autours de ma queue semblaient avoir les commissures étirées en une esquisse de sourire. J’avais jouis dans sa bouche et sa gorge, lui demandant de tout avaler. Elle m’avait obéis, alors que jamais elle n’avait réussi à faire cela pour son petit ami. Pour la récompenser, je m’étais placé derrière elle et m’était occupé soigneusement des deux petits trous de son intimité, lui faisant découvrir pour la première fois les sensations de la sodomie, avant de la rejoindre sous le douche pour de nouveaux ébats. Jamais je n’aurai imaginé que mon corps disposait de telles ressources d’énergies : à chaque fois, je me donnais à fond pour elle, ne jouissant qu’à l’ultime seconde pour m’effondrer ensuite, vaincu par l’épuisement. Mais alors que je pensai être allé au bout de mes capacités, un geste de Justine, une posture, un regard, ou même la simple vision de ses seins magnifiques et de son petit cul ferme et rebondi suffisait à me redonner de la vigueur et l’envie d’elle. Je crois qu’elle ressentait la même chose : souvent épuisée et pourtant insatiable du plaisir que je savais faire naître dans la moindre cellule de son organisme. Nous avions à nouveau fini la nuit serrés dans les bras l’un de l’autre sur ce petit lit une place qui m’avait été alloué, totalement nus pour savourer encore le contact de la peau de l’autre, comme une réminiscence de nos ébats sexuels.

A présent j’étais seul, assis au fond du train, et pourtant j’avais encore l’impression de sentir son odeur autours de moi, et la douceur de sa peau pâle sous mes doigts. Les yeux fermés je revoyais ses seins tressauter à chacun de mes coups de reins, et cela suffit à faire naître un début d’érection dans mon jean déjà malmené pendant le week-end. J’ouvris les yeux, gêné, pour tomber nez à nez avec ma femme.

J’eus un sursaut involontaire et un mouvement de recul, complètement paniqué, jusqu’à ce que je réalise qu’il ne s’agissait pas de mon épouse, mais d’une femme d’une quarantaine d’année qui lui ressemblait sur beaucoup de points malgré la différence d’âge. Elle avait la même silhouette en forme de poire : des seins respectables mais qu’elle ne prenait pas soin de mettre en valeur, une taille relativement fine s’évasant au niveau des hanches sur des fesses flasques et des cuisses granulées de cellulite. Le regard vicieux de cette femme était braqué avec désapprobation sur mon entrejambe, dont le trouble était plutôt visible. Je vrillai mes yeux dans les siens, une lueur de défi dans le regard. Elle parut un instant surprise, comme si elle s’était attendu à ce que je marmonne une quelconque excuse, rougisse ou bien tente de dissimuler mon état. Mais je n’en avais nullement l’intention, l’instinct animal qui m’avait habité tout le week-end coulant encore à flot dans mes veines. Une seconde passa, puis une deuxième. Je la sentis hésiter, puis faiblir, se détournant finalement avec un mouvement de dépit pour aller s’asseoir à côté d’un adolescent au regard vide, qu’elle ne tarda pas à ennuyer sur sa musique trop forte. Je ne pus retenir un sourire satisfait, ravi de cette insignifiante victoire. Il me fallut peu de temps pour m’endormir, épuisé par ce week-end intense et pourtant bien trop court.

Le reste du voyage aurait pu être une métaphore du mois qui suivit notre rencontre : je le passai à rêver de Justine, des images d’elle nue et/ou dans des positions extrêmement excitantes s’intercalant avec des scènes d’une banalité affligeante, des reproches de ma femme ou des regards surpris de mon entourage. Il est vrai que j’avais indubitablement changé… Moi qui avait toujours été d’un naturel effacé et conciliant, je m’affirmai beaucoup plus et ne courbait plus l’échine. Cela se ressentait énormément dans mon rapport aux autres, notamment avec mes collègues féminins : j’avais déjà eut le droit à quelques regards appuyés ou à des paupières papillonnantes mais à présent, plus aucune d’entre elle ne cherchait à dissimuler son attirance à mon égard. Elles me tournaient autours comme une nuée de papillons de nuit fascinés par la lumière de la confiance que j’irradiais. Cela m’amusait beaucoup mais était également source de conflit avec ma femme. Nos disputes n’en étaient certes pas plus nombreuses, mais leur durée s’était considérablement allongée du fait que je refusais à présent de céder le moindre pouce de terrain si j’estimai être dans mes droits. Et cela l’énervait au plus haut point : il faut avouer que je l’avais habituée à plus de flexibilité de caractère…

Même physiquement j’avais changé : je me tenais plus droit, avait opté pour une coiffure plus soignée et plus affirmée, et surtout, ma fréquentation du club de gym de l’entreprise s’étaient subitement accrue. J’avais toujours apprécié le sport, particulièrement le football et le tennis que je pratiquais chaque semaine, mais je découvrais maintenant les joies de la musculation, prenant plaisir à sculpter mon corps en imaginant les réactions de Justine lorsqu’elle constaterait le changement.

Et pourtant, l’éventualité d’une autre week-end comme celui que nous avions partagé semblait de plus en plus improbable… Nous ne voulions pas que nos conjoints respectifs aient le moindre doute, et cela limitait pas mal nos options. Le copain de Justine rentrait plus rarement qu’elle dans sa famille, et ma femme n’était pas du genre à tolérer stoïquement un week-end de solitude pendant que je partirai à l’aventure à Lyon. La seule fois où Justine était sensée se retrouver seule et où j’émis l’idée de redescendre voir Charles (l’ami qui me servait de prétexte pour mes escapades amoureuses) sur Lyon, ma femme refusa d’abord catégoriquement avant d’accepter, mais à la condition qu’elle et notre fils se joignent à l’exploration de cette ville magnifique. Comme le tourisme et les activités familiales n’étaient pas vraiment ce que j’avais en tête, je dû renoncer. Les semaines puis les mois s’écoulèrent ainsi. J’avais de plus en plus de mal à me contenter de nos conversations prosaïques sur le net pendant les rares heures où les cours de Justine coïncidaient avec mes temps libres au travail. Parfois, si le bureau avait été déserté par mes collègues et qu’elle se connectait pendant ses heures libres, je pouvais évoquer avec elle mes fantasmes et idées concernant notre prochains rencontre mais ces intermèdes trop rares me frustraient plus qu’ils ne m’aident à patienter. Alors que le souvenir de nos derniers ébats devenait de plus en plus flou dans mon esprit, je sentais l’ancien Adrien (le timide, l’hésitant) reprendre le pas sur celui qui était né à Lyon dans les bras de ma belle étudiante. Cela m’agaçait et me rendait irritable avec mon entourage, qui ne se gênait plus pour me reprocher d’avoir changé. Pour couronner le tout, j’avais l’impression que Justine s’éloignait de moi : omnibulée par une importante recherche de stage et beaucoup de travail personnel, elle avait peu de temps à me consacrer et nos conversations abordaient de moins en moins facilement des sujets importants et intimes. Elle n’avait même plus autant de temps à consacrer aux RP (jeux de rôles) entre nos personnages, qui s’étaient du coup considérablement assagis. Je la sentais en retrait, comme si elle se sentait coupable de ce qui s’était passé, et cela ne ma plaisait pas du tout…

C’est dans cette atmosphère qu’une ouverture apparut enfin. Alors que je n’y croyais plus, elle finit par m’annoncer que son petit ami rentrait pour le week-end dans l’ouest de la France, et qu’elle serait donc seule deux jours entiers. Ma femme ayant elle-même prévu de longue date une virée en Belgique avec sa sœur et notre fils, je n’hésitai pas une seconde et sautait sur l’occasion, lui annonçant moins de 5 minutes plus tard que j’avais déjà mon billet de train. Il ne manquait plus qu’un coup de fil à mon ami Charles, pour le prévenir qu’il serait encore mon alibi cette fois-ci, et tous les détails furent réglés. Les quelques jours qui me séparaient encore de mes retrouvailles avec Justine me semblèrent atrocement longs, mon excitation n’ayant d’égal que mon irritabilité. C’est pendant ce laps de temps qu’un concours fut organisé sur un forum où Justine et moi jouions régulièrement. Taquin, je fis un pari avec elle sur l’issue de cette compétition que je remportai haut la main en raison de son manque de temps. Le prix que je lui réclamai fut l’exécution obligatoire d’un de mes fantasmes pendant le week-end à venir : je ne lui précisai pas lequel parmi ceux qu’elle me connaissait, afin qu’il reste un peu de suspens.

Enfin, le jour J arriva. Ayant réussi à obtenir mon après-midi pour pouvoir partir plus tôt, j’étais hors de mon bureau à l’instant même où la trotteuse s’arrêtait sur le 12 fatidique. Le trajet en métro, puis les 2 heures de train me parurent d’une longueur insurmontable tant je rongeai mon frein. Pourtant cette seconde rencontre entre était, à bien des égards, bien plus angoissante que la précédente. La dernière fois, nous devions nous retrouver entre amis et ma seule inquiétude avait été qu’elle soit différente de la jeune femme que j’en étais venu à apprécier. Mis à part ce point de détail, je n’avais aucune raison de craindre ce qu’elle allait penser ou faire, ni d’anticiper avec inquiétude et paranoïa les milliers de scénarios possibles pour le week-end. Ce que je fis allègrement pendant la quasi-totalité du trajet, ne connaissant qu’un bref intermède au moment du coup de fil de Charles, qui exigea de rencontrer Justine s’il devait me servie d’alibi à chacun de mes voyages. Ce que j’acceptai, à la fois parce que je me sentais coupable de le mettre dans une telle situation, et également parce que cela me permettrait de passer un peu plus de temps avec mon meilleur ami. Rendez-vous fût pris pour le dimanche après midi.

Lorsqu’enfin le train arriva en gare de Lyon Part Dieu, j’étais sur le pied de guerre, scrutant intensément le quai en contrebas pour tenter de l’apercevoir. Dès l’instant où je la vis, le calme se fit en moi. J’ignore pourquoi la simple vision de son visage souriant et de ses cheveux bouclés avait un tel effet sur mon corps, mais je redevins instantanément l’Homme auquel elle était incapable de résister. En approchant d’elle, je ne pus m’empêcher de noter qu’elle portait une jupe blanche : elle savait que j’aimais énormément ses jambes et ne trouvait rien de plus sexy qu’une femme qui savait les mettre en valeur. Un large sourire se peignit sur mon visage, auquel elle fit timidement écho. Mon sac n’eut pas le temps de toucher le sol que déjà mon bras glissait dans le creux de sa taille pour l’attirer contre moi tandis que mes lèvres se posaient avec une douceur avide sur les siennes. Pendant une fraction de seconde je sentis sa gêne à la raideur de sa nuque et la froideur de son baiser, puis la magie s’opéra. A l’instant où ma deuxième main remontait jusqu’à sa nuque, ma paume effleurant sa joue et ma langue se glissant entre ses lèvres, je sentis son corps épouser parfaitement la forme du mien, et la chaleur qu’elle retenait irradier entre nous. Durant un long moment, il n’y eut plus rien d’autre au monde qu’elle, moi, et les échanges conscients et inconscients entre nos deux corps avides l’un de l’autre. J’en venais à me demander comment j’avais pu craindre qu’il en soit autrement. Déjà, je sentais ma main fourmiller de l’envie d’explorer à nouveau les courbes de sa poitrine et de ses hanches, tandis que mes lèvres aspiraient au contact plus tendre des parties secrètes de son anatomie. Si cela n’avait tenu qu’à moi, j’aurai pus la prendre là, sur ce quai sordide et sous le regard de centaines d’inconnus. Mais je savais que ce n’était pas possible alors, et bien qu’à contre coeur, je séparai finalement nos lèvres. Posant mon front contre le sien, je fixai un instant ses grands yeux noirs troublés par le désir, avant de passer mon bras autours de ses hanches pour l’entraîner avec moi vers la sortie.

Le chemin vers son appartement (situé à 10 min à pieds de la gare) fût à la fois très bref et horriblement long. Nous parlions peu, savourant la présente enivrante de l’autre à nos côtés, et excités à la perspective d’être bientôt seuls pour se retrouver enfin pleinement. La porte de l’entrée était à peine refermée que déjà je la prenais dans mes bras pour l’embrasser à nouveau, mais bien plus avidement cette fois ci. Ses lèvres avaient le même goût sucré que dans mes souvenirs, et sa langue titillait la mienne avait une habileté toujours aussi redoutable. Mes mains se posèrent un instant de part et d’autre de son visage, en un geste à la fois tendre et possessif qui nous fit frissonner tous les deux. Puis elles descendirent dénouer sa veste, qui resta dans notre sillage alors que nous nous dirigions vers son salon/chambre d’ami, le théâtre de nos premiers ébats. Je la plaquai à nouveau contre ce mur que nous avions tant malmené lors de ma précédente visite, mes doigts s’accrochant au liseré de sa jupe pour la faire remonter et dévoiler ainsi ses cuisses galbées. Cédant à mon impatience, je décidai finalement d’en ouvrir la fermeture pour la faire glisser lentement jusqu’au sol, où elle fût bientôt rejointe par son T-shirt. Au prix d’un effort de volonté surhumain, je reculai un peu, à la fois pour l’admirer en sous vêtements et pour reprendre mon souffle. Mes yeux s’agrandirent sous l’effet du spectacle qui s’offrait à eux : parfaitement mises en valeur par un ensemble de sous-vêtements rouges, les courbes de Justine étaient une invitation au voyage que je n’aurai su refuser. Elle m’attira à elle en dégrafant habilement son soutien-gorge, libérant cette jeune et ferme poitrine que j’aimais tant. Moins d’une seconde plus tard, mes lèvres se posaient sur l’un de ses tétons, l’entourant pour laisser libre court aux envies d’exploration de ma langue. Levant le regard vers son visage, je vis ses pupilles se dilater et ses lèvres s’entrouvrir sous l’effet du plaisir. Mes mains prirent possession de ses hanches et de son ventre, les caressant avidement, se glissant parfois sur sa culotte en de chastes caresses qui l’excitaient encore plus. Je m’attaquai alors à l’autre sein, le suçant et le mordillant avec plus de force tandis que son dernier vêtement rejoignait les autres sur le sol. Je sentais son souffle s’accélérer sous l’effet de mes attouchements et venir frôler involontairement mon cou et mon oreille, augmentant encore l’afflux sanguin dans mon entrejambe. Mes lèvres remontèrent le long de sa gorge offerte, suivirent la ligne de sa mâchoire, et revinrent se poser sur sa bouche qui m’accueillit presque avec gratitude. La sentir brûlante de désir, prête à tout pour que j’assouvisse ses besoins m’excitait au plus haut point. Mon membre était au bord de l’implosion et j’étais impatient que nous passions à des choses plus sérieuses.

Aussi subitement que j’avais pris possession d’elle, mes caresses cessèrent et je reculai d’un pas, le visage impassible. Justine compris le message. Ses yeux brillèrent d’une lueur malicieuse alors qu’elle s’approchait de moi, ses longs cheveux ondulant autours de son visage et sur ses épaules. Elle lova son corps contre le mien, appuyant sa poitrine contre mon torse, et se hissa sur la pointe des pieds pour venir me mordiller tendrement les lèvres. Elle fit de même dans mon cou, alors que ses mains soulevaient doucement mon T-shirt pour me le retirer. Puis sa bouche descendit de plus en plus bas, léchant, mordillant et suçant le moindre muscle de mon torse. Je sentais à son souffle saccadé et à la tension dans ses épaules que ces gestes l’excitaient autant, sinon plus, que moi et je fus heureux d’avoir passé tant de temps dans la salle de gym. Enfin, ses doigts commencèrent à s’occuper de mon entrejambe. Ils s’enroulèrent autours du bouton pour le faire sauter, s’occupant ensuite de la fermeture éclair, jusqu’à ce que mon dard soit enfin libre d’exprimer pleinement son plaisir. Il se précipita à la rencontre des lèvres de Justine, gorgé de sang et mouillant déjà un peu au bout. Avec un regard coquin elle lécha mon gland, passant la langue sur ses lèvres pour me montrer qu’elle appréciait de me voir si excité. Cette vision suffit à me rendre fou : comme la dernière fois, mes mains se placèrent de part et d’autre de son visage et mon chibre se glisse entre ses lèvres. Elle l’engloutit sans se faire prier, faisant rouler sa langue autours de lui, le lubrifiant généreusement de sa salive, et n’hésitant pas à l’enfoncer profondément dans sa gorge pour mon plus grand plaisir. Cependant, cette fois-ci je n’avais pas envie de jouir dans sa bouche. Ou du moins, pas tout de suite.

Lorsque je me sentis au bord de l’explosion, je la fis s’arrêter et me retirai lentement de ses lèvres entrouvertes et luisantes. D’un geste, je lui fis signe de se mettre à quatre pattes et de se retourner. Une pression au niveau des hanches suffit à arquer suffisamment son dos pour que sa croupe me soit totalement offerte, dévoilant les trésors nichés entre ses fesses rondes et fermes. Je pris le temps de les embrasser soigneusement alors que mes doigts s’agitaient en elle au profit d’une humidité déjà conséquence. Jamais je n’aurai cru rencontrer un jour une fille à ce point excitée par la fellation et le fait d’assouvir les moindres fantasmes d’un homme… Avec moi, elle allait être servie.

Sans la prévenir, et sans délicatesse aucune, j’enfournai brusquement mon membre dans sa petite chatte. Justine émit un gémissement de protestation qui se mua bientôt en cris de plaisir alors que mes mouvements s’intensifiaient. Fermement agrippé à ses hanches, à genoux derrière elle, je la pilonnai, incapable de retenir des soupirs de plaisir. L’entendre gémir et sentir mon ventre venir rebondir contre ses fesses contribuait à une excitation comme j’en avais rarement connue. L’une de mes mains glissa le long de sa colonne vertébrale, lui massant un instant la nuque avant de s’agripper à ses cheveux pour l’obliger à relever la tête en arrière. Son dos s’arqua au maximum, tandis qu’elle était obligée de resserrer un peu les jambes pour maintenir son équilibre. Cette fois ce fut un râle de plaisir qui s’échappa de mes lèvres tandis que mes mouvements de bassin s’accéléraient encore. Plusieurs frissons parcoururent son échine, m’annonçant qu’elle allait bientôt jouir. Mais ce n’était pas ce que je voulais, alors je me retirai soudainement d’elle, une nouvelle vague de plaisir me traversant à l’écoute de son cri indigné. Sans lâcher ses cheveux je la fis se remettre à genoux pour qu’elle se rappelle qui dirigeait ce soir. Je savais que ce mouvement allait énormément l’exciter et que sa jouissance n’en serait que plus grande.

A genoux, les jambes écartées car son entrecuisse était trop en fusion pour qu’elles les resserrent, Justine leva des yeux suppliants vers moi, auxquels je n’eus aucune envie de résister. Je présentai mon dard dur et gonflé à l’excès par l’excitation devant ses lèvres. Elle eut un mouvement de recul en le voyant ainsi humide de ses propres fluides, mais ma résolution ne flancha pas et elle se prêta à mes envies. Comme toujours. D’abord timidement, sa langue se posa sur ma tige et la parcourut de long en large. Puis elle sembla y prendre goût et se fit plus audacieuse : elle lécha avec douceur la totalité de ma hampe puis s’attaque soigneusement au gland, roulant autours de lui, titillant mon frein pour me porter au comble de la frustration. Puis ses lèvres m’entourèrent enfin, parcourant toute la longueur de mon membre en y laissant des traces de salive tandis que sa langue continuait de me masser. Je la saisis par les cheveux et n’eut qu’à faire un ou deux mouvements de bassin jusqu’au fond de sa gorge pour exploser. Une fois encore, elle avala docilement tout ce que je laissais dans sa bouche, allant jusqu’à ouvrir grand la bouche pour que je puisse apprécier le spectacle de mon sperme sur sa langue et ses dents. Elle méritait vraiment que je prenne soin d’elle après ça…

Sans que j’aie besoin de le lui demander elle se redressa, et je n’eus qu’à la faire reculer d’un pas pour l’adosser au mur. Ma main remonta avec lenteur entre ses jambes, massant doucement l’intérieur de ses cuisses mais se contentant d’effleurer sa chatte que je savais lisse et humide. Les yeux fermés, Justine étouffait ses gémissements et ses supplications en mordillant la peau de mon cou, ce qui redonna un peu de vigueur à mon membre. Mes doigts effleurèrent alors lentement ses grandes lèvres, les séparant délicatement pour venir caresser les petites qui se cachaient en dessous, déjà toutes dilatées. Il me fallut à peine quelques secondes pour faire pénétrer trois de mes doigts en elle, ce qui lui arracha un nouveau cri. Mon pouce se posa sur ce petit bouton érectile si sensible et entreprit de le masser alors ses collègues s’occupaient de caresser l’intérieur de ma belle avec soin. Mon autre main massait ses fesses sans douceur, descendant un peu plus bas pour la saisir derrière la cuisse et faire remonter sa jambe jusqu’à ma hanche. Ainsi offerte, elle pouvait sentir mon érection à quelques centimètres à peine de son intimité, ce qui déclencha un nouveau flot d’humidité en elle. Je l’entendis me supplier en me mordillant l’oreille, me promettant milles folies si j’acceptai d’éteindre l’incendie qui la dévorait. Bon prince, je décidai que le jeu avait assez duré. Mes doigts sortirent d’elle pour laisser la place à mon chibre qui y pénétra directement alors que je la soulevai sans effort en plaçant mes mains sous ses fesses. Je sentis ses ongles s’enfoncer dans mes épaules alors qu’elle gémissait convulsivement. Oubliant un instant que j’avais jouis dans sa bouche, mes lèvres vinrent se poser sur les siennes pour l’embrasser avidement, goulûment même. Nos langues s’emmêlaient sans aucune grâce au rythme de mes coups de reins, alors que nous respirions de plus en plus difficilement. Les muscles de mes bras étaient presque tétanisés sous l’effort, ce qui ne faisait que contribuer à l’excitation du moment. Je sentais son dos et son crâne cogner contre le mur tandis que ses seins rebondissaient contre mon torse. Elle cessa soudain de m’embrasser pour précipiter ses lèvres à la base de mon cou, espérant ainsi étouffer le cri de son orgasme. Lorsque je la sentis se cabrer d’un coup, puis se détendre tout aussi soudainement, mon corps sut que le moment était venu et lâcha tout lui aussi. Mon râle de plaisir raisonna contre le mur sur lequel j’avais posé mon front alors que je la laissai redescendre.

Les jambes de Justine touchèrent terre, flageolèrent et ne parvinrent pas à la soutenir, nous entraînant tous deux dans sa chute. Allongé sur le dos, je la sentir frissonner et l’attirai contre moi pour la réchauffer dans mes bras. Sa tête se posa sur mon torse et son bras entoura mon buste alors que nous reprenions tous les deux notre souffle, essayant vainement de rassembler nos esprits. Je lui caressai distraitement les cheveux d’une main et le dos de l’autre, me demandant comment une femme aussi merveilleuse pouvait exister. Mon regard se posa sur un radioréveil et l’heure affichée me tira un air aussi surpris que possible aux vues de mon état léthargique. Trois heures avaient passées depuis mon arrivée à la gare. Une fois encore le temps m’avait échappé : j’avais l’impression d’être arrivé depuis une demie heure à peine, tandis que mon corps lui était à bout comme si toute la nuit venait déjà se s’achever. Refusant de m’éteindre sur ce paradoxe temporel, je me relevai avec ma belle pour aller trouver refuge dans le lit douillet qui nous attendait à l’étage. Mes yeux se fermèrent presque immédiatement tandis que je savourai la présence de son corps nu à côté du mien, un corps dont j’allais pouvoir me rassasier pendant les jours à venir.

Le lendemain fut une journée particulièrement éprouvante pour moi : dès le petit déjeuner (pour lequel elle était allé acheter aux aurores des croissants et du pain chaud), je lui fis l’amour tendrement, m’attachant à la faire jouir plusieurs fois jusqu’à ce qu’elle me supplie de ne plus la toucher. La vision son corps affalé sur le lit, haletant, alors que ses yeux m’observaient avec une incrédulité mêlée d’effroi aurait pourtant suffit à me redonner envie d’elle. Alors que j’avais posé la tête contre son ventre pour la laisser reprendre ses esprits, mes doigts et mes yeux la parcouraient sans aucune retenue, se repassant de ses courbes magnifiques. Un instant il me sembla comprendre pourquoi, à travers les siècles et les cultures, les hommes avaient toujours ressenti ce besoin d’asservir les femmes, de se rassurer en faisant d’elle leur propriété. Il y a en certaines femmes, comme Justine, une magie mystérieuse qui nous fascine, nous les hommes. Lorsqu’elles s’offrent à nous et que nous réussissons à franchir leurs remparts en leur offrant de fugaces instants de plaisirs, nous avons accès pendant un très court moment à cette magie qui nous enivre et nous fait nous sentir biens, puissants, à notre place. C’est ce que j’éprouvai à cet instant là : un sentiment de plénitude, et la certitude que le monde avait trouvé un ordre nouveau dans lequel j’avais un véritable rôle à jouer, aussi insignifiant soit-il. Si une loi ou n’importe quoi d’autre m’avait permis de croire que cette magie offerte par le corps et le cœur des femmes resterait mienne pour toujours, j’aurai signé sans aucune hésitation. Ne vous méprenez pas toutefois : je ne fais pas l’apologie du machisme et du sexisme. Bien au contraire, rien ne me parait plus dénué de sens et de fondement. Mais pendant quelques instants, j’ai compris pourquoi beaucoup d’hommes avaient céder à la tentation de ce raisonnement par le passé.

Lorsqu’enfin je réussis à me retenir de lui faire l’amour pendant un laps de temps suffisamment long pour que nous nous préparions, elle m’emmena à la découverte de nouvelles facettes de sa ville. Sa conversation était merveilleuse d’humour et d’intelligence et ses réparties parfois cinglantes ne gâchaient rien au plaisir de la discussion. Elle aimait débattre, au moins autant que moi, et excellant dans ce domaine. Cependant, nous étions l’un et l’autre assez têtus, ce qui nous amena à hausser le ton plusieurs fois, en ne parvenant que rarement à un consensus qui nous satisfasse tous les deux. Même si je ne l’aurai jamais reconnu ouvertement, ses arguments et sa façon de réfléchir m’impressionnaient parfois, me faisant oublier son âge. Cette journée fût donc âpre en discussions mais délicieuse à tout point de vue. Souvent mes yeux et mes pensées s’égaraient à la vue de son corps magnifique, mis en valeur par une jupe un plus courte que la veille (choisie par mes soins) et un bustier assez échancré. Je profitai du moindre frisson de son corps sous les vents frais du printemps pour la serrer contre moi, laissant parfois mes mains s’égarer un peu. Un instant dans l’après-midi, les choses faillirent bien déraper cependant.

Alors que nous nous promenions sur les quais de Saône, Justine s’était arrêtée pour me montrer une péniche servant aussi de boîte de nuit, s’appuyant pour cela sur le parapet en pierre. Légitimement, je m’étais placé derrière elle, profitant du moment pour glisser mes mains autours de sa taille et la serrer contre moi. D’un mouvement fortuit, ses fesses se retrouvèrent de part et d’autre de ma bite. La jupe en lycra qui les recouvrait me permettait de sentir la moindre de leurs courbes, et la chaleur qu’elles dégageaient ne tarda pas à se répandre dans mon entrejambe. Sans surprise, je senti mon chibre gonfler et se redresser légèrement. Dans cette position, il était impossible qu’elle ne s’en rende pas compte. Effectivement, quelques secondes plus tard le rouge sur sa nuque et la courbe accentuée de son dos me firent comprendre qu’elle n’avait rien perdu de la scène. Délicatement pour ne pas la brusquer, l’une de mes mains remonta jusqu’à son sein pour le caresser à travers le dessus tandis que l’autre se plaçant à la bordure de sa jupe, effleurant doucement sa peau au passage. Mon érection grandit encore, à la mesure de mon excitation. Son souffle s’accéléra, m’encourageant à glisser plus franchement la main sous sa jupe. Mes yeux se posèrent alors sur un homme, assis sur un banc en contrebas, le long du fleuve. Il nous fixait ouvertement, ne perdant visiblement rien de la scène. A mon grand étonnement, cela ne refroidit pas mes ardeurs mais au contraire me donna encore plus envie. Comme toujours, des milliers de pensées tourbillonnaient déjà dans mon esprit : je m’imaginais la prendre là, par derrière, pendant que ses ongles grifferaient la pierre. Cet homme me regarderait la baiser, tremblant de jalousie et de désir à la vue de son corps magnifique vibrant à chacun de mes coups de rein…

Soudain, un sifflet provenant du pont attira notre attention et brisa la magie du moment. Je sentis Justine se raidir entre mes bras, comme si elle réalisait seulement maintenant où nous nous trouvions. Imperceptiblement, son fessier se décala, cessant ainsi d’irradier sa chaleur dans mon entrejambe. Elle me camouflait toujours mais ne faisait plus rien pour m’encourager, et je sus que l’instant était passé. De toute façon, jamais elle n’aurait accepté de faire ça en public, et encore moins devant un voyeur. Et moi non plus. Enfin je crois.

Dès que j’ai réussi à me calmer (c’est-à-dire à faire disparaître la bosse qui déformait mon boxer), nous avons repris notre promenade et sommes rentrés à pieds. A ma grande surprise, elle me demanda si je voulais bien aller acheter quelques affaires au centre commercial et la rejoindre ensuite chez elle. Je ne savais pas trop comment le prendre jusqu’à ce que cette lueur malicieuse que je lui connaissais éclaire un instant ses grands yeux noirs. Le rapprochement avec notre pari, et le gage qu’elle en avait retiré, fut vite fait et j’acceptai donc de la laisser un peu seule pour qu’elle puisse se préparer.

Le centre commercial était immense, et je m’y perdis un peu, si bien qu’elle dût m’attendre pendant plus d’une heure. Le trajet du retour me parut très long, tant j’étais impatient de voir ce qu’elle avait bien pu imaginer. Bien sûr, je ne m’attendais pas à la véritable réalisation d’un de mes fantasmes, mais l’idée qu’elle ait essayée de s’en approcher le plus possible pour me faire plaisir me plaisait. De toute façon, nos week-ends à eux seuls étaient un rêve que je n’aurai jamais crû pouvoir assouvir… Je retrouvai assez facilement le chemin malgré le fait que mon esprit était indubitablement ailleurs. Elle vivait au rez-de-chaussée, si bien que je n’eus que quelques mètres à faire et pas d’escalier à monter avant de franchir sa porte d’entrée.

Le sac de course que je tenais tomba immédiatement au sol. Le souffle coupé, les yeux écarquillés, je ne pouvais que regarder la magnifique créature qui se tenait en face de moi, debout au milieu de la cuisine. De ce que j’en voyais, Justine ne portait rien d’autre qu’un tablier de cuisine élégant, des bas noirs et une paire de talons aiguilles de la même couleur. Sans un mot, je m’approchai et la fit tourner sur elle-même pour pouvoir admirer l’envers de sa tenue. Cette fois, ce fut mon cœur qui loupa un battement. Effectivement, elle ne portait presque rien en dessous de ce tablier. Pas de sous-vêtements en tout cas. Mais un autre accessoire, que je n’avais jamais vu sur aucune femme en dehors des magazines et de la télévision, et qui lui allait divinement bien.

Ses bas noirs s’arrêtaient aux trois quarts de ses cuisses en une collerette de dentelle plus sombre, elle-même retenue par les minces attaches d’un porte-jarretelles de la même couleur. Comme elle ne portait pas de sous-vêtements, il encadrait délicieusement ses fesses et les mettait en valeur en soulignant leur forme arrondie et leur fermeté. Ces petits globes de chaire semblaient attendre d’être malmenés, écartelé jusqu’à ouvrir le passage à mon membre devenu soudain extrêmement dur. Sans y penser, je posai ma main sur sa nuque pour une fois dégagée par une queue de cheval, et laissa mes doigts glisser lentement le long de sa colonne vertébrale. Au moment où j’arrivai au creux de ses reins, je vis sa peau se recouvrir de chaire de poule et ses épaules trembler légèrement. La tension dans mon dard était presque insoutenable. J’avais envie d’elle, maintenant. Mes mains se posèrent de part et d’autre de ses hanches tandis que je la poussai en avant. Elle était encore étudiante et à ce titre, vivait dans un appartement minuscule et meublé plus efficacement qu’avec cohérence. C’est pourquoi la machine à laver le linge se trouvait dans sa cuisine, enserrée entre le lavabo et la gazinière. Elle se retrouva donc pliée en deux au dessus de ce meuble, appuyée sur les coudes, tandis que je défaisais rapidement mon pantalon. Mes gestes étaient rendus fébriles par l’excitation presque douloureuse qui ma parcourait. J’avais presque l’impression d’être un junkie qui deviendrait fou s’il n’avait pas sa dose dans l’instant. Et ma drogue à moi c’était son corps. Un corps qui tremblait légèrement, mais dont les cuisses écartées trahissaient l’excitation. Instinctivement, je sentais qu’elle était prête. Toutefois, et pour ne pas risquer de lui faire mal, je glissai doucement deux doigts en elle, la fouillant sans vergogne jusqu’à être sûr que son humidité et sa dilatation nous permettraient à l’un comme à l’autre de profiter pleinement du moment. Alors je m’enfonçai en elle d’un coup sec, soufflant sous l’effet du plaisir qui me montait à la tête en fouettant mon sang et me faisant perdre la raison. Mes mouvements furent immédiatement rapides et profonds, comme si mon corps n’avait pas la patience d’attendre les injonctions de mon esprit. Il faut dire que la vision de son petit cul offert, à l’arrondi souligné par les lignes de dentelle du porte-jarretelles et écartelé sous mes coups de buttoir, était vraiment très excitante. Les mains sur ses hanches je la pilonnais sans vergogne, rassuré par les gémissements qu’elle n’arrivait pas à retenir. C’était froid et brutal, purement physique, mais perversement délicieux. Il ne nous fallut que quelques minutes, à l’un comme à l’autre, pour jouir de concert.

Un instant abasourdi par ce que je venais de faire, je restai immobile, traversé par un véritable sentiment de honte. La sensation de son humidité autours de mon chibre me rappela heureusement bien vite qu’elle avait pris autant de plaisir que moi, et que je n’étais donc pas un horrible connard qui avait abusé d’elle. Décidant de jouer le jeu de la soirée jusqu’au bout, je me retirai d’elle, essuyant nos fluides contre ses fesses avant de refermer mon pantalon et d’aller m’asseoir à table. Justine resta immobile quelques secondes, reprenant son souffle, puis se redressa précautionneusement. Elle me jeta un regard incertain, ne sachant plus trop où elle en était ni ce qu’elle devait faire. Je pris ma voix la plus hautaine, la plus chargée de mépris pour lui parler.

« Mais quelle empotée ! Sers-moi à manger puis va nettoyer ça avant d’en mettre partout. J’ai une faim de loup et ça a intérêt à être meilleurs que d’habitude. Parfois je me demande pourquoi je ne te renvois pas. En dehors d’offrir ton cul, tu ne sais rien faire correctement ».

Je vis un éclair de colère passé dans ses yeux et la crainte d’être allé trop loin me saisit. Mais je n’en montrai rien, m’efforçant de paraître dans mon bon droit et sûr de moi. D’un regard appuyé sur son entrejambe, je lui fis comprendre que ma patience avait des limites. Elle hésita, puis sembla se rappeler le pari qu’elle avait perdu et la dette qui en découlait. Son visage se ferma en une fausse expression de servilité alors qu’elle m’amenait mon assiette. La décoration du plat était sobre mais soignée, digne des plus grands restaurants. Je me promis qu’elle ressentirait au moins autant de plaisir que moi après tous ces efforts. Me laissant à ma dégustation (c’était délicieux), Justine s’éclipsa pour aller faire un tour dans la salle de bain. D’après ce que j’avais pus voir, un peu de mon foutre avait commencé à couler entre ses cuisses. J’entendis la douche se mettre en marche, et elle ne revint qu’une bonne dizaine de minutes plus tard, ce qui me laissa largement le temps d’imaginer la suite de la soirée. C’est à peine si mon membre n’était pas déjà prêt à exploser sous la force de mon plaisir par anticipation.

Lorsque Justine réapparut, toujours aussi séduisante, je réussis à la toiser de haut en bas avec mépris sans laisser rien transparaître de la passion qui m’habitait. D’un signe de tête, je désignais la chaise à côté de moi sur laquelle elle vint docilement s’asseoir. Je continuai à manger avec impassibilité, trouvant même la force de grimacer comme si le plat était particulièrement désagréable à avaler. Elle en parut sincèrement déçue, ce qui fit vaciller ma résolution. Mais je me promis de la rassurer plus tard sur ses talents de cuisinière. Sur d’autres de ses talents aussi d’ailleurs. Aussitôt mon assiette vide, elle se leva pour débarrasser mais je lui jetai un regard peu amène qui la figea sur place.

« Enlève-moi tout ça puis vient t’asseoir sur la table. Je vais te monter ce qui arrive quand on se moque de moi. »

Les yeux noirs de Justine s’écarquillèrent une fraction de seconde avant qu’elle ne s’exécute, me permettant d’être rassuré sur sa participation volontaire à la suite des événements. Aussitôt la table complètement débarrassée, elle prit appuis sur une chaise pour monter dessus. Saisissant ses poignets, je la fis asseoir face à moi, les jambes pendantes au bord et les cuisses serrées. Son tablier blanc était très légèrement transparent et me permettait d’apercevoir l’auréole rosée de ses seins qui pointaient ostensiblement à travers le tissu. Mes doigts vinrent frôler sa joue avant de se placer sous son menton pour l’obliger à me regarder dans les yeux. La voix suave mais le regard dangereux je lui dis :

« Tu l’as fait exprès n’est-ce pas ? Tu as voulu m'empoisonner !
- Exprès ? Mais … »

Aussi vive qu’un serpent, ma main glissa sur sa gorge et l’enserra d’une poigne de fer, l’empêchant de continuer. Bien sûr j’étais très loin de l’étrangler ou de la menacer véritablement, mais je faisais juste ce qu’il fallait pour rester crédible. Je me penchai alors jusqu’à son oreille, que je mordillai doucement avant de préciser dans un murmure :

« Tu as oublié de m’appeler Maître… Une petite chienne comme toi se doit de toujours se rappeler qui est son maître… Je vais te faire regretter cette erreur ».

Me servant de la main qui n’était pas autours de sa gorge, je relevai brusquement le tablier jusqu’au milieu de son ventre, révélant ainsi le haut de ses cuisses et sa petite chatte toute lisse. Je lui écartai les cuisses sans ménagement avant de glisser deux doigts en elle. Ils commencèrent aussitôt à s’agiter avec une agressivité peu coutumière, la fouillant sans retenue jusqu’à ce que je sente son corps se crisper, au bord de la jouissance. Alors ils se retirèrent, la laissant pantelante et assoiffée de sexe. Les lèvres toujours près de son oreille, mon souffle caressant son cou, je repris :

« Tu sembles oublier rapidement que tu es là pour mon plaisir, par pour le tien. Même si, comme toutes les salopes et les chiennes en chaleur c’est en me sentant jouir que tu trouves ta place en ce monde… »

Elle frissonna mais ne répondit rien. Mes doigts serrés contre la peau tendre de sa gorge me permettaient de sentir son pou vibrer à chacune de mes paroles. Incroyable, ça l’excitait autant que moi… Ne me sentant plus aucune limite, je défis sans délicatesse les lacets du tablier derrière son cou et son dos, le lui arrachant presque tant j’étais impatient de la contempler. Pardonnez-moi l’expression mais elle était réellement bandante dans cette tenue, assise sur cette table comme un met que je m’apprêtais à déguster. Ses seins libres et nus se soulevaient à chacune de ses respirations, délicieusement ronds et droits malgré l’absence de soutien-gorge. Les bas noirs qu’elle portait mettaient en valeur le galbe de ses jambes et lui donnaient un air délicieusement salope encore renforcé par le porte-jarretelles qui soulignant l’arrondi de ses hanches et appelait le regard vers le petit carré de peau nue en dessous. L’une de ses jambes était complètement repliée, le talon aiguille reposant sur le coin de la table, en une pose alanguie digne des plus belles photos pornographiques. Elle n’avait aucune idée de son charme et pourtant, j’étais sûr que bien des hommes se damneraient sans hésiter pour pouvoir faire l’amour avec elle. Moi le premier.

Ma main lâcha enfin sa gorge pour venir la saisir par les cheveux tandis que je me penchai en avant pour étouffer la passion qui me dévorait de l’intérieur en un baiser vorace. Ma langue franchit la barrière de ses lèvres et s’engouffra en elle, l’explorant et pressant la sienne de réagir. Mes doigts se mirent à pincer ses tétons, les faisant rouler et les étirant en avant pour mélanger le plaisir à la douleur. Ainsi penché au dessus d’elle, je pouvais sentir son corps à demi nu se presser contre le mien, ses doigts se crisper sur ma chemise pour m’attirer à elle. Qu’il aurait été bon de la prendre maintenant, de m’enfoncer totalement en elle et de laisser simplement la jouissance s’installer ! Mais je m’étais promis de la faire hurler de plaisir ce soir, et je comptais bien ne pas me parjurer. Même si ses mains qui se glissaient déjà contre mon torse me rendaient les choses terriblement difficiles. Heureusement, j’avais déjà prévu d’utiliser un accessoire qui allait pimenter les choses et m’aider à garder la maîtrise de la situation…

Non sans difficultés, mes mains s’arrachèrent à ses seins pour venir saisir ses poignets et la forcèrent à lâcher prise. Je me reculai puis m’éloignait d’elle, la laissant seule sur la table. Il ne me fallut que quelques instants pour trouver ce que je cherchai et, lorsqu’elle le vit, ses yeux s’assombrirent. Mon cœur s’emballa à l’idée qu’elle allait peut-être accepter malgré tout. Faisant mine de ne pas avoir remarqué sa réaction, je commençai à entourer l’une des extrémités de la corde à linge autours du pied de la table puis autours de son poignet. Justine eut un mouvement de recul, ne pouvant se résoudre à cette idée mais je n’eus qu’un regard acéré à lui lancé pour qu’elle baisse la tête et me laisse continuer. Bientôt, ses deux poignets furent liés à la table, tirant ses bras en arrière de façon à ce qu’elle me soit totalement offerte mais laissant assez de latitude pour qu’elle puisse un peu bouger et surtout se retourner si l’envie m’en prenait. Je reculai d’un pas pour admiré mon travail et dû ouvrir mon pantalon pour en sortir mon dard tellement gonflé qu’il menaçait de faire éclater la fermeture.

Je pris mon temps pour me déshabiller, sachant qu’elle serait bien obligée de m’attendre maintenant… Transpirant d’envie et de plaisir contenu, je vins me placer entre ses jambes, caressant un instant la soie de ses bas et remontant lentement jusqu’à sa petite chatte. Puis je me mis à genoux, mes lèvres se posant sur l’intérieur de sa cuisse, à quelques centimètres à peine de son intimité. Ma langue lécha la peau particulièrement tendre et douce de cette zone, se rapprochant à chaque fois plus de son mont de vénus. Enfin, je pus embrasser son intimité et goûter à sa saveur si particulière. Je la sentis se crisper, excitée à l’idée de ce qui allait suivre mais gênée d’être totalement impuissante. Avec une infinie douceur, mes dents vinrent mordiller ses grandes lèvres tandis que ma langue se glissant entre elles. Mes doigts vinrent bientôt se joindre à la partie, entrant et sortant d’elle en caressant ses parois internes en de langoureux mouvements circulaires. Elle était si excitée que je la sentais souvent sur le point de jouir, mais à chaque fois je m’arrêtai juste avant l’instant fatidique pour le plaisir de la sentir se tordre et crier de dépit. J’avais tellement envie d’elle que le sang qui gorgeait mon membre me faisait presque souffrir. Alors je me redressai subitement et m’enfonçait en elle d’un grand et puissant coup de rein, ravie de sentir la chaleur de son intimité m’apaiser un peu. Ne cherchant plus à retenir mes râles de plaisir, je laissai mes mains voler sur sa peau, caressant avec insistance la moindre zone érogène de son corps déjà poussé dans ses retranchements. Elle vibra soudain puis poussa une exclamation qui trahit son orgasme. Pour me venger, je sortis mon chibre au moment de jouir et répandit généreusement mon foutre sur son ventre et sa poitrine sans qu’elle puisse rien faire pour l’éviter. Puis, avant qu’elle n’ait eut le temps de protester, je la saisis par les hanches et la fit se retourner. Ses poignets se retrouvèrent encore plus serrés, ne lui laissant plus qu’une latitude de quelques centimètres pour se mouvoir. Je m’étais tellement retenu que cette jouissance n’avait pas entamé la vigueur de mon membre. Pour le lui faire savoir, je le fis passer entre ses fesses au moment où je me penchai au dessus d’elle pour embrasser sa nuque, son cou et son épaule. Le souffle court, elle était incapable de respirer mais tremblait de tous ses membres, ce qui ne calmait rien à mon excitation. Mes mains se glissèrent dans le creux de ses reins, lui arrachant de nouveaux frissons. Je mordis plus vigoureusement sa nuque, prenant toutefois garde à ne pas laisser de trace, avant de laisser l’une de mes mains s’égarer jusqu’à son petit trou et commencer à le titiller. J’étais si excité, je me sentais si fort et si puissant qu’il me fallait quelque chose d’autre pour véritablement prendre mon pied.

Dès que je la sentis commencer à se détendre, je me redressai. Mes deux mains écartèrent ses fesses pour que je puisse contempler la petite rondelle rosée qui se cachait entre elles. Je les malaxais tendrement, mais une vigueur trahissant mon appétit. Ma langue se glissa alors en elles, arrachant de nouveaux gémissements à Justine. Sans toutefois aller trop loin, je lubrifiai généreusement ce petit trou à l’aide de ma salive, l’écartelant en faisant pénétrer vigoureusement un puis deux doigts en elle. Je sentais qu’elle était un peu effrayée à l’idée d’être sodomisée sans lubrifiant, mais cela ne parvint pas à m’empêcher de faire glisser mon membre en elle. Comme la dernière fois, je ne la pris que sur quelques centimètres avant de me retirer, réitérant plusieurs fois l’opération. Cependant ce coup-ci j’étais trop excité pour faire aussi attention, et la vue de ses fesses écartelées délicatement mises en valeur par la dentelle noire me donnait l’impression qu’elle était véritablement une servante destinée uniquement à me satisfaire. Poussant des râles de plaisir, j’accélérai bientôt le mouvement, la pénétrant si profondément que mes boules venaient cogner contre sa chatte encore toute humide. Je la tirai un peu en arrière pour que seul son ventre repose encore sur la table, me permettant ainsi de glisser une main sous elle jusqu’à son clitoris que je malaxai sans douceur à l’aide de mon pouce tandis que mon index ondulant en elle. Elle criait franchement à présent, incapable d’empêcher ses pensées salaces de s’exprimer. Ses paroles correspondaient franchement au moment, mais jamais je n’aurai crus les entendre prononcées à voix haute.

« Oh mon dieu c’est si bon ! … oh oui, oui, vas-y, continue… pilonne-moi… encore, plus fort… je suis ta salope… ta chienne en chaleur… tu peux faire de moi ce que tu veux, tu le pourras toujours… j’aime tellement ça… maître, mon maître… »

Des promesses que je n’étais pas prêt d’oublier et qui manquaient à chaque instant de me faire perdre le contrôle de mon chibre. Mes mouvements de reins étaient si puissants et si rapides que les muscles de ma hanche commençaient à devenir douloureux, mais je refusai de ralentir. De la sueur coulait sur mon torse et le long de mon dos, certaines gouttes tombant sur ses fesses rebondies qui m’excitaient tant. Alors mes yeux se posèrent sur les liens qui enserraient toujours ses poignets et cette vision suffit à me faire perdre les pédales. Deux coups de reins de plus et j’explosai dans son petit cul, l’inondant d’une impressionnante quantité de foutre.

Je me laissai alors aller en avant, m’effondrant sur son dos sans me retirer d’elle. Je la sentais reprendre péniblement son souffle sous moi ; mes bras vinrent se serrer autours de son corps si fragile, qu’elle m’offrait à chaque fois un peu plus et en toute confiance. Déposant un baiser sur sa nuque, je ne réalisai que trop tard les paroles qui s’étaient échappées de mes lèvres :

« Je t’aime ».
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Histoire de Ad.

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Commentaires du récit : Adultère 2

Le 30/07/2010 - 07:54 par babyboo7788
Waw... La pour le coup, tu m'as littéralement scotché sur place... Aura-t-on droit à une suite? Car j'en meurt d'impatience... Encore bravo pour cette formidable et talentueuse suite ;)

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