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Vacances espagnoles

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Lue : 18945 fois - Commentaire(s) : 4 - Histoire postée le 21/12/2009

Découvrez les filles coquines près de chez vous :

2007 Espagne 2007

Nous sommes arrivés dans notre maison de vacances début juillet comme les autres années.
Ca fait 18 ans que je viens, et mes parents 20. Maison de vacances. NOTRE maison. Ma copine, Agnès, vient avec nous depuis quelques années également.

Toute la rue est habitée par pratiquement les mêmes personnes depuis la création de ce quartier, et tout le monde se connaît ou presque. Nos voisins sont les mêmes, et on se retrouve presque à chaque fois. Cette année, Tonton, notre voisin de gauche, est arrivé avant nous et il nous accueille avec l’apéritif comme de coutume. On l’appelle Tonton, surtout moi, car il a 61 ans cette année, et a toujours été pour moi comme un tonton. Il m’a vu grandir, et tous les ans il me dit que je suis plus grande que la fois dernière, et maintenant il rajoute plus belle… Il est retraité depuis 3 ou 4 ans je sais plus, sa femme aussi. Elle est super gentille et quand j’étais petite, elle me gâtait toujours de glaces, de gâteaux ou autres, et même me gardait parfois quand mes parents allaient en courses et aussi le soir si ils étaient invités chez des amis, et que ces soirées n’étaient pas trop pour les enfants. J’ai compris de quoi il s’agissait maintenant. Je connais leurs amis et la villa superbe qu’ils ont sur le bord des canaux. J’y ai fais trois séances de photo dans leur piscine depuis. Il est vrai que le cadre est magnifique.

Tonton et sa femme profitent de leur maison plus longtemps et plus souvent que nous. On l’appelle le « chef de rue » ! Il sait tout. La gazette !
Il doit mesurer 1m85 environ, cheveux gris et longs (catogan), un peu de ventre mais sans trop, il a la peau toute dorée, et ce que je trouve assez sympa et quelque soit le physique des gens, c’est qu’il est tout lisse de partout. Pas un poil sur le corps, ou du moins très peu, mise à part une petite touffe de poils sur le torse, poils gris comme ses cheveux, et sa peau lisse et un petit peu craquelante lui donne un air assez marrant. Un gros bonbon caramel !

Depuis quelques années, il me regarde avec une petite lueur supplémentaire quand on arrive, et de plus, mais il n’a pas trop osé demander, il est intrigué de voir que je viens avec Agnès et qu’on a l’air bien plus proches que de simples copines. Ca l’intrigue ça le Tonton, et aussi, même que ca doit lui donner un petit frisson de nous voir main dans la main ou de se faire des bisous sur la terrasse. A voir sa façon de nous regarder, il ne sait pas si c’est juste un comportement de copines ou si nous sommes vraiment « ensembles ». Est-ce un jeu ? Nous sommes toujours très joueuses justement, alors une attitude plutôt rigolote ou… ?

Donc, cette année, à peine les valises défaites, nous sommes à l’apéro chez eux (10mètres à faire pour passer d’une maison à l’autre), et porto et tapas oblige ! Rythme Espagnol et estival de rigueur dés l’arrivée. Conversations classiques pour résumer l’année de chacun. Agnès et moi on participe, mais en se moquant gentiment d’eux. Encore un jeu.

Il a du mal à nous quitter des yeux cette année ! Oui je sais… Les jupettes de 30cm et les petits hauts au dessus du nombril, ca attire l’œil d’un Tonton. Et s’il savait que dessous… Il n’y en a pas justement… Les années passées déjà, il aimait bien nous regarder partir avec nos petites tenues un peu coquine, et surtout pendant nos séances de bronzage dans le jardin, quand il osait à peine regarder par-dessus la haie. Haie qu’il coupe soigneusement pour qu’elle soit assez haute pour nous protéger et assez basse pour pouvoir observer un petit peu par-dessus… C’est malin un Tonton ! Parfois il avait droit à maman Agnès et moi, comme si on ne le savait pas. Maman disait que le pire serait qu’il perde un œil. Sinon on s’en moque un peu, n’est-ce-pas les filles ? Et tout le monde se bidonnait en l’imaginant ramassant son œil sur la pelouse.
Et il devait envier la place de papounet, nu lui aussi, qui bronzait avec ses 3 « gonzesses » nues dans le jardin.
On ne s’est jamais vraiment cachés. Ca fait partie de notre façon de vivre ici, et il est le seul des voisins à pouvoir nous apercevoir, l’autre coté étant totalement fermé par un abri, sous lequel papa avait installé une douche de jardin, et le mur de la maison voisine. Ca nous permettait de nous rafraîchir en permanence pendant nos moments de bronzette ici. De jouer à nous arroser parfois, et même de se laver, surtout toutes les deux, ce qui avait le don de déboussoler un peu le père. Il faut avouer qu’on en jouait un maximum, en nous lavant réciproquement avec des gestes tendres, voire un peu coquins. On était pliées de rire à le voir se retourner sur son transat, ou partir en bougonnant parce qu’il se sentait gêné de nous voir ainsi. Gêné et quelque peu ému…

Tonton n’a jamais osé venir avec nous dans notre jardin. Mais sûrement il prenait un vrai plaisir à regarder tout ça pendant que madame faisait sa sieste ou était en courses. Son petit plaisir. Il sait que nous allons le plus souvent sur les plages naturistes du secteur. Il y en a 2 de chaque cotés de la plage traditionnelle, ainsi qu’une crique assez sympa à quelques kilomètres de là. Il a osé venir une fois avec nous sur une de ces plages, mais il avait un peu de mal… trop de filles qu’il disait en riant ! Pov Tonton ! Il était resté scotché sur sa serviette, assez mal à l’aise et cachait sa bite quand on le tirait pour aller à l’eau, ou qu’on lui demandait de jouer avec nous sur la plage. Ca nous amusait bien. Il regardait partout, en même temps pour ne rien loupé de tout ces corps offerts aux regards et sans pudeur et aussi pour s’assurer que personne ne le regarde lui. L’attitude classique de tout invité novice sur ce genre de plage. Ou du voyeur…

Donc, apéro, regards inquisiteurs sous nos jupettes, ce que maman a noté et ce qui a failli la faire partir dans un grand fou rire, aidée par le Porto certes ! Papa aussi a remarqué et il me fait un petit signe pour me dire : « ho les filles ! Vous allez nous l’affoler le papy ! ».
Lui s’affolait plus trop, habitué qu’il est de nous voir, soit en très petites tenues, soit nues pour déjeuner ou autres moments de la journée, et tout simplement sur les plages. Aussi pendant le voyage en voiture où nos tenues sont réduites au minimum. Très souvent ce sont des jupettes sans beaucoup de tissus au dessous, du moins rien d’étouffant, ou comme cette année : rien… A l’aise ! Et le rétroviseur du papounet il n’est pas trop réglé pour les voitures…

Et la discussion est partie sur le Musée DALI de Figueras.
Et moi DALI ! Je ne peux pas ! Mais alors pas du tout ! Et le musée avec une attente de 2 heures minimum sous le soleil ! Non merci. Agnès essaye un peu de me convaincre mais pas trop, elle me connaît, elle n’insiste pas mais elle a envie d’y aller cette année. Ils programment ça pour le surlendemain (mardi), et donc moi, je prévois de rester à la maison, seule jusqu'à au moins 16h ou 17h parce qu’ils vont aussi faire les boutiques en ville. Ce qui me laisse le temps de m’occuper de moi, de préparer des trucs à manger (peut être), de glandouiller (certainement), voire bronzette ou plage en vélo si j’ai le courage d’y aller seule… Mais rester une journée seule ici ne me dérange nullement. Détente ! Un livre un thé et ca va très bien.

Ah tiens ! Tonton en a raz le bol de Dali aussi ! Il a vu le musée 2 fois, il en a marre et sa femme ira avec mes parents et Agnès. Lui a de quoi bricoler, il bricole tout le temps. Il préparera le barbecue du soir !

- N’est ce pas Julia ? Tu viendras avec moi sur le port pour prendre du poisson ? On ira dans la matinée ? Tu veux bien ?

- Oui Tonton, si tu me demande pas d’y aller trop tôt. Je déjeune tranquille et je me prépare avant ok ?

Son œil brille encore plus on dirait… Peut être aussi parce qu’on lui passe sous le nez avec nos semblant de jupe pour aller chercher des tapas dans la cuisine, et qu’il aimerait être à demain pour voir si nous sommes toujours comme l’année dernière, comme dans ses souvenirs, quand nous nous sommes parlé la veille du départ, lui derrière son grillage, nous sur le transat, habillées d’huile et de lunettes de soleil, un livre posé là ou l’on ne lui autorisait pas à poser ses yeux. Enfin, pas pendant la conversation. Histoire de le ménager un peu. J’ai dans l’idée que dés demain, il va être aux premières loges, et que pour lui nous sommes le « petit plus » de ses vacances, le pourquoi sa maison de vacances à un gros avantage par rapport aux autres. On en joue, il est content, alors rien de grave.


Mardi. 9h.

Petit déjeuner sur la terrasse avec tout le monde. Ca s’agite un peu. Ils veulent prendre la file d’attente au plus tôt. A coté Tonton bricole déjà. Sa femme est prête et attend (papa se marre ! elle attend sur la terrasse, comme Bernadette, avec son sac sur les genoux…). Agnès et maman se préparent, moi je traîne avec mon bol, dans ma tenue de petit déjeuner. Un string, et ma brassière légère qui a du mal à cacher le dessous de mes seins, surtout au moindre courant d’air, ce que papa regarde en souriant et qu’Agnès scrute comme si c’était nouveau… Il est certain que ce string et cette brassière ne doivent pas peser bien lourds. Un de ces mini-strings de bain, qui ne cache que ce qu’il peut le pauvre… 2 cm de large je crois, et un cordon qui lui se cache entre les fesses et se fait oublier à peine enfiler. La brassière elle, blanche également, assez ample, avec de fines bretelles, est assez longue pour descendre au dessous des seins et les cacher, mais à condition de rester droite, les bras le long du corps et sans bouger. De plus, étant dans un tissu si peu épais, qu’il est plutôt transparent. De ce que je lis dans les regards, le spectacle est ravissant.

Une tenue qui me permet de croire que je suis un peu couverte pour respecter les règles de vie sur la terrasse de devant. Celle où l’on mange, où l’on vit. Pour comprendre : de la rue, on ne voit de la maison que le petit coin des vélos attachés, l’allée courte ou l’on gare la voiture, la grande fenêtre de mon studio (ancien garage aménagé depuis 3 ans) avec le grand volet de bois, et une haie très épaisse qui protège de la vue cette terrasse et la grande porte du séjour de la maison. En fait, on ne voit rien. A la limite nous y vivons totalement à l’abri des regards, mais « visibles » uniquement quand nous entrons et sortons du studio. Donc la règle est de faire en sorte d’être moins nue sur cette terrasse aux heures ou les gens passent dans la rue. Mais dans tous les cas, il y passe si peu de monde, qu’il est très rare de croiser un regard…
On essaye juste de faire un peu attention. Et puis ces minimums ajoutent un côté coquin non négligeable.

Je suis dans le coltard, on n’a pas dormi de trop en fait, et puis en vacances je suis lente le matin… Bisous a tout le monde, et re bisous encore, et encore un !
On se revoit vous savez ! Vous ne partez pas au bout du monde !
Et dire qu’ils vont manger des sandwichs debout en faisant la queue pour le musée !!! Pour Dali en plus !
Ah ! Ils sont partis… Calme… Encore un thé Julia ? Aller ! Un thé ! Tiens un Tonton au portail !

-Bonjour ! Eh ben Julia ? Pas prête !

-Ho la ! Tu ne vas pas bien Tonton !? Laisse-moi déjeuner ! Tu veux un thé ?

-Ah ben oui ! (il en boit jamais)

Il s’assoit à table. Il scrute ma tenue de plus près (de chez lui il ne voyait peut être pas les détails). En tout cas, ca à l’air de lui plaire. Il chausse ses lunettes de soleil pour regarder plus discrètement. Tu parles ! Je devine ses yeux qui dessinent les contours de mon petit haut, puis du reste de ma tenue, et dans le même temps de tout ce qu’il peut voir de moi. A la fois un peu gêné, et en même temps ravi de me détailler, quasi nue à 50 cm de lui.
Sa journée commence bien : il va prendre un thé avec une jeune fille dénudée…
Je vais chercher une tasse. Houa ! Mes 2 seins lui passent sous le nez quand je lève les bras pour attraper le plateau ! Et une paire de fesse que ses yeux suivent comme dans tex Avery ! C’est vrai qu’on ne fait pas trop attention entre nous, mais là avec lui je devrais peut-être me couvrir un peu. Et puis zut ! Il nous mate bien dans le jardin, alors… Et puis on se connaît quand même un peu.

Je sens son regard dans mon dos quand je rentre dans la maison. Il me touche presque son regard… Je le sens comme une caresse dans mon dos, sur mes fesses, sur mes jambes... Ca se sent un regard. Le sentiment d’être examinée, mais examinée avec douceur, avec plaisir, avec une certaine gourmandise et ce n’est pas si désagréable. Bonne journée qui commence pour Tonton !

Je reviens avec sa tasse et on boit un thé. Il a la voix un peu enrouée le Tonton… Il remet ses lunettes de soleil comme si je ne voyais pas ses yeux qui guettent tous mes gestes pour ne pas louper un sein qui peut passer sous cette brassière effectivement très courte. Elle fait partie de ces fringues que je ne jette pas. Comme mes deux jupettes en jeans, une jupe de tennis, mon shorty rouge et blanc. Mes 2emes peaux comme dit papounet. Il les aime bien mes 2emes peaux…

Ah ! Les yeux de Tonton font l’inventaire… mes seins, mon ventre, mes cuisses, mon piercing et mon tatou, et la région du tatou évidement !

-Ah ? Tu as un piercing maintenant ? (déjà l’année dernière Tonton !) c’est beau ! ca te va bien ! Ta copine aussi j’ai vu ! Elle aussi ca lui va bien !

Pour voir… il a vu ! Tellement vu qu’il pourrait même les décrire en détail.

-Oui Tonton !

Et je lui montre bien mon ventre. Comme ca il peut regarder sans ses lunettes et il en profite. Il est tout chose mon Tonton à me détailler comme ca. Mon tatou est juste au dessus à droite du haut de mon string. Et mon string dessine très bien le contour de mes lèvres, et il est assez court pour n’être qu’à 2cm du début de ma petite fente. Et dans cette position, mon minou lance presque un appel… en tout cas il attire bien son regard. Ho Julia !

-Tu as grandi encore ? Non ?

Je me mets debout. Là, il voit mes seins par-dessous. Le thé passe mal.

-Non je ne crois pas. Me suis arrêté depuis l’année dernière. 1m73 ca me suffit !

Il se met debout à coté de moi. Je lui arrive au menton. Il en profite pour détailler l’arrière. Il a chaud le Tonton. Mes fesses cambrées avec ce petit bout de tissus coincé entre les 2, ça lui fait chaud au cœur. Il se rassoit mais il a plus de thé. Il semble ravi. Ce n’est pas pour me déplaire en fait que de me sentir détaillée de la sorte. Même que j’en suis ravie aussi. La sensation de charmer, de séduire, de faire envie, en s’offrant simplement au regard de ce Monsieur qui me trouve désirable.

- En tout cas tu es de plus en plus jolie !

-Merci.

-Non c’est vrai ! Ta copine aussi ! Mais toi tu es très élancée ! Tu es … Enfin t’es belle quoi ! Et je m’y connais !

Un petit clin d’œil la dessus ! Il est émoustillé le Tonton !
Comment on rend un Tonton heureux avec un thé à 9h du matin…

-Bon dis donc on va au port ?

-Oui Tonton laisse moi un moment pour me préparer ok ?

-Oui mais pas trop hein ?

-Je ne peux pas y aller comme ca !

-Ah tu crois ? Dommage ! Non je plaisante Julia !

Il ne dirait pas non le Tonton qui ne sait plus trop ou il a posé ses lunettes ! Je suis debout et il scrute mes jambes, remonte au string et fini sous la brassière pour voir le demi-sein qui prend le soleil. S’il pouvait, il soufflerait bien dessus pour le dévoiler complètement.

-Ah oui tu as du grandir encore. Et t’es bien jolie !

-Oui merci. J’arrive dans 10 minutes.

Bon ! Me prépare ! Douchette, crème pour le soleil, coiffée… ha oui ! Je mets quoi ? Il fait déjà chaud. Tongues. C’est bien les Tongues mais ca n’habille pas.
En même temps on ne va qu’au port. Brassière ? Non, il va conduire à gauche sinon ! On ne va pas loin mais bon. Aller mon petit haut court sans manches, blanc, fermé devant avec un lacet, ce qui selon le serrage, laisse plus ou moins apparaître la poitrine qu’il est sensé protéger. Et là, c’est très peu serré. Juste pour apercevoir entre les lacets la moitié de chacun des seins. Sexy. Enfin raisonnable sur un lieu de vacances. Et voyons… bah oui ma 2eme peau en jeans (jupette de 25 cm) ça va cacher mes fesses sinon son cœur ne va pas tenir jusqu’au port. Cette jupe est assez vieille en fait, délavée, usée, effilochée aussi. Papa dit que j’ai grandi dedans et qu’elle n’a pas suivi. Je vais mettre un string au moins, parce que si je laisse mon minou respirer comme je fais souvent et qu’il voit ça, c’est lui qui va arrêter de respirer.

Dommage, j’aime bien sinon être nue sous mes jupes, surtout en vacances. Je verrais ça avec Agnès, elle aime beaucoup aussi me savoir comme ca. Je n’en porte presque jamais en vacances, à la maison également. Sinon dans Bleau aussi, mais un peu moins souvent. Mais dés qu’on est comme ici, c’est liberté, pratiquement toujours. Super sensation, avec, j’avoue, un peu d’excitation aussi. Se sentir très à l’aise. Une manière d’être nue partout mais sans choquer. Et par moment une sensation de s’offrir un peu, se sentir disponible, excitante, même si personne ne le voit. Sauf si on le souhaite… Agnès s’y est mise également, et comme maman le fait des fois pour faire plaisir à papa… Le Papounet se promène avec 3 minous qui respirent.

Et pour peu qu’il s’en aperçoive, il est tout ému aussi… Comme au bowling l’année dernière où aucune des 3 filles n’étaient couvertes. Il s’est retourné après un beau Strike et… resté un moment scotché à nous regardé toutes les 3 assises pour l’applaudir et chacune en jupe très courte. Vue furtive et plongeante sur nos petits minous lisses et contents de prendre l’air. Ce fut son dernier Strike de la soirée, on se demande encore pourquoi ? Au bruit le soir venant de sa chambre, maman à mit du temps à calmer ses nerfs…

Mais il va voir mon piercing et mon tatou. Elle est courte cette jupe et elle descend aussi très bas sur les hanches. Ca donne une démarche assez coquine, surtout si on prend soin de bien dérouler les pas pour onduler au mieux. Papa appelle ca le « balancement ensorceleur »…

Content le Tonton qu’il va être…

-Aller Tonton je suis prête !

Oups ! Il chancèle un peu !

-T’as pas eu trop de mal à t’habiller toi dis donc ! Ils ne sont pas généreux avec les tissus cette année !

-C’est trop court ? C’est les vacances Tonton ! Toutes les filles sont comme ça ici ! Faut sortir de ton jardin !

-Non je plaisante ! En tout cas t’es très belle comme ça ! Je suis content d’aller au port avec toi ! Les marins vont être jaloux du vieux !

Content le Tonton ? Le mot est faible ! Je ne sais pas comment il a pu faire 10km avec juste un œil sur la route ? Il croit que je ne vois pas ! Il n’a pas lâché mes cuisses du trajet ! Faut dire qu’en voiture, elle m’arrive à peine sous les fesse ma jupe, et mon string blanc et la toute petite dentelle autour, il a vu que ça. Il a bien vu une fille ou deux sur le trajet qui étaient plutôt coquine dans des petits shorts très moulants, mais décidément, rien ne vaut mes cuisses ce matin ! A chaque feu, je sens son regard remonter le long de mes jambes, mes fesses, mon ventre, les lacets du petit haut. Assise un peu de travers, face à lui pour papoter, il est à la meilleure place. Il en profite au mieux. Ca me plaît bien…

Arrivés au port (nous partîmes 500… non, juste tous les deux) il a aussi vu mes seins par l’ouverture du petit haut que j’ai encore un peu détendu, et il a mis un petit moment à descendre. Emotif…

Après sur le port ! Fière qu’il est ! Son panier à droite ! SA Julia à gauche !

Oui Oui ! La petite coquine elle est avec moi ! Regardez bien messieurs ! La belle petite elle est avec moi ! Jolie non ?

Il n’a jamais aimé le port comme ça le Tonton ! On ne le regarde pas avec sa Bernadette !
Là non plus remarque ! Mais la petite ! Houa ! Il est veinard le vieux !

On est passé de poissonniers en poissonniers. Il me met la main sur les hanches pour me montrer des poissons ou pour me demander si j’aime ou pas. Le contact de sa main sur ma peau ajoute sûrement à l’émotion. Quand il est derrière, je sens quasiment ses yeux passer de mes reins a mon entre jambes, le plus haut qu’ils puissent. Mais comment fait-elle pour porter des jupes aussi courtes ? Ca le rend joyeux mon Tonton.
En fait ma tenue déclenche pas mal de regards dans ce milieu de marins et de restaurateurs. Très masculin. Et j’admets que ce n’est pas désagréable de se sentir « admirée » de la sorte. Petit frisson dans les reins même. J’admets aussi que ce matin je n’ai pas hésité sur la tenue. Tenue de vacances certes, mais très coquine. J’aime bien. Je suis assez fière de l’effet que je provoque. Peu de monde que l’on croise qui ne se retourne pas ou qui ne me regarde avec insistance. Et je joue un peu plus de la démarche « du balancier », je fais un peu ma star. Je pose un peu innocemment quand on s’arrête devant un étal de poisson. En clair : je fais ma belle ! On s’amuse comme on peut…

Ah si j’avais su, je serais venue nue sous ma jupe. Ca m’aurait encore plus excité. Bah oui je sais ! Coquine ! Je peux le retirer aussi, c’est rapide… Non aller, fais pas ça Julia. Ca va aller comme ça.

Et un petit tour pour voir les bateaux. Le quai est en contrebas de 5 marches. Je suis en haut et lui, il descend. En fait, en descendant sur le quai c’est plutôt mon string sous ma jupe qu’il regarde. Les bateaux attendront. Il profite du fait que lui tourne le dos, et il n’a pas fait attention que je le regarde par-dessus mon épaule. Cela ne me gène pas trop en fait. Même que j’aime bien. Ca lui fait plaisir. Moi aussi en même temps. Je pouvais m’habiller autrement. Mais pour être honnête, j’aime bien qu’on me regarde comme ca avec une vraie gourmandise. Il est content. C’est un jeu. Je suis bien. Je suis détaillée, désirée, et j’aime ca… Ca fait de mal à personne. Que du bien.
Même des petits frissons quand je sens ses yeux me regarder comme d’autres vont dévorer un Dali… Non !! Pas Dali !
Non, il me regarde plutôt comme un gâteau dans la vitrine du pâtissier, un gâteau qu’on mange des yeux d’abord et qu’on a envie de toucher, mais pas de suite… Déjà le dévorer des yeux.
Et il dévore le Tonton ! Je le sens me manger… Agréable en fait de sentir un regard comme ca. Tiens ! Ben si j’avais quitté mon string, il se régalerait encore plus…

Houa ! Il n’est pas gros non plus son string à la petite ! On voit ses fesses ! Et même son… non on ne voit pas. Mais on devine ! La vache ! Elle est avec moi la petite ! Ho ! On dirait presque qu’elle n’a pas de culotte ! Ses fesses ont mangé la ficelle du string ! Elle a un cul !

-Alors Tonton ? T’as une belle vue du port ?

Pliée de rire la Julia ! Je le regarde du haut des marches. Je suis de dos presque. Ses yeux sont sous ma jupe et n’en sortent plus. Ils cherchent désespérément ce bout de ficelle coincé quelque part… Oupss ! Il rougit ! Comme je rigole cela passe mieux, mais tout chagriné qu’il est le Tonton. Ah ben si je n’avais pas mis un string, il serait déjà mort !

-Oui désolé ! C’est très beau Julia ! Excuse-moi ! C’est ta faute ! T’es trop jolie comme ca ! Et c’est vachement court ces petites jupes !

-Je sais ! Je rigole ! J’ai plus court tu sais ! Aie ! Il fait son malaise ! Non ca passe.

-T’aimes bien porter ca ? Pas facile par chez toi ?

-Non t’as raison mais j’en ai des moins courtes. Celles-ci ce n’est pas pour le lycée !

-Ah ben content que tu en mettes avec moi alors ! Ho ! Le vieux con ! J’ai osé te le dire !

-Mais t’es pas vieux Tonton ! Tu regardes les filles ! C’est normal ! T’inquiète !

-T’es sympa avec les vieux toi au moins ! Désolé encore !

-Mais non ! Mais tu sais si je ne veux pas qu’on me regarde je mets un voile !

Là il rigole et tant qu’a faire il en profite pour finir l’exploration. Elle est où cette ficelle ?

On s’est baladé un moment sur le port, à voir les bateaux des pêcheurs. Lui de plus en plus fière de « sa pêche », et moi toute aussi fière d’être le point de mire de tout ces marins qui tout en lavant leurs bateaux me regardent passé avec un petit sourire. Ils profitent de cette période estivale pour s’amuser des visites de toutes ces touristes souriantes, avenantes, qui viennent faire le marché aux poissons et dans des tenues toutes plus estivales les unes que les autres. Mais aujourd’hui j’ai du gagner le concours de la tenue la plus coquine. Et cela me ravie tout autant qu’eux. Certains me lancent des bonjours avec, pour les plus osés, un petit clin d’œil de connivence. D’autres nous arrêtent pour nous monter leur poisson ou parler avec Tonton du métier, du temps ou autres, mais tous en profitent pour me détailler, voire me draguer ouvertement, en jouant pour la plupart, ou plus sérieusement pour quelques uns. Il joue le protecteur dans ces cas la. Je lui appartiens aujourd’hui ! On papote gentiment avec tout le monde. Il n’y a pas d’agressivité. Le jeu de la séduction de mon côté, aidé de par ma tenue coquine, et de la drague du coté des marins, encouragés par mon sourire.

Nous sommes restés un bon moment sur les quais et je reconnais que de jouer ma belle, ma star, ma petite coquine aussi, même si ce n’est pas très méchant, me procure une certaine satisfaction. Et même me déclenche un vrai petit plaisir. Je le sens. Cette petite chaleur au fond de mon intimité, et qui remonte dans les reins. Je remarque également que mes seins pointent un peu. Pas de froid, c’est bien une certaine satisfaction qui me produit cet effet. Bref ! Un bien être fort sympathique. Je ne suis pas la seule à avoir noté cette petite marque de plaisir. Les touristes que l’on croise et les marins eux aussi, à en voir avec quelle insistance leurs yeux sont rivés à ma poitrine. Je sens de plus en plus le plaisir m’envahir…

Retour du port. Dans la voiture, il finit l’examen de la petite.

-Tu ne m’en veux pas d’avoir regardé comme un cochon ?

-Mais non ! Ne t’en fais pas ! Tu me connais en plus. Tu m’a déjà vu nue sur la plage ! Et dans le jardin aussi non ? Cela ne me gène pas c’est tout et on est en vacances non ?

-Heu… ? Le jardin ? Oui… c’est vrai ! Mais là ! Et tu es une femme presque ! Pas presque d’ailleurs ! Et puis ca te va vachement bien ce genre de tenue ! T’es grande. Des jambes très longues ! C’est même très…

-Coquine ?

-Oui coquine c’est ça ! Oh vieux cochon arrête !

Il se marre ! Il est embêté et content en même temps. Une petite connivence entre lui et cette fille presque nue à ses cotés, dans sa voiture… Tout ca au soleil ! Et sans sa femme pour le gronder des yeux comme quand il regarde trop longuement une jolie demoiselle qui passe…

-C’est dingue mais plus je vieilli et moins je sais me retenir de regarder les jolies filles !
C’est l’âge con ! Faut que je me retire en maison de vieux ! Mais en plus de mon temps les filles étaient plus couvertes que vous maintenant. Vous n’imaginez pas ce que ça peut nous faire à nous les vieux !

-Mais non ! Je sais bien ! Je suis habillée coquine tu regardes ! C’est naturel ! Et arrête t’es pas vieux !! Papa dit que plus il avance, plus il regarde derrière ! Marrant non ?

-Oui ? Tu ne m’en veux pas ? T’es super toi ! Et t’es jolie !

Là, je pense qu’il y va de son érection matinale ! Il a osé être un peu direct avec la gamine ! Du coup il regarde le décolleté ! Il les a vu ce matin ses jolis seins tout ronds, mais bon il en veut encore. Et la petite érection de ma poitrine ajoute encore un peu à son plaisir à lui. C’est un peu sa journée après tout. Alors cette Julia elle n’est pas trop timide et elle n’est pas choquée qu’un vieux regarde ses fesses sous sa jupe. Elle est…

De retour à la maison, on range les gambas et les poissons pour ce soir. Il n’est pas très tard et j’hésite à prendre un vélo pour la plage ou en profiter pour faire transat-livre-bronzage ! ca se fait en même temps oui. Décidé ! Pas envie de pédaler donc ce sera transat ! Quoique le jardin il est plein soleil et ca cogne dur. On va commencer par les ongles sur la terrasse devant.

Un coup de fil à Agnès. Elle est en plein soleil, avec 2 heures minimum de queue devant elle !

-T’avais qu’à rester la !

Je lui raconte vite fait le thé et la virée au port avec Tonton ! Elle est pliée.

-Le retour ? Pas avant 17 h ! Ok ben bon courage ma belle ! Moi je suis bien là et je me fais les ongles. Peinarde ! Je t’attends pour la plage ma puce. Et ce soir on sort ou pas trop ? On mange on va prendre un pot ? Fatiguée déjà ? La faute à Dali ! Je n’aime pas ! Tu vois ! Bisous ma belle a plus.

-Tonton ? T’es où ? Ils ont du monde ! Comme on disait ! Ils ne pensent pas avant 17 h ! T’es ou ?

Ah, il ressort de la douche, il fait très chaud c’est sur. En short maillot ! Cuisses maigrichonnes, petits mollets, un peu de ventre mais normal. Il a du s’entretenir pas mal, il fait assez musclé. Belle carrure en fait. Un peu mou mais ca va. Et cette peau lisse caramel ce n’est pas moche en fait. Allons Julia ! … Et après tout il m’a maté une matinée…

-Tu fais quoi ? Tu vas à la plage ? Tu restes ici ? Tu manges ce midi ?

-Manger ? Bof je ne sais pas ! Une salade peut être mais pas maintenant ! J’ai le temps !

-J’en fais une ! Tu mangerais avec moi ? Tomates et petites crevettes dedans ?

Oui ok je vois. Il a envie de continuer de me détailler encore. Il se dit qu’il me tient pour la journée, que je suis à lui un peu, que je suis à portée de ses yeux, pour un moment encore. Alors s’il peut manger avec moi, ça lui sera plus agréable que tout seul dans son coin. Après tout. Cela ne me dérange pas plus que ça. Même que ca m’amuse.

-Oui ok je veux bien ! Je mets la table pas trop tard ok ? Comme ça on a du temps après. Ca te va ?

-Oh merci Julia ! Tu me fais plaisir ! On sera moins seuls !

Il doit avoir encore mes seins et mes fesses dans les yeux ! Plaisir je crois que le mot est faible. J’avoue que ca me fait plaisir aussi. Quelque part je maîtrise. Je joue. Je me montre assez pour lui faire du bien, pas trop encore pour qu’il soit excité… encore que j’en sais trop rien. Et j’en tire aussi une vraie satisfaction. Pas ennuyeuse cette journée tout compte fait. Un brin d’excitation au point de sentir une petite poussée dans mon string et une petite goutte de plaisir…

Se changer déjà ! Terrasse à l’avant : donc pas nue. Ma brassière de ce matin ? Il va aimer. String ou rien ? Si ! Terrasse de devant, je mets un string. Et il est avec moi ! N’exagère pas Julia ! Un minimum, même très minimum mais un peu. Brassière ok. Ah si ! Je vois ! Mon mini string de bain ! Derrière ca fait juste une petite ficelle attachée avec une petite boucle dorée au dessus des fesses, la ficelle pour la voir… faut que mes fesses la lâchent, et devant, pas un triangle mais un rectangle de 2cm de large qui cache… pas grand-chose. Ma « flèche » quand j’en laisse une et l’entrée de mon petit jardin. Si je ne fais pas gaffe, souvent le rectangle est absorbé pas mes petites lèvres et il ne reste du string que la ficelle sur les hanches.
Ne mets pas ca Julia ! Il va tomber ! C’est trop…

C’est vrai. C’est trop ! Mais j’en ai très envie en fait. Même que j’ai envie simplement. Il va être là. Moi quasi nue devant lui. Même que c’est plus coquine que nue. Je suis contente. Ce n’est pas méchant ! Je joue avec lui mais il en tire sûrement un vrai plaisir. Comme un môme avec un beau jouet. Je suis SON musée Dali quoi ! Donc il joue aussi. Et il est gentil. Et j’aime bien ces situations où je peux jouer, où j’en tire aussi un vrai plaisir et en fait où j’en donne aussi ; et puis ? Il va sûrement bander très fort et c’est pour moi ! J’aime bien ! Au fait ? Il est comment son membre ? Beau ? Tout petit ? Ou gros serpent ? Flétri ? Caramel aussi comme sa peau ? Il doit être lisse aussi on dirait ! ca j’en raffole !

Julia !! Oui bon ok…

Donc ce n’est pas méchant et ca lui fera un bon souvenir. Il y a pas de mal à prendre du plaisir, et cette forme de plaisir-tentation c’est assez sympa.

Ca ne fait pas 5 minutes que je suis sur la terrasse presque nue, que la tête de Tonton au dessus du grillage demande :

-Ma salade est prête ! Je la mets dans ton frigo ? Le mien est complet avec les poissons.

-Bah oui vas y ! Je te laisse faire ! Tu connais la maison.

Et Tonton d’arriver avec sa salade… Et la ! S’il a sauvé sa salade, c’est qu’il a su se rattraper au coin de la table… Il faut dire qu’il a découvert mon string et ce qu’il essaye de cacher en passant à coté de moi, et du coup, il a loupé la porte d’entrée.

T’as fais fort Julia… tu vas tuer le Tonton d’Espagne rien qu’en te faisant les ongles.

Il met sa salade au frigo et ressort. Il s’arrête devant moi. Meilleur place puisque j’ai une jambe repliée sur la chaise pour me faire les ongles. Il a une vue à la fois sur mes seins que la brassière se moque totalement de cacher et sur mon minou, que la position de pédicure appliquée fait en sorte qu’il avale une bonne partie de mon mini string…
Vite le 15 ! Non 112 en Espagne !

-Tonton a très chaud monsieur le docteur ! Il est debout, figé, et il ne parle plus !
-Rhabillez-vous mademoiselle et ca va se passer…

-Ah ? Tu fais tes ongles ? C’est beau !

Je suis sure qu’il n’a même pas vu que c’est en rouge ! Je tire sur mon string pour recouvrir ma lèvre gourmande. J’ai même senti mon petit bouton qui en avait profité pour s’évader et prendre un peu le soleil.

-Ah ben ! C’est joli aussi ça !

(Ca ! c’est mon string, qu’il me montre du menton). Il est joli certes, mais il veut dire par là qu’il n’est pas très couvrant ! Et ce qu’il trouve joli, c’est ce qu’il a cru voir : un minou mangeur de tissus lui aussi et qui semblait en plus en saliver. En fait il n’a pas cru. Il a bien aperçu. Pas trop longtemps certes, mais aperçu.

-Oui ? Merci. C’est un string pour la plage mais bon ici c’est pareil.

-Oui t’as raison ! ca aussi ca te va bien ! Dis donc Julia cette année tu as bien changé !
T’es vachement jolie ! Je suis content que tu sois restée avec moi. Ah oui !

(Traduction : je suis super content de te mater comme ça ! et pour moi tout seul !)

-Et dis donc ça cache pas grand-chose ton truc ! Autant être nue ? Non ?

-Oui je sais mais sur la terrasse de devant, je ne peux pas trop !

-Oui c’est vrai ! Mais c’est pire je crois ! Enfin moi, je ne suis pas habitué et je trouve ça terrible !

Il repart en se marrant et sûrement avec une érection inversement proportionnelle au tissus que je porte. Il se demande ce qu’il n’a pas encore vu de moi en fait…
Julia ! Tu pousses ! Mais non…
Je dis reparti, mais en réalité il n’est pas si loin, il bidouille sous son abri voiture et de là, entre deux arbustes, il peut regarder au choix : soit mes seins, nus maintenant, la brassière me gênait pour me faire les ongles, donc je l’ai posé sur la chaise, soit il essaye de voir si mon minou a mangé entièrement mon semblant de string !

Décidément ça me plaît bien ce jeu. Depuis ce matin j’ai un spectateur assidu et je suis la seule actrice.

Après mes ongles, je vais ranger mes affaires, et reviens sur la terrasse avec un verre, et en face, de l’autre coté : Tonton, la tête au dessus des arbustes, qui devait craindre que je ne sois qu’un mirage et que je n’allais pas réapparaître…

Moi, debout, seins nus, string arrogant, main sur la hanche et de le regarder, d’un regard « fière d’elle » (je sais ! j’assume). Très pose glamour. Coquine « sans faire exprès », comme les photos soi-disant volées de starlettes. Il a la bouche ouverte ! Je suis la star de la terrasse ! Regard et position de gagnante !

-Tu veux un verre aussi ?

Il a du dire oui mais je n’ai pas compris. Il a du mal à parler. Il est fixé sur mon sein droit, ou le gauche, ou les deux. J’ai remis ma brassière ! Non, mais bon faut pas exagérer ! Quoique maintenant… On a bu un verre. La température doit être déjà de plus de 30° à cette heure ci. Ses yeux doivent fatiguer à force de me scruter derrière ses lunettes. Je regarde sont short. Oui, je suis sur maintenant, il a une belle érection. Certaine !
Bravo Julia ! Roooooo pas grave ! Il est content.

On est reparti. Surtout lui. Moi je suis chez moi. Lui ne sait plus trop ou il est. Mes parents peuvent être tranquilles, il a toujours un œil sur moi. On ne pourrait pas me kidnapper !
Et au pire il aurait su me décrire !

-Elle est habillée comment ?
-Bah ! Avec une ficelle sur les hanches et un bandeau sur le torse.
-Oh monsieur ! Allongez-vous ! C’est le soleil qui vous fait ca !
-Non je vous dis ! Une ficelle et encore s’il en reste un morceau ! Parce que ses fesses elles mangent tout monsieur le docteur !
-Infirmier ! Un autre cachet pour le monsieur il délire !
-Mais je vous dis qu’elle a des fesses qui mangent les culottes !

Le reste de la matinée il ne s’éloigne jamais trop de la terrasse, tout en restant de son coté. Son bricolage ne doit pas avancer. Et moi je bidouille un peu, un peu de ménage, un peu de vaisselle. Un moment dans ma chambre à trier des affaires, et quelques instants à passer une main sur mes seins et une main entre mes cuisses, en pressant mon minou, juste deux doigts en long, avec tendresse, d’un geste lent et court, comme pour un petit câlin matinal. Pas une masturbation en règle, mais une petite caresse intime assez habituelle, et sûrement provoquée par mon jeu avec Tonton de ce matin. Un petit plaisir furtif, classique, surtout chez moi, quoique de ce que je sais de mes copines, je ne suis pas la seule à me faire ce genre de petit plaisir. Ce petit plaisir qui fait juste monter une petite bouffée de chaleur, et qu’on laisse de coté parce qu’on sait qu’on va y revenir plus tard. Pour approfondir, ou même terminer…

-A table ! Tonton !

-Ah ben oui j’ai faim moi ! Le port sûrement avec l’air marin ça creuse.

Tu parles ! L’air marin il a bon dos ! Je crois plutôt que ce sont les vues plongeantes sur Julia qui l’ont creusé.

Je remets ma brassière pour qu’il mange en paix. On s’installe sur la terrasse. Pour être à l’ombre il se met au bout de la table et comme ca il peut manger en regardant soit mes seins soit mes cuisses, enfin tout sauf son assiette. Jour de fête. On parle de tout, du plaisir à être ici comme tous les ans. Des visites qu’on va refaire encore. Du temps qui à l’air de vouloir être clément pour le reste de l’été. On parle aussi d’Agnès. Il ne sait pas quoi dire en parlant d’elle, alors il dit « ta copine » mais ça le chagrine un peu. Il aimerait être sûr. Je lui expliquerais plus tard. Amusée que je suis à le voir comprendre et en même temps ne pas être certain.

Chaque fois que je me lève, je sens son regard sur mes fesses et au retour sur mon string ou ma brassière. Une fois en cuisine, je me repasse une main sur mon minou. Humide que je suis.

Julia ! Tu aimes ? Bah oui en fait j’aime. Depuis ce matin je suis la princesse, et je fais plaisir à un Monsieur tout en en prenant aussi en fait. Alors comment ne pas aimer ?

Fin de repas.

-Un café Tonton ?

-Ha ben oui avec plaisir. Ca commence à donner la chaleur ! Tu fais quoi après ?

-Quoi ? Je ne sais pas. Transat sûrement et toi ?

-Ben un truc dans le garage et après je fais comme toi. On est tranquille n’est ce pas ?

-Oui plutôt. Si tu veux quand t’as fini tu viens avec moi. On prendra un thé ! Ou un verre.

-Ha ben oui ! Je te lâche plus aussi Julia ! ca ne t’ennuie pas la compagnie d’un vieux ?

-Rhoooo ! tu n’es pas vieux !! Arrête avec ça !

Je vais chercher le café, et sans réfléchir, par habitude, et par envie, je quitte ma brassière. Il fait chaud déjà. Il en renverse un peu sa tasse. Occasion pour que je passe l’éponge et qu’il se trouve à 20cm de mon sein gauche. J’aurais pu rester des heures il n’aurait pas bougé.

-Ho Julia ! Franchement tu es très jolie ! Tu fais toujours des photos ? Tu avais fais de la lingerie je crois non ?

-Oui ! Je t’enverrai un peu si tu veux !

-Oh merci Julia ! Pour moi ? Pour mon petit jardin secret ?

-(Rire !) Mais oui ! Pour toi !

-Heu ça t’embête si j’en prends une de toi maintenant ? Souvenir de Dali ? (coquin, d’un coup !)

-Ah ! Ben si tu veux oui. Comme ça aussi ? Dans cette tenue ? Suis nue presque ! Ce n’est pas grave ? Où alors c’est que tu préfères non ? C’est pour ça ? (je suis pliée)

-Heu … t’es pas nue mais t’es vachement jolie comme ça. Je suis con ! Je n’aurais pas du dire ça ! Suis désolé Julia. T’es tellement belle comme ça que je voulais m’en souvenir. Quel con je fais !

-Aller ! Va chercher ton appareil après je vais derrière.

-Ho Julia ! Ho Julia !

Conne moi aussi. Pourquoi je dis oui. Et puis zut ! Il aura une photo de moi en string sur la terrasse ! Avec ça ! Oui très petit string c’est vrai ! Et on ne m’a jamais répéter autant de fois en 5 minutes que j’étais jolie ! Ca flatte un peu j’avoue.
Et Tonton de retour avec son appareil numérique dernier cri. Je prends ma chaise, me décale de la table, au soleil, assise un peu en arrière, sourire radieux comme quand je pose, seins en avant, jambes à peine écartées mais il doit bien voir le petit bout de tissus qui fait de son mieux pour camoufler un minou humide.
Et clic ! Le Tonton m’immortalise. Moins sûrement que dans sa tête. Il se lèche les lèvres.

-Attends Tonton on va en prendre une de nous deux.

Je prends son appareil. Je le pose sur la table. Règle le retardateur. Approche de lui. Il met sa main sur mes épaules et moi je me serre un peu contre lui. Il n’ose pas trop. Et puis… il ose passer sa main derrière, et la poser sur ma hanche. Je suis dans ses bras presque. Son rêve depuis ce matin. Je fais de même. Je sens un tremblement sur son ventre et aussi par sa main posée sur moi. Il doit bander très fort ! On regarde l’appareil sur la table avec un sourire de touristes japonais devant la tour Eiffel.
Clic ! Tonton et Julia sur une photo !

-Ho Julia ! Tu n’imagines pas comme je suis content ! Faut je la mette de coté celle-là !

Sous entendu : pour pas que sa femme la voit.

Si si ! Je pense imaginer ! Il doit avoir chaud ! Julia nue dans ses bras ! Dali à coté de ca !!!
Merde ! Le vieux con de 61 ans avec cette jeunette de 18 ans nue dans ses bras ! Il ne pourra pas raconter à ses copains mais il aimerait bien ! Il le fera peut être.

-Bon aller Tonton, va finir ta bidouille et moi je passe a l’arrière. Quand tu as fini tu viens boire un coup. Et on fait un scrabble peut être ?

-Ah ben oui ! Oh Julia ! Je te fais un bisou je suis trop content !

Et hop un bisou sur la joue et avec une main sur l’épaule. Nue l’épaule… et du coup il s’est un peu électrocuté !
He bé Julia ! Tu déconnes ! Il va être excité après ça !
Un vrai gamin du coup ! Tout fou !
Et alors ? Il est content ! C’est le principal.

Je m’installe sur mon transat à l’arrière de la maison, là ou personne ne peut nous voir. Terrasse couverte, avec un store en toile que je descends au maximum à cette heure, protégée avec 2 arbustes d’un coté, de l’autre la haie de Tonton. 4 Transats et autant de dessus de transat à même le sol pour les bronzettes au soleil, et les siestes câlines avec Agnès. Quand ce n’est pas déjà occupé par les parents pour des siestes tout aussi coquines, de ce que l’on peut entendre de notre chambre et à voir le père revenir essoufflé et se jeter dans le frigo pour vider tout ce qu’il pouvait trouver. Je les ai entendus plus d’une fois commenter leurs exploits en écoutant de ma fenêtre. Avec Agnès même que ça nous faisait envie.

C’est arrivé d’être tous les 4 ici et que les petits câlins furtifs (ou appuyés) des uns ou des autres, provoquent une envie à tous, et d’attendre qu’un des couples parte dans sa chambre pour une sieste agitée. Ceux qui tiennent le plus longtemps ont gagné le droit de rester sur le lit de la terrasse. Plus facile pour nous avec Agnès de tenir. Papa ne peut pas cacher son envie de la même façon. Un homme est plus vite repéré dans ces moments la. Il est parti plus d’une fois avec un mal fou à cacher une belle érection, et en faisant des signes désespérés à maman qui elle, faisait mine de ne pas comprendre. Rigolage collective assurée !

Toute enduite de crème, un livre, le scrabble pour après, me voilà prête pour un après-midi tranquille. Le string posé sur un transat pour le remettre s’il arrive. Quoique maintenant ce n’est plus très utile. Il m’a vu tout aussi nue et même plus « coquine » avec ce tout petit truc qui se glisse avec plaisir entre mes lèvres et qui dessine encore plus mes fesses avec la ficelle. J’essaye de lire, mais pas trop concentrée.

Je pense aux moments que j’ai fais enduré à mon pauvre Tonton. Coquine !
Mais bon je suis assez contente, et je ne pensais pas qu’exciter un monsieur de son âge me fasse autant plaisir. Je sais bien que l’âge n’a rien à voir, mais je suis certaine qu’avec un jeune homme de mon âge ou à peine plus, je me serais déjà faite « agressée », gentiment certes, mais je n’aurais pas joué aussi longtemps et provoquer une envie aussi forte. Il y à la un certain respect, rassurant, une retenue, qui découlent d’une certaine tendresse et qui laisse imaginer une autre façon de faire, plus douce, plus patiente et pourtant sûrement plus brûlante.
Sur ces pensées, je glisse un peu ma main pour sentir justement ce petit plaisir. Je me caresse doucement en revoyant ses yeux courir sur mes fesses au port. Et à table quand j’avais mon sein à portée de bouche. Petit plaisir furtif cette caresse, mais avec en tête l’image de Tonton m’embrassant le sein et glissant ses doigts dans mon string pour sentir ma chaleur. Je me pénètre avec 2 doigts pour sentir cette petite humidité et je me goûte avec délice.
Humm… Julia ! Arrête ! Bah quoi ? Petite envie ? Oui. Petite…

Je suis là, nue, offerte au soleil, offerte aux regards de Tonton depuis ce matin. Des pensées coquines dans la tête, des petits frissons dans les reins. Je pense aussi à tous ces regards sur le port. Regards emplis d’envie de me toucher, voire me prendre. Tous ces marins, tous ces touristes à qui j’ai procuré un certain plaisir et qui ne savent pas que moi aussi j’en ai pris, et que j’aurais peut être apprécié d’en prendre plus, sans retenues. Fantasme de la fille désireuse d’être prise devant le regard des autres. Je me vois nue sur un de ces bateaux, dans les bras d’un pêcheur, qui me prend devant d’autres pêcheurs…

Caresses plus appuyées cette fois. Et le minou de plus en plus humide. Agréable…

-Julia ?

-Oui ?

-Je peux venir ?

-Oui !

D’où j’entends sa voix, il doit être proche… Il a vu ? Possible ! Aie ! Non pas aie ! ça me plaît de savoir qu’il a peut être vu. J’aimerais bien qu’il est vu. J’espère qu’il a vu.

J’entends qu’il est déjà là. J’attrape mon string. Je commence à le mettre et puis je me dis que non. Un si petit string alors que je suis quasi nue... quel intérêt. Si, quand même. Vite et ma brassière aussi ? On verra après. Et il est là… Il est debout à coté de mon transat. Il me regarde de partout. Il est assez mal en fait. Et en même temps je vois un regard pétillant !
Il passe un très bon moment. Tiens il a changé son short pour un slip de bain. Pas si moche que ca. Tout doré ! Carrure assez imposante et style baroudeur avec sa queue de cheval ! Il en impose un peu comme ca !

-Ah ben tu sais Julia te rhabilles pas pour moi ! Si on peut dire habillée d’ailleurs avec ton machin trop petit ! Ca ou rien tu sais, je t’ai déjà vu. A moins que ca t’ennuie d’être comme ça avec moi ? Je peux retourner à la maison si tu préfères faire ta bronzette tranquille ? Oui ?

-T’inquiète Tonton ! Moi ca me gène pas mais c’est pour toi !

-Ha ben tu sais ! Une si jolie fille ! Je ne vais pas lui dire de se cacher ! Ce n’est pas tous les jours que je vois des jolies filles comme toi ! Et si peu vêtue !

Il se marre et du coup moi aussi !

-Installes toi Tonton je vais chercher à boire ! Prépare le scrabble si tu en as envie. Et puis tu sais si tu veux te mettre à l’aise t’en fais pas, je suis habituée tu sais !

Oui il sait, il est venu une fois.

-Tu sais Julia, je fais aussi chez moi, mais juste dans mon jardin quand je bricole, j’aime bien mais ma femme elle se fâche. Vous, je sais que vous êtes adeptes. Tu es habituée ? Ta copine aussi ? Avec tes parents ca ne la gène pas ? C’est sympa d’être comme vous !

-Non, Agnès s’est vite habituée ici, et chez nous aussi, et maintenant ca va très bien. Tu sais si tu veux tu peux avec moi. Et puis tiens fais comme moi !

Et là, me voilà à descendre ma ficelle sur les pieds devant les yeux de Tonton plutôt écarquillés. Me voilà nue. Il me regarde de haut en bas avec un peu d’émotion dans le regard. Pourtant je pense être moins coquine comme ca qu’avec ma tenue à table tout à l’heure. Mais la situation n’est pas classique, surtout pour lui. Cette situation, malgré le fait d’être habituée à me promener nue sur la plage me provoque une sensation très agréable. Le jeu que je joue depuis ce matin m’excite un peu en fait. Je suis seule avec lui. Comme avec un partenaire amoureux que je provoque et séduit de tout mon corps.

-Je vais chercher un plateau !

Il est resté complètement paralysé le pauvre. Il aurait voulu avoir des yeux supplémentaires pour tout regarder en même temps.

Ben Julia ! Te voilà nue avec un Tonton de 61 ans, certes pas trop inconnu, mais pas intime tout de même. Tu déconnes Julia ! Il va exploser ton Tonton ! Rooo pas grave il passe un bon moment et moi aussi après tout. Tiens je suis encore humide !

Retour au jardin.
Hé bé ! Houa !!! Mon Tonton en train de quitter son slip de bain…

-Je peux Julia ? Je n’ose pas trop mais si tu ne veux pas je reste avec…

-Ho la ! Tonton ! T’inquiète ! Je t’ai déjà vu et sur la plage demain il y en aura des tas ! On est tellement mieux comme ça ! Non ?

Fébrile quand il jette son maillot sur un transat et qu’il s’installe presque en face de moi. Je sers à boire et à mon tour d’observer. Bah à vrai dire, il est pas mal dans cette tenue. Mieux qu’avec son bermuda qui fait mollets de coq. Du ventre un peu mais pas tant, fesses un peu tombantes mais pas trop, et son pénis, sûrement une petite érection très légère, ce qui fait qu’il a un bel outil, moins doré que le reste, mais le fait de faire du nu aussi chez lui en Charente, quand même un peu. Il semble assez long, sans trop, mais pas petit en tout cas. Je vois une veine qui court en spirale tout autour. Je l’imagine assez épais dans les moments où il est tendu. Grosses boules, mais pas trop flétris. Je ne sais pas pourquoi je pensais ça d’ailleurs. Peut être souvenirs de plage. Et surtout un très beau gland complètement décalotté… Plus large que son dard. Rond, rouge, une petite tache brune juste au milieu. Très beau. Si il bande il doit être même assez gros ce gland…
Et gagné ! Pas un poil autour ! Ou si peu. Et ca moi…
Humm Julia ! A quoi tu penses ? Ah ben oui ! J’y pense !
Il me ferait presque envie comme ça mon Tonton ! Ca doit être ça, parce que je sens un peu d’humidité descendre sur ma cuisse… J’ai des fois fantasmer sur la plage (avec Agnès aussi) sur des mecs qui passaient avec des corps d’athlètes et de beaux outils entre les jambes, mais jamais vraiment sur un papy de cet âge. Et là, me voilà à le regarder avec une certaine excitation… Pas mal du tout en fait ! Pas Apollon mais un coté coquin du à cette peau caramélisée et son style « baroudeur ». Et son côté intimidé qui le rend fragile. Ca ajoute un plus.

-Je n’ai pas préparé le scrabble Julia. Tu veux jouer ?

-Bof. C’est comme tu veux.

-Bah je n’arrive pas à me concentrer je crois. Tu dois me troubler en fait (rire). Je ne sais pas si je dois rester.

-Aller Tonton ! Ne t’inquiète pas ! Je suis à l’aise moi alors reste et on boit un coup. Apres on bronze ! T’es pas trop habitué c’est normal ça va venir tu sais.

Là il a commencé à se détendre un peu mais il ne me quittait pas des yeux sous ses lunettes. Il est allongé sur son transat, torse relevé, comme moi. Sa queue posée sur ses cuisses, au soleil, pas complètement détendu. Moi dans la même position, tête à l’ombre, et le corps au soleil. Ma chatte un peu humide luit avec le soleil.

-Au fait ? Avec ta copine ? C’est comment ? Je veux dire : vous êtes ensemble ? Je ne sais pas comment dire…

-Oui ! Ensembles ! Comme un garçon et une fille Tonton ! Mais 2 filles quoi ! Tu vois ?

-Ah ben oui je vois ! Mais tu sais à mon âge je vois ça dans des films ou sur le net… mais là ! Et… comment dire… je n’ose pas…

-Oui Tonton ! On est ensemble et on fait l’amour comme on peut faire l’amour entre nous !

Oh le Tonton il rougit…

-Mais tu… enfin… les garçons ? Heu…

-Oui Tonton ! Les garçons aussi on connaît si c’est ça que tu veux savoir.

-Ah ben ! Toi alors ! T’es vachement… je ne sais pas ! Tu à une copine ! Tu connais les garçons ! Tu vis nue ! T’es vachement à l’aise ! Dis donc ! De mon temps…

Et là la bite de Tonton il commence à relever la tête sans même qu’il s’en aperçoive.

On a discuté un moment comme ca. Il ne posait pas trop les questions directement, mais je finissais pour lui et on ne parlait que de ça. Mes tenues coquines, le fait d’être à l’aise nue, ma copine, ma vie quoi ! Le fait aussi de faire des photos, ce qu’il comprenait comme une raison pour être à l’aise avec mon corps, à moins que ce ne soit le contraire… Il dit aussi que lui aurait aimé être comme ça, mais qu’a son époque les gens étaient coincés et que c’était moins… moins libre que ma façon de vivre quoi !
On est resté un moment il était bien. Les yeux ailleurs (pour une fois), il était sur son transat. Bien ! Si bien que son membre avait pris un peu ses aises… Je regardais ses boules qui se rétractaient, ça bougeait (j’ai déjà vu ca quand les garçons sont excités… ça travaille !). Il ne bandait pas mais on sentait que ça pouvait venir…

-Tu ne mets pas de la crème Tonton ?

Je l’ai sorti de ses songes (érotiques ?)

-Ah ben non pas trop je ne reste pas trop au soleil et ma peau est une carapace tu sais ?

-Oui je vois !

Et je le regarde de haut en bas, ce qu’il a l’air d’apprécier, vu le petit coup de rein de sa pine pour relever la tète d’un centimètre.

-Moi j’en mets parce qu’avec cette peau de rousse (ou presque) je crains un peu.

Je m’enduis de crème sur tout le corps, en massant mes cuisses, mes seins (il aime !), un peu plus discrètement sur mon minou… Il suit des yeux mes mains qui parcourent mon corps de partout, avec un regard gourmand et étonné en même temps. Pour lui le spectacle continu. En réalité ses yeux me caressent plus qu’ils ne regardent. Je les sens courir sur moi.

-Tu veux m’en mettre dans le dos ?

Oups ! Il a failli mourir !
Julia Tu pousses encore ! Roooo mais non …

-Ah ben si tu veux oui. Avec plaisir même ! (sourire)

Je me retourne sur mon transat et lui tend la crème. Bien embêté qu’il est… Comment faire ? Où se mettre ? J’ai compris. Je me pousse un peu et lui fais signe de s’asseoir sur le bord. Il vient à coté. A la hauteur de mes jambes. Je le regarde par-dessus mon épaule. Je le vois tout ennuyé, et resserrant les cuisses pour cacher sa queue qui a quelques idées vagabondes. Je suis toute allongée, lascive. Il commence à verser de la crème en haut de mes épaules. Je sens sa cuisse sur la mienne. Des petites idées en tête la Julia… Il étale tout ça assez timidement. Ses mains fermes sur ma nuque et mes épaules.

-Vas-y tu sais ! Fais bien pénétrer ! Elle est épaisse et il faut masser !

Il masse. Il masse le dos. Il descend sur le coté, à toucher mes seins, mais à peine, sa main repart vite, comme si c’était brûlant. Je le regarde. Ses yeux sont écarquillés et fixent mes fesses, mes cuisses. Il serre les siennes. Sûrement pour retenir un peu sa bite qui a envie de regarder aussi ! Je suis bien comme ça. On prend soin de moi. En douceur. Comme si c’était Agnès, sauf qu’elle n’hésiterait pas à explorer beaucoup plus elle.
Ce qui énerve le papounet quand il est sur le transat d’à côté.

-Vas-y Tonton ! Descend un peu ! Là !

Je montre d’un doigt le sommet de ma fesse gauche ! Julia ! Tu vas …
Il a hésité. Un peu et il commence à masser avec la crème, les reins d’abord et doucement il gagne sur les fesses. Une main qui va de mes reins au haut de mes cuisses en passant pas le fesse entière. Agréable sensation que ces massages.
Et là ! Je vois la tête de son membre dépasser d’entre ses cuisses ! Beau ! Pas une érection très forte mais suffisamment pour que je puisse voir qu’il a un gland assez gros et qui peut devenir bien plus beau encore. Je ne sais plus trop ce que je fais. Ce que je pense. Ce que je veux.
Si en fait je sais ! Il est à moi ! Entièrement à moi ! Et j’en suis émue, contente et un même un peu excitée. Pas qu’un peu.

Il masse toujours et je commence à écarter mes jambes et à cambrer discrètement mes fesses. Je le fais en me disant qu’il ne faut pas. Et en même temps c’est une envie irrésistible. Aussi irrésistible que l’envie d’être coquine ce matin au port, que l’envie de séduire avec ma tenue, mon allure. Que l’envie de plaire et de jouer avec tous ces gens qui m’ont désiré furtivement en me croisant.
Il ne peut plus ne pas me voir dans mon intimité. Il a mes fesses et ma chatte sous ses yeux. Ouverte un peu ! Je sais très bien que dans cette position, ce n’est plus une chatte d’une fille nue qui se fait dorer au soleil. C’est beaucoup plus que ça. C’est un petit abricot tout rose, tout lisse, légèrement ouvert, légèrement humide, et très provocateur. Je sais également qu’en provoquant comme ca, je vais avoir envie de plus, et plus encore. Que je suis en train de le désirer autant que je me fais désirer. Que tout simplement j’ai envie. Envie de plaisir. D’une ambiance intime et coquine. D’un moment… De lui quoi !

Cette fois il a pris de l’ampleur son membre ! Il est bien droit ! Beau ! Pas encore au maximum mais très attirant, très…

-Julia ! Tu sais ? Ce n’est pas bien mais… Tu me fais de l’effet ! (il a osé le dire)

-Je sais. Et même que je vois !

Je le regarde et regarde son membre bien dressé maintenant et avec un petit sourire qui lui fait encore plus d’effet. Il a l’œil humide. Plaisir, bonheur, avec un peu de honte.

-Ho Julia ! Ce n’est pas bien ce que je fais là ! Suis trop con ! Merde !

-Mais non Tonton ! T’inquiète !

Et en même temps je pose ma main sur sa cuisse, pas très loin de son chibre.

-Ho Julia ! Tu me… Ho la la ! Qu’est ce qu’on fait ! Ce n’est pas bien !

-Arrête ! On est là on est bien on est que tous les deux ! Cool Continue ! C’est très agréable.

-J’ai très envie et tu me fais beaucoup de bien ! J’ai envie que tu me touches.

Il s’arrête. Complètement abasourdi. Je l’ai sonné en étant un peu crue. Il reprend son massage fessier, et je continue d’écarter mes jambes pour que mon minou soit complètement visible. En même temps je caresse sa cuisse, doucement, et je monte jusqu'à toucher son bel engin. Il sursaute ! Figé un moment ! Je sens au bout de mes doigts qu’il durcit encore. Et il reprend son massage en descendant cette fois passer la crème entre mes cuisses, et il frôle timidement mon minou. Moi je caresse d’un doigt tout le long de son membre, en tournant autour de son gland qui est devenu imposant. … J’ai une grosse envie. Depuis ce matin je joue un peu ma coquine avec lui, pas volontairement au début, et maintenant c’est moi qui suis excitée par ce Monsieur d’âge mûr qui me caresse, et je n’ai qu’une idée, c’est qu’il continue à me donner du plaisir. Julia ! Tu exagères ! Mais non ! J’ai envie ! Lui aussi ! On ne dérange personne ! C’est la première fois depuis qu’il est marié qu’il tient une jeunesse dans ses bras ! Ou est le mal ? L’âge ? Et alors ? C’est un homme, je suis une fille, j’aime bien, la situation est excitante, pourquoi se priver ! Lui n’aura sûrement plus trop l’occasion ! Et moi j’en ai très envie ! Alors laissons aller !

-Tonton ! Je suis désolée, j’ai été un peu coquine avec toi ! Mais bon ! Ce n’est pas grave ! Et t’inquiète je sais ce que je fais ! C’est beaucoup plus de ma faute que de la tienne alors laisses toi aller te torture pas l’esprit avec des « ce n’est pas bien ! Ne faut pas ! » Je suis grande et toi aussi non ?

-Bah oui Julia mais tu te rends compte ? Tu pourrais être ma fille ! T’es jeune ! Je suis un vieux crouton !

-Dis donc pour un vieux crouton ! Je sens que c’est encore très jeune là ! (rires)

En disant ca je caresse son engin de plus en plus dur. Et puis je le prends dans ma main. Tout chaud déjà. Une main tendre pour le saisir et le geste de la masturbation mais très lentement.

-Ho Julia ! T’es folle !

-Oui ! Et alors ? Un moment de folie en vacances !

-Oui bien sûr mais…

Il arrête de parler et commence à explorer mon entre jambe avec des gestes de môme, partout, dans tout les sens, il masse, il fouille, et il bande ! Mais il bande !
Il ne parle plus. Il souffle ! Il gémit. Sauf pour dire de temps en temps : Ho ! Julia !
Il me caresse un moment comme ça, moi sur le ventre et lui à coté. Je monte mes fesses et ma petite chatte ouverte, à sa rencontre. Je m’offre à lui encore plus, chaude, humide. Il caresse de partout. Il masse avec la crème de mes cuisses aux épaules, et ensuite il descend entre mes fesses pour masser ma chatte, et se glisser dedans, le fouiller en douceur, et à nouveau en bas. Il écarte ses jambes et je le tiens fermement dans une main. Il est droit et dur. Plus chaud. Je le masse plus que je ne le branle. Je fais gonfler son gland au mieux que je peux. Beau. Gonflé ! Rouge. Il me fait très envie comme ça ! Je mouille beaucoup déjà. Il me fait un bien fou. Il voit mon jus couler sur ses mains et ça l’excite encore plus. Je me retourne pour qu’il me caresse encore mieux et je tiens son membre dans une main et le branle doucement… Il est beau son membre ! Tout doré comme sa peau ! Et loin d’être ratatiné ! Je n’aurais pas cru !
Je m’offre totalement à son regard et à sa main qui me fouille maintenant. Il entre en moi et ressort facilement tellement je suis déjà humide et prête.
Il enlève ma main de sa queue en me faisant comprendre qu’il ne peut pas tenir. J’ai compris. Trop excité. Trop déboussolé. Je m’approche de lui pour lui parler en mettant ma main sur son épaule.

-Tu n’as pas fais l’amour depuis longtemps c’est ça ? Et tu as peur de ne pas profiter ?
Tu sais ça fait un peu ça aussi à tout le monde, avec les mecs jeunes et qui sont trop fous. On a l’après-midi devant nous, rassures toi. Agnès me téléphone quand ils partent de là bas alors t’inquiète pas pour ta femme. J’ai des préservatifs si tu veux. Mais je crois comprendre que tu ne vas pas ailleurs, et moi suis saine je te promets. On reste comme ça ?

Il parle plus ! Il répond avec juste des sons ! Déboussolé qu’il est !

-Une après-midi rien que pour nous encore. Tu sais quoi ? J’ai envie que tu me prennes comme ca maintenant tout de suite. Après on prendra un thé et on s’amusera. Ok ? Tu sais je suis peut être jeune mais un peu d’expérience et j’ai envie qu’on profite beaucoup la. Et si tu restes comme ça tu ne vas pas en profiter non ? Tu me prends ! Je te veux ! Après on voit. On peut rester ici en plus ! Détends-toi !

-Je te choque à parler comme ca ? Non ? Ok ? Je suis très excitée tu sais ? Depuis tout à l’heure j’y pense. Toi aussi. J’ai envie de toi et toi de moi non ?

Je masse un peu ses boules, caresse son beau membre (beau oui !)

-Je peux venir sur toi ?

Pas de réponse. Je me lève, le prend par la main pour le lever aussi. Un zombi ! Me penche et prend ce pénis dans la bouche avec douceur. Il frémit. Il tremble même. Je le prends juste un peu en bouche quelques instants mais je sens qu’il est au dessus des anges. Il n’est pas heureux ! C’est au dessus de ça ! Bon qu’il est ce dard dans ma bouche. Gros gland assez dur et sa tige assez épaisse très agréable. Je n’ai plus d’idées à la con sur les messieurs de cet âge du coup. Tout aussi bon à manger en tout cas. Il est debout. Le chibre bien droit. Il se laisse faire en me regardant l’avaler tout entier. C’est un fantôme. Je le lâche, l’allonge sur mon transat, il se laisse faire comme si il ne pouvait plus réagir. Je me mets au dessus de lui, assise sur ses cuisses, et je le branle un peu, doucement d’une main pendant que je me fais du bien à moi aussi de l’autre, mon vagin ouvert, humide, coulant, tout chaud. Il me regarde. Il fixe mon minou ouvert, que je masturbe avec énergie en insistant sur mon bouton et aussi en glissant 2 ou 3 doigts dedans avant de les lécher et aussi de lui mettre sur ses lèvres. Il me goûte. N’en croit pas ses yeux. Il est dans un rêve. Je sens un peu le plaisir monter chez moi, mais je me dis qu’après tout, même si je ne jouis pas là, j’aurais d’autre occasions alors que Tonton… pas trop sûr... Si ! Sûrement en y repensant et en matant notre photo sur son ordi en douce il se branlera très souvent. Mais là maintenant, j’ai envie de lui faire plaisir et en même temps de toute façon, j’en prends. Je n’ai pas trop envie de jouir. Juste de prendre du plaisir et surtout lui en donner. Passer une après midi comme ça. A la limite de la jouissance pour moi. Ce sont des moments peut être encore plus intenses. Et je suis hyper excitée de la situation

Je suis très humide maintenant. Je monte sur son ventre au dessus de son membre. Je prends ses mains et les pose sur mes seins. Je descends trouver son engin avec mon minou, et je le prends doucement. Il entre en moi comme ça au fur et à mesure que je descends sur lui. Il tremble Tonton. Il me caresse mais il regarde surtout sa bite disparaître dans ma petite chatte. Il est…

Il est entièrement en moi maintenant. Absorbé, au chaud, je le sens bien, son gland épais surtout au fond de moi et il a des petits sursauts. Je bouge un peu, il me rempli bien en fait. Je regarde son membre ressortir en me remontant et maintenant qu’il est très très dur je vois qu’il est très sympa. Pas ce que j’ai vu de plus gros mais bien au dessus de la moyenne, et je suis comblée en le remettant au fond de moi. Il m’envahit. Il me ravit. La chaleur qui part de ma chatte et remonte par le dos jusqu’au cerveau me donne une sensation de bien être formidable. Je reste assise comme ça. Je bouge juste mon bassin pour le sentir me fouiller de partout. Il me regarde avec un plaisir indescriptible. Je pense que je ne vais pas le faire durer trop. C’est moi qui maîtrise mon plaisir et le sien. Il faut qu’on en profite ensuite. J’ai plein d’envies en fait.

Je bouge encore plus, je le serre bien avec mon vagin. Il est prisonnier et il tressaute déjà. Je me penche sur lui, pour poser mes seins sur son torse, et mettre les siennes sur mes fesses. Il me caresse de plus en plus. J’aime. Je fais des mouvements plus rapides. Il me fait comprendre qu’il en peut plus. Je me pose un peu le temps de l’observer et le sentir en moi et puis j’accélère. Il est gonflé en moi. Très gonflé. Comblée qu’il est mon minou à moi ! Il gémit un peu. Compris. Je le serre très fort. Me redresse un peu. Juste un aller retour et il se cambre ! Je sens son jus chaud en moi ! Très fort ! 2 jets au fond… Il retombe. Je bouge. Encore un jet. Et un gros soupir. Je n’ai pas jouis. Normal et sans importance. Lui oui ! Trop fort ! Je jouis dans ma tête en réalité. Heureuse de maîtriser et heureuse de rendre heureux. J’ai donné un plaisir immense à un Monsieur. Et ce n’est pas fini je pense.

On reste comme ça. Il me regarde. Un sourire comme jamais. Je le sens se dégonfler. Je reste dessus. Je le regarde avec mon plus gentil sourire. Je murmure. Complice.

-Ca va Tonton ? Content ?

-Ho Julia ! C’est fou ! C’est dingue ! Pourquoi on fait ça ? Ce n’est pas …

-Ce n’est pas bien ? Roooo ! ça ne te fait pas plaisir ? Je crois que oui moi… et puis j’ai envie de toi moi ! Ne te poses pas de questions ! On est bien ! Ne pas se prendre la tête. Tu as envie et j’ai envie !

Là dessus je j’embrasse sur le torse avec douceur et je le câline un peu tout en laissant son membre ressortir de moi. Tout chaud et humide. Je prends une serviette et je le nettoie. Après je le prends dans ma bouche pour le laver. Il est beau son membre. Il reprend ses esprits.

-Dis donc Julia ! Tu es sacrement coquine ! Tu aimes ça on dirait ! Houa ! C’est formidable pour un vieux comme moi ! Incroyable !

-Rooooo pas vieux dis donc ! Même bien tu sais ! J’aime bien sinon je ne ferais pas ! Oui je suis coquine et suis très contente de l’être. C’est la vie Tonton le sexe non ? J’aime le plaisir pas toi ? Oui on peut être jeune et aimer beaucoup. Et tu ne sais pas tout… On va boire un coup ok ? Après on voit ?

Et après un gros bisou sur son pénis et une caresse sur son torse je me lève et vais chercher à boire. Il me regarde partir avec une larme aux yeux. Heureux Tonton ! Jamais il n’aurait imaginé…
J’en profite pour me rafraîchir et me laver un peu. Je me regarde dans la glace et comme une petite garce je me fais un clin d’œil. Je rie toute seule en me disant que je suis vraiment coquine. Mais bon. Du plaisir partagé comme ca, quoi de plus simple et quoi de mal ?

De retour avec un nouveau plateau. Il a repris sa place. Il me regarde avec un air à la fois heureux et triste.

-Ca ne va pas Tonton ?

-Ho si ! C’est merveilleux Julia ! Mais je ne sais pas…

-Arrête ! Suis grande ! Tu avais envie de moi ? Moi aussi ! Voilà ! Tu ne vas pas te torturer parce que j’ai 18 ans et toi 61 ! Je sais ce que je fais ! Et ta queue en moi j’ai beaucoup aimé (et de rire franchement) Tu sais ! J’ai fais mon allumeuse avec toi ce matin mais je n’ai pas fait l’amour uniquement pour m’en excuser. Parce que c’est toi. C’est moi. Et tu m’as sincèrement fait beaucoup envie. Envie de plaisir c’est simple tu sais. On est encore là un moment ensemble.

Il sourit et tend la main pour me caresser la cuisse. Je suis debout devant lui.

-Oui Julia mais tu es si belle ! Je crois rêver ! Tu es formidable !

-Tiens ! Regardes moi ! Je ne suis pas formidable ! Je suis Julia c’est tout.

Je m’avance devant lui. Approche mon ventre de sa main. Je caresse sa tête. Il a les yeux brillants et il sourit. Il me dévore des yeux. Mon minou à hauteur de son visage. J’écarte un peu mes jambes pour qu’il puisse se perdre dedans. Il me caresse de partout. Je prends 2 verres et m’assoit sur ses genoux à califourchon. Je suis prés de lui et mon trou est bien ouvert dans cette position. Il ne parle plus. Il me touche les seins, le ventre, mon minou qui lui est offert. Moi je bois et d’une main tripote son engin qui revit un peu. Ses boules qui tombent sur le transat entre ses jambes. C’est gros des boules de cet âge la. Je regarde son corps je le caresse. Ma proie en fait. Du haut de mes 18 ans c’est moi qui maîtrise la situation. Etrange et plaisant. On continue de parler un moment ainsi.

J’ai énormément envie de profiter de notre après midi. Je pose mon verre. Lui donne le sien. Je relève le transat dans son dos. Il s’installe. Je descends entre ses jambes et je le caresse de mes seins, de mes mains, son ventre, son membre. Je le reprends en bouche très doucement. Il gémit de bonheur. Son membre est gros mais il ne bande pas vraiment, c’est bien trop tôt encore. Je le mange, le lèche, je joue avec ses boules et ma langue et je le garde bien au chaud en le regardant. Il admire cette Julia qui a son chibre dans sa bouche et qui lui sourit. Impensable ce matin encore. Je mouille beaucoup là. Rendre un Tonton aussi heureux c’est autre chose que de faire l’amour. J’ai vu des partenaires ravis d’avoir fait l’amour avec moi, mais là ! C’est autre chose. Ce fut bref, mais gravé dans sa tête pour toujours je pense.

-Tu sais Julia ? Jamais on ne m’a fait ce que tu me fais là ! Avec ma femme c’est très classique. C’était ! Jamais ma queue n’a connu une bouche. Et la tienne ! C’est magnifique ! Je lui faisais l’amour mais là c’est toi qui me le fait. Jamais de ma vie je n’ai connu ça ! 2 filles avant elle et depuis jamais personne.

Pendant que je continue de le manger il me parle. Des pauses quand je touche un point sensible. Il connaît le bonheur. J’ai trop envie qu’il s’occupe de moi. Je me relève. Ma main prend le relais de ma bouche. Il finit son verre. Il ne bande pas vraiment. Je remonte au dessus de lui m’assoit sur son membre. Je me frotte dessus jusqu’à ce que ma chatte soit ouverte et absorbe son engin sur la longueur, je prends ses mains pour les poser sur mes seins. Et je me caresse pendant ce temps. Je veux sa bouche. Je remonte encore. Avec la position du transat, une fois debout, mon minou arrive à hauteur de sa tête. J’avance et me pose, trempée, sur sa bouche. Mon bouton sur son nez. Et mes lèvres comme un baiser sur sa bouche. Sa langue me cherche. Elle pénètre de suite en moi. Je mouille déjà et je coule sur lui. Je sens qu’il avale mon jus. J’ondule doucement et ma chatte se frotte sur lui sans qu’il bouge. Je pose et pousse mon bouton sur sa langue. Il me boit. Il me mordille. Il me lèche à grands coups de langue. Il me mange aussi à son tour. Il le fait de façon gourmande. Vorace. C’est énorme !

-Ho Tonton ! C’est bon ! Mange moi ! Lèche moi .

Et je continue de me frotter sur lui et je coule de plus en plus, je gémis, c’est extra. Une petite pause pour le regarder. Et écarter encore plus les lèvres avant de les plaquer à nouveau sur sa bouche ouverte. Je fais ça souvent avec Agnès, ou elle avec moi. Notre grand plaisir à toutes les deux. Sa langue me fouille avec force. Sa bouche est une bite presque, tellement il est gourmand et mange tout ce qu’il peut. On ne voit plus trop où est sa bouche et où est ma chatte. Je dirige en fait mon minou sur lui et je peux insister là ou j’en ai envie. Je dirige mon plaisir. J’utilise sa langue, ses lèvres, pour faire monter ma jouissance. Cela dure très longtemps comme ça, où je bouge mon bassin d’avant en arrière. J’ai très chaud. Je coule. Je sens mon jus sur mes cuisses. Je me frotte comme sur une queue mais c’est sur une bouche, une langue, et c’est aussi bien Même mieux souvent. Envie de jouir. Je crie un peu. Un grand frisson dans les reins et je me cambre sur lui. Je l’étouffe. Il tient sa queue presque redressée dans une main. De l’autre il masse soit mes seins, soit mes fesses, où alors l’utilise pour m’écarter au mieux et entrer sa bouche le plus loin en moi. Cette fois je lui appartiens.

Je jouis !!! Fort. Comme j’avais envie. Trempée. Il me déguste. Je vois le port, un marin…

Je veux qu’il me caresse encore. Me lève. Je vais m’allonger sur les matelas de transat au sol. Ils sont là pour ça aussi. Je l’entraîne avec moi. M’allonge et lui aussi à mon coté. Il me regarde. Non il m’admire.

-Fait ce que tu veux de moi. Caresse-moi

Il me touche de partout. Il s’est détendu maintenant. Il est moins figé. Il a envie de moi. Il se serre à moi. Sa queue sur le haut de ma cuisse il se frotte et je mets ma main pour recevoir son gland quand il pousse. Il me caresse. Seins, ventre, chatte, cuisses, et encore. Je sais plus.
Il doit avoir plusieurs mains. Je suis son jouet et il en profite. Jamais autant de caresses avec une seule personne. Ils sont au moins 3 ! Il s’attarde entre mes cuisses me force à ouvrir au mieux. Je suis à lui cette fois. Il me caresse, ou mieux, il me branle. Sa main à plat et il me frotte très fort puis en douceur. Il se penche manger un sein puis l’autre. Et ca dure. Ca dure ! Et il prend l’initiative. Il me relève. Et tout en me caressant debout il me plaque sur lui et m’enlace de tout son corps. Je sens sa queue durcit qui se coince entre mes jambes. Il m’embrasse le cou, les épaules. Et il m’assoit sur le transat me repousse en arrière et tire mes jambes pour amener ma foune au bord. Je suis allongée écartée, ouverte, à lui.

Il s’approche et me prend d’un coup comme ça. Je le sens en moi, pas au plus dur qu’il puisse être, mais assez pour me remplir et me fouiller comme il va et vient. Il est excité tonton. Il me caresse les seins pendant que sa queue me prend sauvagement. Il n’a plus de problème dans sa tête. Il me donne des coups de reins qui font reculer le transat. Et chaque coup me fait un bien fou. Dans cette position mon bouton est ressorti et je me touche. Sa main me rejoint et il me prend de plus en plus fort et me branle aussi dans le même temps. Je gémis sous ses coups de queue. Il me regarde. Content. Il me « baise ». Il revit et il me « baise » à sa façon. Son membre est énorme maintenant et chaque fois qu’il rentre il me comble de plus en plus. Il va loin et je suis remplie. Comblée. Je sens mon jus couler par jet sur mes cuisses. Un grand frisson qui part de la nuque, jusqu’au rein et j’ai l’impression de lui transmettre sur sa queue qui me transperce maintenant. Il ne me prend plus, c’est plus que ca, il est déchaîné. Il monte et descend ce qui me fait réagir encore plus. Une fois il passe en me frottant le bouton très fort et la fois suivante il me remonte, et ma chatte est béante et en même temps prise de tout coté. Je m’écarte cette fois avec les mains pour qu’il puisse aller très loin. Je vois des bateaux, des marins, Tonton, encore des marins.

Encore un frisson. Cette fois je me cambre et je reste le bassin en l’air. Il en profite pour me prendre 2 ou 3 fois et je crie ! Il me prend une dernière fois et reste au fond de moi ! Je gémis et mon bassin monte et redescend. Je suis en sueur. Trempée. J’ai jouis encore ! Et très fort ! Plus vite que je pensais mais fort. Il m’a prise avec tant de force que je ressens encore ses coups quand il se retire doucement. Il est dur. Raide. Il n’a pas jouis lui. Trop tôt. Il est ravi. Il m’a pénétré à sa façon. Baiser comme il aime et la petite coquine a tremblée sous ses coups de queue. Elle a jouit ! Il est heureux. Depuis ce matin c’est la première fois qu’il maîtrise.

-C’est trop bon Tonton ! C’est trop bon ! Tu m’as tuée ! J’ai chaud !

Il remet un peu de sa bite dans moi, il me regarde et me caresse partout. Je sers son gland avec ma chatte. Il me sourit.

-Je suis content Julia tu ne peux pas savoir.

-Et moi donc ! Tu vois que ne t’es pas vieux ! Ou alors tu as un greffé une nouvelle bite ! En tout cas je le sens il me fait du bien. J’ai jouis trop vite peut être. Tu pourrais me prendre encore longtemps ! J’aimerais !

-Tu sais à mon âge j’ai des limites !

-T’es fou. On ne m’a pas souvent pris comme ça

Je me relève doucement. Je le tiens par le dard.

-On a encore mérité un verre non ?

Il se remet à sa place. Je vais remplir à nouveau les verres. Je passe par la salle de bain et m’asperge visage et minou pour me rafraîchir. J’emmène une serviette mouillée et fraîche avec moi.
Il est à demi allongé et me regarde avec un sourire indescriptible. Je pose mon plateau. Je prends son membre à demi bandant et le nettoie et le rafraîchit avec la serviette. Ca le fait sursauter. Je reprends ma position. Assise à califourchon sur ses cuisses face à lui. Nos membres face à face également. Lui en demi-érection. Et moi ouverte, rouge, et luisante. Il admire avec un regard d’enfant gâté.
J’ai fait plus qu’un heureux et j’en suis fière et surtout contente. Tout en restant comme ça on boit. On discute. Il caresse doucement mon minou toujours offert. J’en profite pour attraper le portable.

-Ma puce ? Vous sortez du musée ? Ah ok. Oui je vois ! (clin d’œil à Tonton). Parking. Bouchon a la sortie. Ben oui classique ! Vous en avez pour une heure mini ! Ah ok ! Supermarché pour les boissons ? Ok 1h30 mini (encore un clin d’œil au tonton ravi). Une bonne douche et tu seras à moi !

Un clin d’œil à tonton et une caresse sur sa queue !

-Tonton ? Oui il est avec moi ! Tu dis à sa femme qu’il a perdu au scrabble ! Il aura un gage ! Lequel ? Bah tu ne dis rien ! Je t’expliquerais. Bisous ma belle !

-Tu vois on a du temps ! Tu me refais l’amour ?

Il rit !

-Je veux bien tu sais mais je pense que je suis un peu épuisé ! Il fait chaud !

-Tu vois que ce n’était pas une mauvaise journée ! Elle commence !

Je plaisante.

Je reste assise sur lui un long moment. On parle de tout comme si on était là, naturellement. Sa main en permanence entre mes seins et ma chatte. Il fouille gentiment. Moi je joue avec son bel engin.
Beau ce pénis ! Bien ce tonton ! J’en re veux du Monsieur trop âgé ! Trop ! Tu parles !
Et puis on en revient à reparler de sa vie sexuelle et de la mienne. Comment je suis libre, libertine aussi, experte à ses yeux. Surtout vu mon jeune âge. Je lui avoue mes jeux avec Agnès dés l’âge de 14ans, mes copains, et ensuite nos copains, nos trios avec elle et eux. Nos soirées depuis quelques temps avec nos amis. Il est ébahi. Moi ! La gamine avec toutes ces expériences, et lui l’ancien avec sa triste vie ! 3 filles dont sa femme. Pas d’aventures. Et un « sexe » très classique ! Alors ! Moi et mes soirées à plusieurs, ma façon de montrer mon corps sans pudeur, et avec plaisir. Ma façon de guider ses gestes et mon goût incroyable à prendre un pénis en bouche. Il avait vu ça que dans les films qu’il regardait seul. Et maintenant le net (assez doué pour surfer le tonton). Mais lui c’est la première fois qu’une fille le « suçait ». Et une gamine en plus ! Et avec un plaisir et une manière…
Bah oui tonton ! J’aime bien le faire ! Et il parait que je le fais très bien ! J’ai appris ! Et on fait avec Agnès des fois tu sais ! Je lui ai montré et elle aime bien aussi. (Rires)

-Alors jamais toi ?

-Non jamais !

-Attend. Si tu en as envie, je peux te faire plaisir.

-Non ! Julia !

-Pourquoi ? C’est un plaisir pour moi aussi tu sais ! Laisse toi aller !

Je lui fais signe de se taire. J’incline son transat mais pas complètement. Je l’allonge lui à son tour. Je descends ses jambes de chaque coté. Je m’installe le mieux que je peux pour être entre ses jambes. Juste au dessus de sa queue pas encore trop vigoureuse. A genoux devant lui. Ses jambes de chaque coté du transat. Position idéale pour nous deux. Un face à face avec sa queue.

-Ne pense à rien ! Je te promets que moi aussi ca me fait extrêmement plaisir.

Il ne répond pas. Il comprend que j’ai décidé. Il se détend. Presque.

Je passe ma main sur ce membre que je ne pensais pas être à ma portée ce matin, et je n’avais pas prévu d’en être là. Ses boules sont tendres, douces, et bougent mollement dans ma main... je me mets au dessus de lui. J’embrasse et lui caresse les cuisses, le torse, le ventre, et de mes seins aussi. Et son engin qui se dresse encore un peu. Je passe ma main dessus. Il réagit. Il se dresse. Il retombe.

Il ne bouge pas...je m'installe nez à nez avec ce membre qui me réclame. Mes mains sur son ventre, son torse et ses fesses. Je l'embrasse doucement. Je pose mes lèvres sur ces boules qui remontent doucement et je l'embrasse tout du long... petits bisous doux et humides... et je le lèche encore. Je joue de ma langue sur le bout qui se redresse... et je reprends de le lécher comme un fruit... mes mains restent à caresser son ventre. Je prends doucement ce gland dans ma bouche, je l'enferme, joue dessus de ma langue... dans le petit trou aussi... sa queue… elle reprend du volume... je descends en serrant mes lèvres et je l’engloutis doucement toujours. Elle semble me remercier. Je l'enroule... la mâche un peu... la serre... la relâche... et la libère doucement tout en aspirant comme pour la faire grandir encore... elle retombe sur son ventre. Je la lèche de nouveau... la mordille... elle trouve ma bouche toute seule... s'y glisse. Je joue avec ma langue et mon piercing... elle sursaute... et je l'enfouis a nouveau toujours en douceur très lentement en pressant bien... pendant que mes mains caressent son torse ses fesses... elle vit dans ma bouche... des petites gouttes salées par moment... et je la remâche a nouveau... fort... puis la relâche encore... et à nouveau la lécher sur toute la longueur… jouer avec la langue pour la faire un peu bouger... elle se dresse... elle veut retourner au chaud... un gros baiser du bas en haut pour la reprendre encore... et la faire entrer très loin très doucement très serrée.. elle me fait comprendre qu'elle est bien la... et je recommence de cette façon encore et encore... l'engloutir, la manger... la câliner de la langue, la presser et la relâcher en aspirant fort... et chaque fois qu'elle retombe elle me regarde pour pas que je la laisse... jamais je n’ai besoin de ma main pour qu'elle retourne sur ma langue... et encore... et encore... et plus je la mange et plus elle vit et plus elle réclame... maintenant elle vibre elle tressaute quand je la relâche... tu voudrais arrêter ? Tu ne sais plus trop? Les boules une par une dans ma bouche... un gros baiser sur la longueur et de nouveau elle se cambre pour venir se mettre là où il fait bon. Cette fois en la prenant je sens qu'elle bouge... ses fesses se contractent sous mes mains... aurait t’il envie d'arrêter le supplice... elle vibre de plus en plus... elle me demande ma langue de partout. Je la relâche une dernière fois je crois... elle réclame fort cette fois... un baiser encore... et elle retrouve son nid rapidement... elle me prend la bouche maintenant. Elle rentre, ressort nerveusement comme dans mon minou. Il est trempé mon trou... je sens que ça coule sur mes cuisses. Maintenant elle s'agite... je la reprends bien en douceur... la serre... presse de ma langue le canal qui prend du volume. Je monte... redescend... ma boule sur le frein... c'est trop... elle se dresse encore... elle veut en finir... elle me supplie. Je presse encore plus je tourne un peu autour... les sursauts là... un signal un peu plus fort... elle veut... il se fige entièrement... il n'y a plus qu'elle qui vibre… qui vit... je lâche la pression de ma langue... un très long jet chaud au fond de ma bouche. Je le sens passé par le canal... et un autre. Elle a des sursauts... encore un petit... je la relâche un peu. Du jus partout ma bouche... j'en avale... encore un jet très chaud... moins fort... elle se calme. Je la relâche très doucement. Je la laisse un peu tranquille. Je monte sur lui pour l'embrasser avec son jus. Nos langues... son jus... je l'avale... et je retourne pour l'embrasser et la reprendre encore en bouche. Tendrement... je l'aspire... la titille... l'absorbe... elle se détend... et je la garde au chaud... juste ma langue autour pour la calmer... la nettoyer... petit sursaut... petites gouttes encore... comme un 'merci'. Je la relâche... elle retombe... épuisée mais propre... et brillante. Je remonte me blottir... mes cuisses sont trempées… un bateau s’éloigne.

Il est ailleurs tonton ! Son rêve ! Il est tout chose.

-Tu as aimé ?

-Si j’ai aimé ? Mais c’est quoi cette journée, je suis au paradis ?

-Chut !

Je reste blottie sur lui. Il est épuisé. Moi aussi même si je reprends plus vite mes esprits. On est bien en fait. Belle journée en effet. Je suis ravie de lui avoir fait plaisir. Sentiment indéfinissable. Je n’y pensais pas au début et c’est venu par jeu. En fait il ne pleure pas mais c’est limite. Je l’embrasse. Tendrement.

-On a passé un bon moment non ? Et Dali ? Tu voulais y aller ?

On se marre
Il est super mon tonton. Je le verrais plus de la même façon.

-Tu sais quoi ? Faut qu’on se bouge un peu ! Je me douche et je vais t’aider à préparer le poisson tu veux ?

-Oui t’as raison ! Je sais plus ce que j’avais prévu

-Je vais venir avec toi ! Faut je m’habille !

-Ho non Julia ! Dommage ! T’es dans ma tête de toute façon. Je ne peux pas imaginer oublier ca.

-Aller !

Je reprends une dernière fois son membre chaud dans ma bouche et lui passe sa main sur mon minou encore tout trempé. Il a du mal à se lever.

-Aller ! Je te vire !

Il est reparti avec son slip à la main et failli ne pas le remettre pour passer le portail ! Dans les nuages il est !

Moi je range et je file me doucher. Certes avec quelques caresses pour calmer le petit feu encore bien présent. Agnès s’occupera de moi ce soir. Après ma douche je vais le retrouver. Il s’occupe du poisson mais il a la tête ailleurs. Avec moi je pense.

-Alors Tonton ? Ca va ?

-Si ça va ? Tu es folle ! Peut être la plus belle journée de ma vie !

J’ai remis ma brassière. Et une jupette encore plus courte, rose, plissée. Gagnée lors de ma dernière séance photo. Ici d’ailleurs. Jupe de plage, qui va avec un maillot de bain rose, mais qu’on peut porter facilement en vacances. Il se recule pour m’admirer. Il est plus à l’aise que ce matin. Je tourne pour lui montrer ma tenue. Il est très content. Et il s’approche de moi, passe sa main sur mes seins, moi je caresse son membre par-dessus son bermuda. Il descend sur mes cuisses et remonte sur mes fesses. Il cherche. Hé non ! Il n’y a rien. Il cherche bien. Pas de ficelle. Et devant ? Non. Rien !

-Ho Julia ! Tu restes comme ça ?

-Oui ! Tu n’aimes pas ? On mange ensemble ce soir je crois. Comme ça tu sauras que mon minou est là pour toi. Si tu veux on ira au pain ensemble quand ils se prépareront. Ok ?

-Ho mais Julia ! Tu vas me faire …. Encore !

-Bander ? Hum… Alors tant mieux !

Il caresse ma chatte encore un peu et on continue de faire des papillotes, des brochettes de gambas etc.… et il me regarde dans sa cuisine aller et venir avec cette jupe qui vole et dévoile mes fesses quand je tourne. Il passe une journée INOUBLIABLE !

Ils sont rentrés.

On était juste en train de commencer un scrabble. La 5eme partie qu’on a dit. Bon ok, un petit mensonge… Sur la terrasse papa me regarde et scrute ma tenue avec un petit sourire. Content lui aussi de me voir comme ça ! Il m’aurait bien emmené voir Dali dans cette tenue ! Agnès m’embrasse et de mon regard elle comprend que je me suis amusé. Elle ne sait pas comment, mais elle sait.
On avait préparé pour ce soir mais il est très tôt en fait et on a le temps de se détendre. Ils sont passés les uns après les autres à la douche. On finit notre partie, et dés que je peux, je le laisse admirer mon minou tout lisse, tout propre, et encore chaud et humide, où il a passé un moment de la journée. Il le connaît bien maintenant, mais se lasse pas de regarder quand, assise, j’écarte un peu mes jambes pendant qu’il n’y a personne. Quand on a terminé, Agnès sort de la douche et commence à se changer dans notre studio. Elle est sur le lit. Nue. Je m’installe à coté et tout en caressant son corps je commence à lui raconter ma journée. Elle se marre et en même temps elle est assez ébahie !

-Tonton ?! T’as fais ca ? Il est comment ? Pas très jeune pourtant ?! J’y crois pas !

-Je ne te dis pas ma belle comme c’était bon. Et surtout comme il est hyper content ! Je te raconterais ce soir. On va aller au pain après. Tu viens avec moi. Ah tiens regardes !

Je me lève. Pas besoin de montrer. Elle regarde mes cuisses et cette jupette ultra courte.

-Ah ok ! T’es nue là. Super jolie !

-Fais comme moi ! Remarque, je dis ça, mais tu l’aurais sûrement fais de toute façon.

Elle se marre. Fais un petit signe comme si elle n’aurait pas osé. Tu parles !
Notre liberté supplémentaire en vacances !

-Tonton ! On est prêtes ! On va au pain et 2 petites courses vite fait pour nous. Tu nous emmènes ?

Quelle question ! Il lâche son balai ! Prend les clés de sa voiture. Bise rapidement sa femme qui se demande pourquoi il part si vite.

On s’est installées dans sa voiture. Moi devant. Agnès derrière moi. Il nous scrute avant de démarrer. Moi il sait. Mais envie de vérifier à nouveau. Coup d’œil sur mon entre jambes que j’ouvre très grand sur le siège. Minou ouvert ! On ne me voit pas d’ici. Agnès a une jupette un peu plus longue mais à peine. Un petit haut court et moulant qui dessine ses seins et on voit très nettement ses tétons pointer. Il se tourne et la scrute aussi. Plus trop timide. Là, il découvre que ma belle est tout aussi peu couverte que moi, et tout aussi lisse, et tout aussi rose. Il laisse un moment ses yeux branchés sur le minou offert d’Agnès. Soufflé qu’il est le tonton ! Il me regarde et comme je me marre un peu il comprend que ma belle a suivi mes consignes. Elle a décidé de jouer aussi avec lui. Il va sortir en ville avec 2 gamines en tenue hyper sexy et 2 minous sublimes et accessibles ! Je ne vérifie pas, mais il doit bander comme tout à l’heure.

-Ho les filles ! Vous êtes supers belles (sous entendu bandantes).

On va ainsi au pain et chercher des crèmes et produits. Il est resté derrière nous. Les yeux fixés sur nos fesses et en attente qu’un geste ou un coup de vent en dévoile plus que ca !
Il n’aurait jamais pu rêver d’une journée aussi… Lui avec les reines de la ville ! Tout le monde les regarde mais elles sont avec lui. Et elle, là ! Elle était dans ses bras il y a 2 heures ! Oui ! Elle ! On le prend chacune par un bras, ce qui du coup lui fait ressentir mon sein gauche et le sein droit d’Agnès. Il est sur un nuage. Je revois des bateaux et des regards encore. La petite chaleur intime ne me quitte pas. On a fait quelques vitrines ainsi, avec un zombie entre nous.

On rentre en roulant très doucement. Au bout de la rue avant d’arriver il a osé poser sa main entre mes jambes en regardant dans le même temps Agnès, non pas dans les yeux, mais en haut de ses cuisses à elle. Et elle, elle ouvre en grand ses jambes, ce qui écarte au mieux son pénis, avec un sourire pour lui faire comprendre qu’elle joue aussi maintenant.
On a du touché 2 fois le trottoir sur les 20 derniers mètres. Une fois stationné, il regarde à nouveau Agnès, passe encore sa main entre mes jambes, et moi, je pose ma main sur son short pour prendre son dard bien dur a travers le tissus. Il bande encore plus que cet après midi ! Il nous regarde descendre de sa voiture. On rentre chez nous et lui chez lui.

Le soir, apéro, suivi du poisson au feu de Tonton. Soirée spéciale pour lui. On fait un peu nos belles en jouant de notre effet sur lui. On « virevolte » comme dis papa comme des papillons. Décidées à faire nos fofolles. Il nous regarde avec un sourire béat. Même que sa femme lui donne des coups de coudes quand il est plongé dans mon décolleté et qu’il répond à coté des questions qu’on lui pose. Ailleurs qu’il est. Je sais où moi !

Il mate les 2 filles qui sont en face de lui à table. Si possible, elles ouvrent leurs jambes, selon la présence ou pas du reste de la troupe. Il a croisé Agnès en débarrassant dans la cuisine. Elle s’est collée sur son chibre en se penchant pour ranger dans le frigo. Elle a senti son engin dur se caler entre ses fesses. Ils sont ressortis et il a oublié de poser ce avec quoi il était parti.

-T’as pas ta tête Tonton ?

-Ha zut quel idiot ! Le soleil ! Je perds la boule !

Il retourne avec un clin d’œil poser ses assiettes sales.
Quelle journée ! Quelle journée !

On est allé faire un tour en ville toutes les deux, et quand on est rentrées, il était sur sa terrasse avec sa femme. Mes parents étaient partis aussi se balader. On est allé leur faire un petit bisou. Il nous a sorti un clin d’œil à chacune et un regard qui disait : vous êtes extras les filles ! Je vous…

-A demain Tonton !

On est rentré, on s’est douché, et vite au lit pour les détails de ma journée en faisant l’amour a ma belle. Contente aussi la Julia ! Pas sur un nuage, mais sur un bateau…

A demain.
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Histoire de Julia_bleau

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Commentaires du récit : Vacances espagnoles

Le 11/10/2017 - 20:48 par gailuron69
Une des plus belles histoires que j'ai lues.
Le 28/09/2015 - 11:10 par Bibi49
Récit vraiment très excitant, j'adorerais vous rencontrer !
Le 22/12/2009 - 18:34 par cancune
Bravo a toi! J'ai adoré cette histoire! waou ca donne envie de se promener sans dessous! je vais tenter l'experience cet été c'est promis!

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