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Agnès+Flore

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Lue : 1814 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 28/10/2013

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- Pierre !

Qui peut bien m’interpeller en pleine rue. Une femme, assez jolie. Je ne reconnais absolument pas. Vue comme ça, j’avoue que je me laisserais bien tenter d’aller très loin avec elle.
- Mais, si c’est moi, la copine d’Agnès.

En voilà une autre, je ne connais aucune Agnès. J’attends que le spécimen de femme jolie soit plus près. C’est vrai je ne la connais pas du tout, en plus « copine d’Agnès ». Et oui, c’est vrai la copine d’une copine. Allons j’en suis quitte pour lui payer une consommation dans le premier bistro venu.

Et blabla, et blabla. Elle me raconte sa vie depuis Eve. Si je pouvais-je la ferais taire. Comment. Je ne connais qu’un moyen : lui fermer la bouche, même si je prends une beigne. Je la prends dans mes bras, elle a l’air étonnée. Elle est encore plus étonnée quand je pose mes lèvres sur les siennes. Grand silence, enfin, plaisir d’avoir des douces lèvres contre les miennes. Emporter par l’élan ma main se pose sur un sein. Je ne fis que le frôler, le caresser par-dessus des habits.

Elle a un air effaré. Je ne suis pas un ogre, même pour la copine d’Agnès.
- Ecoutez, je ne connais pas d’Agnès, je ne sais même pas qui est Agnès.
- C’est ma copine. Nous étions ensemble au collège, Rue de Verdun.

Houlà, que de vieux souvenirs. Bien sur le collège, c’est loin. C’est vrai que je connaissais une Agnès. C’était ma voisine de banc, même pas une camarade. Et puis me revient le visage de celle qui m’interpelle : elle était à trois banc derrière, c’est vrai qu’elle avait une camarade..

Mais la chenille s’est transformée en un joli papillon. Un papillon bon à dévorer pour moi, cannibale de belles filles.
- Que deviens-tu ?
- Je travaille ici depuis deux mois, je me sens seule. Tu veux me tenir compagnie ?
- Tu ne sais pas qui je suis : je peux te vouloir dans mon lit.
- Et alors, je suis si moche ?
- Non, ce n’est pas ça, c’est que……

Je bafouille comme un idiot. Elle est à croquer, seulement j’ai un défaut : je suis fidèle à ma compagne du moment : Flore. Un beau morceau de fille cette Flore muni d’un solide appétit sexuel.
- Si tu m’invitais ?
- A faire quoi ?
- Que font un garçon a trop mal et une file bien fichue ?
- Je ne sais pas, ils parlent ?
- Ou ils couchent.
- Et tu voudrais que nous …..
- Baisions oui, tu es contre ?

Vers quoi je me suis embarqué. Elle est adorable, attirante. Elle me fait envie, mais ma chérie alors. Elles se connaissent peut être ? Nous étions dans la même classe. Et puis tant pis : je l’invite chez moi ce soir je verrais bien les dégâts.

Tout ce passe merveilleusement bien. Vers la fin c’est Flore qui pose une question embarrassante : est-ce que je plairais à Agnès pour une petite gâterie ?

Non elle ne demande pas à Agnès de me faire une fellation, là devant elle ?
- Moi, il me plait assez, sa queue doit être dure quand il bande.
- Il est dur ! J’aime l’avoir dans le con et toi ?
- J’aimerais le tester comme baiseur.
- Tu n’as jamais baisé avec lui ?
- Ben, non pas encore avec lui. Si tu me le prête je le sucerais bien.
- Aides moi à le défroquer.

Je suis quoi, moi, un reproducteur dans un champ, un donneur de sperme, un étalon ? Elles ne se jettent pas sur moi, elles s’approchent délicatement. C’est Agnès qui a l’honneur d’ouvrir mon pantalon. C’est Flore, ma très chère épouse qui sort ma queue. Qui serait étonné que je ne bande pas encore. Flore tend mon étendard à notre amie Agnès qui se penche en signe de respect sur ma queue. La bite se tend rapidement. La bouche me prend le gland avec beaucoup de douceur. Visiblement je ne suis pas son premier. Flore caresse les couilles, descend encore plus bas. Je lui refuse d’aller me tripoter le cul, même si elle aime ça.

Pendant qu’Agnès m’essore la queue j’entends Flore :
- Quand il aura jouit nous nous caresserons les chattes comme avant, des fois.
- Tu t’en souviens encore.
- Oui, je me branle en pensant à ta langue.
- Salope.

Elles me font jouir en évoquant leurs souvenirs de minettes caressées pas l’autre. Ma queue a considérablement augmentée en volume. Il fut dire qu’Agnès sait bien lécher en faisant durer le plaisir. Je veux parler !
- Hey, je voudrais la baiser aussi. Pas seulement entre vous.
- Jouis et tais-toi.
- Et toi Flore vas-y branles moi.

Agnès écarte un peu les cuisses, donnant à voir sa chatte nue, sans culotte. Poudrant il me semble bien qu’elle en portait une tout à l’heure. Devant moi, impuissant la main passe sur un genou. Elle est très lente en montant. Flore ferme les yeux, évadée vers je ne sais quel monde. La jupe cède sa place, la main monte toujours. Elle redescend avant de reprendre son ascension. Le visage de Flore est entièrement changé : je sens qu’elle prend du plaisir rien qu’à se faire caresser. Enfin la main est tout près de la chatte. Flore est livide. Je vois clairement deux doigts se glisser totalement dans la fente. Ils la fouillent lentement. Toute la partie extérieure du sexe est là, dans la main. Elle commence à avoir des mouvements d’aller et venue. Flore est masturbée devant moi. Celle qui la branle semble prendre autant de plaisir.

Flore toujours dans l’attente d’un orgasme pose sa main sur la jambe d’Agnès qui se laisse faire. Elle a aussi un visage décoloré. Elle est dans l’attende de l’avance finale. Les doigts de Flore démarrent leur petit travail de donneur de plaisirs. Le bas ventre de Flore est agité des plaisirs qu’elle reçoit, presque de ceux qu’elle distribue. Leurs réactions sonores ne sont pas les mêmes : Flore semble miauler, Agnès grogne doucement. Elles sont tendues vers la main qui les soigne. Et là, simultanément elles se laissent envahir par l’orgasme. C’est magnifique de voir leur visage déformé la seconde d’avant devenir angéliques sous la jouissance, un peu plus longues chez Flore.

Je restais entre terre et ciel ma queue toujours bandée. Je me suis soulagé seul en leur envoyant à leur grande surprise mon sperme.

Elles n’avaient pas encore terminé : les files sont plus longues à satisfaire. Flore demande à Agnès :
- Tu veux que je te baise avec mon gode ?
- Dans le cul ?
- Oui, si tu aimes.
- Dans le cul alors, j’ai joui de l’autre côté, par le con.
- Tu me suceras ?
- Pendant que tu m’encules ? Oui, bien sûr.

Flore nous laisse seuls avec Agnès :
- Elle va m’enculer, c’est la première fois qu’une autre fille me la mettra au cul. Tu te branleras ?
- Oui, en te regardant.

Mes deux nanas vont baiser encore et je ne vais rien faire. Attention au premier trou que je vois. Il aura droit à ma pine. Quand Flore revient, elle tient en main le gode que je connais (c’est moi qui le lui ai offert pour Noël) Lentement elle vient se coucher près d’Agnès qui se touche en attendant. Elle mouille de gode dans la bouche comme elle fait pour se le mettre. Mais là c’est une autre qui va profiter de l‘introduction de ce faux sexe : si elle est comme ma nana, elle va bien jouir. Agnès se donne comme elle le ferait avec moi ou un autre. La queue monte doucement entre ses jambes, elle les écarte au maximum, le plus grand possible. Toute sa chatte est en vue. Je me touche déjà. La main de ma chérie s’approche avec le gode vers le trou visé. Il entre posément dans le con, il le distend un peu. Agnès gémit sous la charge. Elle se tort en suivant la pénétration. Agnès passe son autre main entre les fesses, son doigt passe sur l’anus d’Agnès qui ouvre bien son cul ; elle connait d’avance la suite. Le doigt entre en elle. Elle ferme un peu l’anus comme pour mieux profiler de la sodomie. Le con occupé, le cul consacré, Agnès jouit deux ou trois fois de suite.

Elles m’énervent à prendre leur plaisir sans moi. Je me lève un peu, déménage à peine : je suis sur les fesses de Flore. A son tour. J’écarte les fesses, passe ma queue doucement. J’entre en elle pour la première fois très facilement. Je sens mon pubis contre ses fesses : sa main cherche ma queue comme pour l’encourager. Mes couilles battent contre le visage d’Agnès. Nous jouissons ensemble pour une fois que je ne suis pas en avance. Et Agnès, elle jouit aussi.
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Histoire de baiserjouir

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