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Claire, sa maîtresse et les amants

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Lue : 1176 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 28/10/2013

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- Mets moi là au cul.
- Au fond ?
- Oui, vas-y j’aime quand tu me bourre comme ça. Je vais jouir, ne sors pas encore, attends que j’ai fini de jouir.

Je reste planté dans son ventre de Claire, le temps qu’elle veut : je me retiens pour ne pas jouir moi aussi. Et puis, elle fait un mouvement involontaire : mon jus part à fond dans son cul. Je sens bien ses tissus se serrer autour de la queue. Je sors d’elle, ma bite en défection complète au moins pour 5 minutes. Je vais passer ce temps à lui donner ce qu’elle aime : un petit quelque chose en plus ; ma langue qui sait s’agiter dans son intimité. Si elle aime se faire lécher, j’aime la sentir comme une nouveauté, un peu étrange poivrée à peine, salée un peu, un jus qui facilite les mouvements de la langue. Elle le sait depuis le temps que nous baisons. C’est même je crois ce qui l’attire vers moi, mes façons particulières. J’ai sorti ma queue de son cul, c’est ma langue qui y retourne pour gouter mon sperme, un reste de cyprine égaré par hasard, un mélange peu commun.
- J’aimerais te vois avec une autre femme pour que tu jouisses autrement.
- Et toi tu nous baiseras ?
- Si tu le veux, seulement si tu le veux.
- Tu sais j’aimerais me faire baiser par une grosse bite. Tu me trouverais qui il faut ?
- Bien sur chérie si tu trouves la fille aussi.

Nous passons un drôle de contrat : elle doit trouver une amante et moi un amant. C’est pour samedi : court comme délai. Pour elle je ne sais comment elle fait. Moi je trouve un copain près à baiser ma femme qu’il connait vaguement. Elle est bonne à baiser pour lui.

Vers 20 heures le samedi je suis chez elle. A voir sa tenue, je sais qu’elle a passé une bonne partie de l’après midi au lit avec cette Jeanne : une nana inconnue pour moi, un peu vulgaire, sans doute une voisine.
- Tu peux baiser avec elle, elle aime ça : nous avons passé un après-midi du tonnerre. Qu’est-ce qu’elle m’a faite jouir. Tu as trouvé un mec pour moi ?
- Oui, je crois même qu’il est bien monté.
- Chic alors, je n’ai jamais eu de grosse bite dans le con.
- Et le cul ?
- Je fais essayer.
- Tu me montre comment tu fais avec la fille.
- Tu me tente ?
- Oui, je veux te voir.

Ni une ni deux, les deux filles s’embrassent comme ça. C’est Jeanne qui commence à la caresser, les épaules d’abord, les seins ensuite. Claire se laisse faire, participe un peu en rendant les baisers. Jeanne est en avance, elle caresse déjà le ventre, s’insinue sans la chatte. Claire ouvre ses jambes. La main de son amante et vite sur elle. Les doigts tripotent l’intérieur de la chatte. Je les vois s’insinuer dans les lèvres, les écarter, prendre à deux doigts le clitoris ; Claire gémit, se tend pour se laisser aller vers un orgasme que je sens comme fort.

Je les regarde, n’osant pas déranger leur plaisir. Pourtant ma bite déjà bien dure rien qu’à penser à aller leur rendre une visite sinon amicale, mais intéressée.

Jeanne me veut, elle me demande d’urgence. Où, je ne sais pas encore. Elle tend ses lèvres vers la queue. Je me penche vers elle. Elle prend ma bite entre ses mains, elle ma caresse lentement, elle attrape les couilles, les caresse aussi. Sa langue vient lécher le tour de la pine : elle monte doucement vers le gland. Je suis son pantin. Ses lèvres m’entourent, me cernent. Sa langue suit tous les détails du nœud. Elle a du faire des études de médecines poussées. C’est chaud, humide, jouissif, le printemps avant l’heure.. Mais elle sait s’arrêter souvent pour que je ne jouisse pas. Et tout ça pourquoi ?

Elle fait jouir Claire qui n’en demandait sans doute pas tant puisqu’elle lui donne ma bite. Jeanne me dirige vers le con de Claire, me pose sur lui. Un petit coup sur les fesses pour me donner le top départ.

Je baise ma copine devant une autre fille qui l’a faite jouir devant moi ; Claire ne demande pas mieux de se faire mettre devant l’autre fille qui passe son temps à sa façon : la main sur la chatte, la main qui la branle en nous regardant. La main qui passe par derrière vers le petit trou. Claire la voyant faire me demande de l’enculer encore. J’entre en faisant bien attention à son cul. Elle pousse pour que je sois bien au fond. Je la croyais plus réservée. Pendant l’amour elle est déchaînée.

22 heures : je sais que le copain arrive. Je suis avec Claire, ma Claire, et Jeanne, notre amante du moment. Arrive un escogriffe. Un coucou qui vent prendre ma place. Il plait à Claire, il plait à Jeanne. Pour moi, bof. Il connait un peu Jeanne (ils ont passé des soirées ensemble) Sans embarras, il embrasse Claire sur le bouche.

Il est vite nu : la seule chose visible est sa queue. Un morceau inhabituel qui tient plus de l’âne que de l’humain. Autour du gland une matière blanchâtre. Bizarre qu’il ne se soit pas laver. C’est ce qui plait à Jeanne. Elle enrobe le gland, le nettoie pour le laisser comme sous neuf.

Cette bite plait à Claire. Elle la veut aussi dans le cul. Je ne pensais jamais qu’elle adopte la sodomie rapidement. Elle prend quand même ses précautions : elle fait coucher le nouveau sur le dos, vas sur lui, face à lui, prend la queue, la soupèse avant de la poser sur son petit trou. Elle s’y assied doucement : je peux voir la queue entrer doucement dans son cul délicat. Elle écarte les chairs du cul, fait descendre le prépuce, entre doucement. Claire fait de grimaces, celles d’une femme qui a mal. Son visage s’adoucit quand ce nouveau plaisir spécial lui est procuré. Son visage se détend pour se durcir encore juste au moment où elle sent un orgasme inconnu l’envahir. Elle me fait un geste que je comprends, elle me veut dans sa bouche. Je lui donne ma queue. Elle me mange en grande partie, Ses mains sont autour de mes fesses. Elle les ouvre pour chercher mon petit trou pour la première fois. Je sens ses doigts, je ne sais combien venir en moi. Elle m’encule sans préliminaire.

Elle finit sa sodomie, me fait mettre en levrette, m’offre à son amant. Je reçois une belle bite dans mon anus. Si elle ne m’avait pas élargi j’aurai hurlé de douleur. Mais là, c’est pas bon, c’est acceptable. Sauf qu’il me la met je ne sais ou : je bande encore plus, j’éjacule en jouissant ! Mon premier orgasme avec un homme, sans doute pas le dernier.
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Histoire de baiserjouir

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