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Aide-moi à m'habiller (3)

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Lue : 0 fois - Commentaire(s) : 0 - Histoire postée le 09/08/2023

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AIDE-MOI A M'HABILLER (3)


Je finissais ma visio quand je l'ai entendue approcher. Un rien frustré, parce que la visio avait duré plus longtemps que prévu. Or, un de mes plus grands plaisirs, quand j'étais à la maison, c'était d'aller l'attendre. Elle était régulière, et je savais qu'elle serait toujours là sur le coup de 16 heures. J'aimais l'entendre arriver, sentir une présence, et aussi entendre ses talons, puisque, bottes ou escarpins, elle avait toujours des talons.
Et puis elle ouvrait la porte, remplissait l'espace. C'étaient les retrouvailles. Et tout de suite très chaud, avec la formule 'Tu as envie qu'on passe un moment ensemble ?' Comment dire non quand vous étiez en train, déjà, de dévorer un téton, de caresser un clitoris, ou qu'une main allait et venait sur votre queue ?
Mais là, j'avais été pris par la visio, et je n'avais pas vu le temps passer.
Au final, ça ne changeait pas grand chose. Elle est arrivée devant moi, souriante, l'odeur entêtante de son parfum venant me caresser les narines.
Elle s'est approchée.
--Pfff...La journée est finie.
--Ca a été mieux cet après-midi ?
--Oui, heureusement.
Elle a poussé un soupir.
--Je ne sais pas ce qui m'arrive aujourd'hui, j'ai le feu au cul.
J'ai envie de lui répondre qu'elle avait tous les jours le feu au cul. Et que je ne m'en plaignais pas. Elle s'est approchée de moi, et elle a tendu la main pour attraper l'élastique de mon jogging. Elle a descendu mon calecon en même temps, révélant une queue encore toute molle.
--Voilà une queue qui ne demande qu'à grossir.
Elle s'est mise à genoux, et,elle a promené sa langue dardée sur ma queue qui s'est gorgée de sang, à sa plus grande satisfaction. Dans un même temps, elle a attrapé ma main, et elle l'a fourrée dans son décolleté. J'ai plongé dans son soutien-gorge pour caresser ses seins à la peau douce, et venir frôler des tétons qui étaient déjà durs.
Il a fallu quelques minutes pour que ma queue soit collée à mon ventre. On alternait des moments plus longs et d'autres très brefs. Ca pouvait être très rapide, quand elle avait très envie, ou moi, ou les deux. Parfois pas même un mot. Une semaine plus tôt, taraudé par une envie de sexe en fin d'après-midi, et parce qu'on était seuls dans la maison, j'avais été la rejoindre alors qu'elle préparait une tarte aux pommes.
--Tu viens me voir, mon chéri ?, elle m'avait demandé.
Elle était devant une table, il y avait un moule à tartes qu'elle garnissait de tranches de pommes qu'elle épluchait et coupait au fur et à mesure.
Sans mot dire, j'ai soulevé sa robe. Elle avait noué un tablier autour de sa taille. Dessous, elle n'avait pas de slip, et la vision de sa croupe nue, pleine, rebondie, comme tendue vers moi avait poussé mon désir à un cran supplémentaire.
--Je crois deviner pourquoi tu viens me voir...Tu as une grosse envie ?
Elle avait tendu la main en arrière pour vérification, sortant de mon jogging ma queue, gorgée de sang ('Hé ben dis donc, tu as une grosse envie...') en même même temps que je posais mon index en haut de son sillon fessier, et que je descendais le long de celui-ci, contre sa chair délicate, me posant un moment sur son anus, dont la muqueuse souple bougeait au rythme de mon doigt.
--Ah, c'est bon...Tu me fais du bien...Et voilà, je préparais une tarte aux pommes pour demain et tu viens me perturber.
Je suis arrivé au bout du sillon, passé sur une zone lisse, arrivant sur la déchirure de son sexe, contre lequel j'ai plaqué ma main sans la bouger. Même sans le caresser, son sexe a réagi, quasiment clos, il s'est ouvert, et un liquide chaud a coulé dans ma paume...Elle a gémi et s'est pliée en deux, alors qu'une mare se formait dans ma main, qui a débordé.
--Ahhh, elle a fait. Et voilà, j'étais bien tranquille et tu viens me perturber...Je ne sais pas si on aura une tarte aux pommes ce soir par ta faute.
Elle dérivait comme un naufragé au milieu d'une mer décharnée, se raccrochant à une bouée. En l' occurence, la bouée c'était ma queue qu'elle caressait, et qui, en quelques secondes, avait gagné quelques centimètres en longueur, et millimètres en épaisseur.
--Et voilà ce que tu m'as mis dans la tête. J'ai trop envie que tu me fourres, maintenant. Je veux que tu sois très gros, pour que je sois bien remplie.
Une partie de mon excitation venait de la manière, crue et sans pudeur qu'elle avait de parler.
J'avais caressé son sexe encore un moment, le sentant devenir une béance. Suffisamment ouvert pour pouvoir m'accueillir.
--Tu veux que je me penche plus en avant ?
J'ai baissé les yeux, admirant le tableau parfait qu'elle m'offrait, les mains posées autour du moule contenant la tarte aux pommes en devenir. La robe troussée, sa croupe pleine, coupée en deux par un sillon profond, suffisamment ouverte pour que je puisse bien voir les plissements de son anus, et en bas sa vulve, béante, intérieur bien visible, les parois le long desquelles coulaient ses liquides intimes qui venaient tremper ses cuisses...Elle a poussé un long gémissement quand je suis venu appuyer mon gland contre ses lèvres, et qu'au lieu de la pénétrer, je suis resté à la surface de son sexe, frottant ce qui émergeait d'elle.
--Tu me fais totalement perdre le contrôle, elle a dit, quand j'ai relâché la pression.
--Et c'est que le début, j'ai dit en faisant glisser la tête de ma queue dans sa vulve. Elle n'a rien senti dans l'immédiat et c'est seulement quand j'ai commencé à aller plus loin en elle qu'elle a poussé de petits cris. J'ai gardé le regard rivé à son cul, pendant que je la fouillais, allant plus rapidement ou plus lentement, sentant la gaine infiniment chaude et infiniment douce de son sexe autour de moi comme le plus grand des plaisirs, et que ses jus intimes coulaient autour de moi, tout chauds, poissant nos deux chairs. Ce qui me plaisait tout autant, c'était de sentir comment son corps réagissait, cette montée du plaisir qui se manifestait en tensions et tremblements, en gémissements et en cris. Ca a été très rapide, trop rapide sans doute, juste une envie de sexe à satisfaire, mais je ne me sentais pas coupable, elle ne faisait pas différemment quand elle avait envie elle aussi et qu'elle formulait des demandes parfois surprenantes. Et puis elle prenait et elle avait pris du plaisir elle aussi,
J'ai joui relativement rapidement, elle, elle était proche de la jouissance, parfois elle me devançait, mais pas toujours, et elle a basculé de l'autre côté quand le premier jet de sperme est parti, venant cogner contre ses parois internes, suivi par bien d'autres. On discutait souvent des moments de sexe qu'on avait ensemble, ça me plaisir bien qu'on puisse analyser, ce qui était bien, pas bien pour nous, ce qui nous avait plu, et elle m'avait dit que ce qu'elle adorait, c'était sentir mon sperme venir cogner contre les parois internes de son vagin, et que j'aie des éjaculations vraiment copieuses, qui n'en finissaient pas...Après, elle m'avait révélé qu'elle contractait ses muscles vaginaux pour garder mon sperme en elle, et le laisser sortir lentement d'elle. Le sentir ruisseler d'elle la mettait en transes, et l'amenait au bord de l'orgasme, voire à l'orgasme si elle poussait un peu, en se frottant le gland clitoridien par exemple.
Je suis sorti d'elle, et j'avais encore mon gland en elle quand j'ai senti qu'elle contractait ses muscles vaginaux pour garder ma semence en elle. Il y a eu pourtant un jet de sperme qui est sorti en même temps que ma queue, et qui est venu se perdre sur sa cuisse. Elle est restée immobile un instant, avant de se redresser.
--Pfff...Je m'attendais pas à ça...Ca a été un moment bienvenu.
Elle a redescendu la robe, masquant ses fesses et sa vulve toute gonflée, qu'elle tenait serrée. Elle s'est remis à couper les pommes. Je suis parti en imaginant la semence sortir chaque fois qu'elle desserrerait ses muscles vaginaux, lui donnant du plaisir et évoquant celui qu'elle avait pu avoir quand ma queue l'avait fouillée.
Et, comme la semaine passée, ça a été très vite. Ma queue en pleine érection, collée contre mon ventre, elle s'est redressée et a fait passer sa robe par dessus ses épaules, dégrafé le soutien-gorge qui a rejoint la robe, avant qu'elle ne descende le collant et la culotte, qu'elle n'a pu enlever, puisqu'elle avait gardé ses bottes. Amenés au début de celles-ci, en dessous de ses genoux, ils ne nous gênaient nullement.
Elle aurait pu venir se placer face à moi, au lieu de cela, elle a adopté une autre technique. C'était d'ailleurs cela qui me plaisait avec elle. Elle partait sur de l'inattendu. Les petites copines que j'avais étaient bien incapables d'en faire autant, dans des pratiques, des techniques qui étaient rudimentaires, sans sensualité. Qu'il y ait de la maladresse encore, ça ne me gênait pas, mais il n'y avait pas d'imagination derrière, et surtout, pas vraiment d'envie. Alors bien sûr entre une femme de quarante-cinq ans et une fille de vingt, les choses étaient forcément différentes...Mais ca ne changeait rien à l'affaire...Je savais ce que je perdrais quand nous serions, forcément, éloignés l'un de l'autre. Raison pour laquelle je profitais, encore plus intensément qu'elle, de ces moments.
On dit que le Diable se niche dans les détails. Le plaisir aussi, sans aucun doute.
Ce que j'ai trouvé très agréable, ça a été de la voir descendre sur moi en me tournant le dos, me présentant ses fesses, pour lesquelles j'éprouvais une véritable fascination, dont j'aimais l'hypertrophie, qui tendaient, dans leur volume et leur rebondi, tous les tissus, et qui, nues sous mes yeux, tremblaient légèrement, et de venir chercher ma queue de la main pour la guider vers l'ouverture de son sexe. Un jet de mouille est tombé sur mon gland, juste avant que ma queue ne commence à rentrer en elle, et que je me retrouve, une fois qu'elle a été assise sur moi, bien fiché en elle, entouré par sa chair intime, si douce, si délicate, si chaude. J'aurais pu passer la journée comme ça, fiché en elle. Mais sans doute, je ne le savais pas, qu'elle, elle aurait pu passer la journée avec mon sexe en elle.
Au tout début,il y avait eu simplement cette fois où elle m'avait surpris occupé à me masturber dans ma chambre. Je ne savais même pas qu'elle était dans la maison. Là où une belle-mère classique m'aurait sans aucun doute morigéné, dit, dans le pire des cas 'C'est pas bien de se branler !', ou, en plus soft 'Tu aurais pu fermer ta porte !' elle m'avait considéré simplement une seconde avant de me dire
--Tu veux que je m'occupe de toi ? Ca sera plus cool.
Cool, c'était un mot interchangeable qui pouvait vouloir dire beaucoup de choses. Je n'avais d'ailleurs pas été tellement surpris que ça de se réaction, Non seulement on s'entendait bien, mais ce n'était pas un critère suffisant, mais j'avais bien compris qu'elle était assez libre, et qu'elle avait une vision très large du sexe.
Elle s'était laissée glisser sur le lit sur lequel j'étais allongé et sa main est venue remplacer la mienne autour de ma queue. J'ai tout de suite senti la différence, et j'ai d'ailleurs failli jouir. Une main de femme, chaude, douce autour de soi...Elle savait caresser, et elle s'est mise à tourner sur moi, frottant de la pulpe de ses doigts des parties de ma queue...Mon liquide pré-semenciel dégoulinait littéralement, comme jamais il n'avait coulé avec moi.
Je pensais qu'elle allait juste me branler, mais elle avait fait passer un fin chandail jaune qu'elle portait à même la peau par dessus ses épaules, me révélant ce qui se devinait : elle n'avait pas de soutien-gorge dessous, et ses seins étaient aussi ronds que fermes. Je pensais qu'elle voulait m'offrir ses seins pendant qu'elle me branlait, à mes mains et à ma bouche, mais ça n'avait pas été du tout ça. Elle avait glissé sur moi et calé ma queue, qui avait pris un tiers de volume en plus à force d'être aussi habilement branlée, entre ses seins. Il y avait deux tiers entre ses seins, invisibles, et un tiers qui dépassait dans son décolleté. Et elle avait exercé une double caresse, me frottant avec ses seins, et en même temps baladant sa langue sur mon gland. J'avais vu ce qu'elle savait faire, ce qu'elle pouvait faire, ce mélange justement d'expérience et d'imagination, d'initiative aussi, qui faisait sa spécificité.
Etait-ce parce que ce moment était aussi fort, aussi excitant, que j'avais joui de manière aussi intense...Elle avait ri en me laissant la maculer de la semence qui sortait de moi, comme si je ne m'étais pas vidé depuis six mois, arrosant son décolleté, son cou, et son visage, heureuse d'être ainsi maculée.
--Ben dis donc, tu avais besoin de te vider, toi, elle avait constaté, avant de ramasser une coulée de sperme sur sa joue, de porter ses doigts à sa bouche et de les lécher, ce qui, troublé par ce geste, et alors qu'elle m'avait lâché, m'avait valu à ma grande surprise de jouir à nouveau, et de cracher du sperme dans les airs.
Toujours posée sur le lit, elle m'avait dit :
--Tu sais, je suis tout à fait d'accord pour qu'on ait des moments de plaisir à nouveau. Ca te fera du bien, et à moi aussi. La seule chose à laquelle je ne tiens pas, c'est que tu viennes dans ma chatte. Je la réserve pour ton père. Je veux faire la différence entre lui et moi. Mais on peut faire des centaines de choses sans que tu sois dans mon ventre.
Ca avait tenu quelques mois avant que la limite interdite ne soit franchie. C'était qu'on avait été surpris elle et moi par le rapprochement entre nous, l'intensité, qu'on n'avait ni l'un ni l'autre imaginés.
Son cul reposait contre mon ventre, son poids et sa chaleur appuyant contre moi. Elle me rappelait une phrase que j'avais lue dans un texte 'elle avait les seins trois kilomètres devant et le cul trois kilomètres derrière.' Ca lui allait très bien.
Je suis venu empoigner ses fesses à pleines mains, esquissant une caresse dessus, avant de glisser mon index sur sa muqueuse anale, pour venir la frotter.
Je pensais qu'elle allait esquisser un mouvement de caresse de haut en bas, et de bas en haut, mais il n'en a rien été. J'ai senti la première contraction, elle a resserré ses muscles vaginaux autour de ma queue, me gardant bien serré, avant de desserrer. J'ai été incapable de me retenir de jouir, tellement c'était fort, j'aii gémi, traversé par un orgasme, et j'ai craché du sperme dans son intimité. Elle a gémi aussi.
--Il faut pas que tu jouisses maintenant. Je veux te garder bien dur dans ma chatte pour bien jouir moi aussi.
--C'est une caresse qui me rend fou.
--Il faut que tu te maîtrises.
C'était une caresse qu'elle ne me faisait pas souvent, et que mes petites copines auraient été bien incapables de me faire. Serrer et desserrer ses muscles vaginaux autour de moi. La sensation était irrésistible. C'était, sommairement, comme si une main était venue serrer ma queue puis l'avait lâché, mais c'était mille fois mieux. Une sensation de velours autour de moi. A chaque fois j'avais le même problème. La difficulté à me contenir.
Je me suis pourtant maîtrisé, pensant qu'elle reproduisait sa caresse, avec des variations, me gardant enveloppé plus ou moins longtemps.
--J'ai l'impression que tu as triplé de volume depuis le moment où tu es rentré dans ma chatte...Tu vas m'écarteler...Contrôle-toi bien, je vais te faire quelque chose que tu n'oublieras pas.
Elle s'est bien contractée, resserrant ses muscles vaginaux autour de moi, et, très lentement, elle s'est mise à pivoter. Il y a eu cette double caresse, le resserrement de ses muscles vaginaux autour de moi, et le mouvement le pivot, un frottement supplémentaire.
Je suis passé ce jour-là à un degrè supplémentaire de maîtrise...Comme quoi on peut toujours progresser. En d'autres temps, j'aurais joui au milieu de la caresse, mais j'aii tenu bon. Ee le plaisir a été immense, pendant qu'elle continuait de tourner, jusqu'à se stabiliser devant moi.
--Hmmm, elle a fait, ta bite à encore grossi...J'ai l'impression que tu repousses les parois de ma chatte...C'est bon comme ça...
En riant, elle a serré plusieurs fois ses muscles vaginaux.
--Bon, hé bien maintenant que tu es énorme, on peut envisager autre chose...
Cet autre chose, j'en avais une petite idée. Je la connaissais bien maintenant. D'un coup de ventre, elle a fait sortir ma queue de son vagin. Effectivement, j'avais rarement été à la fois aussi gros et aussi long.
--Et voilà une queue bien grosse, bien longue, et bien dure...Je me demande ce qu'on pourrait en faire...Hé, mais j'ai une idée, si on la rentrait là ?
Elle s'est légèrement soulevée et elle a appuyé mon gland contre sa muqueuse anale. C'est rentré avec une facilité qui m'impressionnait toujours. Elle a avalé la partie supérieure de ma queue, avant de se laisser glisser plus loin et de la prendre quasiment en elle. Une sensation que je connaissais déjà, mais il y a des choses dont on ne se lasse pas.
--Si j'avais à choisir entre me faire prendre par la chatte ou par le cul, je crois que ce serait vite fait. Heureusement que je n'ai pas à choisir.
Pile au dessus de ma queue avalée aux trois-quarts, il y avait son vagin, que ma pénétration et son excitation avaient sérieusement distendu, le faisant béant. On pouvait voir loin en elle. Nos regards se sont rencontrés. On était tellement proches qu'elle lisait en moi facilement.
--Si tu mettais tes doigts dans ma chatte, ça serait un complément parfait...
J'ai obéi et j'ai glissé un doigt, puis très vite un autre, et encore plus vite un troisième dans son sexe. Elle était tellement ouverte que mon petit doigt et mon pouce, même si je l'ai replié, sont venus eux aussi très facilement. Je me suis retrouvé totalement en elle, et j'ai pu, comme elle l'aimait, venir la caresser à l'intérieur, dans une perception kaléidoscopique de son intérieur, son élasticité, sa chaleur, ses liquides qui ruisselaient autour de moi, mais aussi un paysage fait de pleins et de creux, qui semblait se décomposer et se recomposer à chaque seconde.
Surtout, parce que, si j'avais déjà mis ma main en elle, et si je l'avais déjà sodomisée aussi, je n'avais jamais fait les deux en même temps, je me suis rendu compte que la peau qui séparait le vagin d'une femme de son anus était extrêmement fin, et je pouvais bien toucher ma queue qui bougeait en elle. Je me suis figé, et dans un schéma étrange, comme souvent dans le sexe, mais dont l'étrangeté conditionnait l'excitation, je me suis mis à me caresser à travers la chair dans une masturbation qui, tout en me prodiguant du plaisir, lui en donnait aussi.
--Ah cochon, il n'y a que toi pour faire ça.
Ca a duré moins longtemps qu'on n'aurait pu l'espérer. On était en fin de ligne tous les deux, en fin de parcours, et on s'est mis à jouir.
Ma main a été noyée par des flux de cyprine qui sont sortis d'elle par vague et nous ont inondés.
Il y a eu une latence, avant qu'elle ne me dise :
--Je ne pensais pas qu'on irait aussi loin...Ca a été...Très bon...
Elle a poussé un soupir.
--Ton sperme va couler de mon anus jusqu'à ce soir, et me maintenir toute émoustillée, en pensant à ce qui s'est passé. Dommage que je ne puisse pas faire la jonction.
Je lui ai demandé de quoi elle voulait parler.
--Je voudrais que sa queue vienne remplacer la tienne après que tu aies joui, et que lui aussi crache son sperme, qu'il me remplisse, qu'il y ait encore plus de semence, Et qu'après je sente vos deux foutres mêlés couler de moi. Ou alors qu'il y ait deux queues qui me fouillent en même temps, qui me remplissent, et que je coule à n'en plus finir après.
Ivre de plaisir, elle s'est redressée et a bougé, tanguant lé gèrement.
--Et si tu m'enlevais mes bottes ?,elle a suggéré.
Elle s'est laissée glisser sur mon lit. Je suis à venu à genoux défaire ce que j'avais fait quelques heures plus tôt, tirant la première botte, Sous mes yeux, il y avait son sexe, grand ouvert, et son clitoris, tout gonflé. Il commençait à débander, et son vagin à se refermer, mais c'était à peine visible. Du sperme a coulé de son anus, qui est venu poisser sa chair.
J'ai attaqué la deuxième botte.





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Histoire de JamesB

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