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Dix minutes

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Lue : 0 fois - Commentaire(s) : 0 - Histoire postée le 18/08/2023

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10 MINUTES


Léandra et moi on est ensemble depuis six ans, et le miracle de notre relation tient au fait qu'on s'entend parfaitement, et qu'on a continué de s'entendre parfaitement au fil du temps. Une partie de cette entente passe sans aucun doute par le sexe, dont nous nous délectons l'un comme l'autre, qui constitue un de nos grands plaisirs, et dont certains, peu portés sur la chose, diraient sans doute que nous abusons. Mais tant qu'il n'y a pas de limites posées par l'autre...
Léandra était une grande fille, pas loin d'un mètre quatre-vingt-douze, avec des formes opulentes, un immense sourire et une intelligence analytique que j'étais loin de posséder.
Les moments de sexe qu'on partageait avaient mille modalités, celles du plaisir et de l'absence de tabous moraux.
Les jours où on était libres, le week-end par exemple, ou où on avait une plage horaire libre commune, on se contentait de se laisser aller à nos envies...Quand on avait envie. Les autres jours, on fonctionnait sur un autre schéma. On s'aménageait des moments de liberté, en fonction de notre emploi du temps. Par exemple, le soir on finissait quasiment à la même heure, et avant de basculer sur des tâches ménagères, on se donnait une période qui allait entre vingt minutes minimum, et une heure maximum, pour du sexe.
Et puis il y avait le matin.
Comme beaucoup d'hommes, je me réveillais avec le feu au ventre et la queue bien dure. Une envie souvent renforcée parce que je faisais énormément de rêves érotiques, dont je me souvenais ou pas. Et j'avais envie immédiatement de sexe. Ce qui n'était pas forcément le cas de celle qui dormait près de moi, qui le matin avait du mal à revenir à la réalité. Son corps, n'était pas en tout cas prêt, dans l'immédiateté du réveil, pour le sexe.
Léandra avait bien résumé la chose : 'Le matin, quand tu te réveilles, tu as envie de sexe immédiatement, et moi une heure après.'
Elle m'avait proposé une solution : 'On se prépare, et on se garde une période de dix minutes pour du plaisir avant de partir.'
Elle et moi on travaillait au même endroit, une administration, à des postes différents, donc on partait en même temps, ensemble, pour arriver ensemble.
On avait pris le principe du chrono. Dix minutes, on mettait le chrono, et il fallait qu'on ait bouclé quand l'alarme sonnait. Ca imposait d'aller sur un autre rythme que celui qui était le notre le dimanche, où on pouvait étirer le temps.
On se rejoignait, on se trouvait, et c'était parti pour du sexe, sous toutes ses formes possibles, dans toute sa diversité. Et ce même s'il n'y avait pas forcément de jouissance au bout, une possibilité qu'on acceptait totalement. Mais le mieux, c'était quand même de partir après avoir eu du plaisir, et du plaisir ensemble.
L'horloge était notre maître. J'ai jeté un coup d'oeil au cadran. Une minute. J'ai rejoint le living. Elle m'y attendait, déjà habillée, un tailleur noir classique, les jambes gainées de nylon, des escarpins avec des talons fins aux pieds. Elle était magnifique comme toujours, et une partie du jeu, c'était de ne pas défaire ce qui avait été fait. Par exemple, pas de sperme sur son tailleur, pas de sperme non plus sur son collant. Ca limitait. Elle se mettait du rouge à lèvres en dernier, parce que souvent, elle avait envie de prendre ma queue dans sa bouche. Il fallait aussi éviter de déchirer son collant en le baissant par exemple.
Mais on avait quand même de la latitude...
Je me suis approché d'elle. J'ai déclenché le chrono. Nos bouches se sont rejointes pour un long baiser. J'ai glissé mes mains sous la jupe, suis venu prendre ses fesses à pleines mains à travers le lycra. Quand elle mettait un collant, généralement, elle avait rarement une culotte avec, et, en glissant mes mains sous le collant, j'ai trouvé ses fesses nues. J'ai glissé un doigt dans sa raie, et je suis venu doucement masser son anus. Elle a eu un petit gémissement de contentement, mais elle n'a pas été inactive, elle est venue chercher ma queue dans mon pantalon.
--Ah ta queue...Bien longue, bien dure, bien épaisse...Il me la faut tous les matins, que je le veuille ou non, c'est devenu une drogue.
Elle m'a masturbé doucement. Une des premières fois où on avait initié ce jeu, j'étais tellement excité que j'ai joui dans sa main, la couvrant de semence. Depuis je me maîtrise.
--Descends-moi mon collant à mi-cuisses.
J'ai obéi. La veille, elle m'avait demandé de lui faire un cunni, basculée en arrière, elle avait mis des bas, le sexe offert, elle avait mis une culotte après, et je me caressais en même temps. Elle avait joui, et avait basculé à genoux pour attraper ma queue et me faire jouir dans sa bouche. J'étais tellement excité que je n'avais pas tenu dix secondes. Tout mon sperme était parti dans son gosier.
J'ai été un peu surpris de voir qu'il y avait quelque chose dans son sexe. Un jouet, un simple bout de plastique rose, qui occupait l'endroit où j'aurais peut-être pu rentrer.
--Il ne te reste qu'une option, elle m'a fait remarquer. C'est celle que je veux.
Elle a attrapé le pénis postiche et elle a commence à le faire bouger en elle. Comme une incitation à agir moi aussi. Je suis venu poser mon glland contre sa muqueuse anale, et je suis lentement rentré en elle. Une muqueuse souple, et habituée à la sodomie...Elle a poussé un long soupir.
Qu'on n'ait que dix minutes ne signifiait pas qu'il n'y avait pas de plaisir. Au contraire, il était toujours très fort, parce que condensé.
Je me suis mis à bouger en elle, tout en ayant au coin de l'oeil l'autre mouvement, celui de la queue de plastique rudimentaire. Je la sentais à travers la fine peau qui séparait son anus de son vagin, et on est arrivés à trouver un rythme commun entre la queue de plastique, et la mienne...
--Je suis entrain de jouir, j'ai dit, et mon sperme est venu cogner contre les parois de sa muqueuse anale...
--Ahh, elle a crié.
Je me suis arraché d'elle et écarté...Deux secondes après que j'aie fini de jouir, frottant son gland clitoridien comme une forcenée, elle a explosé de jouissance, crachant dans les airs des jets de liquides copieux.
Prudent je calculais toujours, et selon ce qu'on faisait, pour éviter de retourner me changer, je posais une ou deux serviette-éponge à proximité pour m'en envelopper. Mais on parvenait toujours à s'en sortir sans se souiller.
Elle a remonté son collant, redescendu sa jupe et m'a souri.
--Tu vois, finalement, elle m'a dit, alors que j’arrêtais le chrono et que je le lui montrais, on a fait huit minutes, je me demande si ce n'est pas ce moment du matin que je préfère. Tout est rapide, mais en même temps très intense. Plus fort. Et c'est bien comme ça. Et puis.. Ton sperme va lentement couler de mon anus toute cette matinée...Je vais repenser à ta queue en moi, me fouillant, crachant. Ca va être bien.
Et on est partis travailler.
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Histoire de JamesB

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